IN FOR
THE KILL

RPG HP && the village


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PÉRIODE DE JEU:
Juillet 1955
GODRIC'S HOLLOW ● Dans l’ombre, un texte commence à circuler dans les différentes communautés magiques, lu lors de soirées mondaines, traduits dans une dizaine de langue, le pamphlet, extrémiste, fait assez parler de lui pour être reproduit par les journaux ou lu sur les ondes de nombreuses radios afin d’en commenter ou critiquer le contenu. L’illégalité de leur organisation ne semble nullement avoir empêché les Mangemorts de diffuser leurs idéaux. (lire le pamphlet)
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la mode se démode, le style jamais. (tc)
neutral: no mans land ●
Juliet Malfoy
neutral: no mans land
Juliet Malfoy
feuille de personnage

Feuille de personnage
RELATIONS:
INVENTAIRE:
ACQUISITION:
WANDS
KNIVES
SOUL
hiboux : 582
pseudo : roi de pique, marine.
faciès & dot : florence pugh, caelestis & infatuation, caravage.
doublon(s) : arthur l’endive, edith la pimbêche.
gallions : 957
la mode se démode, le style jamais. (tc)  182537d8459c33654c2cbda80cf8a66e59efa620
pronoms : elle, femme cisgenre.
décade : vingt-cinq années, essence d’une jeunesse en pleine ivresse.
labeur : autrefois fille à papa, petite poupée au talent inné pour concocter des potions, potionniste indépendante qui ne peut plus exercer, obligée de se cacher, désormais pianiste de bar dans un restaurant chic moldu.
alter ego : annie montroses, petite française égarée en quête d’une vie bohème.
storytime : en cours ;
totally witches zorahdolly iitc défilé de mode/juillet 51maligan iiirp libremalcom

à venir ;
— augusta, toi ?

terminés ;
tashadollytasha ii

sang : sorcière dans les gênes, pureté dans le vermeil, héritage désavoué et renié.
don : esprit scellé, verrou déposé et cœur sous cadenas, intrusion rendue difficile par la pratique de l’occlumancie. (occlumancie stade II)
myocarde : sentiment puissant, étincelle qui se transforme en incendie causé par cette fille à la crinière rousse, couple fragile qui se consolide un peu plus chaque jour.
allegeance : fugitive aux idées hors du temps, hors de son époque, rêve d’égalité, de paix, en désaccord avec les siens, mais à ce jour, sans faction déterminée.
particularité physique : poupée d’apparat, articulations cassées dans la pénombre, première balafre sur l’épaule gauche, maléfice reçu, peau craquelée, seconde balafre à la chute des reins, accident sur un balai, elle déteste voler depuis ce jour et peau marquée par l’encre noir, sous le sein droit se dessine une branche de belladone, aussi belle que mortelle, poison délicieux.
gif feuille : la mode se démode, le style jamais. (tc)  30b594450009c8f14b750c7cd7951568f9215888

badges
golden snitch
le.a speedy gonzales du rp.
serial voteur.se
mordu.e des top-sites.
prix rp
adepte des pavés.
team niffleur
olympiades 2023.
animation
a participé au trick or treat 3.0
crésus
500 gallions
ancienneté
6 mois sur le forum.
floodeur
500 messages postés.
team sombral
jeux d'iftk 2024.
https://inforthekill.forumactif.com/t3018-en-ton-coeur-brulera#3
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(#) la mode se démode, le style jamais. (tc) ●
19.03.24 19:02

● ● ●
you have nothing to fear
À PROPOS
DE CE SUJET
if you have nothing to hide
● ● ●
temporalité du rp : juillet 51, londres, maison mère de la maison de haute couture malfoy, accessible uniquement par les sorciers.
personnages concernés : l’élite sang-pur, les sang-mêlés (les personnages étant mineurs à cette époque peuvent aussi être présents avec leurs parents/tuteurs).
trigger warnings : injures, élitisme, alcool (à compléter si besoin.)
intervention autorisée du mj : [ ] oui [x] non
autre(s) topic commun, n’hésitez pas à participer ! attention, les tenues élégantes sont de rigueur, de plus, les participants ont forcément reçu une invitation privée par hibou pour pouvoir venir, sauf si vous faites partie du personnel ou de la famille.

IN FOR THE KILL - 2021-2022




    suis-je meilleure,
    suis-je pire qu’une poupée de salon ?
    et je vois la vie en rose bonbon.
    je suis partout à la fois,
    brisée en mille éclats de voix.
    — press play.



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myocarde : sentiment puissant, étincelle qui se transforme en incendie causé par cette fille à la crinière rousse, couple fragile qui se consolide un peu plus chaque jour.
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particularité physique : poupée d’apparat, articulations cassées dans la pénombre, première balafre sur l’épaule gauche, maléfice reçu, peau craquelée, seconde balafre à la chute des reins, accident sur un balai, elle déteste voler depuis ce jour et peau marquée par l’encre noir, sous le sein droit se dessine une branche de belladone, aussi belle que mortelle, poison délicieux.
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(#) Re: la mode se démode, le style jamais. (tc) ●
19.03.24 19:15

le diable s’habille en prada, sirote du champagne et gambade la tête haute avec son sac à main signé hermès..
L

A MODE SE DÉMODE
, LE STYLE JAMAIS
topic commun ouvert

L’été particulièrement chaud en ce mois de juillet. La chaleur écrase la campagne anglaise depuis plusieurs jours et pourtant, c’est l’effervescence qui anime la maison de haute couture Malfoy. On s’agite dans tous les sens, on va, on vient. Les femmes trottinent, notamment les mannequins qui enchaînent les essayages. L’une d’entre elle frôle la jeune Juliet Malfoy en marmonnant de piètres excuses tout en changeant ses boucles d’oreilles. La blonde lève les yeux au ciel. Pourtant, la sorcière aime les défilés. Elle aime admirer la nouvelle collection imaginée par son grand-père Ménélas, même si elle en a toujours un avant-goût avant la plèbe. Mais cette fois, elle n’a aucune envie d’être ici, Juliet. Son visage exprime à la perfection son aversion d’être présente. Pourquoi donc ? Sans doute parce que ses rapports avec sa famille sont de plus en plus tendus.
Premièrement, il y a sa mère. Madrigal est une plaie. Rigide à souhait, froide, elle a exigé à Juliet de changer de tenue deux fois. Pas cette robe, elle fait trop frivole ! Juliet, tu te moques de moi ? Tu veux vraiment ressembler à une traînée !? Et pourtant, la blonde a cherché le soutien de son père, mais celui-ci s’est dérobé. Pour une fois, Henry s’est rangé du côté de son épouse et non sans jurer entre ses dents, Juliet a finalement choisi une robe « convenable ». D’un blanc nacré, quelques perles brodées ici et là et surtout, à la longueur acceptable, une paire de gants et un ruban dans les cheveux, la voici en parfaite petite poupée disponible sur le marché fermé des mariages de sang-pur. Et deuxièmement, parce qu’il y a toujours quelque chose pour empirer la situation, Abraxas se pavane comme le futur petit prince qu’il est. Juliet le dévisage un long moment, ça la débecte au point qu’elle se retient de ne pas lui lancer un mauvais sort. Alors, quand leurs regards se croisent enfin, lui fronce les sourcils et elle, lui offre une magnifique grimace. C’est sans compter sur Madrigal, toujours là quand on s’y attend le moins, qui lui saisit le bras et la force à la regarder. — Baisse les yeux, jeune fille et cesse immédiatement ce comportement. Elle a envie de répondre Juliet, elle a envie d’exploser et de déchirer le tissu de cette robe qui l’empêche presque de respirer. Heureusement que le corset est d’une autre époque. À la place, elle maintient son regard, défiant sa mère qui la lâche, soupir, exaspérée par cet esprit revêche. — Et tiens toi droite, par Merlin. Ça va commencer.

Oui, qui aurait cru que dans les coulisses d’un défilé, il y aurait une scène de famille ? Sans doute pas les sorciers, que le gratin bien sûr, des sang-purs à foison, quelques sang-mêlés éparpillés, du personnel, des petites mains, mais jamais, ô grand jamais l’once d’un sang de bourbe comme ils disent. On ne les méprise pas, pas publiquement, mais on ne les invite pas. On fait comme si cette espèce n’existait pas, tabou absolu dont Ménélas en parfait chef d’orchestre a fait le nécessaire. Et tous sont rassemblés dans la salle où se passe le défilé le moment venu. Quinze heures et une heure pour admirer les mannequins qui défilent.
Juliet est assise aux côtés de sa mère, jambes croisées, elle ne regarde même pas le défilé, fixe un point invisible devant elle en croisant les bras. Elle sent le regard de sa mère sur elle et ça suffit à rendre cette journée épouvantable.

À la fin du défilé, Ménélas est invité sur la scène. Excentrique à souhait, l’homme porte une robe de sorcier aux couleurs flamboyantes et se lance dans un discours de remerciements avant de convier les invités dans une salle voisine pour continuer l’après-midi autour de petits-fours, champagne. Il précise que ceux qui souhaitent acheter ses pièces sont les bienvenus et doivent parler aux employés. Parfait ! C’est l’ouverture que Juliet attendait pour s’éclipser et avant que sa mère ouvre la bouche, elle est déjà loin.

La pièce est plus petite que celle qui a servi pour le défilé, mais le plafond est tout aussi haut. Des fenêtres ont été ouvertes et on sent la chaleur qui entre dans la pièce. Juliet s’empresse de saisir une flûte de champagne quand un serveur passe à ses côtés et la boit d’un trait avant d’en prendre une autre et de disparaître au fond de la pièce, adossée au mur. Elle tuerait pour une cigarette et pour être ailleurs, loin d’ici. Elle se souvient alors que sa mère en a dans son sac à main, mais ce n’est pas envisageable, de même que partir. Soupir exaspéré avant de boire une gorgée plus lentement cette fois, de champagne. Petit à petit, les invités entrent aussi dans la pièce. Son grand-père sait recevoir, aucun doute là dessus. Des fauteuils ici et là, des manges debout un peu partout pour se restaurer ou siroter des bulles, les racines françaises bien ancrées dans la famille. Tout ceci pour plaire aux autres grandes maisons et pour impressionner les classes populaires. Demain, les journaux parleront du défilé, demain, peut-être que Juliet aura enfin pris la décision de tirer un trait sur toute cette vie.

Spoiler:

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Natalya Yaxley
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faciès & dot : Freya Allan - @triumphandloss
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gallions : 1507
pronoms : Elle ψ Her
décade : La valseuse naquit le huit août de l'année mille neuf cent trente-deux, elle est âgée de vingt-trois ans.
labeur : Danseuse étoile pour le British Magical Conservatory.
alter ego : Olga Plaksine, jeune moldue originaire de Saint-Pétersbourg. Elle travaille comme hôtesse d'accueil pour le musée d'Histoire naturelle.
sang : Sang-Pur
don : La magie sans baguette ψ Stade basique
myocarde : Célibataire ψ L'aristocrate est oisive, elle batifole de-ci de-là avec des hommes bien plus âgés qu'elle-même. Le mariage n'est pas au goût du jour, entravé par les disputes continuelles de ses parents à ce sujet.
allegeance : Depuis qu'elle a été kidnappée par les chasseurs, au mois de mars dernier, Natalya est obnubilée par ses idées de vengeance. La poupée de chiffon est prête à être cueillie, enrôlée comme une gourde dans n'importe quel groupuscule extrémiste.
particularité physique : Estafilade disgracieuse au niveau de la joue droite.

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(#) Re: la mode se démode, le style jamais. (tc) ●
28.03.24 16:24


sujet commun
La valseuse a dix-neuf ans et c'est la plus jolie des enfants. Une année s'est écoulée depuis qu'elle est diplômée de l'école de Magie et il s'est passé tant de choses incroyables dans sa vie. La poupée a réussi le concours d'entrée du British Magical Conservatory et compte désormais parmi les exceptionnelles danseuses étoiles du pays. Aussi, est la chouchoute des médias et ne se sent plus pissée depuis qu'elle est la tête d'affiche du ballet magique de Londres. C'est prestigieux parce que la ballerine a obtenu le premier rôle dans le Spectre de la rose. Elle s'en sort à merveille et les critiques sont excellentes. Alors, la matriochka est odieuse avec tout le monde et se comporte comme une sale  peste. C'est la célébrité qui lui est montée à la tête. La coquette ne s'est pas fait que des amies dans ce milieu mais elle s'en moque parce qu'elle est la plus riche et la plus puissante d'entre elles. Puis la favorite peut également compter sur son mécène, @Thomas Abbott, pour la pousser au plus haut. Ensemble, ils forment une équipe redoutable et rien ne semble les arrêter. Aussi, la jouvencelle a insisté pour avoir son propre appartement, juste à côté de l'opéra et c'était un coup dur pour papa-poule. Mais il a fini par céder parce qu'il ne sait pas dire non à sa fifille. Maintenant, Natalya vit à Londres et elle profite de tout ce que la ville a à lui offrir. Elle se montre dans les lieux branchés de la capitale puis elle festoie avec les quelques-unes qui peuvent encore la piffer.

Aujourd'hui, elle s'est chamaillée avec sa môman pour des futilités et cela se répète en boucle chez les Yaxley. C'est la faute de Natalya parce qu'elle est si chiante avec sa génitrice. « Mais c'est pas joli, maman. » La coiffure, ça ne va jamais et elle épuise la douce Zorah avec ses volontés. La coquette veut être la plus belle et la plus étincelante ce soir. Elle est tâtasse et veut se montrer sous son meilleur jour. Il y aura des journalistes, des photographes chez les Malfoy et c'est la seule chose qui compte réellement à ses yeux. Alors, sa maman est gentille et se plie en quatre pour sa Nanouchska mais elle en a assez d'être critiquée. Et comme la pourrie-gâtée ne supporte pas la moindre petite remarque venant d'elle, elles finissent par se prendre le bec. Les portes claquent au manoir et la coquette finit de se préparer toute seule. Elle s'enferme dans sa chambre puis enfile sa tenue de soirée, une robe longue lamée et argentée. Celle-ci séduit par ses épaules froncées, sa taille drapée ainsi que sa jupe volantée sur le bas. Elle est légère, vaporeuse et brodée de sequins. La coqueluche se chausse avec ses escarpins à brides et bouts pointus en cuir. Elle est sublime et se mate longuement dans le miroir. Enfin, la favorite rejoint ses parents dans le salon et ils s'apprêtent à partir tous ensemble. La mère et la fille ne s'adressent toujours pas la parole et elles agrippent chacune un bras de @Warlock Yaxley. L'homme est si fier d'être accompagné des deux plus belles femmes de Godric's Hollow qu'il ne s'aperçoit de rien.

La petite famille transplane jusqu'à la maison de haute couture Malfoy, là où le défilé se déroule comme chaque année. Natalya se déride puisque le spectacle est grandiose et qu'elle en prend plein les yeux. C'est envolé la dispute avec sa maman et elle est émerveillée par le show. À la fin de celui-ci, elle s'empresse de saluer son amie, @Juliet Malfoy, qui se tient à l'écart de la foule. « C'était absolument par-fait ! » Qu'elle s'exclame en l'embrassant sur la joue. « Et toi... Toi, tu es... Sublime. » Qu'elle ajoute en la dévisageant avec son grand sourire. La coqueluche attrape une flûte de champagne et la tend vers elle pour trinquer. « Qu'est-ce que tu deviens, Juliet ? » Qu'elle lui demande d'une voix douce.

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JEUX 2024
la mode se démode, le style jamais. (tc)  Vks8giC6_o
TEAM SOMBRAL

« Dis l'oiseau, ô dis, emmène-moi
Retournons au pays d'autrefois
Comme avant, dans mes rêves d'enfant
Pour cueillir en tremblant
Des étoiles, des étoiles. »
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Primrose Macnair
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Primrose Macnair
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faciès & dot : Anya Taylor-Joy - enfantsauvage- delirium
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la mode se démode, le style jamais. (tc)  C286dfce2622c7812f0cb0cb48d7431c
pronoms : Elle/her
décade : 26 ans. Il y a bien longtemps pourtant que la jeunesse et l'innocence ce sont envolées. La beauté n'est que surface. En dessous tout est brisé, les rêves se sont envolés.
labeur : Longtemps femme au foyer, Primrose a récemment été engagée en tant que chargée mode de Mary Travers-Flint, ce qui est aux yeux de la jeune femme, un immense privilège ainsi qu'une nouvelle porte vers sa liberté.
alter ego : Rose Benson
sang : Sang-Mêlé
myocarde : Mariée depuis six ans à Ramsay Macnair. De vingt ans son aîné, l'époux s'est révélé être aussi terrible que la Barbe-Bleue. Mariage sans amour, mariage de devoir, il en sera de même pour sa vie.
allegeance : Son mariage voudrait que sa loyauté aille à son mari, aux Macnair. Aux mangemorts dont son mari essaye despérement de faire partit. En vérité Primrose n'a d'amour que pour ses fleurs.
particularité physique : Derrière le joli visage de poupée sont dissimulés les marques de violence de son mari.
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(#) Re: la mode se démode, le style jamais. (tc) ●
29.03.24 18:06

Ladies with an attitude Fellas that were in the mood Don't just stand there, let's get to it Strike a pose, there's nothing to it
L

A MODE SE DÉMODE
, LE STYLE JAMAIS
topic commun ouvert │Theme


Tw : Très légère mention de relation toxique/abusive

Ses grands yeux se posent partout, admirent les tissus et les couleurs, les coiffures, les maquillages, s’émerveillent devant tant de luxe. Si elle le pouvait, elle se placerait au centre de la pièce pour danser, sans se préoccuper du regard des autres, elle enfilerait une de ses magnifiques robes pour tournoyer, enlèverait ses chaussures et n’écouterait plus que son esprit, son corps.

Mais les deux sont emprisonnés. L’un dans la poigne ferme de son époux, l’autre dans la prise psychologique qu’il exerce sur elle.

Deux ans. Deux ans de peine pour l’américaine qui tente de s’épanouir au milieu de toutes ces roses anglaises, de grandir malgré le parasite qu’est Ramsay.

Les regards se posent sur elle, tantôt dédaigneux, tantôt indifférent et tantôt appréciateurs, sans qu’elle ne puisse déterminer si il s’agit de sa robe, une jolie pièce blanche aux motifs fleuris et ornée ça et là de dentelle et de tulle ou bien d’elle. La regardent-ils réellement ? Elle ne pense pas. Sinon ils verraient bien que son sourire n’a rien de naturel, son regard éteint.

Un serveur leur tend un plateau de flûtes de champagne. Entre ses doigts fins, la coupe devient un accessoire. Entre celles de son mari, l’objet paraît déplacé, fragile, menaçant d’éclater à tout moment comme elle. Car malgré tous ses efforts, malgré la fortune dépensée pour se rendre présentable, il n’aura jamais la prestance ou l’élégance des autres invités. Un cafard au milieu de papillons.

Cette pensée lui arrache un sourire timide, qu’elle tente de masquer pour un de ces sourires de façade qui explosent comme des nuées de pollen dans cette salle. Sourires hypocrites, sourires de faux-semblant que la jeune fleur apprends à reconnaître. C’est comme un jeu finalement, un jeu de qui sera capable de tenir le plus longtemps sans cracher son venin, sans faire tomber son masque, auquel elle commence à se prêter malgré elle, malgré sa révulsion. Si ses frères la voyait ! Ils ne reconnaîtraient pas leur chère petite sœur si spontanée au rire facile.

La prise autour de son bras se dessert légèrement. Ramsay semble être distrait par la présence d’un invité, sans doute un homme important auprès de qui il aimerait fanfaronner ou s’en faire un allié sur cet échiquier social et politique sur lequel il peine à avancer, il est à peine un pion et il ne sera jamais ni roi.

« Ne t’éloigne pas. »

Elle hoche la tête, avec un oui à peine audible. Où pourrait-elle aller de toutes les manières ? Ramsay s’éloigne, s’approche d’un homme et entreprends de lancer une discussion et ne semble pas remarquer le regard de dédain dont son interlocuteur fait preuve.

La voilà libre, pour quelques temps au moins. Mais elle ne bouge pas, ne sait pas où aller, vers qui. Elle reste fermement plantée dans le sol, observe, spectatrice, prenant des notes sur les gestes et les attitudes. Cette réception est son manuel de survie pour le nouveau monde dont elle fait partie mais dont elle maîtrise mal les codes. Elle sait au moins que celles qui ne parlent pas sont les plus appréciées, dans l’idéal de ces sphères, c’est la reine du silence qui se fait aimer.


Résumé :
MADE BY @ICEANDFIRE / IN FOR THE KILL › 2021-2022


Honey, I rose up from the dead, I do it all the time I got a list of names, and yours is in red, underlined
death eater: always pure ●
Mary Travers-Flint
death eater: always pure
Mary Travers-Flint
feuille de personnage

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hiboux : 809
pseudo : kathee
faciès & dot : Michelle Gomez (avatar) kathee + astra(signa)
doublon(s) : Elvira Quinn ♛
gallions : 4799
la mode se démode, le style jamais. (tc)  5ab2c466d8da9c293be556603ca2383b4483b321
pronoms : (elle/she)
décade : 46 ans, mais tout le monde sait que la beauté n'a pas d'âge.
labeur : Actuelle Ministre de la Magie munie d'une ambition dévorante et comptant bien révolutionner les choses, je m'accommode d'un emploi moldu de conseillère-artistique au théâtre de Godric's Hollow. Avant ces promotions successives qui ont fait mon succès, j'étais avocate au Magenmagot (puis directrice de ce service), dont je ne conserve aujourd'hui que le titre honorifique et certains avantages dont je tire habilement profit.
alter ego : Astrid de Berkeley
storytime : ♔ RPs en cours : Mona - Meredith - Dolores - Tc ministère - Silas.

sang : Sang-Pur, évidemment.
don : Une complète maîtrise de l'occlumancie (dernier stade).
myocarde : Divorcée de @Conall Travers et récemment séparée de @Ronald Abbott
allegeance : Pro-mangemort, sans en faire partie officiellement.
gif feuille : la mode se démode, le style jamais. (tc)  1fb0bec2759292cf8fef4918fb7cbf59

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demiguise
vendeur.se de scénarios.
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(#) Re: la mode se démode, le style jamais. (tc) ●
08.04.24 2:23
La mode se démode, le style jamais.
juillet 1951, Maison de mode Malfoy, Londres.
● ● ●
Une dernière touche de rouge vint rehausser le haut des pommettes, égayant ainsi le reflet quelque peu hâve que me renvoyait le miroir. Chaque détail avait été soigneusement étudié, véritable démonstration d'élégance et de raffinement, sans pour autant tomber dans l'ostentatoire. Je laissais cela au autres, à ces jeunes bécasses qui n'avaient pas encore saisi l’équilibre entre l’audace et la subtilité, à ces gourgandines qui avaient besoin de criard pour susciter l'attention, et à toutes celles qui ne maîtrisaient pas l'art de la coquetterie et qui enchaîneraient les maladresses et les fautes de goût pour notre plus grand plaisir.
Meredith dépêche-toi où nous allons arriver en retard chez les Avery ! lançais-je soudainement, tournant la tête en direction de la porte et élevant la voix pour être entendue depuis l'autre pièce. Comme d'habitude, la petite traînait les pieds en espérant ainsi échapper à ce qu'elle appelait la corvée. Et comme d'habitude, cela ne suffirait pas à lui faire obtenir gain de cause, car il ne lui appartenait pas de prendre ce genre de décision. Quand bien même elle ferait preuve de la plus mauvaise volonté de la planète, que toutes les cheminées du réseau Poudchem seraient défaillantes, qu'il se mettait à neiger, ou qu'un cataclysme balayait subitement la capitale, elle m'accompagnerait à cette soirée. Il en fallait plus pour me faire renoncer à mes projets.

Initié par les Malfoy, ce défilé de gala était l'un des évènement mondains les plus sollicité de l'année et y être convié était non seulement un privilège, mais aussi l'assurance de passer un moment de qualité parmi les autres familles sang-pur de la communauté sorcière. Une invitation qu'il ne fallait pas mépriser, comme je l'avais fait remarquer à la demoiselle un peu plus tôt, et qu'elle avait tout intérêt à honorer ; ne serait-ce que pour côtoyer le beau monde et mettre un pied dans le milieu. Ces personnes qu'elle répugnait à rencontrer aujourd'hui seraient peut-être ses employeurs de demain -lorsqu'elle sortirait brillamment de Poudlard sous une cascade d'Optimal- et il était impératif qu'elle fasse bonne impression. Cela ne saurait être possible en restant au manoir, sous prétexte de ne pas être intéressée. Par ailleurs, elle était encore bien trop jeune pour que je la laisse seule durant toute la soirée. En conclusion, la demoiselle devra faire un effort et supporter ma présence encore un peu. Sans parler du fait qu'Aurelius, le fils de Mona était convié lui aussi, et que je comptais bien les présenter officiellement l'un à l'autre et leur laisser un peu de temps pour disons...faire connaissance. Pouvait-on espérer de meilleures conditions pour une nouvelle rencontre ? Une ambiance festive, un cadre somptueux, tout cela entouré de la meilleure compagnie qui soit : vraiment, j'aimais à croire qu'il s'agissait-là d'un signe car tout semblait concorder pour que les jeunes gens soient à leur aise. Ainsi, la présence de Meredith était doublement nécessaire. Je t'ai dit de te dépêcher, pas de brûler les étapes, jeune fille.commentais-je alors que Meredith me rejoignait. D'un geste souple du poignet, je fis un petit geste avec ma baguette et instantanément, son col se lissa de lui-même et quelques centimètres de tissu furent rajoutés au bas de sa robe. C'était une réception de gala, chaque impair vestimentaire était passé au crible puis disséqué dans d'infinies messes-basses. Il était tout bonnement hors de question que ma fille en soit le sujet principal. De quoi aurais-je l'air ?

Quelques minutes et une délicate paire de boucles d'oreilles en argent plus tard, je la rejoignais dans le hall en laissant un sillage floral derrière moi, pochette en main. Au centre de la pièce, je lui prêtais mon bras afin qu'elle s'en saisisse, pour un transplanage d'escorte tout ce qu'il y avait de plus classique.Je présume qu'il est inutile revenir sur le sujet - fis-je sans faire allusion au règles de sécurité du trajet qui me semblaient elle, beaucoup plus évidentes - pas d'excès, de débordement d'aucune sorte, d'insubordination, d'écart de langage, de débauche, d'irrespect envers qui que ce soit et évidemment : pas d'alcool.rappelais-je méthodiquement, à peine quelques secondes avant de nous faire transplaner devant le manoir des Avery.

Sur le seuil, je pris les devants et frappais trois coups distincts. Je lançais un dernier coup d'œil à ma fille avant que l'on vienne nous ouvrir. Pour l'amour du ciel Meredith, cela ne videra pas ton coffre chez Gringott's que de sourire un peu !soupirais-je avec une pointe d'exaspération non-dissimulée. Mona et son fils avaient été assez aimables pour nous accompagner, la moindre des choses était de ne pas afficher une mine d'inferi bougon en retour. D'autant plus que dans une poignée de semaines, la jeune sorcière retournerait à Poudlard pour y étudier. Il se passerait alors presque une année sans qu'elle ne daigne rentrer à la maison car visiblement, la vie était plus facile et plus agréable au château. Alors, je comptais bien profiter de sa présence tant que je le pouvais avant de retourner à la solitude du quotidien. Et si possible, sans devoir composer avec une moue revêche dès que je me trouvais à ses côtés... Une nouvelle fois, je toquais contre la lourde porte de bois pour informer les propriétaires de notre arrivée.


Résumé du post + A savoir :
Mary s'est mise sur son 31 et traîne Meredith jusque chez Mona et Aurelius. Puisqu'elle n'a rien de mieux à faire, elle se contente de faire quelques remarques par-ci par-là à sa fille et lui rappelle les consignes de bonne conduite.
NB : En 1951, Mary n'est pas encore Ministre. Elle occupe le poste de Directrice du Département de la Justice Magique (le poste que reprendra Silas juste après). Conall Travers (son époux) est encore emprisonné à Azkaban et de ce fait, elle lui est encore mariée.

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(#) Re: la mode se démode, le style jamais. (tc) ●
08.04.24 13:21

le diable s’habille en prada, sirote du champagne et gambade la tête haute avec son sac à main signé hermès..
L

A MODE SE DÉMODE
, LE STYLE JAMAIS
topic commun ouvert

Vraiment, elle n’arrivait pas à croire qu’elle s’était laissée convaincre de participer à cet événement. Tout ça, c’était un peu la faute de son père. Voire même, totalement sa faute ! Il était pourtant tacitement convenu entre eux depuis plusieurs années que Dolly était assez grande pour décider des occasions auxquelles elle souhaitait se rendre ou pas. Alors, qu’il insiste à ce point pour qu’elle accompagne son oncle et sa tante au défilé de mode organisé par la maison Malfoy, c’était assez incongru. Ou pas, en fait. L’entrée dans l’adolescence ne s’était pas faite sans peine et si les relations entre père et fille étaient teintées d’une complicité et d’une entente rares, elle vivait ces années où l’absence de sa mère se faisait particulièrement sentir. Le père était parfois dépassé, et la fille désireuse de conseils qu’il ne pouvait lui donner. Alors qu’elle puisse se rapprocher un peu de sa tante, avoir dans sa vie une femme susceptible de lui offrir un autre modèle et la guider avait semblé une bonne idée. Le problème, c’est que Dolly ne l’entendait pas de cette oreille: elle avait décrété plusieurs années auparavant trouver les événements dédiés aux familles de sang-pur d’un ennui mortel et elle détestait la mode. D’ailleurs, sa propre apparence ne lui importait pas du tout ! Enfin ça, c’était l’histoire qu’elle aimait se raconter car si tel était le cas elle n’aurait pas brûlé ses cheveux. Bien qu’elle aime à croire le contraire, la petite brune n’était aucunement différente de ses camarades, toute aussi désireuse de plaire et se trouver jolie, à un âge où c’était loin d’être une évidence. Alors quand Millicent, sa voisine de dortoir, avait fait prendre à ses cheveux une teinte d’un blond lumineux, Dolly lui avait évidemment demandé de faire la même chose sur elle. Malheureusement, loin de se retrouver avec l’effet désiré, le traitement magique avait fortement endommagé sa tignasse (elle soupçonnait Millicent de l’avoir fait exprès). Le massacre étant irrattrapable, elle dut se résoudre à couper au niveau des épaules, et à attendre patiemment que le tout repousse. Alors devoir en plus se montrer comme ça en public, pas question !

Sauf que Ronald avait insisté. Qu’elle voyait bien que ça lui faisait plaisir, qu’il s’inquiétait un peu. Et l’adolescente n’était pas suffisamment rebelle pour refuser de faire quelque chose qui pourrait réconforter son père. Alors, elle avait accepté, à contre-coeur, tout en sachant qu’elle allait le regretter.

Difficile de savoir ce que Solène avait pensé de son apparence, mais elle avait réussi miraculeusement à faire quelque chose de sa chevelure à présent bicolore. La gamine avait râlé, enfin pas à voix haute parce que face à sa tante elle n’osait pas forcément beaucoup, mais son attitude suffisait à faire comprendre ce qu’elle pensait de tout ce cirque. Pourtant, elle dut bien admettre que le résultat était… pas si mal. Voire plus que ça. Entre des mains bien plus experte que les siennes, maquillage et coiffure la mettaient réellement en valeur. Elle avait grimacé face à la robe rose de princesse qu’on lui avait présentée, jusqu’à ce qu’elle la porte et se trouve vraiment jolie dans le miroir. Ce qu’évidemment, elle n’admettrait pas à voix haute.

Le seul vrai problème, c’étaient les chaussures. A peine arrivée, elle avait déjà mal aux pieds et prévoyait de s’en débarrasser à un moment ou un autre, quand sa tante aurait le dos tourné. Bien décidée à montrer son mécontentement Dolly avait à peine décroché un mot, trainant des pieds avec mauvaise volonté et se tenant un peu à distance de Solène. Ce n’était pas qu’elle ne l’aimait pas, mais elle ne voyait pas vraiment quoi lui dire. L’épouse de Thomas lui semblait être une de ces statues qu’elle avait pu voir dans certains musées: aussi parfaite qu’inaccessible. L’adolescente ne se souvenait pas avoir jamais eu une vraie conversation avec elle, autre que quelques mots échangés autour d’un repas familial et elle n’était pas tout à fait sûre que Solène soit ravie d’avoir dû l’emmener. Enfin, au moins Thomas était là, et avec lui elle ne s’ennuyait jamais. Est-ce que ça se faisait de parler Quidditch à un défilé de mode ou allait-elle devoir garder le silence ?

Puisqu’elle était là, autant en prendre son parti, et elle espérait bien pouvoir compter sur la présence de Meredith pour rendre le moment beaucoup plus intéressant. D’ailleurs elle ne tarda pas à apercevoir son amie un peu plus loin, surveillée par son dragon de mère (enfin c’était comme ça que Mere la décrivait, et la petite brune était toute disposée à la croire). Elle se tourna vers son oncle et sa tante, quittant soudain son air boudeur pour arborer sourire enjôleur et bouche en coeur. « Est-ce que je peux aller dire bonjour à Meredith ? » Comprendre échafauder un plan pour échapper à la vigilance des adultes, voler une bonne bouteille et trouver un coin tranquille pour commenter l’événement et ses invités.


Résumé:

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myocarde : veuve de Quintus Avery, jamais le grand amour mais il eut au moins le mérite d'être le père de ses enfants avant de disparaître tragiquement
allegeance : l'extrémisme de la suprématie sorcière en étendard, fanatisme brûlant les entrailles depuis l'enfance
particularité physique : tatouage sur l'avant-bras gauche, marque de ce sombre seigneur à qui elle a prêté serment
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(#) Re: la mode se démode, le style jamais. (tc) ●
09.04.24 14:36

Fashion is the armor to survive the reality of everyday life
L
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topic commun | THÈME
« Allons, Marcella, ne fais pas l’enfant » soupira Mona Avery. Pour autant, elle ne repoussa pas la créature pleurnicharde qui geignait dans ses jupes, parce que décidément c’était trop injuste, pourquoi Aurelius avait le droit et pas elle, elle serait une grande fille et elle serait sage et… « Dans quelques années, tu pourras m’accompagner, c’est promis. Mais pas cette fois » affirma la sorcière, détachant tendrement les bras de la fillette, dont les larmes menaçaient de tacher le satin couleur champagne. « En attendant, je compte sur toi pour réviser ton français. Savais-tu que la Maison Malfoy a des racines dans ce pays ? » demande-t-elle dans la langue des Flamel, élicitant une piteuse réponse en forme d’assentiment. « Bien. Maintenant, va vérifier si ton frère est prêt. »

Sans plus poser de question, l’enfant fila vers la chambre de son aîné. Mona se retrouva seule face à son miroir en pied, profitant de l’instant pour réajuster l’unique pièce de joaillerie qu’elle portait aujourd’hui. Son doigt avait-il grossi, pour que l’alliance glisse aussi difficilement ? Fut un temps, elle avait joué avec ce bijou ; elle l’avait enlevé juste pour voir l’effet que cela lui faisait, d’abord une heure, puis une journée. Puis une soirée, une fatidique et dangereuse soirée. Depuis lors, toutefois, une décennie s’était écoulée. Elle n’était plus la futile sorcière trentenaire qui faisait se retourner les hommes, et une vilaine ride avait même récemment pris la mauvaise manie de réapparaître au coin de son œil lorsqu’elle souriait. Heureusement pour son apparence, songea-t-elle amèrement, elle n’avait que peu l’occasion de sourire ces derniers temps. Quintus Avery semblait s’être lassé de sa douce épouse, non que cette dernière ait encore beaucoup de tendresse pour lui : ils faisaient désormais chambre à part, et ne se causaient que lorsqu’ils ne pouvaient décemment s’éviter. Le Conseil d’Administration d’Obscurus Books lui avait une fois de plus refusé la présidence, préférant l’accorder à son propre frère cadet. Et si elle avait avalé l’outrage sans broncher, plaquant un masque d’indifférence polie sur ses traits, la tempête intérieure continuait de faire rage. Cerise sur ce gâteau aux relents âcres : dix mois par an, Poudlard la privait du plus âgé de ses enfants.

Mais l’été était revenu, et on lui avait rendu son fils, se reprit-elle. Se plaindre était indigne d’elle, indigne de son rang et de son sang. Elle était Mona Parkinson, par Merlin ! Elle savait endurer quelques contrariétés, savait cacher le déchirement que lui occasionnait chaque premier septembre l’éloignement de son fils adoré. Les esprits des autres lui étaient grand ouverts, véritable terrain de jeu sur lequel la sorcière se prélassait sans même plus y penser ; mais le sien demeurait une imprenable citadelle, fermée à tous… À l’exception d’une poignée d’amies et de confidentes, dont Mary Travers-Flint faisait partie. Les trois coups, brefs mais éminemment reconnaissables, que frappait à l’instant cette dernière à la porte du manoir, achevèrent de rendre son sourire à la brune. Son regard émeraude embrassa une dernière fois la silhouette fine drapée de satin qui était la sienne, tandis qu’elle se détournait du miroir pour se diriger vers l’entrée de sa demeure.

« Tu es parfait, mon chéri » commenta-t-elle à l’adresse d’un Aurelius parfaitement apprêté - comment aurait-il pu en être autrement ? Cet enfant était le sien, après tout. « Tu as juste… Ta mèche » glissa-t-elle, ajustant un invisible cheveu rebelle alors que Tinky, ou peut-être Winky, ouvrait la porte à leurs invitées.

« Mary, dearest. Tu es resplendissante, comme d’habitude » complimenta la sorcière aux yeux pers, se précipitant pour étreindre son amie. Et s’il y avait dans cette remarque un souci de commisération… Bien malin qui aurait pu le discerner. Pourtant, Mona se souciait de la moue un rien tirée de sa meilleure amie, n’ignorant rien des divers poids qui alourdissaient invisiblement les épaules de Mary Flint, épouse Travers. « Et Meredith ! Tu tiens de ta mère, tu es si jolie » s’exclama-t-elle en reculant légèrement. « Je suis ravie que tu aies décidé de te joindre à nous » reprit-elle, tendant le bras pour qu’Aurelius rejoigne le trio féminin. « Tu te souviens de mon fils, Aurelius, bien sûr. Avez-vous déjà eu l’occasion de vous croiser au Château ? »

« Allons, dépêchons » pressa-t-elle la petite troupe, une fois les salutations achevées. « Nous ne voudrions pas arriver en retard pour le défilé ! »



résumé

En 1951, Mona Avery est avant tout une mère de famille très active dans la bonne société sorcière. Amatrice d’art sous toutes ses formes, elle ne peut laisser un événement tel qu’un défilé de la Maison Malfoy lui échapper. Elle porte pour l’occasion une robe satinée aux reflets ivoire sans aucun bijou, à l’exception de son alliance. Elle rejoint sa meilleure amie et la fille de cette dernière afin d’arriver à temps pour le défilé, accompagnée de son fils aîné.

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alter ego : Solveig Amundsen, riche héritière sans emploi, femme de la bonne société que nul n'oserait questionner
storytime : DOLLYTHOMASHAZEL & MARYAENEASFASHION FLASHBACK
sang : la pureté des générations accumulées, arbre généalogique retracé à coup de célébrités
myocarde : épouse Abbott, coeur (é)pris de cette union... bien qu'un souvenir sorti du passé menace de la faire chavirer
allegeance : déchirée entre sa dynastie d'origine et celle qui l'a accueillie, double loyauté qui finira par lui en coûter
particularité physique : tatouage discret en forme de fiole, symbole de son engagement au sein de la pègre magique des psychotropes
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(#) Re: la mode se démode, le style jamais. (tc) ●
09.04.24 16:55

People will stare. Make it worth their while.
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Tu n’aurais jamais dû formuler cette proposition. Pour ta défense, tu ne pensais pas le moins du monde qu’il accepterait : Ronald Abbott était bien le dernier homme que tu aurais soupçonné d’apprécier la mode - ce qui était visiblement réciproque, la mode ne l’appréciant guère en retour. Ses vieux vestons allaient de pair avec son air perpétuellement épuisé, et tu avais souvent du mal à comprendre comment il pouvait être le frère du plus bel homme de cet univers.

Le mâle en question - ton mari, Thomas Abbott - ne se laisserait jamais surprendre autrement qu’en costume sur-mesure, parfaitement coupé et repassé. Il faut au moins cela pour être jugé digne de t’accompagner à un événement aussi important et aussi distingué qu’un défilé de la Maison Malfoy. Car, non contente d’être l’ancienne comptable de cette entreprise florissante, tu es également la petite-fille de sa directrice artistique. Pour toi, le défilé estival est à la fois une occasion de socialiser avec tes anciens collègues, et une réunion de famille - et quelle famille ! Une dynastie, rien de moins : Milena et Menelas Malfoy veillent sur leur progéniture avec la même rapacité qu’un couple d’aigles auxquels rien n’échappe.

Et tu dois tenir d’eux, car il est tout aussi difficile d’échapper à ton attention exacerbée en ce jour. Nul besoin de t’occuper de la tenue de ton splendide époux, mais celle de sa filleule t’a donné du fil à retordre : par les moustaches de Morgane, qu’a-t-elle donc fait à ses pauvres cheveux ? Elle a protesté davantage qu’un cheval rétif, lorsque tu as apposé du mascara sur ses cils de biche - opération pourtant hautement nécessaire, si elle souhaitait que l’on prête attention à autre chose que sa tignasse décolorée - mais tu as su, comme toujours, avoir gain de cause. Et Dolores est à présent plus que présentable, bien que tu puisses sentir toute la puissance du ressentiment adolescent qu’elle dirige vers toi. Tu aimerais que cela ne t’atteigne pas, telle la proverbiale bave du crapaud, mais tu n’as jamais été une blanche colombe. Et cela t’ennuie profondément, qu’après tous ces efforts, ni Thomas ni elle ne semblent te prêter attention. Ne réalisent-ils pas la chance qu’ils ont d’être ici, entourés des plus belles créations de Ménélas Malfoy ?

Enfin, ta nièce finit par t’adresser la parole… Pour te demander la permission de filer à l’anglaise. Croit-elle que tu es idiote, incapable de voir clair dans son petit jeu de princesse-à-son-papa ? À d’autres. Tu as su, toi aussi, jouer de tes sourires charmeurs pour obtenir exactement ce que tu voulais. Mais en vérité, tu n’es pas fâchée d’acquiescer. « Bien sûr, va donc t’amuser avec ton amie »  réponds-tu à l’enfant pourrie gâtée, avant de te tourner vers l’homme de ta vie. À peine Dolores s’est-elle éloignée que tu murmures, ton masque de douceur maritale cachant de plus en plus mal le venin que tu craches : « J’espère que tu as apprécié le défilé, mon amour. »  

Le petit surnom tourne à l’aigre dans ta bouche. Parce que tu sais qu’il l’a apprécié - le défilé des courbes et des poses lascives, la parade des demoiselles aussi fraîches que la rosée qui a déjà déserté ce jardin vers lequel vous vous dirigez à présent - tu connais assez ton époux pour savoir cela. Tu étais pourtant assise juste à côté de lui, vêtue d’une robe tout aussi éclatante que les voiles diaphanes présentés dans la collection de cette année. Mais ton décolleté pigeonnant n’a pas suffi à retenir l’attention volage du mari, visiblement affamé de nouveautés. Alors, dans ta meilleure imitation de Dolores Abbott elle-même, tu te contentes d’une ou deux phrases assassines, et d’un air boudeur qui ne surprendrait pas chez une adolescente.

Il y a quelques années, tu paradais toi-même sur l’estrade, égérie de ta famille et de ces aïeuls dont tu admires tant le travail. Le statut de femme mariée ne convient toutefois pas à de telles exhibitions publiques, mais rien ne t’empêche d’avoir soudain cette idée… « Puisque tu aimes tant cela, je pourrais… défiler pour toi. Ce soir ? »  

Et tu détestes la nuance d’espoir qui se glisse dans ta voir, la manière dont cela ressemble à une supplique plutôt qu’à une suggestion lascive. Tu te sens ridicule, et tu t’en veux soudain d’être venue, d’avoir accepté en sus la compagnie d’une adolescente en mal de gratitude, alors que tu sais l’attention de Thomas si fragile. Pour la retenir encore un peu, tu passes une main distraite dans tes cheveux courts - une coupe estivale dont tu n’es pas tout à fait sûre, mais la coiffeuse a dit que cela t’allait à ravir, alors tu l’as laissée faire - et tu passes l’autre bras au travers de celui de ton époux.

« Mais avant cela, nous devrions aller saluer Grand-Maman » exiges-tu, d’un ton qui ne souffrira pas la contradiction.



résumé

En 1951, Solène vient d’être promue co-gérante de Bulstrode’s Bubbling Brews. Elle a quitté la gestion de la Maison Malfoy trois ans plus tôt, mais ne peut manquer de saluer sa famille lors d’un tel événement. Espérant entretenir de meilleures relations avec son beau-frère, elle a gracieusement accepté d’introduire @Dolores Abbott à cette société brillante. Elle arrive donc accompagnée d’une Dolly particulièrement rétive, ainsi que de son époux @Thomas Abbott. Pour faire honneur à sa grand-mère, elle porte une robe rouge au décolleté plongeant, assortie d’un brushing plus court qu’à son habitude.

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pseudo : roi de pique, marine.
faciès & dot : florence pugh, caelestis & infatuation, caravage.
doublon(s) : arthur l’endive, edith la pimbêche.
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pronoms : elle, femme cisgenre.
décade : vingt-cinq années, essence d’une jeunesse en pleine ivresse.
labeur : autrefois fille à papa, petite poupée au talent inné pour concocter des potions, potionniste indépendante qui ne peut plus exercer, obligée de se cacher, désormais pianiste de bar dans un restaurant chic moldu.
alter ego : annie montroses, petite française égarée en quête d’une vie bohème.
storytime : en cours ;
totally witches zorahdolly iitc défilé de mode/juillet 51maligan iiirp libremalcom

à venir ;
— augusta, toi ?

terminés ;
tashadollytasha ii

sang : sorcière dans les gênes, pureté dans le vermeil, héritage désavoué et renié.
don : esprit scellé, verrou déposé et cœur sous cadenas, intrusion rendue difficile par la pratique de l’occlumancie. (occlumancie stade II)
myocarde : sentiment puissant, étincelle qui se transforme en incendie causé par cette fille à la crinière rousse, couple fragile qui se consolide un peu plus chaque jour.
allegeance : fugitive aux idées hors du temps, hors de son époque, rêve d’égalité, de paix, en désaccord avec les siens, mais à ce jour, sans faction déterminée.
particularité physique : poupée d’apparat, articulations cassées dans la pénombre, première balafre sur l’épaule gauche, maléfice reçu, peau craquelée, seconde balafre à la chute des reins, accident sur un balai, elle déteste voler depuis ce jour et peau marquée par l’encre noir, sous le sein droit se dessine une branche de belladone, aussi belle que mortelle, poison délicieux.
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16.04.24 19:21

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Dans son coin, Juliet rumine. Les bras croisés, un verre à la main qu’elle sirote, elle se dit qu’au moins, son grand-père et sa grande tante n’ont pas choisi du champagne de mauvaise qualité. Cela ne l’étonne elle. Après tout, ils ont du goût et la maison Malfoy représente le chic et l’élégance au sein de la société sorcière. À défaut d’avoir une mère capable, ne serait-ce que d’une toute petite once de sympathie à son égard, la princesse peut apprécier de déguster des bulles. Elle réfléchit à ce sujet d’ailleurs, la blonde. Devrait-elle profiter de l’after du défilé pour boire et abuser ? Cela pourrait être amusant, car quand Juliet boit trop, elle rit à foison, d’un rire éclatant, un rire qui déraille à cause de sa voix si particulière. On lui a raconté à ce sujet que toute petite, son frère Abraxas avait usé de la magie sans le savoir quand elle avait eu l’audace de lui voler un jouet et que le maléfice avait frappé sa gorge, expliquant son timbre si particulier. Sa mère, cette chère Madrigal n’avait pas jugé bon d’en parler à son époux le soir-même et ce n’est que quelques jours après, quand la voix de Jules a véritablement commencé à dérailler que les parents s’en sont inquités, finissant à St Mangouste. Le maléfice a alors été levé, mais le médicomage en charge de la petite fille a affirmé qu’il était trop tard pour guérir l’ensemble de la gorge, laissant à Jules une voix rauque et un rire reconnaissable entre mille. En grandissant, c’est devenu sa signature.
Ainsi, Jules se demande si boire est une bonne idée. Sa mère aurait honte, bien entendu, mais c’est toute la réputation de la maison Malfoy qui serait atteinte, celle de son frère, un doux sourire se dessine sur ses lèvres, mais aussi celle de Ménélas et de Milena. Elle imagine déjà son grand-père en rire et dire que c’est sans importance, que jeunesse doit se faire ! Mais Milena… La voici qui en frissonne déjà rien qu’à l’idée. Non, Jules ne boira finalement pas et sitôt qu’elle termine sa flûte, préfère jeter son dévolu sur les petits-fours. Son regard se pose alors sur son frère ainé. Ce crétin se pavane auprès de tout le gratin qui entre tour à tour dans la salle de réception. Son épouse à son bras, Jules lève les yeux au ciel. Elle n’a vraiment aucune envie de ressembler à l’une de ces potiches qui doit jouer un rôle. — Tu n’es pas très discrète lance une voix derrière lui. Ménélas, ravissant dans une tenue toute blanche approche de sa petite-fille, piquant un petit-four au passage. — Je ne cherche pas spécialement à l’être admet Jules. Le sorcier laisse échapper un rire léger. — Laisse moi te donner un conseil, ma chère Juliet. Ne déteste pas ton frère. Un jour, tu peux très bien avoir besoin de lui. L’intéressée arque un sourcil en fixant son grand-père. Avoir besoin d’Abraxas ? En quoi ? Elle se demande bien. Oui, un jour, cet écervelé sera le chef de la famille, mais Juliet a bien l’intention d’être indépendante d’ici là. Elle se contente de hausser les épaules et de répondreJe ne le déteste pas, c’est juste que je ne l’aime pas. C’est très différent. Au tour du vieil homme d’hausser un sourcil, amusé par la situation avant de prendre un autre petit-four et de s’éloigner sans un mot vers des convives.

Nouveau soupir, Jules se met à balayer la pièce du regard, à imaginer une sortie. Certes, elle aime cet univers, c’est son monde, celui dans lequel elle gravite depuis toute petite, mais s’échapper depuis une envie vraiment pressante, de plus en plus nécessaire à sa propre survie. Elle se retourne quand elle entend une voix à ses côtés. Cette fois-ci, ce n’est Ménélas, mais une personne bien plus jeune. Celle qu’elle considère comme sa cousine, comme un membre de sa famille. — Natalya ! Un sourire se dessine sur les lèvres de la princesse Malfoy. Voici quelqu’un de son monde, une artiste. Naty, elle danse, elle valse sur les sons, tandis que Juliet, doigts d’argent, les accordent à la perfection. Deux têtes blondes, deux poupées. — Je vais bien, j’irai mieux si ma mère ressemblait davantage à la tienne confit-elle en se décidant finalement à prendre une autre flûte. Le cristal chante quand il rencontre la flûte de la jeune Yaxley. — Oui, c’était vraiment bien. La collection est superbe. Ménélas a été très inspiré. Un sourire échangé avant de boire une gorgée, des bulles qui pétillent sous la langue. — Oh, rien de croustillant à te mettre sous la dent, tu sais. La routine, le quotidien monotone. Je fais des potions, je me pavane et je profite de mon nom pour ouvrir quelques portes. Note que ma mère ne me parle pas encore d’un mariage. J’espère qu’elle ne compte pas sur cette réception pour envisager le pire.
Oui, car pour Juliet Malfoy, cela lui paraît être impensable. Elle, hirondelle libre, ne se voit pas prisonnière d’une cage. Elle se demande alors, la princesse, ce que pense Natalya de cette vie. Celle d’attendre un mariage, d’enfanter et d’élever des enfants ? Est-ce que comparer à Juliet, Natalya a hâte d’avoir un fiancé qui deviendrait après, l’homme avec qui elle partagera sa couche ? Une affreuse perspective pour la fille Malfoy, en somme. — Et toi, que deviens-tu ? J’espère venir te voir prochainement danser dit-elle en amatrice de ballets et surtout, de grandes musiques.

Son regard se pose alors sur Solène qui arrive en compagnie de son époux et d’une autre personne, un membre du personnel ? Elle semble bien jeune. Cette-dernière est sans importance. C’est la belle sorcière qui attire le regard avec sa robe rouge. Juliet murmure alors à la fille Yaxley — Regarde cette robe ! Solène est sublime. C’est la petite-fille de ma grand-tante Milena, tu le sais ? Allons la saluer ! Elle a travaillé par le passé pour notre maison dit la blonde en prenant la princesse de glace par le bras pour l’entraîner, non sans avoir terminé sa flûte au passage.

— Solène ! Ta robe est superbe ! Et cette couleur te va si bien lance Juliet avant de poser son regard sur Thomas. La princesse doit le reconnaître, il est quand même très bel homme. Elle a fait un excellent choix, Solène et ça donnerait presque envie à Juliet de se trouver un mâle du même gabarit, sauf que non. À choisir, elle pense préférer les roux, ils ont un petit quelque chose en plus, irrémédiablement. — Vous êtes ravissants ! Milena était avec Ménélas tout à l’heure, mais ensuite… Et Jules s’arrête en remarquant la gamine, une adolescente, qui les accompagne. Elle pensait à tord que c’était peut-être une domestique avant d’approcher, mais elle pense l’avoir déjà vu, elle pense reconnaître sa tête pour l’avoir déjà vue quelque part. Hogwarts, peut-être ? Elle se retient, mais le pense, de dire que cette coupe de cheveux ne la met absolument pas en valeur. La pauvre, elle ne semble pas avoir grand chose pour elle.

— Et toi, tu es… ?  

défi hebdomadaire — écrire 01/02  rps de minimum 1 000 mots chacun. (1239 mots.)
défi journalier — placer une citation tiré de « DOWNTOWN ABBEY » dans un rp


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    suis-je meilleure,
    suis-je pire qu’une poupée de salon ?
    et je vois la vie en rose bonbon.
    je suis partout à la fois,
    brisée en mille éclats de voix.
    — press play.



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18.04.24 19:39

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Les myosotis en bourgeon se déployaient au cortège d’onctuosités graciles et de froufrous superflus. Plaisir coupable dans l’inconscient, le regard s’égarait en Judas, en injure pour l’épouse. Rapacité silencieuse. Quel homme n’apprécierait pas une telle cavalcade ? Si la mode ne t’intéressait pas autant que ta femme, bien que tu appréciais le goût du style, c’était d’un autre régal que tes yeux s’engraissaient. Tu aimais les belles choses ; les artefacts, l’élégance des danseuses étoiles, les landes sauvages, et les filles d’Ève. La danse aérienne dans le balancement de leurs bras et leurs jambes te captivaient en spectateur devant un théâtre fascinateur.

La chaleur s’écrasait en morsure inconfortable sur ta carne. Quelle idée de faire un défilé en pareille saison estivale? Quelle idée de devoir supporter pareil accoutrement ? Chemise ivoire engloutie sous la ceinture noire étreignant un pantalon d’ébène Cravate rouge en étau de la gargue,  L’heure était aux ravissements des papilles par quelques bulles et non lambiner sur un siège à regarder les friperies voleter en courant d’air. Que ne fallait-il pas faire pour ravir l’humeur de l’épouse ? Une œillade vers la dite concernée te statufiait sur place. Par Merlin, heureusement qu’elle ne lançait pas des foudres par ses yeux, auquel cas tu serais actuellement à l’état de carbone. Aurais-tu par mégarde été peu délicat en témoin du défilé de ces dames ? Le doute s’épuisait aussitôt dans l’intensité terrassant de ses bourgeons chatoyants. Aussi belle que redoutable, aussi troublante qu’agaçante. Sans doute étais-tu peu sain d’esprit pour t’en griser ? Crasse traînant en rat-crevard dans la caboche, la savoir enragée t’animait de quelques chafouins malices. ‘Ma belle, c’est dans la colère que tu es la plus belle. Souffle retenu. Inutile d’agiter le brasier en surchauffe sous tes pieds.

L’amusement en rictus de voir la nièce bouder creusait toujours plus ta joue à son excuse pour prendre la poudre d’escampette. Elle avait déjà était bien endurante jusqu’ici. Étonnante initiative de l’épouse d’inviter la jeune fille à ce genre de mondanité. Tu imaginais déjà, non sans quelques éclats de rire dans l’abîme, les scandales en salves dans l’esprit de ta femme à l’artifice capillaire plus que douteux de Dolores. Personnellement, tu la trouvais adorable, encore plus derrière ses simagrées boudeuses. Ta dulcinée avait réussi à l’arracher d’un éventuel scandale vestimentaire en l’apprêtant assidûment et, force était de constater qu’elle avait toujours du goût pour ces choses, ‘et pour bien d’autres. Tu grignotais presque de la compassion aux aiguilles imposées sous ses panards. Pourquoi infligeait-on pareille supplice aux femmes ? Bien que ça leur offrait une galbe appétissante, tu ne souhaitais pas te mettre à leur place.

L’oisillon en échappée libre t’offrait donc sur un plateau d’argent aux feux du ciel silencieux de ta femme. L’intonation de sa voix te laissait suggérer quelques remontrances bien salées une fois l’intimité retrouvée. L’idée t’alléchait presque. Fou que tu étais. Fou d’elle. Simple homme aux transgressions éparses, qui se cherchait, qui la cherchait en désir d’exister pour elle, toujours plus pour te ravir de l’attention courroucée qu’elle te portait. « C’était un ‘vrai’ régal » Provocation te mordant la langue. Inconscient. Ou pas. L’œil se gorgeait de douce diablerie, les labres s’élaguant d’un sourire mesuré, presque agitateur. « t’es-tu sentie inspirée par l’une d’entre elles ? J’en ai vu quelques-unes qui se prêteraient parfaitement sur toi. Surtout la dernière, la rouge » Couleur en préférence, en embellissement de l’épouse, ‘- bien que rien ne la sublimait plus que l’intensité de son regard. Un rien l’habillait, ou plutôt, elle nuançait une tenue banale en magnificence. Dame au goût du chic, au goût du beau. Elle savait ce que bien d’autres ici en cette salle ne savaient maîtriser. Une qualité que tu ne pouvais lui retirer. Tu devinais sa maussaderie en fugacité sur le visage, t’écorchant les commissures de délassement. Encore plus affriolante ainsi. Presque autant que son indécente, ‘mais délicieusement alléchante, proposition. Pétillements dans les lagunes, tu t’inclinais légèrement vers elle, le souffle chaud en froissement de son oreille, l’humeur taquine. « Ma chère … tu as l’art de m’enflammer aussi vite que me refroidir... » aux derniers mots concernant la grand-mère. « toujours pleine de surprises... » la langue piquait en asticotage, en provocation. Jeu éternel entre vous, à vous défier constamment.

Fort heureusement, il semblerait qu’une main tendu du ciel t’aie envoyé de jolis oiseaux pour t’éviter la charmante belle-mère. Ravissement en relief à la trogne du petit rat d’opéra dans sa robe argentée, accompagnée de la jeune Malfoy. Aucun doute possible, la fille répondait à la délicieuse génétique de la noble famille. « Natalya. Quel plaisir de te revoir. Tu es toujours plus ravissante, comme ton amie. » En spontanéité sur la langue, un sourire en familiarité à la commissure, faisant fi du dernier ‘incident’ en fugacité dans l’esprit. Petite étoile en naissance dans les astres, l’aînée Yaxley se distinguait merveilleusement parmi les autres ballerines. Quelque chose chez elle t’avait accroché en voyageur parmi les constellations. Elle avait indéniablement hérité de la beauté de sa mère. Tu appréciais t’enliser en spectateur des ballets, l’âme s’émiettant aux moult frissons du théâtre raffiné. La détermination chez la jeune fille avait agité le brasier en toi, réveillé le simulacre d’un intérêt. Tu aimais les gens résolus’, t’en repaissait intimement, toi en voracité d’une confiance boiteuse. « Ma chérie, je te présente Natalya Yaxley. Tu te souviens de la jeune danseuse dont je suis devenue récemment mécène ? » Un regard tendre vers l’étoile à en devenir. « Natalya, je te présente mon épouse, Solène » Courtoisies échangées, les deux femmes seraient probablement amenées à se croiser si vos projets communs avec Natalya se poursuivaient.


Tenue :

Spoiler:

Résumé :
Spoiler:

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(#) Re: la mode se démode, le style jamais. (tc) ●
22.04.24 1:28
TOPIC COMMUN

L'élégance suprême, c'est celle qui se voit et celle qui vous va.
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Marcella entre en trombe dans la chambre de son frère. Ce dernier est en train de contempler son reflet avec un air de satisfaction. La demoiselle de dix ans se précipite vers le garçon aux prémices de l'adolescence. Pourtant, tandis que ses bras s'ouvraient déjà pour accueillir le corps tendu de son frère, il a suffit d'un seul regard de sa part pour qu'elle s'arrête brusquement à quelques pas de lui. Gênée, elle lui annonce simplement.
-Tu vas me quitter.

Il n'y a pas d'amertume dans sa voix, juste une blessure inavouée, guère cachée par son ton boudeur. Il l'a quitte aujourd'hui avec maman. C'est tellement injuste. Elle aussi, elle veut s'en aller, s'éloigner de la maison. Puis il s'agit de mode ! Elle adore cela. Et son frère pas.

Le jeune est étonné par la phrase de sa jeune sœur. Il répond avec un air qu'il ne réserve qu'à sa sœur, une voix réconfortante.
-Oui. Mais ce n'est pas cela qui est le plus important.

Intriguée, elle penche la tête. Puis avec défiance, elle lui demande.
-Qu'est-ce qui l'est dans cas ? 
Impertinente, elle le met au défi de répondre par un fait qui saura la satisfaire, les bras croisés, le regard brûlant de savoir qu'elle est délaissée pour un défilé de mode.

-Quoiqu'il arrivera, je reviendrai à toi.
Lui dis-je en approchant ma main du sommet de sa tête, sans pouvoir arriver à effleurer, du doigt, ses cheveux. Doutant d'en avoir le droit. Elle a refusé de l'enlacer juste avant après tout. Il ne peut l'obliger à l'accepter si elle ne peut le souffrir.

-Tu promets ?
Demande-t-elle, posant ses mains autour du poignet tendu de son frère.

D'un sourire, il lui avoue.
-Oui. Même après un millénaire.

Le regardant avec un sourire immense sur ses lèvres, elle lui pose un question, émerveillée.

-Même après tout ce temps ?!

D'un sourire, il lui révèle, dans une vérité qui ne laisse nulle place au doute ou au perfide mensonge.
-Toujours.

Éloignant sa main, toujours aux prises de sa sœur, il rajoute.
-Tu es ma petite sœur.

Un sourire éclaire le visage de la jeune fille, le genre de sourire pour lequel Aurelius est prêt à tuer, à mourir, à périr dans l'agonie. Sa sœur, de sang, de cœur, d'amour, d'âme, d'esprit. Lui qui voyait en noir et blanc a retrouvé le goût des couleurs en voyant sa Marcella pour la première fois.

-Dans ce cas, tu peux !
Pouvoir quoi ? Finalement, il se rend compte qu'elle répondait avec amusement à la question qui se lisait sur son visage depuis qu'il avait tenté de toucher son crâne. Elle le pousse à s'approcher suffisamment pour qu'il puisse le faire. Souriant, il lui est reconnaissant. Il s'éloigne ensuite d'elle, ne voulant pas abuser de ce moment privilégié.

-Maman demande si tu es prêt.

Le jaugeant de haut en bas, elle lui dit avec contentement.
-Hum, oui. Tu es acceptable.

Acceptable ? Il hausse un sourcil.
-Bon, d'accord, tu es un peu plus qu'acceptable... D'accord, d'accord, tu es parfait.

-Je préfère cela.
Lui dit-il, suffisant, mais la commissure de ses lèvres trahisse son véritable état d'esprit.

-Pourvu que ça dure. La belle figure. D'ailleurs, il y a juste...
Sur la pointe des pieds, elle vient à retirer -ou ajouter ?- une mèche rebelle.

-C'est mieux !

-Merci.

Après une révérence exagérée, elle s'en va. Secouant la tête, désabusé, il rejoint rapidement mère. Il ne veut pas faire attendre les personnes avec qui ils vont se rendre au défilé. La seule, l'unique, LA Ministre Travers. Et sa fille. Aurelius n'a que peu de contact avec cette dernière. Il la croise de temps à autre au détour d'un couloir, il sait dire l'origine de son sang et sa maison à Poudlard mais c'est bien les maigres connaissances qu'il possède.

-Merci mère. Je vous retourne le compliment.
Il se tend lorsqu'elle vient à retirer la mèche dont Marcella -il en est à peu près sûr en - est la source. Il n'aura qu'à la reformer à son retour. Bien qu'elle sera sans doute endormie, il ne veut prendre aucun risque. C'est quand même amusant de constater à quel point les deux femmes de sa vie se ressemblent. Les mêmes mimiques, les mêmes gestes... Marcella est le portrait plus jeune de mère ! 

Il ne pense pas que sa mère lui dise la vérité au travers de ce compliment mais il l'accepte. Il fait le grand, plus que ce qu'il ne l'est réellement. Il est habillé comme un homme, un petit homme qui débute le petit tome de la cour des grands. Mais la vérité c'est que... On ne change pas. Tout près de l'apparence. Tremble un petit qui nous ressemble. On sait bien qu'il est là. On l'entend parfois. Sa rengaine insolente. Qui s'entête et qui répète. "Oh, ne me quitte pas". Mais mère, peut-elle l'entendre, le voir ? Ce gamin qui ne se voit plus lui-même, qui ignore encore l'être. Trop perdu dans le paraître. Attendant l'heure où l'âme juvénile ne pourra que disparaître. Ignorant que l'enfant qu'on inhume en soi ne meure jamais vraiment. Il reste là. Il ne change pas. Tapis dans l'ombre du passé et dans le futur des générations suivantes mais plus que tout, au plus profond conscience -ou peut-être même de l'inconscience. La jeunesse est frivole, insouciante, elle donne les pires idées pour le plus beaux souvenirs. Mais Aurelius est au dessus de cette voix aux propositions incongrues. Plus mature, tellement plus et terriblement moins.

Il laisse mère saluer son amie, LA ministre Travers, puis la fille de celle-ci. Il reste en retrait, ne voulant pas interrompre les retrouvailles, puis se sentant un peu de trop également. Il se permet d'avancer vers les femmes et la demoiselle. Il commence par saluer Meredith Travers, puisqu'elle a été introduite à lui en première. Mais que dire ? "Comment t'es mag-nifique. Salut beauté, moi c'est original Gangsta" ? Un ami lui a conseillé cela mais il l'impression qu'il se moquait de lui. Simple impression. Autant se contenter de ce qu'il sait faire. Sortir des sentiers battus, ce n'est pas dans ses compétences, sauf quand cela ne concerne pas les sentiments, les filles et que c'est intéressant. 

-Non, nous nous voyons qu'en de rares occasions. C'est donc un plaisir d'avoir l'opportunité de vous côtoyer en d'autres circonstances, mademoiselle Travers. Si je puis me permettre, vous êtes ravissante dans cette tenue. 

Puis il continue sa lancée avec LA ministre.
-Madame Travers. Je ne peux que confirmer les dires de mère.  

Mère les encourage à cesser toute pensée de nouvelles conversations après les salutations, parce qu'ils arriveront en retard au quel cas. Aurelius se demande tout de même pourquoi y aller ensemble si ce ne sont que des salutations qui auraient pu être faites après le défilé ? Étaient-elles à ce point impatientes ? Enfin, cela ne sera pas lui qui posera la question. En effet, il remarque qu'il n'y a pas que les voies du seigneur qui sont impénétrables ! Ceux de la pensée féminine est une forteresse bien gardée. Il ne risque pas de livrer une bataille perdue d'avance, peine perdue.

-Il est vrai. Après vous, mère, madame et mademoiselle Travers.
Dit-il galamment, les laissant passer devant.

À peine une dizaine de secondes plus tard, ils étaient arrivés à leur destination.

Résumé :

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allegeance : elle est entrée il y a peu chez les passeurs, branche aubépine
particularité physique : une cicatrice sur la tempe droite, due à une malheureuse rencontre avec un cognard lors de son tout premier match de quidditch
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22.04.24 19:43

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Elle se retenait de trépigner la gamine. C’était long, tellement long ! Le défilé lui avait semblé interminable, même si, elle devait bien l’admettre, certaines tenues étaient très jolies, mais ça n’avait pas suffi pour effacer sa mine boudeuse. Heureusement que Thomas était là pour la dérider un peu. Lui au moins il avait toujours quelque chose d’intéressant ou d’amusant à dire, même si forcément ils n’avaient pas franchement pu discuter pendant l’événement (qu’il avait eu l’air de beaucoup apprécier d’ailleurs, qui aurait cru qu’il aimait tant la mode!). Mais maintenant, elle regrettait un peu le défilé parce qu’au moins là elle était assise et pas perchée sur ces instruments de torture que sa tante osait appeler des chaussures. Elle était persuadée qu’elle avait au moins déjà plusieurs ampoules aux pieds, et il lui tardait de rentrer chez elle pour enlever ces horreurs et les jeter.

Rester encore au milieu des adultes, voilà qui n’était guère tentant et elle n’avait qu’une hâte, retrouver sa meilleure amie et l’entrainer dans quelques frasques incluant du champagne dérobé et des fous rires. Fort heureusement, Solène lui donna la permission, ce qui valut à cette dernière le premier vrai sourire de la journée de la part de l’adolescente. « Merci ! On reste pas loin promis ! » Une promesse qu’elle ne tiendrait peut-être pas. Sans doute pas même, mais ce n’était pas si important. Dolly était prête à se précipiter vers Meredith (mais pas trop rapidement, elle ne voulait pas que sa mère se doute des bêtises qu’elles pouvaient commettre et refuse) quand malheureusement elle se rendit compte qu’elle avait été devancée. Ce Troll d’Aurelius était là, avec sa mère sans doute. Par Merlin, c’était vraiment pas de chance ! Elle essaya comme elle pouvait d’attirer l’attention de la jeune fille, sans grand succès. Dépitée, la petite brune dut bien se résoudre à s’en retourner auprès de Solène et Thomas, non sans trainer des pieds.

Elle commençait doucement à se sentir encombrée dans sa robe rose de princesse. La tenue avait beau être jolie, tous ces jupons ce n’était vraiment pas pratique. Elle ne cessait de jeter des coups d’oeil en direction de Meredith, essayant de communiquer silencieusement avec son amie pour savoir quand celle-ci pourrait s’éclipser. Mais visiblement c’était compromis pour l’instant. Elle poussa un soupir avant d’aviser deux autres demoiselles qui approchaient pour saluer son oncle et sa tante. La première, elle n’eut aucun mal à la reconnaitre. Juliet Malfoy était en dernière année quand Dolly était en première. Tout le monde savait qui elle était: la princesse des vipères, une vraie bêcheuse qui prenait tout le monde de haut, à ce qu’on racontait. Visiblement elle connaissait Solène et il fallut quelques instant à la petite brune avant de souvenir qu’elles étaient liées par le sang.

Elle avisa la deuxième jeune fille blonde, dont le nom lui échappait mais que Thomas semblait connaitre et apprécier. Elle ne tarda pas à avoir vent de son identité, mais ne s’en soucia que peu parce que c’était maintenant à elle que Juliet s’adressait. Et la princesse des vipères semblait en bonne forme, la prenant immédiatement de haut. Ou alors, c’était l’image qu’elle donnait, perception influencée par ce que la jeune Abbott avait entendu d’elle. Oh qu’elle détestait ce genre de fille qui se croyait tout permis (peut-être en grande partie pour prouver et se prouver qu’elle n’était pas comme elles, malgré des origines sociales partagées). Difficile à déterminer, mais à cet instant précis, l’adolescente fut persuadée d’être snobée et prit la mouche. Peu impressionnée par la réputation de la jeune femme et bien décidée à ne pas se laisser faire, la petite insolente esquissa un sourire amusée avant de lui répondre. « Dolores Abbott. Et toi, tu es… ? » compléta-t-elle en reprenant les exactes paroles de la blonde et le ton employé, de manière un peu plus appuyée.


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23.04.24 12:19
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a mode se démode
le style jamais
Entendre la voix de sa mère lui demandant de se dépêcher fit naître une énième grimace boudeuse sur le visage de l’adolescente. Elle n’avait pas envie d’y aller à ce défilé de mode. Elle n’aimait d’ailleurs pas la mode, même si elle était toujours bien habillée parce que sa garde de robe était parfaite et donc qu’elle n’avait pas d’autre choix, cela ne faisait pas partie de ses centres d’intérêt. Et devant sa penderie débordant de vêtement, elle ignorait quoi choisir. Sa mère la pressant, elle finit par attraper une robe d’un bleu sombre, espérant que cela fasse l’affaire. Elle laissa ses cheveux cascader dans son dos et ajouta quelques bijoux à sa tenue avant de descendre précipitamment. Evidemment, sa mère lui fit une remarque et corrigea sa tenue d’un coup de baguette. Meredith se retint de lever les yeux au ciel et de soupirer.

Les deux Travers étaient prêtes et Mary lui tendit son bras. Cette fois, la jeune fille ne put se retenir une grimace, elle n’aimait pas le transplanage. Celui lui retournait l’estomac à chaque fois. Les mots de sa mère lui rappelaient la bonne conduite, les lèvres de Meredith bougeait silencieusement récitant les mêmes mots que sa mère lui assenait. Appris par cœur depuis longtemps, elle savait de tout manière quoi qu’elle fasse, cela ne serait jamais assez bien. « Sois jolie et tais-toi, j’ai compris mère. » râla-t-elle pour la forme avec sa nonchalance d’adolescence. Puis elle se sentit aspiré par le nombril avant que le paysage ne change pour faire apparaître le manoir des Avery. Meredith serra les dents face à la nausée qui s’empara d’elle. Au-delà du fait que cela ne plairait pas à sa mère qu’elle salisse l’entrée des Avery, la jeune fille n’avait pas spécialement envie de rendre le contenue de son estomac sur un simple transplanage. Une nouvelle remarque claqua. Sourire. Elle leva la tête vers sa mère en lui servant un sourire forcé dans tandis qu’elle se pinçait légèrement les joues pour reprendre quelques couleurs avant que la porte ne s’ouvre.

Mona Avery ouvrit et étreignit sa mère. Les compliments fusèrent et Meredith se fit violence, souriant sagement comme sa mère lui avait demander. « Je vous remercie Mme Avery. » répondit-elle poliment. Dire qu’elle avait décidé d’elle-même de se joindre à sa mère était un peu exagérer. « Il faut que je comble mes lacunes en matière de mode Mme Avery, ce n’est pas à Poudlard affublé d’uniforme que nous pouvons le faire. » Cela lui arracher la bouche de dire cela avec politesse et retenue. Bien qu’elle se doutait qu’elle aurait dû remercier pour l’invitation, affirmant qu’elle ne pouvait pas refuser, blablabla. Meredith faisait de son mieux avec son âge et sa crise d’adolescence naissante. Elle ne pouvait pas être parfaite, elle ne le serait jamais mais elle faisait de son mieux. Meredith attendait juste le moment où elle pourrait s’éclipser pour s’échapper. Mais ce n’était pas pour tout de suite. Mona présenta son fils. Son visage n’était pas inconnu, ils n’étaient pas dans la même année, un an plus jeune, chez les Serpentard.

Il prit la parole, la nausée de Meredith revint aussitôt. Elle ne put s’empêcher de le toiser, d’un air presque supérieur typiquement maîtriser uniquement par les aigles de Poudlard. Les compliments qui fusèrent de sa bouche était mielleux, chose que la jeune fille n’aimait pas. « De même… » répondit-elle du bout des lèvres alors qu’elle aurait volontiers répondu autre chose qui n’aurait clairement pas plu à sa mère et sa meilleure amie. Faire bonne figure, voilà tout ce qui importait. Faire bonne figure pou ne pas avoir de savon en rentrant.

Ils se dépêchèrent de se rendre au défilé. De nombreuses personnes étaient présentes, elle repéra très vite Dolores. Sa porte de sortie, son échappatoire pour rendre cette soirée plus douce. Elle devait trouver une stratégie pour rejoindre sa meilleure amie. Mais Dolly semblait aux prises avec une jeune femme blonde, surement une Malfoy.  « Mère… j’ai aperçue Dolores. Puis-je aller la voir s’il vous plait. » demanda—t-elle les yeux plein d’espoir. « Promis, pas de bêtise ou autres. » promit-elle plus bas afin que seule sa mère puisse l’entendre. Et elle se gifla elle-même pour ce qu’elle ajouta pour tenter d’avoir une réponse positive. Elle remonta un peu le volume de sa voix pour que Mona et son fils l’entendent également ? « Et Aurelius pourrait venir, comme ça nous serons entre jeune pour vous laisser entrer adultes. » Et elle irait sauver son amie qui avait autant besoin d’elle qu’elle n’avait besoin de s’échapper des griffes de sa mère. Elle avait se léger sourire suppliant sur le visage. Elle avait dit tout ce qu’il fallait pour que sa mère accepte, mais elle savait que Mary Travers était dure en affaire, qu’elle allait probablement rajouter des conditions si elle acceptait. OU alors, elle voulait être sur de contrôler sa fille jusqu’à la fin de la soirée et refuser la requête de sa fille.
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(#) Re: la mode se démode, le style jamais. (tc) ●
25.04.24 15:42

People will stare. Make it worth their while.
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a mode se démode, le style jamais
topic commun | THÈME
L’adolescente s’éloigne un instant, le temps pour toi de piquer au vif l’homme qui t’accompagne. À ce petit jeu-là, toutefois, il est infiniment plus fort que toi, se gaussant de ces insécurités que tu lui caches tout autant qu’il s’amuse de cette jalousie que tu lui montres. « La gourmandise est un bien vilain défaut » susurres-tu, avant de t’approcher pour lui suggérer de devenir son en-cas du soir. Lorsque c’est toi qui le proposes, la gourmandise quitte ses atours de péché mortel pour devenir péché mignon, et qui ne pardonnerait pas à Thomas Abbott de t’imaginer dans l’une des tenues qui ont gracié ce superbe défilé ? Tu lui pardonnes tout, à cet homme que tu es parvenue à transformer en époux. Tu pardonnes toujours, mais tu n’oublies jamais, comment le pourrais-tu ? Tu notes chaque regard qui s’égare sur les courbes d’une autre, chaque compliment adressé à une femme qui n’est pas toi - qu’ont-elles donc de plus, de quels secrets te gardent-elles éloignée ?

Aussitôt échauffé, aussitôt refroidi, toutefois. La mention de Milena Malfoy fait pâlir les ardeurs de ton chevalier servant. Tu as du mal à savourer cette victoire, tant elle est teintée d’un arrière-goût de défaite. Tu le voudrais à toi, tout de suite, mais il te faut patienter - et c’est ta propre idée. Jouer avec le feu ne se fait pas sans risque, et si Thomas semble s’en amuser pour cette fois, tu as bien trop peur de le perdre pour vouloir recommencer pareille échauffourée séance tenante. Hors de question toutefois de baisser les armes, le combat est bel et bien engagé, alors tu répliques à son souffle chaud par le tien. « Toujours. C’est que je sais tes exigences, je ne voudrais point que tu t’ennuies  » - et surtout pas de moi. N’est-ce pas ta peur la plus profonde, hantise ancrée par les cruelles années de l’adolescence, que l’on se détourne et que l’on t’ignore, ou pire encore, que l’on se moque ? Les péroraisons des Vélanes de Beauxbâtons ne sont pas oubliées, elles non plus, tu n’oublies jamais rien ou du moins le crois-tu, parce que la mémoire est sélective et que les preuves d’affection dont on t’entoure ne semblent pas y tenir le même rang que tous ces mots prononcés autrefois par des gamines qui ne sont plus là.

Avant que votre échange n’ait pu davantage progresser, Thomas et toi êtes rejoints par ta cousine Juliet - petite-fille de Ménélas et non de Milena, elle clame le patronyme de Malfoy qu’elle porte comme une couronne mal ajustée, susceptible de glisser à tout instant. Tu sais certaines de ses rébellions, pas toutes mais assez pour deviner qu’elle proteste un peu trop souvent au goût de ses parents - l’avantage d’être l’une des aînées est que l’on te laisse accéder à certaines confidences ; l’avantage d’être malgré tout une jeune femme, la trentaine en approche mais pas encore passée, est que tu peux jouer les effrontées lorsque cela te chante. Une dualité supplémentaire, dans laquelle tu te glisses sans effort, répondant au compliment de ta benjamine avec un naturel soigneusement travaillé. « Merci, Juliet. Tu es toute en beauté, toi aussi » - une beauté un peu trop sage, je te sais éprise d’une liberté à laquelle tu n’as pas droit, mais je vois que tu as choisi de faire un effort, et je salue cela - « Grand-Oncle Ménélas doit être fier de ta part dans le défilé de cet après-midi ! »

Pendant cette conversation, tu ne perds pas une miette de ce qui se joue entre ton époux et la seconde gamine - car elle n’est rien de plus qu’une enfant. « Mademoiselle Yaxley - je me souviens, évidemment. » Comment pourrais-tu effacer de ton esprit ce soir où l’époux est rentré tout fier du ballet, t’annonçant en coup de clairon qu’il était devenu mécène, comme d’autres clament qu’ils sont devenus pères ? La dispute qui s’en est suivie a valu à l’un de vos murs une très jolie tache de vin blanc, fort peu assortie à la tapisserie. « Je connais un peu votre père, un amateur de chevaux ailés lui aussi. Vous lui transmettrez mes salutations, sûrement. »

Et si la suggestion sonne comme un ordre, tu n’en as cure. Natalya Yaxley n’est qu’une enfant, tout comme Dolores, tout juste revenue parmi vous - et qui illustre son immaturité en prenant un ton hautain auquel tu ne goûtes guère. Tu sais toutefois que Thomas ne supporte pas que l’on critique sa filleule, aussi te contentes-tu de signaler ton mécontentement d’un claquement de langue discret. Toute cette atmosphère est soudain irrespirable, et tu brûles de t’éloigner un instant, saisissant le prétexte esquissé un moment plus tôt.

« Mais vous nous excuserez, j’aperçois Milena… » Tu te dégages du bras de ton époux, persuadée - peut-être à tort - qu’il te suivra jusqu’à l’ancêtre à laquelle tu souhaites présenter tes respects. Avant de pouvoir saluer ladite matriarche, cependant, tu te diriges vers un serveur - sans doute un sang-mêlé, les organisateurs refusent de laisser des elfes de maison être visibles lors d’une pareille occasion dédiée à la beauté - auquel tu empruntes deux coupelles d’un champagne clair. « Et voilà pour vous… » Les mots Monsieur mon époux meurent sur ta langue,  car soudain tu n’aperçois plus Thomas. Pour ne pas perdre la face, tu forces la seconde coupe entre les mains frêles d’une femme que tu ne connais pas, prétextant que « Il est fort malpoli de ne pas boire, lors de telles festivités, Madame. Tout comme il est fort malpoli de ne pas décliner son identité, aussi permettez-moi de me présenter : Solène Bulstrode. Épouse Abbott, mais aussi et surtout petite-fille de la grande dame. Et vous, vous êtes ? »

C’est tout juste si tu ne lui fourres pas ta carte de visite sous le nez, et ton arbre généalogique avec. Pour être franche, tu espère que la conversation sera brève, parce que tu es pressée de retourner à ton époux avant qu’il ne commette un impair de son côté - comme devenir mécène d’une jeune fille un peu trop jolie à ton goût…

défi hebdomadaire : 1068 mots


résumé

Solène fulmine et s'inquiète, prêtant assez peu d'attention au monde qui l'entoure - juste assez pour remarquer l'arrivée et commenter la tenue de  @Juliet Malfoy tout en faisant bien sentir à  @Natalya Yaxley qu'elle n'est qu'une gosse (pardooooon). Puis elle se dirige vers Milena, mais croise le chemin de  @Primrose Macnair avant d'avoir pu aller plus loin.

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décade : La valseuse naquit le huit août de l'année mille neuf cent trente-deux, elle est âgée de vingt-trois ans.
labeur : Danseuse étoile pour le British Magical Conservatory.
alter ego : Olga Plaksine, jeune moldue originaire de Saint-Pétersbourg. Elle travaille comme hôtesse d'accueil pour le musée d'Histoire naturelle.
sang : Sang-Pur
don : La magie sans baguette ψ Stade basique
myocarde : Célibataire ψ L'aristocrate est oisive, elle batifole de-ci de-là avec des hommes bien plus âgés qu'elle-même. Le mariage n'est pas au goût du jour, entravé par les disputes continuelles de ses parents à ce sujet.
allegeance : Depuis qu'elle a été kidnappée par les chasseurs, au mois de mars dernier, Natalya est obnubilée par ses idées de vengeance. La poupée de chiffon est prête à être cueillie, enrôlée comme une gourde dans n'importe quel groupuscule extrémiste.
particularité physique : Estafilade disgracieuse au niveau de la joue droite.

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(#) Re: la mode se démode, le style jamais. (tc) ●
26.04.24 20:14


sujet commun
La valseuse adore Juliet. C'est une amie de longue date et c'est aussi une nénette qui a du chien. La poupée l'admire beaucoup et se sent privilégiée de pouvoir l'approcher de si près. Malfoy est plus grande mais l'a prise sous son aile depuis l'école, entre jolies blondes pourrie-gâtées. La ballerine se souvient qu'elle a toujours été si attentionnée avec elle. Alors, certains autres la dépeignent comme une peste sans cœur mais Natalya ne connait pas cette personne-là. « Ma mère ? » Qu'elle répète d'un ton sarcastique. La coqueluche observe ses chers parents au loin, ce petit couple absolument parfait et soupire doucement. « Elle n'est pas celle que tu crois. Mais il faut reconnaître qu'elle cache bien son jeu. » Qu'elle chuchote avec discrétion. La favorite est fâchée contre sa maman et ça ne date pas d'hier. Dans la haute, c'est la norme pour les jouvencelles d'être en conflit avec leurs mères. C'est presque toujours comme ça. La matriochka trinque alors avec son amie et boit une gorgée de bulles. Elle n'a pas mangé depuis vingt-deux heures pour se permettre un tel excès. « Oh, le mariage. Mes parents se disputent continuellement à ce sujet. Le nom de Perseus Parkinson ressort de temps à autre. » Qu'elle lui dévoile en levant les yeux au ciel. C'est un excellent parti mais Malfoy connaît son penchant pour les hommes plus âgés. Beaucoup plus âgés. « Si tu passes me voir au Conservatoire, fais-moi signe et je t’emmènerai dans ce bar branché que j'adore. Ils servent des cocktails incroyables et les hommes sont si… Prévenants. » Qu'elle accentue ce dernier mot exprès. La danseuse étoile lui adresse un petit clin d'œil rien que pour elle. Là-bas, il y a des hommes comme elle les aime : vieux et très riches. Elle y a déjà rencontré les collègues de son paternel et la suite était scandaleuse. Si Warlock le découvrait un jour, nul doute qu'il commettrait des atrocités. Heureusement, il ne se doute de rien et sa petite poupée est sage comme une image.

Malfoy attire son attention sur cette femme, celle dont elle redoutait plus que tout la présence ce soir. Aussi, la coquette espérait ne plus jamais la croiser, ou au moins l'éviter pour le restant de son existence. Natalya écarquille grand ses yeux puis elle attrape fébrilement la main de son amie : « Juliet, je t'en prie, non… » Qu'elle l'implore mais elle ne l'entend même pas. Alors, la valseuse se laisse entraîner et devient toute blanche face au couple Abbott. Il y a cet homme qu'elle a tenté de séduire frontalement, qu'elle a embrassé à la fin de sa représentation. @Thomas Abbott est son mécène mais il est aussi le plus bel homme qu'il puisse exister sur cette terre. Elle le voulait mais il a repoussé ses avances, gentiment et avec ce fin sourire sur le bout des lèvres. L'homme d'affaires était simplement flatté et ça a brisé son petit cœur. « Plaisir partagé, Monsieur Abbott. » Qu'elle baragouine en fuyant son regard ainsi que celui de sa femme. La pourrie-gâtée se demande si elle a été mise au courant de tout ça. Elle a envie de disparaître mais c'est impossible à cet instant. Je te déteste, Juliet. Puis Thomas fait les présentations entre elles et ça achève la ballerine, morte de honte. « Je… Bonsoir, Madame Abbott. » Qu'elle prononce tout bas en se forçant à sourire. La poupée est déconfite mais ne peut s'empêcher de penser qu'elle est plus belle que cette femme-là, plus jeune et plus mince. Quel gâchis ! Qu'elle se lamente intérieurement. « Ah… Oui, que… Je… Lui transmettrais, Madame. » Qu'elle bafouille lorsque Solène lui adresse enfin la parole. La matriochka se sent si conne mais heureusement pour elle, l'épouse finit par s'éloigner. Alors, la sorcière peut à nouveau respirer et elle pince les côtes de son amie Juliet, avec ses petits doigts fins pour lui faire mal. Puis elle lui jette un regard noir et désespéré à la fois. Elles en reparleront plus tard parce que l'homme, lui, est encore là et qu'il lui adresse ce beau sourire qui la fait complètement fondre. Natalya se liquéfie et ne remarque même pas la petite brune (@Dolores Abbott), celle avec laquelle son amie se disputaille sur le côté. Elle est là depuis le début de la discussion mais c'est sans importance. Aussi, l'adolescente n'est pas très jolie et on ne sait pas si elle est au service de la soirée ou non. « J’ai faim, j’espère qu’il y a du pudding ! » Qu'elle s'exclame d'une voix un peu trop aiguë et enjouée. La cousue d'or tente de faire diversion et c'est si étrange venant d'elle.

822 mots

{ DÉFI 03 DU 26.04 : Placer une citation tirée de « HARRY POTTER & L’ORDRE DU PHÉNIX » (livre ou film) dans un rp }

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« Dis l'oiseau, ô dis, emmène-moi
Retournons au pays d'autrefois
Comme avant, dans mes rêves d'enfant
Pour cueillir en tremblant
Des étoiles, des étoiles. »
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labeur : Journaliste/bitch profesionnelle
alter ego : Mitchum Jones
sang : Sang-mêlé. Cette obsession de certaines familles pour la pureté du sang est totalement idiote à ses yeux. Moldus, sorciers, cracmols... tous ont leurs petits secrets qui ne demandent qu'à être dévoilés et il s'avère que ceux de ses grandes familles au sang-pur sont beaucoup plus croustillants que les autres. Il n'y a rien de plus jouissif que de voir ces mines hautaines perdre de leur superbe devant une liaison ou un détournement de fond révélé.
myocarde : Marié depuis de longues années à Cynthia Skeeter. Un amour sincère les unis malgré quelques incartades de Julian. Incartades professionnelles comme il les appelle, quand le scoop mérite une nuit passée entre d'autres draps que les siens. Le couple a attendu de longues années avant de pouvoir devenir parents d'une magnifique petite Rita. Petit trésor de son père, princesse chérie à qui il ne peut rien refuser.
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(#) Re: la mode se démode, le style jamais. (tc) ●
30.04.24 20:02

Ladies with an attitude Fellas that were in the mood Don't just stand there, let's get to it Strike a pose, there's nothing to it
L

A MODE SE DÉMODE
, LE STYLE JAMAIS
topic commun ouvert │Theme


Il n’aura aucun mal à entrer pour une fois. Pas besoin de déguisement, d’avaler une potion au goût infect pour se faire passer pour qui il n’est pas, le brillantissime Julian Skeeter. Ce soir les gens pourront jouir de sa compagnie, mais par dessus tout, ne pourront pas échapper à son regard aiguisé et à sa plume acerbe.

Un dernier regard dans le miroir et Julian quitte la salle de bain qu’il a investit depuis au moins une heure. Il ne doit rien laisser au hasard : tout le gratin de la société magique sera là et il n’est que trop bien placé pour savoir que chacun d’eux est doté d’une langue de vipère et d’un regard d’aigle pour trouver le moindre défaut et s’en servir pour commérer ensuite, Julian refuse de leur laisser ce privilège, lui le roi incontesté des rumeurs et des commérages.

Avant de partir il prends tout de même le temps d’embrasser sa femme et sa fille, son précieux trésor avant de quitter le domicile et transplaner loin de Godric’s Hollow, direction Londres. Il ne lui faut pas longtemps pour trouver la maison Malfoy, temple sacré de la mode sorcière : le bâtiment dénote de manière presque grotesque avec le reste de la ville : grise, terne, encore abîmée par les bombardement et là, au milieu de ce tableau un brin déprimant, se dévoile une magnifique bâtisse aux murs éclatants de propreté et une façade évoquant un immeuble haussmannien – du moins c’est qu’il en déduit, l’architecture n’a jamais été sa tasse de thé – tranchant avec tout le reste, comme si elle venait de sortir de terre.

Mais Julian n’a pas le temps pour admirer les briques et il s’avance d’un pas confiant et presque léger vers la bâtisse. A l’entrée, un sorcier aux allures de troll vérolé vérifie l’invitation qu’ils lui tend non sans lui lancer un regard mauvais, c’est bien tout ce qu’il peut faire. Un peu plus loin une sorcière le guide vers un espace réservé aux journalistes, il y reconnaît quelques visages, dont certains ne sont pas des plus amicaux : ils ne sont pas venus pour se vernir les ongles mais pour écrire le meilleur article sur cet événement. Tous sont aux aguets, calepin en main et appareils photo autour du cou et il est prêt à parier qu’une fois le défilé terminé, tous se précipiteront sur Ménélas Malfoy pour obtenir de lui une interview. Julian lui se montre plus désinvolte, il ne craint pas la concurrence, il sait que sa plume est la meilleure et que le pays s’arrachera la gazette pour y connaître son avis sur le défilé ainsi que son interview du créateur. Il ne doute pas qu’il parviendra, rien n’est impossible quand on est un Skeeter.

Comme ses pairs ne semblent pas avoir envie de faire la conversation, Julian observe la foule : presque plus importante encore que les mannequins et les tenues sous peu dévoilées, les invités ne seront pas épargnés : un chignon de travers, un rouge à lèvre trop vif ou des boutons de manchette mal assortis, Julian se fera un plaisir de les critiquer et d’exposer au monde entier les fautes de mauvais goût du gratin des sorciers. Il remarque déjà un homme à la barbe mal taillée et une jeune fille d’une vingtaine d’années mal maquillée puis son regard se pose sur Mona Parkinson accompagnée de son fils, impeccablement élégants comme à l’ordinaire, ce que Julian ne manquerait pas de préciser, mais également Mary Travers et sa fille, toutes les deux toutes aussi élégantes même si la jeune Meredith ne semble pas être ravie de se trouver ici. Ah les joies de l’adolescence. Rita serait-elle aussi compliquée ? Sans doute oui, avec des parents comme lui et Cynthia, le nourrisson qu’elle est en ce moment leur en fera voir de toutes les couleurs, aucun doute là dessus. Un peu plus loin il remarque Juliet Malfoy l’air de s’ennuyer elle aussi, offrant un saisissant avec ses aînés. Plus loin il remarque une Nott portant à ce qui ressemble à une déjection de chien sur la tête en guise de chapeau. Il n’a pas le temps d’observer plus longtemps que le défilé commence, offrant à leurs yeux un véritable bouquet d’élégance et de créativité.

Une fois le spectacle terminé, tous sont invités à passer dans une autre pièce : l’événement n’est pas terminé. Au contraire des autres, Julian ne se précipite pas vers la porte pour espérer attirer l’attention de Ménélas Malfoy, au contraire il préfère attraper une coupe de champagne et se promener vers les invités et discuter avec qui voudra, c’est la meilleure manière selon lui, de récolter le plus de ragots possibles et si il n’obtient pas un entretient avec Malfoy senior, celui d’un employé ou d’un proche de la famille fera l’affaire, il n’a pas son pareil pour faire délier les langues et les non-dit enfouis dans les coeurs des aristocrates.

Mais avant tout, il tient à saluer Mona, accompagnée de sa fidèle amie Mary.

« Mona ma chérie ! Comment vas-tu ? Tu es splendide, certaines personnes devraient prendre exemple. »

Il soupire avant de se tourner vers Mary. Ils n’ont jamais pu se supporter à Poudlard mais ils peuvent faire l’effort quelques minutes, d’autant plus que pour une fois, il n’a presque aucun reproche à lui faire.

« Et toi Mary comment te portes-tu ? Toi aussi tu es en beauté aujourd’hui, vous êtes si bien assorties toutes les deux ! Vos enfants vous ont faussé compagnie à ce que je vois, surveillez les, j’ai comme l’impression que certains d’entre eux aient pour projet de vider la réserve de champagne. »

D’un geste de la tête il désigne le petit groupe s’étant formé plus loin, un sourire aux lèvres avant de sortir un calepin, prêt à prendre des notes, plume en main, il compte bien sortir son meilleur article depuis la naissance de sa fille.

« Qu’avez vous pensé de cette nouvelle collection, je tiens à avoir l’avis d’expertes sur le sujet ! »

Nombre de mots : 1005

Résumé :
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(#) Re: la mode se démode, le style jamais. (tc) ●
02.05.24 15:40
La mode se démode, le style jamais.
juillet 1951, Maison de mode Malfoy, Londres.
● ● ●
Mauvaise pioche, songeais-je en jaugeant la créature qui entrouvrit la porte. Heureusement, la face immonde de l'elfe de maison fut immédiatement éclipsée par une vision infiniment plus charmante, celle Mona se précipitant à ma rencontre.Pas autant que toi, cette robe te va à ravir !glissais-je alors, prise dans son étreinte. Je reculais d'un pas pour mieux la voir, joyau pour les yeux alors qu'elle choisissait de n'en porter aucun, et le fin sourire appréciateur qui se dessina en disait long sur l'élégance de mon amie. Nul besoin d'autre compliment superflu pour celle qui subtiliserait déjà toute l'attention du défilé.

Son fils aîné n'était pas en reste et il semblait encore avoir pris de nombreux centimètres durant cette nouvelle année scolaire coulée. Sans doute faisait-il déjà succomber les jeunes Serpentard de sa maison. Et peut-être même les autres sorcières de l'école, songeais-je en me plaçant négligemment sur le côté pour mieux exposer Meredith.Merci pour ce compliment Aurelius : vous me flattez tous les deux.protestais-je -pour la forme, bien entendu- sans me départir de cette moue satisfaite. Marcella fit une brève incursion en ce territoire de politesses et de cérémonial affable, recueillant quelques baisers et accolades de sa marraine avant que nous regarder partir précipitamment sur le perron, quatuor se tenant par le bras pour un nouveau transplanage d'escorte.



Le "crac" nous amena directement devant le manoir Malfoy, où le gratin sorcier s'agitait déjà sur le perron, chacun secouant son invitation sous le nez du sorcier en charge de l'accueil. Je glissais un regard vers ma fille, attentive à ce qu'elle ne se donne pas en spectacle avec quelques haut-le-cœur ingérables. Au moins avais-je la certitude qu'elle garderait la bouche fermée quelques minutes encore : cela me protégeait d'une énième remarque désobligeante. "Il faut que je comble mes lacunes en matière de mode, Mme Avery" Ben voyons, comme si je ne t'avais jamais rien appris. Ingrate. Cela fait quinze ans que je m'évertue à te transmettre un enseignement de qualité sur le sujet. Si mademoiselle voulait seulement bien se donner la peine d'écouter ce qui lui était dispensé...

Comme c'était à prévoir, l'entièreté des généalogies Sang-Pur étaient présentes, festival de civilités et autres étiquettes courtoises que l'on retrouvait rarement ailleurs. Je me sentais bien aux côtés de Mona, presque 'en sécurité' dans uns sens. Là où chacun paradait en tandem, mettant les alliances -qu'elles soient fièrement portées au doigt ou au verso des invitations- en avant, il m'était encore parfois délicat de me présenter sans Conall. L'affaire avait longtemps secoué la presse magique, déchainant autant les passions que les hostilités. Et si aujourd'hui les préoccupations étaient ailleurs, je n'étais pas à l'abri qu'une nouvelle question hasardeuse jaillisse de nul part au détour d'une conversation. Cette commodité publique, c'était à Mona que je la devais. Car ce soir, Mona était seule également. J'ignorais qui remercier pour cela, Quintus ou ma meilleure amie elle-même, mais toujours était-il que je ne faisais pas office de pièce rapportée, et c'était une délicate attention de leur part, dont je leur étais reconnaissante.

Evidemment, le défilé fut une véritable merveille. Evidemment j'avais l'intention de mettre une option sur quelques pièces de cette nouvelle collection afin qu'elles aillent rejoindre mon propre catalogue. Mais pour cela, je devais parler à Ménélas et de préférence à un moment où ma très chère grand-maman Milena ne regardait pas. La pauvre avait encore mon infidélité en travers de la gorge, même si cette dernière remontait à plusieurs années maintenant. Mes brèves années en tant qu'égérie chez Madame Guipure avaient été source de discorde entre nous et si cette activité était maintenant enterrée sous un coin de tapis, elle en écrasait encore parfois les fibres de son talon aiguisé.



Un verre à la main, j'attirais l'attention de Mona vers une silhouette non loin de nous.C'est une création de Milène Micoton n'est-ce pas ?déclarais-je en connaissant d'emblée la réponse, pour avoir déjà eu un coup de cœur sur cette même robe. Elle lui allait bien, à la jeune femme ( @Primrose Macnair). Même si elle ne semblait pas irradier de bonheur, la tenue parvenait à la rendre rayonnante malgré tout. C'était donc un bon choix. Qui est-ce ?demandais-je finalement, après avoir détaillé le cafetan blanc tout mon soûl, sans savoir que cette demoiselle mettrait tout son bon goût et son sens de l'esthétisme à mon service dans quelques années.
Mon regard se détacha soudainement de la belle toilette pour se braquer sur l'adolescente que  @Meredith Travers me montrait, nettement moins agréable à regarder au demeurant avec cette tignasse bicolore. Abbott, par Merlin que vous est-il passé par la tête ? Au moins était-elle Sang-Pur. Celle-là conversait d'ailleurs avec d'autres jeunes gens de sa condition, que j'identifiais sommairement comme étant les progénitures Malfoy et Yaxley. Des fréquentations respectables, du moins autant que faire se peut. Aucune n'avait le standing de ma fille et c'est cette constatation qui acheva de me convaincre. Puisque Meredith était irrémédiablement au-dessus du lot, elle avait bien le droit d'aller se mettre en scène auprès d'elles. Hors de question qu'on lui fasse de l'ombre ce soir.Tu peux aller saluer ton amie.autorisais-je finalement après cet examen en règle, avant de la retenir doucement par la manche.Mais ne t'éloigne pas trop, j'ai des personnes à te présenter. Et n'oublie pas ce que l'on a dit.rappelais-je avec un regard équivoque avant de la laisser partir.
Un instant, Aurelius.réclamais-je avant qu'il ne s'évapore lui aussi. Je baissais légèrement la voix, sur le ton de la confidence mais non moins sérieusement.Je vous confie ma fille. S'il vous plaît, soyez attentif à ce qu'elle se tienne à bonne distance des tentations éventuelles -je veux bien-sûr parler d'ivresse- et qu'elle ne nous fausse pas compagnie de manière inopinée. Dieu seul sait ce que Miss Abbott est capable de lui faire entreprendre...déclarais-je en levant les yeux au ciel. Je n'avais pas confiance en cette fille que Meredith réclamait, et dont elle n'avait que le nom à la bouche. Pour le moment, je n'avais jamais eu de courrier incendiaire venant de Poudlard : mais évidemment si cela venait à se produire, Meredith ne serait pas tenue pour responsable de ces écarts. Jamais. Les Travers ont toujours été exemplaires. Le petit gentleman s'éloigna à son tour, maintenant investi d'une mission, et je me tournais vers sa mère.C'est un brave garçon. la félicitais-je en le suivant du regard. J'avais apprécié la manière dont il avait complimenté Meredith à notre arrivée, et même si cette dernière n'avait su convenablement lui rendre la pareille, je les trouvais plutôt bien assortis.

Halo céruléen parcourant l'assistance, mon inspection ne pouvait passer à côté de la silhouette flamboyante de ma cousine @Solène Abbott . Ah. Et de son mari, aussi. Mais un tout autre portrait vint subitement casser mon analyse, accaparant Mona sans vergogne. Ce manque de tact volontaire me fit brièvement serrer les dents, ainsi reléguée au second plan, si ce n'est le troisième ou le millième en une fraction de seconde. Je bus une gorgée pour tenter d'avaler mon ressentiment, pincée par la négligence dont j'étais victime. Qui avait eu la brillante idée d'inviter ce plouc de  @Julian Skeeter, encore ? Cela dit d'un autre côté, c'était tout à fait cohérent car Skeeter était un journaliste de froufrous et de tapis, aucun de ses articles disons plus sérieux n'avait percé dans la presse jusqu'à présent. Tout bien considéré, ce défilé était simplement un évènement à sa portée.
Le Sang-mêlé tenta bien de se rattraper en me complimentant à mon tour, mais je me contentais de hausser le sourcil, peu impressionnée par tant de miel déversé en réparation de l'outrage. Espèce de pigiste de bas de page. Toutefois, si ses flagorneries me passèrent au-dessus, je ne pus retenir un mouvement d'effarement, manquant de flanquer un coup au serveur qui passait derrière moi à ce moment-là.Pardon ??!! m'exclamais-je en ramenant mon verre près de moi pour éviter les catastrophes, cherchant immédiatement les jeunes fautifs des yeux pour ne plus les lâcher d'une semelle. J'entendis Julian engager la conversation d'une oreille, mais désormais aux aguets, les yeux rivés sur les plateaux de service pour prévenir d'un éventuel faux-pas, je ne pris pas la peine de lui répondre. Mona le fera, elle qui appréciait tellement cet avorton à la plume insolente.


Résumé du post + A savoir :
Rp en 3 parties séparées par des balises - (1) Les Travers et les Avery partent du manoir, non sans s'échanger de beaux compliments au passage / (2) Mary assiste au défilé en se réservant quelques pièces maîtrise du spectacle, tout en critiquant Meredith (car elle est vexée comme un pou) / (3) Mary convoite la robe de Prim et se libère des mioches en demandant à Aurelius de faire office de chaperon. Puis elle snobe Julian parce qu'elle est rancunière et boit un p'tit coup en cherchant les enfants, se refusant à les laisser tranquille même deux secondes.

NB : En 1951, Mary n'est pas encore Ministre. Elle occupe le poste de Directrice du Département de la Justice Magique (le poste que reprendra Silas juste après). Conall Travers (son époux) est encore emprisonné à Azkaban et de ce fait, elle lui est encore mariée.

IN FOR THE KILL - 2021



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when virtue and modesty enlighten her charms, the lustre of a beautiful woman is brighter than the stars of heaven, and the influence of her power it is in vain to resist..
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