IN FOR
THE KILL

RPG HP && the village


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PÉRIODE DE JEU:
Juillet 1955
GODRIC'S HOLLOW ● Dans l’ombre, un texte commence à circuler dans les différentes communautés magiques, lu lors de soirées mondaines, traduits dans une dizaine de langue, le pamphlet, extrémiste, fait assez parler de lui pour être reproduit par les journaux ou lu sur les ondes de nombreuses radios afin d’en commenter ou critiquer le contenu. L’illégalité de leur organisation ne semble nullement avoir empêché les Mangemorts de diffuser leurs idéaux. (lire le pamphlet)
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wicked game ⫶ thomas
mob: bang, bang u're dead ●
Jezabel Rosier
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Jezabel Rosier
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pseudo : acedyá
faciès & dot : vika bronova by all souls
doublon(s) : erheÿbe ⋮ roman ⋮ vivian ⋮ kalysta ⋮ orion ⋮ (demelza)
gallions : 2598
wicked game ⫶ thomas C114506ae493b5d891eda9cb5a189f2e813bf8dd
pronoms : she ; her
décade : les affres du temps ne sont pas encore passés par-là, la vingt-septième année de vie sur le point de débuter, encore au printemps de sa vie.
labeur : écrivaine connue sous le pseudonyme de Darcy O'Connor, notoriété qui n'est plus à faire. Les récits plus sybarites sont écrits par Lottie Felcroft.
alter ego : Charlotte Crowley
storytime : wicked game feat. thomas
most often unseen feat. ethel & olivia
aristocat rp libre

sang : l'ichor presque divin aux yeux des bien-nés, pureté préservée, sacralisée.
don : animagus chat, félidé écaille de tortue aux prunelles identiques aux siennes
myocarde : officiellement mariée à Octavio Rosier, le couple n'est plus depuis un an pourtant, doucereuse séparation connue uniquement d'eux.
allegeance : sa famille, la branche de la pègre magique à laquelle elle appartient [artefacts magiques & objets rares], faussaire pour celle-ci.
particularité physique : le mutisme sur le bout de la langue, tare de naissance, honte familiale, couplée à l'hétérochromie de ses yeux (bleu&vert), tatouage de la pègre (retourneur de temps) en gravure costale droite.
gif feuille : wicked game ⫶ thomas J7MjggKq_o

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(#) wicked game ⫶ thomas ●
15.01.24 22:54
● ● ●
you have nothing to fear
À PROPOS
DE CE SUJET
if you have nothing to hide
● ● ●
temporalité du rp : juin 1955
personnages concernés : @JEZABEL ROSIER & @THOMAS ABBOTT
trigger warnings : — 
intervention autorisée du mj : [ ] oui [•••] non
autre(s) :

IN FOR THE KILL - 2021-2022
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(#) Re: wicked game ⫶ thomas ●
15.01.24 22:55
Every inch of your skin is a Holy Grail I've got to find
W
ICKED
GAME
L’incrédulité s’était apposée telle un cheveu sur la soupe sur son minois quelques secondes plus tôt concentré. Non, pas concentré. Elle avait été distraite, détournée de son œuvre, et plus encore, de ces heures de travail désormais réduites à néant. L’objet n’était pourtant ni brisé, ni fissuré, et ne présentait même aucun défaut majeur de fabrication… nonobstant, la contrefaçon était compromise, et ne serait jamais proposé à la vente en l’état : un collectionneur se rendrait bien rapidement compte de la supercherie, vase antique ne faisant pas le moins du monde son âge, sortilège levé bien trop tôt. Il n’y a jamais de seconde chance avec le sortilège du faussaire, une fois brisé, le temps se fige définitivement et la ligne ne saurait être récupérée. C’était ce qui le rendait si difficile de réalisation – sans compter les nombreuses gestuelles pour tisser les méandres des années qui passent – et qui en faisait pourtant un outil admirable pour tout faussaire digne de ce nom. Foutu, destiné à la destruction, ou maigre lot de consolation pour quiconque dans la branche des artefacts et objets rares s’y intéresserait. Le soupir de frustration sous les lèvres entrouvertes, bientôt rapidement mordillées pour faire face à une tout autre réalité, prunelles différentes ne manquant pas de dénoter l’autre triste facette de cette étourderie malvenue : elle était désormais crasseuse, recouverte de peinture et autres matières douteuses. Le prix à payer pour ne pas avoir su prêter plus attention à ce qui l’entourait, pour ne pas avoir su repérer à temps les maudites farces de son cousin, Priam. Une boutade qui aurait pu leur coûter cher si elle n’avait été dans les meilleurs faussaires de la Pègre Magique. Il s’agissait là de son deuxième échec en la matière, sorcière bien trop souvent mise à l’épreuve par la famille Shafiq pour ne pas avoir eu le droit de gagner tant sa place que le respect associé. Ses contrefaçons s’étaient éparpillées dans les foyers les moins modestes, sans que jamais quiconque ne soupçonne leur fausseté… aussi, la copie ratée, l’échec malencontreux… ne serait certes pas de ceux-là, mais ne représentait dans la finalité qu’un bien maigre pourcentage de déficit. La perte de temps en revanche… Merlin, son cousin allait en entendre parler… Enfin… Il subirait la supposée voix de la muette dans sa caboche, d’insultes imagées à son strident, juste assez pour lui donner un mal de crâne qu’elle veillerait à ne pas même soulager par un remède quelconque. Elle en était aux prémices d’une vengeance pour mettre les apothicaires dans sa poche en prévision de cet instant. Merlin, il n’était pas près de recommencer.

Époussetant les débris de… Merlin seul savait quoi – sans doute de l’argile broyée en poussière, poterie ratée détruite… tout était possible après tout avec Priam – elle eut un nouveau soupir de lassitude, grondant intérieurement tant contre le responsable qu’elle-même. Interruption momentanée de l’activité, avant de se rendre compte d’une donnée essentielle qu’elle avait occultée jusqu’alors : elle avait été distraite. Et il n’y avait que très peu de choses capables d’une telle prouesse. Paupières venant se plisser un court instant sur la raison de cette maladresse, esprit courant à la recherche du souvenir révélateur. ELIJAH. Ce goujat. Oh, elle ne le détestait pas, il n’était rien de plus qu’un collègue de l’illégalité, le trafiquant avec lequel elle avait le plus l’habitude de travailler, sans pourtant jamais lui accorder d’importance équivoque. La plupart du temps, il lui paraissait… étranger. Souvent en réalité. Quelque chose dans son attitude la laissait perplexe, l’agaçait parfois, mystère insondable venant asticoter son esprit avide de connaissances. Aujourd’hui, quelque chose de différent s’était passé, quelque chose qui l’avait poussé à perdre le fil du temps de son sortilège et la méfiance envers un objet trafiqué par son cousin, qu’elle avait pourtant bien repéré quelques heures plus tôt. Un goût de chimère sur le bout de la langue, provoqué par une vision qui laissait rarement une femme insensible. Elle pouvait bien prétendre le contraire, s’appuyer sur le fait que la relation était purement professionnelle… Elijah avait bien malgré lui, éveillé l’imagination déjà bien fertile de l’écrivaine. Lottie allait bientôt se remettre à l’écriture, à défaut de Darcy, dont le prochain roman était pourtant bien avancé. Mais en plusieurs années de relation purement platonique, cela n’était jamais arrivé, tout du moins, pas au point de la détourner de son objectif. Avait-il dit quelque chose qui avait poussé son imagination à lui jouer des tours ? Elle n’en gardait pas la moindre trace de souvenir. D’un autre côté, et sans avoir besoin de faire grand-chose, l’homme était capable d’éveiller les appétits les plus enfouis. Elle n’avait jamais cédé à l’appel de ce genre d’attrait, femme mariée, loyale à son époux, même à ce jour, malgré une séparation désirée par les deux partis. Elle laissait les désirs et les aspirations faméliques à ses comparses. Alors pourquoi aujourd’hui plus qu’un autre jour ? Il n’avait rien de spécial à dénoter, que ce soit dans sa démarche, ou dans son regard, encore moins dans sa façon de se coiffer… mais il sentait… le musc masculin, assez prononcé pour ne pas froncer le nez. Claquement de doigts intérieur, raison toute trouvée, et rapidement associée à l’idée d’écriture. Elle avait trouvé sa prochaine inspiration, et les scénarios s’étaient glissés dans la caboche aussi aisément qu’un niffleur dans un coffre-fort moldu. La donne avait évolué malgré elle. L’homme qu’elle déconsidérait en permanence était devenu objet de fantasme – et Merlin, quel divagation… Elle n’était pas assez stupide pour ne pas le reconnaitre.

C’était pourtant inconvenant et plus encore, déstabilisant, tête secouée pour chasser les idées naissantes, à mesure que les pas la menaient vers une succursale secrète de l’établissement des Shafiq. Notez qu’ils avaient beau ne plus être à la tête de la branche dont ils étaient pourtant les rois, n’en demeuraient pas moins qu’ils étaient toujours en passe de gérer les artefacts et objets rares, quand les Zambrano régissaient particulièrement l’orfèvrerie. Tout déménager aurait été ridicule. Poussant une porte dérobée dans l’un des murs, la sorcière ne manqua pas de pénétrer la salle aux lumières tamisées, aux fragrances délicates, qui eurent pour effet premier de la détendre, à mesure qu’elle détachait un à un les boutons de sa robe malmenée. Quand elle reviendrait, elle ne doutait pas de la trouver en parfait état, propre et parfaitement reprisée, comme neuve, tout juste sortie de la boutique où elle avait été achetée. Les elfes de maison de l’établissement faisaient des miracles sur bien des aspects. Accrochant une serviette autour de sa silhouette, puis coiffant sa chevelure non épargnée en un chignon lâche, ce fut de nouveau du bout des doigts qu’elle poussa une autre porte dérobée, la menant vers l’immense salle de bain dédiée aux membres de la branche travaillant dans la boutique. D’anciens préfets de Poudlard auraient soufflés qu’elle leur rappelait celle du château, à ceci près que le décorum était bien plus pompeux et pourtant chargé d’un rappel de l’Histoire d’autrefois, mélange entre les bains antiques et de la renaissance. La magie n’était-elle merveilleuse ? Pour avoir savouré plus d’une fois la quiétude de cet endroit, la Rosier savait parfaitement qu’elle y trouverait une multitude de propositions de produits pour savourer le bain chaud, le tout sous la musique apaisante d’une harpe enchantée. Mieux encore ? À cette heure-ci de la journée, elle n’y trouverait pers… Éclat de frustration puis de surprise dans le regard. Il y avait bien quelqu’un, et pas n’importe qui. Le responsable de la cohue dans son esprit. Lèvres plissées, puis mordillées, avant de finalement inspirer pour dériver dans son dos. Elle n’aurait guère le choix que de se glisser de toute manière dans le même bain que lui, il n’y en avait qu’un seul après tout. Opérer un demi-tour n’était pas même envisageable, il l’avait sans doute déjà repéré, et elle ne pouvait décemment pas rentrer chez elle dans cet état. Octavio n’était pas au courant de toutes les affaires secrètes de son épouse. Aussi, et sans jamais se départir de sa serviette, trempa-t-elle un premier pied dans l’eau troublée avant de pénétrer totalement dans l’immense baignoire, défiant presque le géant aux cheveux blancs de faire une remarque sur sa déconfiture. Un regard venant pourtant perdre de sa combattivité au même où il eut le malheur de se poser sur le peu de la silhouette qu’elle pouvait apercevoir. Pour ce qui était de cesser de songer à lui en tant que futur fantasme littéraire, c’était désormais aussi foutu que le vase trônant sur son établi. Le goujat était une chimère vivante, un songe à croquer, le futur héros des nuits solitaires de ses lectrices, elle n’en démordrait pas, malgré son désir de passer outre. Candeur pourtant habilement camouflée, paumes venant passer de l’eau sur le visage de la poupée silencieuse, ôtant les premières traces de la bombe piégée du cousin pilier.
MADE BY @ICEANDFIRE / IN FOR THE KILL › 2021-2022
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pronoms : il
décade : 36 décades
labeur : Asticote sérieusement au conseil d'administration de Poudchem, nourri de grasses ambitions ( Le double, 'Elijah', nourrit labeur en Maître-Justicier dans la pègre (Fletcher)
alter ego : Ian Fitzgerald ( Elijah (pègre)
storytime : [RP]

[Solène], [Jezabel], FB Poudlard

sang : pureté de l'ichor vemeil
don : métamorphage ( Chuchotement sourd, silence d'or
myocarde : Il cogne tel un tambour, il s'enflamme sous les flammes insolentes, ce coeur épris, offert à l'épouse estimée, Solène.
allegeance : Silentio.
particularité physique : tatouage (pègre) à l'intérieur du bras droit
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(#) Re: wicked game ⫶ thomas ●
04.02.24 10:52
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« Enfin tranquille »
 La gargue délivrait son soupir, l’échine déliée contre le rebord du bain dans un craquement silencieux aux fourbures de la journée. La chaleur de l’eau semblait t’arracher aussitôt la moindre contracture, te fléchissant sans cérémonies dans un abandon total. Les cheveux te collaient aux éclanches, l’eau froissant ta carne à hauteur du poitrail. Le nœud à l’hypogastre disloqué. Les pensées s’épuisaient dans la léthargie. Journée claquante. Et tandis que tu allongeais tes gigots dans la marée endormie, tes pieds semblant s’alléger du poids de tes cavalcades. Tu avais réussi à infiltrer un vieil artefact tiré des landes irlandaises. Les esgourdes avaient capté les rumeurs de son existence depuis déjà quelques décennies, traînant un œil par ci et là sur quelques informations croustillantes. Ezraël s’était joint de connivence à cette aventure, attisé par une parallèle curiosité. Seules quelques années vous séparaient, vous partagiez la même audace, mais également le même goût pour les plaisanteries. Sa présence plus que souhaitée ne vous avait pourtant pas épargné de quelques impairs avec ces irlandais. Force était pourtant de constater que l’aboutissement de votre quête n’aurait pas été aussi satisfaisant s’il n’y avait pas eu ces quelques résistances en coquettes ripailles. Sans doute étiez-vous convaincus par votre semblant d’optimisme. Pause brandy proposée mais repoussée après une baignade intimement espérée.

Si tu appréciais la compagnie d’autrui, tu prisais ces quelques rares moments de solitude. L’eau chaude agissait telle de l’eau bénite, t’alanguissant lentement alors que voletaient quelques nuées brumeuses en étourdissement de l’âme. Si l’esprit se liquéfiait, quelques serpents de réflexion pourtant se frayaient un chemin à la surface. Une pensée pour Isaac te chatouillait d’une mélancolie volatile. Si tes débuts dans la pègre s’étaient motivés d’une passion, l’aisance que tu avais maintes fois adoptée s’était engraissée d’une responsabilité que tu avais nourrie en catimini. Subvenir aux besoins de ton fils sans éveiller le moindre soupçon, ‘pour ne pas dire celui de ta femme, était devenue une priorité dans les coulisses de ta vie. L’amertume rampait aux pieds de l’encéphale devant la triste évidence que tu lui avais offerte. Quelle vie pour un enfant ? Le soupir s’échappait, le regret ancré en toi. Ton acte de lâcheté te pendrait aux basques longtemps. Quel homme. ‘Tu parles ! Isaac méritait mieux qu’un père se cachant pour le voir. Sa mère était bien plus courageuse que lui, ‘bien plus respectable.

Et alors que tu t’égarais dans quelques improductives flâneries de l’esprit, le bruit d’un intrus t’arrachait de tes spéculations. Le sourcil s’arquait de suspicion, la cervicale se délogeant de son assise pour toiser l’arrivante. Jezabel. L’échine se relâchait aussi, un rictus presque pince-sans-rire à la commissure droite, le persiflage s'échappant en soupir sarcastique. Pour la tranquillité, c’était pas gagné. Quoique tu pouvais t’estimer heureux. Tu n’étais pas tombé sur la plus bavarde des sylphides de la pègre. L’œil traînait distraitement, ‘ou presque. Beauté piquante, ‘envoûtante. Tu la sentais hostile à ton égard. Sans doute avait-elle quelques âcretés à te prêter sur le palais. Lesquelles ? Tu n’en savais rien. Pour dire vrai, tu t’en fichais. Ce n’était pas comme si elle t’importait quelque chose. « Eh bien...on dirait que tu as eu quelques impairs aussi... » raillais-tu en l’observant se décrasser le minois. Charme félin, la délicatesse de ses traits te rappelait l’élégance d’un chat. Sans doute avait-elle quelques griffes aussi à sortir du panier. Le regard se détachait finalement du portait plus qu’agréable, un soupçon de gêne froissant la caboche. Si tu savais te montrer gentleman, tu restais avant tout un homme. Une femme à la beauté plus que suggestive se dévoilant si peu vêtue dans un espace plus qu’intimiste aurait de quoi échauffer certains esprits gourmands. Les fragrances de cannelle et de miel semblaient attiser ce brasier pourtant contrôlé. Aussi te perdais-tu sur les remous calmes du bain, t’évertuant à faire fi de sa présence. C'était pas gagné.

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(#) Re: wicked game ⫶ thomas ●
04.02.24 18:39
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Déconvenue, sous l’œillade partagée des protagonistes de la scène, l’étincelle de curiosité venant se mêler à celle, bien moins voyante, de la méfiance. De lui, l’ancienne Gamp ne savait pratiquement rien, sinon son statut au sein de la branche prisée des artefacts et objets rares. Son rôle, son prénom, rien de plus. Elle ne savait pas qui il était en dehors des affaires de la pègre, qui il côtoyait… elle ne l’avait même jamais croisé dans les rues sorcières de Londres ou de Godric’s Hollow. On ne pouvait ignorer une tignasse pareille, et elle s’en serait souvenue si cette stature s’était acoquinée avec une réputation outrepassant le cadre de leur travail respectif. Elle n’était pas du genre à oublier, plutôt à ranger dans un recoin de sa tête pour y réfléchir plus tard, au moment opportun. Nonobstant, Elijah était un mystère, une énigme qu’elle peinait à décrypter. Le voulait-elle seulement du reste ? Il est préférable de laisser certaines arcanes dans les ombres, les ténèbres. Peut-être craignait-elle de regretter de percer un jour le mystère de l’homme aux cheveux d’argent. Ou peut-être n’y trouvait-elle pas encore d’intérêt suffisant à le faire. L’observation lui suffisait amplement, écouter les minauderies de ses comparses de fortune de même. Cette fois pourtant, ses prunelles différentes étaient bien suffisantes pour accorder de nouvelles données sur le phénomène masculin, venant nourrir l’esprit de nouvelles lignes à consigner plus tard sur le papier. Il fallait être stupide pour ne pas reconnaitre la valeur physique de l’homme à demi plongé dans l’immense baignoire. Si elle avait déjà eu l’occasion d’admirer – en tout bien tout honneur – la silhouette du géant, ce n’était rien en comparaison de ce auquel elle avait droit désormais. Vêtements absents, elle pouvait déliter les traits à la fois parfaits et imparfaits de l’Apollon, sentir la paume écrivaine la démanger de traduire ses pensées sur le parchemin encore vierge, de gratter chaque mot qui ne saurait pourtant rendre justice au héros s’ignorant. Souffle libérateur, au moment de pénétrer dans l’eau, troublant la quiétude de cette dernière, sans jamais pourtant cesser de surveiller l’adversaire du jeu étrange qui se jouait dans sa tête. Elle ne pouvait guère le laisser deviner tout ce qui pouvait se tramer derrière ses paupières, jusqu’à finalement se prendre d’un frisson d’effroi : et s’il était legilimens ? Grondement silencieux sous la gorge, avant qu’elle ne s’oblige à fredonner intérieurement la plus insupportable des comptines pour enfant. S’il n’y réagissait pas, au moins aurait-elle une réponse quant à cette supposition non-négligeable.

Nulle réaction que l’éternel sourire en coin qu’il affiche à qui veut bien l’admirer, et les épaules se relâchent, lorsqu’enfin elle se glisse toute entière dans l’eau trouble. Elle se refuse pourtant à se défaire de cette serviette qui lui colle désormais à la peau, sensation désagréable, malgré tout nécessaire. Elle n’était pas là pour conter fleurette au trafiquant, mais tout comme lui, se détendre, profiter d’un instant de paix… et se débarrasser des saletés s’incrustant dans la chair. Ce ne serait pourtant pas chose aisée, le regard différent ne pouvant s’empêcher de revenir sur les parcelles de peau qu’elle pouvait capter. Typiquement humain, cette fâcheuse manie d’observer sans jamais pouvoir s’en empêcher. Que cachait-il d’autre, cet homme si secret ? Y avait-il des cicatrices venant barrer sa chair et qu’il lui faudrait éluder ou déplacer dans les paragraphes destinés à présenter son personnage ? La curiosité était avant tout professionnelle, mais elle ne pouvait s’empêcher malgré tout d’y ajouter une touche personnelle. Patte de velours vers l’indiscrétion, vers la résolution du mystère qui n’en était peut-être pas un. Était-il seulement un membre de la société anglaise ? Le désintérêt, finalement, n’en était pas réellement un si elle se laissait happer par les questionnements. Ce n’était pas correct, ni souhaitable, lèvres venant se plisser sous sa propre correction intérieure, avant de faire disparaitre l’inconvenance derrière ses paumes en coupe. Premier pas vers la propreté, et la voix ô combien envoûtante du partenaire pour tinter à ses oreilles. Lèvres mordillées. C’est bien en cela qu’elle était la plus sensible la Rosier : le timbre de la voix, si profond, destiné à destituer toute méfiance pour ne laisser place qu’à l'ingénuité. Elle aurait pu se damner pour cette intonation à son oreille. Qu’est-ce qui l’en empêchait désormais ? Le contrat nuptial était rompu par les deux partis, d’un commun accord, sans qu’aucune signature pourtant n’officialise le décret. Octavio était-il aussi loyal qu’elle ? La question s’était maintes fois posée dans l’esprit, sans qu’elle ne veuille en connaitre la réponse. Ce serait douloureux, quoi qu’il arrive et malgré l’amour absent de leur union.

La lippe qui se fend d’une quenotte, avant d’hausser les épaules sous le constat énoncé. Elle ne pouvait décemment pas lui dire que la faute lui en incombait totalement, c’aurait été déplacé, quoi que véridique. Aussi glisse-t-elle de nouveau ses prunelles différentes vers son visage, dont le propre regard ne l’observe plus, avant de finalement se pencher légèrement en avant pour donner une impulsion l’obligeant à quitter son coin de baignoire, les phalanges de la main gauche maintenant l’éponge contre son corps. Ce qu’elle s’apprêtait à faire, elle ne se l’était jamais autorisée au sein de la pègre, maintenant tout un chacun au même niveau, communication rendue au strict minimum, gardant pour elle le moyen le plus aisé, pendentif caché au creux de sa gorge. Elle ne pourrait s’en passer cette fois, plus encore si elle était incertaine qu’il connaisse la langue des signes. Ce n’était pas de gaieté de cœur, mais ce n’était pas non plus pour la contrarier, captant de nouveau son attention avant de tirer sur la chaine en argent, révélant la petite fiole bleutée, qu’elle n’ouvrit pourtant pas immédiatement, expliquant par le biais de quelques gestes la démarche à suivre. Ce n’était pas son moyen de communication favori, trop intime à son goût, mais il avait son utilité. En cet instant, il faciliterait certainement grandement leurs rapports, peut-être pour une unique fois. Souffle extérieur, avant de déboucher la fiole et de recueillir une goutte sur chaque majeur, et de l’appliquer avec délicatesse sur les tempes de son vis-à-vis. Quelques secondes d’attente, le temps de reboucher la fiole précieuse, puis de reporter toute son attention sur le futur héros de son livre de fantasmes. « Bonjour Elijah… Je suppose que ce sera plus simple ainsi. » Une voix factice, supposée être celle qu’elle aurait dû avoir, qu’elle n’obtiendrait pourtant jamais. « Tu peux répondre à voix haute, ce n’est pas de la télépathie à double sens, et si cela peut te conforter, tes secrets sont à l’abri, ce n’est pas non plus de la legilimencie. » Et durant ce temps, elle range la fiole à sa juste place, réajustant la serviette au passage. Elle n’est pas de celles qui tenteraient sciemment le trafiquant, préférant même reculer, retrouver sa place initiale, avant de basculer la tête en arrière pour mieux rincer sa chevelure sombre, prunelles admirant un instant le plafond ensorcelé, avant de finalement se remémorer la raison de la présence du trafiquant dans les locaux. « Cet artefact que tu es allé chercher, quelle est son histoire ? » Interrogea-t-elle, sans jamais chercher à se redresser. Elle n’écouterait pas un mot si elle se perdait dans la contemplation de la silhouette de celui-là… Cela engendrerait bien trop de complications, et surtout… stimulerait bien trop son imagination.

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labeur : Asticote sérieusement au conseil d'administration de Poudchem, nourri de grasses ambitions ( Le double, 'Elijah', nourrit labeur en Maître-Justicier dans la pègre (Fletcher)
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sang : pureté de l'ichor vemeil
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myocarde : Il cogne tel un tambour, il s'enflamme sous les flammes insolentes, ce coeur épris, offert à l'épouse estimée, Solène.
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24.03.24 21:11
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L’incisive azurite l’observait, fugace. Une belle femme à n’en point douter. Son charme se taillait à l’égal de la jugeote de son regard. Si ses vermeilles ne pouvaient délivrer leur écho, c’était bien dans ses flots bleus que tu devinais les houles silencieuses. Peut-être n’était-ce qu’une impression ? C’était pourtant de critique que l’œil s’engraissait. La société familiale t’y obligeait. Si l’indolence s’était longtemps déroulée sous les ripatons, c’était de diligence que l’encéphale se nourrissait voracement. Les rênes en convoitise, le temps des croisades s’ébauchait en friandise. Depuis quand t’en enthousiasmais-tu ? Sans doute brûlais-tu d’un objectif à atteindre pour récolter la fierté de l’épouse aimée ? Sans le prononcer, Solène te tirait vers le haut, t’avivait d’un bûcher arriviste. Ça te gargarisait, ‘mais pas que. Dans le simulacre des non-dits, les passions insoupçonnées macéraient. Si Poudchem te ravigotait, c’était de ton zèle pour les artefacts, leur fables et récits que tu t’exhumais du théâtre de la vie. Frénésie dont tu ne pouvais t’extirper depuis le berceau des curiosités. Elle se dévoilait à l’instant en curiosité parmi tant d’autres. L’étrange sensation grattait la porte de tes intérêts. Feindrais-tu l’indifférence par civilité ? Par Salazar, tu n’étais pourtant qu’un homme. Quel baratineur prétendrait s’en battre l’œil ?

Les flots tièdes avaient la décence de camoufler l’affriandant, laissant le regard se compromettre sur les courbes délicates de ses frêles épaules. Glissade inconsciente sur sa l’échine gracile pour t’enliser sur ses obsidiennes agitantes. La gargue ravalait son écume grasse pour folâtrer sur les volutes éparses que délivrait l’eau chaude. La détente espérée s’avouait fiasco, l’attention revenant sans résistance vers l’agitation de son rivage. Que faisait-elle donc ? Ses tripotages sur une fiole te chatouillaient la curiosité, le sourcil arqué en attention nouvelle. La sylphide en appliquait sur ses majeurs, t’hypnotisant inconsciemment dans la méticulosité de ses gestes, avant de s’appliquer sur ses tempes. Syndrome du chaton. Intérêt particulier pour l’invraisemblance de ses minauderies. Si tu manifestais de l’ignorance sur la langue des signes, tu devinais pourtant qu’il n’en était rien. Un frissons t’écorchais la carne à l’écho inattendue. ‘Pas possible ? Dérision volatile dans le regard. Après tout, qu’est-ce que la magie ne pouvait ajuster ? C’était plus que...surprenant. La voix insoupçonnée se dévoilait douce et sensuelle. Sans doute avais-tu la confusion débordant à foison des lucarnes. Surprise expertisée avec...récréation. Et tu aimais être surpris. « Quelle surprise...Bonjour Jezabel... » Caresse d’une gutturale soufflée. Tu n’étais que curiosité. La décence pourtant te poussait à flâner dans le vague, te dérobant de la sensualité de ses gestes. ‘Ah...les femmes...des créatures luxurieuses te creusant l’appétit. Faiblesse que tu t’évertuais à lapider derrière une porte. Par respect pour ta femme. Tu t’y échinais, malgré les travers passés, un bâtard en récolte inopinée, et pourtant chéri.

Cherchait-elle simplement à combler le malaise que le silence installait ? Tu n’allais certainement pas négliger la perche, si tenté qu’elle puisse te détourner des pensées parasites qu’elle te soulevait. « La harpe de la lavandière... » La langue se déliait lentement, l’encéphale s’agitant aux avidités de l’histoire. « Selon les murmures gaéliques, cet objet aurait appartenu à ce personnage de légende. Une femme, ‘une revenante, croisée dans la sorgue. On la décrit le mieux dans son labeur, à nettoyer son linge dans un cours d’eau » L’esquisse d’une sylphide prenait ses contours dans tes nimbes, t’engraissant toujours plus l’imagination débordante. « exquise créature apparentée à la mort...prédicatrice d’une fin apparente...préambule de la faucheuse... » Sinistre mystère l’enveloppant. « la harpe lui appartiendrait. La caresse de ses cordes avalerait le moindre maux, ‘le moindre mot...la douleur s’épuiserait, laissant le régal d’un corps, d’une âme sans douleur, avant de laisser lentement la mort prendre racine. Elle aspirerait la moindre bulle d’hardiesse, essoufflerait la victime à petits feux dans une mortifère mélopée... » L’ambiance tombale que l’artefact délivrait te grattait l’hypogastre d’inconfort. Un objet, si tenté que les légendes le racontent, à utiliser avec ‘parcimonie’. « Certains racontars amenuisent son pouvoir. Des langues plus légères raconteraient qu’elle ne suscite qu’une très grande fatigue. Dans tous les cas, c’est artefact n’est pas à remettre à … n’importe qui... » L’échine inclinée appréciait la chaleur de l’eau dans les racines argentées, la carne en frémissant. Soupir en délivrance. Laps suspendu alors que tu toisais sans perspective le plafond, regagnant finalement le rivage de ses délicats contours. « Je comprends la véhémence des irlandais à le protéger si ardemment... » Et quelle aventure ! « Et toi, dans quel périple t’es tu enlisée pour te retrouver dans cet état ? » Les mots se déroulaient en distraction, t’évadaient, tout du moins te semblait-il, des légèretés que la situation pouvait accoucher.


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décade : les affres du temps ne sont pas encore passés par-là, la vingt-septième année de vie sur le point de débuter, encore au printemps de sa vie.
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particularité physique : le mutisme sur le bout de la langue, tare de naissance, honte familiale, couplée à l'hétérochromie de ses yeux (bleu&vert), tatouage de la pègre (retourneur de temps) en gravure costale droite.
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04.04.24 12:19
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Deux bêtes curieuses se jaugeant, voilà ce qu’ils étaient dans ce présent, la faussaire et le trafiquant. S’étaient-ils jamais retrouvés aussi longtemps l’un en face de l’autre, totalement seuls ? Pas une fois. La Rosier y avait veillé durant toutes ces années. Ce n’était pas contre lui, c’était une simple habitude, ancrée dans ses veines et touchant tout le monde, sans exception. La solitude lui convenait parfaitement. Seules Ethel et Olivia avaient réussies à percer ce bouclier qu’elle portait en permanence, autrefois, dans le giron d’une seconde maison. Depuis l’obtention de leurs A.S.P.I.C pourtant, les trois jeunes femmes s’étaient éloignées, en grande majorité en raison de leurs chemins respectifs, et en petite partie de leur propre fait. Jezabel s’était retrouvée mariée, isolée de nouveau, sans le moindre choix que de se plier à l’exigence familiale, à couvrir le désintérêt de Danika, la moindre de ses frasques. L’aînée Gamp voyait chacun de ses caprices autorisé sans aucune opposition, pardonné. Qu’importe après tout, sa cadette pouvait bien rectifier le problème. Équivalentes en presque tout point, mais bien plus docile, bien moins contrariée par l’utilité de son existence. Enfant remède quelque part. Durant les treize premières années de sa vie, Jezabel s’était souvent demandé si ses parents l’aimaient, au moins un petit peu, et puis un jour, elle avait cessé de le faire. La réponse était évidente. Toujours était-il qu’elle avait retrouvé le goût cendré de la solitude, retrouvant à cet égard une vieille amie, et avec elle, un quotidien dans lequel elle ne pouvait se retrouver blessée par l’indifférence. Si c’était elle l’instigatrice, elle ne pouvait guère en souffrir, n’est-ce pas ? Être introduite par Danika au sein de la Pègre Magique n’avait pas même fait évoluer la tendance d’un iota : les amitiés sont fugaces, sans elles, pas de risque d’être blessée, pas de risque d’être déçue. Tant que l’amertume ne pointait pas trop souvent le bout de son nez… Et qu’importe si la Rosier passait pour antipathique ? Qu’importe si nul ne lui prêtait réellement attention ? Son bouclier s’étendait à son poste de travail, et son art ne pouvait souffrir d’aucune distraction qui l’aurait obligé à recommencer. Excepté pour cette fois.

Peut-être aurait-elle dû faire demi-tour, attendre dans un recoin d’ombre que le géant aux cheveux d’argent ne daigne de lui-même mettre fin à ses ablutions pour céder la place… nonobstant, elle n’était pas lâche au point de fuir, et n’accordait pas si peu de considération à sa propre personne. Si l’inconfort venait à poindre, il devrait attendre qu’elle soit propre pour l’entrainer dans un départ. Cela étant, c’était aussi l’occasion de pouvoir observer plus en détail l’étranger, et comprendre comment, ou pourquoi, il avait réussi là où tant d’autres avaient échoués. Ses prunelles différentes ne pouvaient l’ignorer, caressant instinctivement son faciès pour mieux redescendre sur ses épaules et cette partie du torse qu’elle pouvait encore visualiser, ou pire, admirer. À cet égard, Elijah lui apparaissait presque comme l’allégorie d’un dieu païen, mélange entre la stature grecque et le brutal nordique. Diable, ses lectrices n’allaient pas s’en remettre si elles parvenaient à l’imaginer comme elle pouvait le voir. Il lui reviendrait la lourde tâche de poser les bons mots sur la description du personnage secondaire, de développer avec talent chaque irrégularité de ses traits… Mais pas trop. Quoi qu’elle puisse douter que le trafiquant soit de celles et ceux friands de ce genre de lecture. C’était presque instinctif, cette manie de laisser ses prunelles glisser sur le fruit défendu, telle Eve devant l’arbre de la connaissance. Elle était pourtant persuadée de ne pas succomber à cette tentation, ses quenottes n’iraient pas croquer la gourmandise, loyauté envers son époux encore bien trop ancrée dans sa chair. La liberté pourtant, était plus qu’à portée de main. L’un et l’autre avaient manifesté le désir de tirer un trait sur ce mariage. Il pouvait trouver son intérêt chez une autre, tout comme elle était autorisée à trouver le sien. Mais qui voudrait d’une femme dont l’utérus ne semblait capable d’offrir la vie ? Qui voudrait d’une épouse qui semblait cumuler les tares par l’hétérochromie, l’absence de voix et l’infertilité – qui n’en était peut-être pas une ? Même elle ne se leurrait pas d’espoirs vains. Et si elle ne pouvait espérer un remariage, elle n’était pas non plus certaine de pouvoir être un jour une amante digne de ce nom. Ne demeurait décidemment que cette vieille amie et un esprit suffisamment fantasque pour lui tenir compagnie. Entorse finalement à son règlement, une fois ne deviendrait pas coutume, elle ne pouvait que douter du fait qu’Elijah et elle partageraient de nouveau un long moment.

La voix qui se traine, si habituelle, et pourtant, toujours vibrante de tentation. Un timbre à se damner, mais pour laquelle elle repousse toutes les émotions susceptibles de naître, il n’y a pas, n’y aura jamais de place pour ces dernières, cœur de glace… Mais la glace peut fondre. Alors elle se concentre sur les paroles, bien plus que sur la personne, détourne ses prunelles différentes, préfère même les clore. Si elle ne voit pas, elle ne peut pas être tentée d’observer et détailler. Pourtant, la voix la berce, l’oblige à prendre une position un peu moins confortable contre le rebord de l’immense baignoire. Mots qui s’achèvent au bout de quelques instants, lui arrachent un petit rire amusé, presque moqueur. « Et c’est ici que tu la ramènes. » Qu’elle souffle dans sa caboche, pointe du doigt le fait de ramener un objet dangereux chez des personnes qui pourraient l’être tout autant. Elle rouvre ses prunelles, avant de pencher la tête sur le côté, capte du coin du regard un vestige de la plaisanterie de Priam, que ses phalanges vont chercher pour mieux de déposer sur un recoin de la pierre. « J’ai lu un livre un jour, qui évoquait les lavandières. Je n’ai jamais su dire si ces créatures étaient réelles ou simple légende. Et celles qui étaient évoquées vivaient en France. Dans les faits, elles pouvaient être bonnes ou mauvaises, mais leur rôle était de laver les âmes, de ceux qui voulaient expier, ou des enfants mort-nés… des âmes damnées… C’est intéressant de constater qu’il ait put y en avoir en Irlande. » L’intérêt vif pour les légendes, les histoires, avant d’hausser les épaules. « Mais ce n’est peut-être qu’une simple coïncidence et sans doute n’y a-t-il aucun rapport. » Ce qui serait tout aussi plausible. Elle n’a toujours pas réussi à déterrer le vrai du faux sur cette histoire, sur ces Fées et grandes Dames recensées dans certaines vieilles encyclopédies. Et tandis que la conversation se tourne vers elle, elle enlève un nouveau morceau d’indésirable dans sa chevelure, l’air passablement ennuyé. Elle peut bien dire ce qui lui est arrivé sans pour autant entrer dans les détails. « Une plaisanterie de Priam. » Le nouveau Pilier de la branche, en compagnie de Danika. « Je l’avais bien repérée et oubliée dans un coin de mon atelier. J’ai momentanément été distraite et le piège s’est activé quand je l’ai bousculé. » Fin de l’histoire, rien de bien glorieux. Pourtant, les lippes s’étirent d’un carnassier, alors qu’elle souffle de nouveau, sans que jamais ses lèvres ne s’ouvrent. « La vengeance sera à la hauteur du temps qu’il vient de me faire perdre. » Elle allait devoir recommencer son travail en cours. Des heures de travail…

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Discrétion était le fin mot. La jeune femme était bien différente de l’épouse, si l’une se dévoilait pondérée dans son mutisme, l’autre macérait tempêtes sur le palais. Pourquoi les comparais-tu pour l’heure ? Contrariété en bourgeon dans l’esprit, en rat t’agaçant l’humeur. Parce-que tu n’étais qu’un homme, un de ceux au regard déclinant la légèreté. Félonie te fracturant le jugement. Combien de fois la jeune Bulstrode avait-elle déchaîné les houles sauvages de son courroux sur l’imprudence de tes rives ? Un regard, ‘un de trop, et la belle plante se muait en délicieuse mandragore. Nul écho strident ne sortait de son palais devant le tiers. Le privilège t’était exclusivement réservé dans l’intimité de vos lallations. Si ton regard se faisait prendre en accusation, rares étaient les fois où tu avais succombé. Rares, ‘pourtant déjà de trop. Travers immarcescible dans l’avortement du petit lard. Isaac subsistait en corps du délit, en ancre coupable de ton faux pas, ‘tes faux pas. Si tu aimais cet enfant d’un amour inconditionnel, te rongeant chaque jour de sa sécurité et sa prospérité, c’était d’attrition que l’encéphale s’écorchait. Le voir te soulevait de bonheur et d’affliction, d’espérance et de repentance. Sa mère avait eu la délicatesse d’accepter tes venues, elle la délaissée. Force était de constater que tu t’étais montré peu gentleman avec elle en te refusant à un avenir commun, tout simplement pour bénir ton union avec Solène. Orgueil mal placé dans l’étiquette, dans l’immunité d’une souche vermeille limpide. Bourgeon parasite de principes te collant la caboche en poison. Toi aux idées subtilement préconçues, toi aux audaces laissées pour Elijah. Il était le plus téméraire des deux, le plus assuré quand Thomas s’écartelait entre deux rives. Tu t’affichais en parrain pour Isaac, laissant le rôle de père au mari d’Alice. Il s’était rapidement enlisé sur les rives de celle que tu avais aimée d’un amour éphémère, d’un désir papillon, en pansement des maux que tu avais soulevés. Veulerie de caractère en la délivrant, ‘en l’abandonnant. Nombreuses perles salées avaient été récoltées par Hector. Si tu ressentais la rancœur en toile de fond, c’était pourtant de bienveillance qu’ils t’accueillaient, ‘te toléraient. La copieuse pension offerte subvenait largement aux besoins d’Isaac, mais également ceux de sa mère et son ‘père officiel’. Amertume de ne pouvoir assumer publiquement ce titre. Sentiment vénéneux s’exacerbant au détachement de l’épouse de concevoir une famille. Incompréhension t’éperonnant le cœur de géhennes silencieuses, de sanctions à tes impénitences. Serait-ce le fardeau à porter pour ta peccadille ? Tu ne savais s’il s’agissait de désirs dissonants ou de quelque chose de bien plus profond dont elle n’osait te parler. Serait-elle infertile ? Tu n’osais poser la question, ‘n’osais franchir la lisière des tempêtes. Le sujet à peine entamé recueillait instantanément une gerbe acide. Pierre dans le cœur, tâtonnement au chemin à prendre, à imposer. Provocations lancées en assauts pour te récolter quelques réactions. Tempêtes accueillies copieusement, un goût pourtant de trop peu traînant dans les cloaques de tes pensées.

L’esprit dérivait vers la jeune Rosier en distraction des bourrèlements du crâne. Parenthèse surprenante de l’esprit alors que vous ébauchiez quelques babillages. Pourquoi t’agacer ainsi l’esprit alors que tu t’échinais à t’apaiser dans la chaleur de l’eau. Eaux troubles. Serpent de chaleur, ‘une toute autre, se glissait sous ta carne. Sans doute était-ce la proximité avec cette femme ? Il fallut être aveugle pour ne pas deviner sa beauté, ‘beauté énigmatique. Elle avait quelque chose d’élégamment insolent dans le regard, ‘un petit quelque chose qui te rendait curieux. Le malice te picorait la commissure à ses paroles, un brin d’audace dansant en insolence dans les océans. « Cela paraît presque imprudent ? » raillais-tu, la joue se creusant d’outrecuidance. La délicatesse de ses traits te fascinaient dans les volutes ombrageuses des bains. Sa voix tintait en cristal dans les esgourdes. Par Merlin...tu divaguais. Y avait-il quelque chose de soupçonneux dans ces bains ? Fadaise de l’esprit. ‘Concentre toi. «  Ce que j’aime dans ce genre de ‘conte’ ou ‘légende’, c’est le mystère qui s’en dégage, qui rend curieux... » Murmure évasif, limbes se grisant de l’inconnu, du mystérieux. « Peut-être...mais peut-être que ça mériterait quelques approfondissements... » Curiosité en rat crevard dans l’abîme, tu te fascinais pour les contes et légendes. Double facette refoulée lorsque Thomas s’imposait, lorsque les tintouins de Poudchem te cognaient l’abîme. « ça m’intrigue » soufflais-tu, curieux et avide. Sans doute t’y intéresserais-tu d’ici peu, dès que les eaux troubles auraient épuisé l’effet ...étrange qu’elles te soulevaient. Gausserie écorchée du palais à l’évocation de Priam. « ça ne m’étonnerait pas de lui... » Les lagunes s’accrochaient à la subtilité de ses gestes, l’esprit distrait à ses petits soins. « Quelle négligence... » soufflais-tu en provocation, en brasier désireux d’être agité. Le menace de sa langue t’enhardissait de quelques élans récréatifs. « Je prendrai soin de ne point te froisser alors …. » Sourire en insolence sur le velours écarlate. L’ambre doré caressait les contours de la jeune femme. « Si tu as besoin d’aide, j’ai quelques vindictes à rendre à ce garnement » Tu ne comptais plus les fois où ce coquin te faisait des coups bas, en amusement, en distraction. ‘Suivez les araignées… Pourquoi ça ne pouvait pas être « suivez les papillons » ? (DEFI 02) t’avait-il chuchoté en invitation vers le coeur battant d’un mission. Crédulité passagère à l’ignorance du personnage. T’avais suivi les araignées, l’âme dupe, pour tomber sur un coquet rassemblement d’acromantules. « Moi qui pensais que tu me dédaignais... » Les mots te raclaient le palais à l’ignorance qu’elle t’offrait, ‘tout du moins pensais-tu jusqu’à l’heure. « enfin, peut-être était-ce le cas ? » Gouaillerie sur le palais, insolence en offrande. Autant crever l’abcès d’une impression peut-être mal perçue ?

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(DÉFI JOURNALIER : 02 : RP Placer une citation de « HARRY POTTER ET LA CHAMBRE DES SECRETS » (livre ou film) dans un rp (cumulable avec un défi HEBDO - 1030 mots.)
mob: bang, bang u're dead ●
Jezabel Rosier
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Jezabel Rosier
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pseudo : acedyá
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doublon(s) : erheÿbe ⋮ roman ⋮ vivian ⋮ kalysta ⋮ orion ⋮ (demelza)
gallions : 2598
wicked game ⫶ thomas C114506ae493b5d891eda9cb5a189f2e813bf8dd
pronoms : she ; her
décade : les affres du temps ne sont pas encore passés par-là, la vingt-septième année de vie sur le point de débuter, encore au printemps de sa vie.
labeur : écrivaine connue sous le pseudonyme de Darcy O'Connor, notoriété qui n'est plus à faire. Les récits plus sybarites sont écrits par Lottie Felcroft.
alter ego : Charlotte Crowley
storytime : wicked game feat. thomas
most often unseen feat. ethel & olivia
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sang : l'ichor presque divin aux yeux des bien-nés, pureté préservée, sacralisée.
don : animagus chat, félidé écaille de tortue aux prunelles identiques aux siennes
myocarde : officiellement mariée à Octavio Rosier, le couple n'est plus depuis un an pourtant, doucereuse séparation connue uniquement d'eux.
allegeance : sa famille, la branche de la pègre magique à laquelle elle appartient [artefacts magiques & objets rares], faussaire pour celle-ci.
particularité physique : le mutisme sur le bout de la langue, tare de naissance, honte familiale, couplée à l'hétérochromie de ses yeux (bleu&vert), tatouage de la pègre (retourneur de temps) en gravure costale droite.
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(#) Re: wicked game ⫶ thomas ●
25.04.24 10:43
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La singularité de cette rencontre en tête à tête avec le trafiquant serait probablement la première et la dernière. C’était tout du moins l’idée que s’en faisait l’esprit bien trop affable de l’ancienne Gamp, que le cœur et les émotions maintes fois contenues ne pouvaient qu’approuver. Elle se tenait toujours là, la silhouette gracile, derrière la ligne de la sociabilité, sans jamais oser aventurer la pointe du pied par-delà, de crainte d’être remarquée, jugée, jaugée indigne de la bonne société sorcière et d’en être chassée comme l’on renverrai un gobelin dans son bouge. Aux côtés d’Octavio pourtant, elle savait pertinemment qu’elle ne craignait rien, qu’il faisait miroiter au monde une union couronnée et qu’elle pouvait briller sous l’éclat de sa notoriété. Lumière faiblarde somme toute, que son silence ne faisait que ternir chaque jour, car nul ne cherchait vraiment à converser avec celle qui ne pouvait répondre dans l’instant. Il y avait bien longtemps qu’elle ne s’en offusquait plus. Vingt-deux années précisément, lorsque l’enfant qu’elle était alors avait compris que son monde serait ainsi et non autrement, et que nul membre de sa famille proche n’avait daigné corriger cette image faussée. Avec les années, elle avait trouvé un certain réconfort dans sa situation : au moins, elle n’était pas née sourde. Nonobstant, elle demeurait dans le confort d’une solitude qui, elle en était intimement convaincue, lui seyait parfaitement. N’avait-elle par ailleurs, choisi la bonne profession pour conforter cette conception de son existence ? Écrire une saga aussi mondialement connue, des best-sellers qui l’étaient tout autant nécessitait une tranquillité qu’elle ne trouvait que loin du tumulte, dans son petit boudoir. Une fois encore, seul Octavio était autorisé à l’extirper de son ermitage. Dans cette optique de faire perdurer l’inconfort d’une vie dépeuplée dont elle ne voyait pas le mal, elle s’était déjà faite à l’idée que cette journée deviendrait une exception qui ne saurait se reproduire dans l’avenir, qu’il soit proche ou lointain. Ingratitude face au destin dont elle n’avait tout bonnement pas conscience. Aussi profite-t-elle de cet instant la faussaire, épie religieusement l’homme à la stature délicieusement tentatrice pour mieux le décrire plus tard sous sa plume de paon. Elle sait que les mots ne lui rendront pas justice, mais ils pourront éclaircir la vision de ses lectrices (et lecteurs), donner corps à de nouveaux fantasmes inavouables. Bref soubresaut de prise de conscience : est-ce ainsi qu’elle condamne le grand Elijah dans son esprit ? Une obsession sulfureuse qu’elle ne pourra – ne devra – jamais assouvir ? Elle peine à se retenir de secouer la tête, et donner un indice à son vis-à-vis de son monologue intérieur, de la capacité de ses prunelles à voir ce qu’une femme mariée et de bonne famille se devrait de retenir d’observer. Curiosité malsaine, égarement discutable. Mais ne serait-ce la première et dernière fois ?

Elle se jure que ce le sera, la sorcière silencieuse, sans prendre conscience qu’elle a déjà croisé les phalanges pour parjurer son serment, sous cette paume qui n’a de cesse de maintenir le drap de bain autour de sa silhouette. Exquise pudeur, indélicate prévoyance à ne pas tenter le diable dans ses plus beaux atours. Et pourtant, un vague instant, sous le regard voilé de brume, elle envisage d’envoyer paître la bienséance si l’occasion lui est offerte, d’écarter de son chemin cette loyauté sans faille gravée sur le marbre du mariage auquel on l’a soumise, de ce nom qui lui a été offert à la naissance et que l’on a regretté sous le constat de l’imperfection. Cette répulsion porte un nom : liberté, celle de pouvoir choisir l’homme à qui offrir les doux mots qui n’ont jamais franchi ses lèvres, de noyer sous les affres de la passion le devoir conjugal exigeant qu’elle offre un héritier. Une vie bien morne, en comparaison de celle de ses héroïnes dont les chaines ont été jetées au sol pour l’aventure et la passion charnelle. Elle aimerait pouvoir s’identifier à ses personnages, l’illustratrice de ses pensées, hélas, de points communs, elles n’ont souvent que le statut social. L’observation, c’est bien tout ce qu’elle peut se permettre l’ancienne Gamp, et sous le couvert d’un regard qui se détourne régulièrement pour ne pas froisser la bienséance. Observer, et tisser le fil d’une trame pour un récit plutôt que sa propre vie.

Le timbre la fait frissonner un instant, de la chute des reins jusqu’aux épaules, qu’elle pourrait aisément mettre sur le compte de la fraicheur de l’air ambiant lorsque le reste du corps n’est pas sous l’eau. Faux indice qu’elle se permet de laisser entrevoir, tandis qu’elle s’enfonce un peu plus dans le liquide chaud et coloré par les divers savons mélangés. « Imprudent… et bien impudent » qu’elle souffle en réponse, quand ses prunelles différentes toisent le voleur avec un intérêt vif. Certains artefacts mériteraient de disparaitre dans les abysses du temps et de l’espace, afin de ne pas être utilisés à mauvais escient. La harpe, elle pouvait le jurer, faisait partie de ceux-là, et l’on pouvait espérer que Danika, dans sa grande sagesse, veillerait à ce que l’objet disparaisse dans le coffre le plus sécurisé que le bâtiment puisse posséder. L’oreille se tend, et l’esprit cherche déjà les qualificatifs exacts pour décrire la saveur de cette voix dont les variations sont une invitation à l’indécence, exercice entrecoupé avec la réalité, l’oblige à se recentrer sur la conversation plutôt que les divagations. Difficulté de mise, quand la chaleur du bain voudrait endormir la certitude de rester droit dans ses bottes pour une détente indolente. Elle écoute, et se rend compte avec une certaine surprise qu’Elijah et elle, ont un point commun : cette fascination pour les mythes et les légendes, pour le mystère qui entoure l’Histoire. Déconcertant, et pourtant… Quiconque entre dans cette branche de la Pègre Magique n’a pas seulement l’argent pour motivation. Elle plisse un instant ses lèvres gourmandes la Rosier, avant de finalement battre en retraite face à la résistance dont elle voudrait faire preuve. « Je serai assez curieuse de connaître le fin mot de cette histoire. » qu’elle souffle dans la caboche de son interlocuteur, peinant à croire qu’elle a lancé une invitation à être conviée à faire partie de l’aventure… Il n’acceptera pas, souffle le corps tout entier, refusant de quitter le confort de la solitude pour un brin d’aventure, même au sein d’une bibliothèque. La caboche elle-même avait déjà trouvé parade : elle pouvait bien s’aventurer seule dans les archives pour assouvir sa curiosité. Nul besoin du trafiquant aux cheveux blancs qui ne ferait que détourner l’objectif. Bourdonnement agaçant de ses insécurités, que la tonalité de l’interlocuteur cherchait à masquer, moquerie pour variation, obligeant le regard vairon à se poser de nouveau sur lui, la perfection de ses traits. La perfection de ses traits ? Ce bain était décidemment une bien mauvaise idée. Tant pour son vocabulaire que pour l’émoi s’agitant sous sa chair. Une exception, mantra venant se graver sous la chair, quand déjà, les lèvres s’étirent d’un amusement non-feint. « Et pourtant, tu le fais chaque fois que je te croise. » qu’elle rétorque, avant de cligner des paupières, presque surprise de son aveu, avant de reprendre. « Pas sciemment, je te l’accorde. » L’aveu n’est pas complet, elle en a conscience la Gamp, tandis qu’elle s’enfonce jusqu’à la rondeur des épaules dans l’eau. « Tu es une distraction pour mes collègues. Elles pépient et jacassent sur ton charme odieux dès que tu es dans les parages. Je suis persuadée qu’elles tueraient pour être à ma place en ce moment même. » Qu’elle avoue enfin, détournant le visage du sien, sans doute pour ne pas laisser entrevoir le trouble qui l’avait finalement attrapé cette fois-là. « Pour ce qui est de Priam, tu peux aisément te venger de lui, il déteste la réglisse et a une sainte peur des abraxans. Je ne t’ai rien dit, bien sûr… » Et d’un certain point de vue… elle n’avait pas ouvert la bouche pour lui souffler les deux petits points faibles de son cher cousin. Elle n’irait pas révéler les plus ingrates de ses peurs, faiblesses que l’on pourrait retourner contre lui, mais ces deux-là étaient sans conséquences terribles. Voilà pourtant qu’elle plisse de nouveau les lèvres purpurines sous la fausse interrogation, avant de revenir se noyer dans ses prunelles ambrées. « Je ne dédaigne personne. » se défend-t-elle. Elle voudrait bien souffler que c’est plutôt le monde qui la méprise, mais elle n’en est pas au stade de se plaindre et de déprécier son destin. Aussi soupire-t-elle la sorcière, se redresse sans jamais lâcher le drap de bain, maigre protection elle le sait, mais soutien tout de même. « Je suis née muette Elijah. Ce n’est pas aisé de socialiser quand autrui n’a pas le temps d’attendre une réponse. Et ceci… » Elle tire un instant sur la chaine qui retient le petit flacon dont elle lui a tartiné les tempes de son contenu. « Je ne le réserve qu’à ceux qui prennent le temps de le faire. » Exception faite de cet instant. « Je n’ai pas le cœur à mépriser qui que ce soit. J’ai seulement appris à composer avec ce que l’on me donne. » Et le plus souvent : rien. Aussi relâche t’elle la chaine, avant de glisser de nouveau le flacon sous la serviette, pour mieux revenir au visage de cet homme qui l’observe tout autant qu’elle peut le faire. « Je te trouve seulement agaçant, parce que tu es une distraction pour ces dames et qu’elles m’empêchent de travailler. Je devrai plutôt dire que c’est toute ta carrure qui est irritante, puisque je suis certaine qu’aucune d’elles ne s’intéresse vraiment à ta personnalité. » À peine un reproche, que déjà, elle glisse la tête sous l’eau pour se débarrasser des dernières traces de piège, chevelure défaite, qu’elle s’empresse pourtant de recoiffer en un chignon rapide.


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