IN FOR THE KILL - 2021

Tiens-toi droite. Plus droite ! Lève le menton, et avance doucement… Touuut doucement…

Le regard de Mona se fait interrogateur. Est-ce qu’elle reproduit correctement les gestes de sa mère ? L’inclinaison gracieuse du bras, le menton levé mais pas trop haut, il ne faut pas faire tomber l’épais manuel perché sur le sommet de son crâne, les pieds qui avancent précautionneusement… À huit ans et demie, la fillette aux boucles brunes a déjà le port altier d’une adulte, et la leçon ne dure guère plus de quelques minutes. Trop peu, pour celle qui est toujours avide d’en apprendre plus davantage sur le monde mystérieux des adultes, où l’on valse dans des robes éblouissantes, où l’on boit du vin et du champagne, où l’on mange des petits-fours terriblement alléchants, gardés si loin, hors de portée des enfants.

Apprends-moi à danser, Mère ! S’il-te-plaît ! s’empresse-t-elle d’ajouter.

Pas maintenant, Mona. Maman est fatiguée.

Steplaitsteplaitsteplait !

Pourquoi ne vas-tu pas plutôt jouer avec Rosie ?

Le regard de l’enfant tourne à l’orage en un instant, et les mots volent, dangereusement acérés.

Je veux pas jouer, et puis Rosie c’est rien qu’une sang-de-bourbe de toute façon !

Monica Cedrella Parkinson ! Où as-tu appris des mots pareils ? Le choc est audible, le mécontentement aussi, mais l’enfant se tient toujours désespérément droite, le menton fier, le regard planté dans celui de sa mère.

Père dit que je ne devrais pas jouer avec les sang-de-bourbe. Provocatrice, elle répète l’injure, et ne cède pas un pouce de terrain lorsque Cordelia, épouse Parkinson dont le nom de famille originel importe peu, s’accroupit devant elle. Père dit que c’est rien que des incapables, et que je devrais avoir des compagnons de jeu dignes de mon rang. Elle répète cela comme une leçon apprise par cœur, mais dont la véracité lui paraît évidente. Après tout, Père a toujours raison, les hommes ont toujours raison et c’est pour cela qu’ils dirigent le monde, elle a beau n’avoir que huit ans - huit ans et demie, c’est important - elle tient déjà ce fait pour acquis. Même que, plus tard, j’épouserai un autre Sang-Pur, et on aura deux enfants, un garçon et puis peut-être une fille, et j’aurai trois chiens, et un… non, deux elfes de maison !

C’est… C’est très bien, Mona. Cordelia se résigne, c’est une bataille de plus qu’elle reconnaît avoir perdue face à cet époux à la volonté inflexible. Leur aînée tient de lui, pas de doute là-dessus. Toute sa vie est déjà méticuleusement planifiée, et elle fera une merveilleuse débutante dans quelques années.

Dis, tu m’apprends à danser, maintenant ?

Mona n’a pas l’inconstance merveilleuse des enfants : lorsqu’elle a une idée en tête, il est difficile de la faire renoncer - pour ne pas dire impossible. Elle aura tout ce qu’elle désire, et plus encore : ses parents n’auront même pas à trop y veiller.



Cher journal,

La sixième année est une plaie sans fin. À peine les BUSES rendues, déjà nous voilà occupées à choisir nos options, cours approfondis et futurs parcours de vie. Alors que bon, la plupart des filles de mon dortoir finiront femmes au foyer, à la rigueur secrétaires au Ministère, vulgaires gratte-papiers sans intérêt… Mais pas moi. Ni Mary, d’ailleurs. Non, nous sommes bien trop brillantes pour cela : Préfètes, avec des résultats excellents - Mary plus que moi, d’ailleurs, sauf en Métamorphose, je suis la meilleure et ce n’est pas moi qui le dis mais bien le professeur. Bon, d’accord, c’est un peu moi aussi… Mais je le vaux bien. Bref, Mary finira sans doute à la tête d’un département -  ou peut-être même Ministre ? Il y a déjà eu des femmes Ministres de la Magie, après tout, nous ne sommes pas comme ces arriérés de Moldus qui pour rien au monde ne confieraient l’exercice du pouvoir à une dame.

Le bon côté de cette année, c’est que j’ai toujours accès à la salle de bains des préfets. L’arithmancie commence à me taper sur le système - tous ces chiffres, et ces équations qui s’étalent sur plusieurs lignes, c’est à vous flanquer une migraine, heureusement qu'un bon bain finit toujours par me délasser. Sans parler de l’enseignant, je crois qu’il ne pourrait pas être plus barbant s’il essayait. Rien à voir avec Burbage - le professeur Burbage est parfait, absolument parfait. Je pourrais l’écouter parler de philtres pour soigner les furoncles pendant des heures. C’est d’ailleurs ce que je fais - tu ne pensais pas  sérieusement que j’avais choisi le cours avancé de Potions pour le contenu des leçons ?

En sus d’être Préfète - ce qui n’est jamais qu’un anagramme de Parfaite, le trait d’esprit n’est pas subtil mais il fait toujours son petit effet sur les garçons, une fille qui fait de l’humour c’est neuf et dangereusement attirant - je suis également l’une des premières membres du Club de Slug. Excellent prétexte pour voir ce cher professeur en dehors des heures de cours, si tu veux mon avis. Et si tu ne le veux pas, je te le donne quand même. Ne va pas te faire d’idées idiotes, il n’y a rien entre le professeur et moi - je n’ai jamais que seize ans, et lui est si… mature. C’est bien, mature, ça ne dit pas vieux mais ça se pose dans le registre de l’admiration. Mais non, il n’y a rien, rien du tout, de toute façon je suis déjà en couple.

Il s’appelle Quintus. Quintus Avery. J’en conviens, le prénom ne casse pas cinq pattes à un hippogriffe, mais le nom est celui d’une des meilleures familles de Sang-Pur du pays, alors bon… Il a un an de plus que moi, et l’intelligence d’une porte fermée, mais je compte bien réussir à l’éveiller aux mystères du monde magique. Et puis il joue au Quidditch, au poste de Batteur, ce qui m’offre de nombreuses opportunités de le voir s’entraîner, et de célébrer avec lui les victoires de Serpentard. En prime, cette année, il est capitaine - je ne te dis pas la jalousie de cette tarte de Flora Cassidy, qui était avec lui l’été dernier encore. Tant pis pour elle, Quintus est à moi désormais, et j’entends bien ne pas me le laisser prendre par la première gourgandine venue !

Je devrais sans doute achever ce devoir sur les propriétés magiques des bézoards, mais il faut encore que je te raconte la dernière rumeur : on raconte - enfin, je raconte, mais ça semble fonctionner parce que même les tableaux du troisième étage en discutent entre eux, je les ai entendus l’autre soir - que l’explication du caractère exécrable de cette peste d’Hestia Avery est qu’elle aurait été mordue par un loup-garou l’été dernier. Ça devrait lui apprendre à garder ses distances avec Mary, tiens. Non mais vraiment, qu’est-ce qu’elle croit, cette traîtresse à son sang ?

Enfin, il est grand temps que je file, ce devoir ne va pas se rédiger tout seul - note que je pourrais demander à un quatrième année de faire les recherches pour moi, après tout je suis Préfète-Parfaite, personne ne peut rien me refuser… Mais non, pas cette fois. Je tiens à mériter les félicitations du professeur Burbage, ce coup-ci.



Elle l’a eu, son mariage de princesse. Elle a eu la robe, les invités, les cadeaux et la lune de miel, exactement comme elle les avait imaginés - ou plutôt comme elle les avait planifiés, elle n’est pas du genre à laisser le hasard faire les choses à sa place. Elle a eu les elfes de maison, Tinky et Winky ; elle a eu les chiens, trois dalmatiens racés et puissants, baptisés Abaddon, Alastor et Astaroth. Elle a même eu les enfants, un petit garçon d’abord et une fille ensuite, Rufus et Marcella : cette dernière fête aujourd’hui ses deux premiers mois d’existence.

Elle a eu tout ce dont elle rêvait, mais l’amour tant attendu, lui, n’est jamais venu. Comment pourrait-elle aimer un mari aux mains qui puent la mort ? Son métier la dégoûte, son intellect la déçoit, sa conversation l’ennuie au plus haut point… Chaque jour qui passe, elle regrette un peu plus la décision encore adolescente qui la poussa dans les bras de cet homme.

Ils ont eu leurs moments de douceur, bien sûr : elle se rappelle avec une clarté aveuglante les petits gestes du début, les sourires le jour de leur union officielle, la tendresse revenue inopinément après qu’elle ait donné naissance à leur fils aîné. Mais il font désormais chambre à part, et elle est passée de l’indifférence à la colère sourde en constatant le peu d’intérêt qu’il manifeste pour leur dernière-née.

Les gazouillis de la minuscule Marcella emplissent l’aile dans laquelle sa mère a établi résidence : elle a beau ne pas aimer Godric’s Hollow, son rythme de vie désespérément lent et son manque de soirées mondaines, la convalescente en Mona apprécie le calme des ruelles tranquilles, épargnées par les terribles bombardements qui secouent encore parfois le pays. Dans quelques semaines, elle retournera à Londres avec les enfants, et tant pis si Quintus proteste qu’elle lui vole son héritier : hors de question de laisser Rufus prendre part aux salissantes expériences paternelles. Sa progéniture n’aura d’autres taches sur les mains que celles de l’encre, nulles autres coupures que celles causées par un parchemin mal coupé. Le sang et la crasse des bourreaux Avery - devenus taxidermistes depuis quelques générations, mais elle emploie toujours le premier terme, ça a le don de mettre en rage son époux et elle vit pour ces petites piques mesquines qui lui rappellent des temps plus insouciants - le sang et la crasse donc ne les atteindront jamais.

Il y a une autre raison, toutefois, à son retour prématuré dans la capitale. Elle veut être au plus près de l’action, reprendre sa place auprès de Gellert et s’assurer que ses directives sont respectées. Le monde magique vit des heures cruciales, et elle refuse d’abandonner la cause de la supériorité sorcière à ce moment critique. Elle sait que ses talents de diplomate - multilingue, elle pratique surtout la langue de bois avec un art consommé - sont un atout considérable pour celui qui rêve comme elle de renverser l’ordre établi.



Rufus chéri,

Voilà déjà un mois que tu es reparti, comme le temps file ! Ta septième année est déjà bien entamée, et j’ai appris que tu avais reçu les félicitations de ton professeur de Potions pour un philtre particulièrement complexe (n’en veux pas à ta sœur, Marcella et moi sommes si fières de toi !). Tes résultats sont excellents et je n’en attends pas moins de toi, comme tu le sais. Ton père serait sans aucun doute aussi fier que moi, s’il était encore parmi nous.

Je sais que tu m’en veux d’avoir organisé aussi vite une cérémonie de funérailles, mon chéri. Je n’avais pas le choix, tu sais : après trois mois, je devais me rendre à l’évidence, ton père ne reviendrait pas. Sans doute est-il mort en héros, face à une créature trop puissante pour lui… C’est du moins ce que je préfère imaginer.

Elle relève la tête, observe l’effet produit par les dernières lignes inscrites sur le vélin, avant de se raviser et de tout effacer d’un mouvement de baguette. Même à dix-sept ans, Rufus est loin d’être un idiot, et il sentira le sarcasme qui dégouline de ses mots si elle rédige pareil paragraphe. Mieux vaut éviter le sujet entièrement.

De mon côté, je reviens d’un voyage en Transylvanie : c’est une contrée fort différente d’ici, et je ne recommanderais guère la population locale - même si les paysages sont magnifiques. Bientôt, tu m’accompagneras dans ces voyages d’affaires, comme j’ai moi-même accompagné mon père… Mais trêve de projets d’avenir, concentre-toi sur le présent avant tout. Quels sont les pronostics pour le championnat de Quidditch, cette année ?

C’est mieux, se dit-elle, relisant ses mots avec attention. Ce n’est qu’une lettre à son fils, diraient certains. Quels idiots. Mona, mieux que personne, connaît les mots et leurs pouvoirs : ils peuvent construire ou détruire, élever ou ruiner. Pas besoin d’une formule magique pour combattre un adversaire : une phrase bien tournée, glissée à l’oreille du bon chroniqueur mondain ou de la journaliste influente, et voilà l’antagoniste renvoyé à ses pénates, la queue entre les jambes.

Sa main s’éloigne de l’encrier, repose un instant sur le front haut et fier d’Astaroth. Assis à sa droite, le dalmatien la regarde de ses yeux d’obsidienne, insondable. Elle aime cette distance entre eux, le fait que son esprit lui soit aussi inaccessible que la forteresse de Nurmengard où pourrit désormais Grindelwald. Les hommes sont trop simples à comprendre et à manipuler : les chiens, eux, sont fidèles.

Je dois te laisser, mon chéri. Tom ne va plus tarder à arriver, et je crains que le thé ne soit pas encore prêt. J’attends de recevoir de tes nouvelles avec impatience, et je t’embrasse fort en attendant.

Ta mère,
Mona

P.S. J’ai ajouté à ton colis un second paquet : il s’agit d’une huile pour balais fabriquée par un artisan roumain réputé. Son parfum est particulier, je te l’accorde, mais on dit qu’elle rend les balais davantage aérodynamiques. Tu m’en diras des nouvelles !

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développement de la legilimancie

MANIFESTATION ET IMPACT Mona se lance à l’assaut des esprits qui l’entourent comme les vagues à l’assaut des Falaises de Morgane : parfois joueuse, parfois charmeuse, parfois brutale, toujours irrésistible. Avec les années, elle a appris la douceur, et pratique l’infiltration plus souvent que l’attaque frontale, dérobant à ses cibles leurs pensées et leurs souvenirs les plus intimes. Elle est désormais capable d’interpréter les images et les sensations confuses, capable de faire sauter les verrous mentaux les plus solides, capable de voir au-delà des pitoyables tentatives de mensonge ou d’oubli que l’on tente de lui opposer. Elle ne s’embarrasse pas de notions aussi incongrues que le consentement - encore moins le consentement éclairé - pour pénétrer délicatement dans l’esprit de celles et ceux qui l’entourent, ou brutalement, dans celui de celles et ceux qu’on lui ordonne de briser.

APPRENTISSAGE OU ACQUISITION Patroclus Parkinson avait pour projet de former ses trois fils à l’art délicat et puissant de la legilimancie, mais ses filles furent toujours meilleures élèves. Dès sa sortie de Poudlard, Mona insista pour apprendre, réclamant le droit d’être entraînée au même titre que n’importe quel mâle de sa lignée. À force d’insistance, de cajoleries et de menaces, elle finit par obtenir ce qu’elle voulait. Mona obtenait toujours ce qu’elle voulait. Même si cela incluait de longues sessions douloureuses d’incursions mentales répétées, même si elle vit plusieurs fois son intimité bafouée, même si elle n’avait plus aucun secret pour cet homme qu’elle en vint à détester.

STADES DE MAÎTRISE OU DE DÉVELOPPEMENT parvenue au stade expert, elle n’a plus besoin de formule pour se glisser derrière les barrières mentales de ses victimes. Elle s’est arrêtée là, considérant qu’elle ne souhaitait pas davantage risquer les foudres d’un Ministère trop prompt à contrôler ce qu’elle faisait de ce don acquis au terme d’un entraînement physiquement et psychologiquement épuisant.

LIMITES ET CONTRAINTES Mona a besoin d’un contact visuel afin de pénétrer l’esprit de sa cible. Ses nombreuses incursions dans la psyché d’autres personnes entraînent parfois une légère confusion, et il lui arrive de s’approprier certains souvenirs qui ne sont en réalité pas les siens. Les humeurs des personnes avec lesquelles elle entretient des contacts rapprochés peuvent également l’affecter visiblement, provoquant des changements d’humeurs surprenants.

LOIS POSSIBLES EN VIGUEUR son père prit soin de l’enregistrer auprès du Ministère dès qu’il fut clair que sa fille n’abandonnerait pas son apprentissage. Il ne serait pas dit que les Parkinson ne respectaient pas les règles que leur ancêtre avait contribué à rédiger !

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développement de l’animagie

MANIFESTATION ET IMPACT lorsqu’elle se transforme, Mona prend l’apparence d’une élégante hermine au pelage brun-roux en été, et parfaitement blanc en hiver. Haute d’une vingtaine de centimètres lorsqu’elle se dresse sur ses pattes postérieures, elle dispose d’une queue au bout noir, longue d’environ huit centimètres. Une marque distinctive permet de l'identifier et de la différencier de ses congénères : sous sa forme animale, Mona conserve ses yeux gris, en lieu et place des pupilles noires communes à l’espèce.

APPRENTISSAGE OU ACQUISITION après la conquête de l’esprit vint celle du corps. Lorsqu’il devint clair que la chute de Grindelwald serait définitive, la dépression devint une compagne tentante pour Mona, qui redoutait de redevenir une femme au foyer sans distinction, elle qui était quelques mois plus tôt l’une des principales conseillères du Mage Noir. Refusant de céder à la monotonie de la vie imposée par son époux, elle développa un intérêt renouvelé pour ses cahiers d’étudiante en Métamorphose. Deux ans plus tard, elle avait rassemblé tous les ingrédients nécessaires au rituel de transformation, et effectuait sa première transformation alors que les éclairs illuminaient les collines de Cornouailles.

STADES DE MAÎTRISE OU DE DÉVELOPPEMENT  sept ans après sa première métamorphose intégrale, Mona a atteint le stade intermédiaire de maîtrise de son don. Elle est capable de se transformer à volonté et de rester sous forme animale pendant plusieurs heures d’affilée.

LIMITES ET CONTRAINTES si elle aime énormément prendre l’apparence d’une discrète hermine pour espionner ses ennemis (et parfois aussi ses alliés, parce qu’on n’est jamais mieux servie que par soi-même), Mona est consciente de ses limites, et notamment de l’épuisement qu’entraîne le fait de rester sous forme animale trop longtemps. Lorsqu’elle s’oublie, elle paie cher ses excès, devant garder le lit pendant quelques jours afin de se remettre complètement.

LOIS POSSIBLES EN VIGUEUR contrairement à la legilimancie, l’apprentissage de l’animagie eut lieu sans tuteur, et Mona ne vit jamais l’obligation de s’inscrire dans un quelconque registre comme une réelle contrainte. Elle sait donc qu’elle doit soigneusement choisir celles et ceux à qui elle révèle l’étendue de ses capacités de transformation, si elle ne veut pas risquer de sévères sanctions.

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POUR LES BOTTINS:

● inventé, de famille, scénario ou sans visage ? poste vacant, familles en partie inventées
née parkinson (première branche) : fille aînée, soeur d’augustus (43 ans), aeneas (36 ans), lina (36 ans) et perseus (32 ans)
épouse avery (première branche) : veuve de quintus (décédé à 46 ans, en 1954), mère de rufus (17 ans) et marcella (13 ans)

● Si scénario, merci de poster le lien vers ce dernier ici : https://inforthekill.forumactif.com/t2174-les-mangemorts

● avatar :

Code:

<w>ruth wilson</w>, @"mona avery"

● emploi et rôle:
quartier de l'emploi : /
nom de l'enseigne/département/institution : /

Code:

<w>artiste peintre :</w> @"MONA AVERY"

quartier de l'emploi : mandrake alley
nom de l'enseigne/département/institution : obscurus books

Code:

<w>éditrice :</w> @"MONA AVERY"

organisation s'il y en a : mangemorts

Code:

blue horses, tête de branche, @"MONA AVERY"

● parcours scolaire:
école : poudlard
maison et année de fin de scolarité : serpentard, 1927
était-iel préfet·e et/ou préfet·e en chef ? préfète (promotion 1927)
était-iel joueur·euse de quidditch ? non
faisait-iel partie d'un ou plusieurs club(s) ? club de duel (1922-1927), club d’échecs sorciers (1920-1927), club de slug (1920-1927)

● faceclaim :

Code:

<a href="https://inforthekill.forumactif.com/t2337-mona-she-who-advises">
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<fi> GE:</fi>  45 ans<br/>
<fi2>MÉTIER(S):</fi2> éditrice - obscurus books (sorcier) et artiste peintre (moldu)<br/>
<fi>FACTION:</fi> mangemorts<br/>
<fi2>SANG:</fi2> pur<br/>
<fi>CRÉDIT:</fi> bambi eyes (tumblr)
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<div class="names">RUTH WILSON</div>
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Je t'ai déjà dit l'essentiel via mp, mais je suis vraiment fan de ta plume et de ton interprétation de Mona. Je suis tellement joie de la voir incarnée, et j'ai hâte de lire son évolution au travers de ta plume !

tu passes l'étape de la validation bravo petit monstre, l'équipe se joint à moi pour te souhaiter encore une bienvenue chaleureuse.

intégration direction cette section pour des liens. ne sois pas timide, tu peux poster directement dans les sujets des autres joueurs avec une idée.

rp et liens la roulette russe du rp est là pour trouver un partenaire et la roulette russe du lien si besoin. viens aussi participer au premier rp commun du forum. recenser ton rp du mois t'est aussi disponible.

vie du forum le flood t'es ouvert et on t'encourage enfin à voter pour nous soutenir et gagner des gallions. le forum étant jeune, n'hésite pas à proposer des affiliés.

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