IN FOR THE KILL - 2021

Candide est l'absence...

D'aussi loin que je m'en souvienne, j'ai toujours vu mon père de dos. Une stature droite, imposante et fière, qui marquait sa silhouette. Il m'apparaissait si grand, telle la voie à suivre. Je cherchais désespérément son regard, son approbation. Et parfois, je l'avais. J'étais le plus heureux des enfants. Puis je me suis rendu compte qu'il ne méritait pas mon respect. Du moins, pas autant que ce que je lui donnais. Je lui en dois, il m'a donné la vie -bien qu'entre-nous, je ne lui avais rien demandé-, malgré cela, il me paraissait bien fade. Comparé à la première femme de ma vie. J'ai vu, en elle, une simplicité désarmante qui semblait l'accompagner où qu'elle aille mais sous mes yeux, germait un charisme insoupçonné, une beauté incontestable et un savoir qui me fascinait. Elle semblait si forte, elle a occulté de sa présence le paternel. Quand je l'ai vue, véritablement vue -était-ce sa condition de femme qui avait freiné cette prise de conscience ?- je l'ai tout de suite aimée. Je l'ai tout de suite respectée.

Je l'avoue, je l'ai plus respectée qu'aimée. Je me demandais qu'est-ce qui était le plus convenable, l'amour ou le respect ? Qu'est-ce qui s'approchait de la perfection ? Au final, ces deux cas de figure se sont mélangés, se sont fondus l'un dans l'autre au point de devenir un. Et dans la pratique, le respect a pris le pas sur le reste. Puisque l'amour, au fond, je ne sais pas. Je n'ai jamais su. Alors j'ai appris à respecter au même titre qu'à aimer. J'ai grandi avec la certitude que c'était la façon de faire, la meilleure façon de prouver mon affection. Sans savoir à quel point je pouvais blesser, à quel point je semblais distant et glacial. Une violence silencieuse dont j'étais l'auteur mais dont je ne savais rien. Depuis, entre ma mère et moi, un mur s'est imposé à nous. Une incompréhension mutuelle. J'ai eu beau ne pas la comprendre, cela ne m'a pas empêché de lui envoyer mon amour-respect. Mais parfois, j'avais l'impression que ce dernier rebondissait sur la protection qu'elle avait érigé. Ma soeur en était la responsable, j'en étais convaincu. Notre mère lui accordait ce qu'elle avait cessé de m'offrir, une main dans ses cheveux, sur son épaule, un sourire, une parole tendre, une douceur que j'avais autrefois apprécié pleinement la nature chaleureuse. Une douceur que j'acceptais seulement si cela venait de ma mère, cela allait de pair avec le respect que je lui accordais. 


J'ai aimé ma soeur autant que j'ai aimé ma mère. Je l'ai montré à ma manière, mais j'ai tout fait pour la protéger. Que cela soit pour la préserver des disputes guère discrètes de nos parents ou à même l'école. Elle est de ma famille. J'ai entendu mon père parler d'elle comme le sexe faible qu'il a osé engendré, une de ses plus grandes déceptions. Encore heureux que son premier né était un garçon.


Bien sûr, nous devons jouer les familles unies, et bien que je n'ai jamais été très démonstratif, je le pense vraiment. Mon papa me favorise à ma soeur, et ma mère la favorise à moi. C'est ainsi. Elle n'y peut rien. Je ne peux lui en tenir rigueur. J'ai un certain arrière goût d'aigre-doux face à cette situation... Et l'envie s'enracine, s'enlise dans ma poitrine. Mais je ne dis rien, je garde tout pour moi et je me contente de jouer mon rôle de frère. Au final, je me suis prêté au jeu.


Mon père aborde souvent le sujet du Quidditch avec moi, insistant sur son importance. Il fait l'éloge de ce sport, tandis que je l'écoute poliment, bien que cela m'ennuie profondément. Je reste là, patient, attendant qu'il termine son discours. Invariablement, il en vient à la conclusion que je vais suivre ses pas. Il suppose que je vais devenir comme lui, joueur et capitaine de Quidditch. C'est entendu. En plus de mes études linguistiques, je m'astreins à m'entraîner pour devenir batteur dans l'équipe. Je n'ai pas vraiment eu le choix dans cette affaire. Si j'avais pu choisir, j'aurais préféré être gardien. Mais il serait mal avisé de me demander mon avis... Soit, au fil des années, je m'habitue à ce sport, je ne le trouve plus aussi ennuyant que d'antan. Ce qui m'a permis de m'adapter à ce point, c'est la sensation que j'éprouve sur un balai. Indescriptible, incroyable, le vent me recouvre de sa liberté, il me siffle de le suivre. Je ne désire que le rejoindre, l'embraser. Malheureusement, la réalité m'ordonne de poser pieds à terre. Plus les années défilent, plus la pression est intense. La familiarité dont fait preuve mon papa envers moi désamorce tout ce que je comptais dire ou entreprendre. Ai-je fait quelque chose qui le pousserait en ce sens ? Je le nomme "papa" et je le tutoie, il est évident que je ne lui montre aucun respect... Son comportement me perturbe. Sa main sur mon épaule est horripilante. Son ton d'encouragement cachant un ordre tacite me désespère. Les attentes deviennent de plus en plus élevées que je crains qu'un jour, il ne me demande l'impossible et que je le déçoive. Cela reste mon père. J'ai besoin de son approbation autant que celle de ma mère, bien que cela ne soit pas très voyant.

Jeunesse éphémère qui déroute...

-Battez-vous.
Un ordre simple, explicite mais incompréhensible pour ceux qui le reçoivent. Ces nés moldus, décidément, il ne faut pas trop espérer de leur part.

-Q~ Quoi ?

-Battez-vous.
Répète-je patiemment. Voyant qu'il ne s'exécute pas, je fais une mine boudeuse.

-Il faut vous motiver, c'est cela ? Soit. Celui qui vaincra l'autre, je le laisserai tranquille.
Et oui, c'est une promesse, que je respecterai. Une occasion en or pour vivre sa scolarité sans que je ne vienne les importuner pour diverses choses : faire mes devoirs, m'apporter des livres de la bibliothèque, et toutes choses moins... Agréables encore.

Je souris narquoisement. Ils lèvent doucement leur baguette l'un contre l'autre. Je pensais qu'ils allaient un peu plus résister.

-Messieurs, voyons. Un peu de sérieux. Baissez vos baguettes.

Ils semblent être rassurés, enfin, ils ne le savent pas mais cela ne durera pas longtemps. Croit-il réellement que j'ai changé d'avis ? C'est mal me connaître.

-Vous êtes des sangs de bourbe. En tant que tels, vous allez combattre comme vos pairs moldus : sans baguette.

Ils se regardent pantois, puis ils jettent un coup d’œil vers ma direction et je vois leurs yeux désespérés. Je leur souris amicalement, mais ils doivent me voir plus comme Lucifer que comme un ami en ce moment. Je sais ce qu'ils pensent. D'un côté, ils ne veulent pas avoir à se frapper comme des moldus, pas plus civilisés que des chiens -ha, mince, il me semble que je viens d'insulter la race canine- mais de l'autre, mon offre est tentante. Alléchante même. Ils n'en peuvent plus de ce que je leur fais vivre. Ils sont éreintés. Ils veulent juste que cela finisse. Et là, je leur offre une occasion que leur souhait se réalise. Ils vont céder. Ou tout du moins, l'un des deux va le faire. Finalement, l'un des deux, assène un coup de poing sans prévenir à l'autre concerné par l'ordre. Amusant. L'autre tente de se débattre mais en vain. Après quelques minutes, la domination de celui qui a attaqué en premier est totale. Je ne peux remettre en doute sa victoire, elle est incontestable. Le jeune homme qui est étendue par terre devra certainement faire un tour à l'infirmerie. Mais ce qui m'agace plus que de raison, c'est qu'il souille le sol de son sang. Tss. Même si ce ne sont que quelques tâches, il a intérêt à nettoyer cela. Celui qui est debout est en pleurs. Il me semble que ces deux-là étaient amis. C'est beau l'amitié. Enfin, pas que cela m'importe d'en briser une. Je ne les ai nullement forcé à s'en prendre l'un à l'autre après tout.  

-Et bien, quelle barbarie tout de même. Enfin, venant de quelqu'un de ta nature, cela ne m'étonne pas.

Il ne me regarde pas. Je pense qu'il ne m'entend même plus. Il regarde le sol, absent. C'était divertissant au moins. Je tourne le dos, quittant la scène. Tout en lui disant.

-C'est toujours un plaisir de faire affaire avec toi. Profite bien de ta liberté.
Liberté qu'il a eu, mais à quel prix ?

Tiens, maintenant que j'y pense. J'ignore comment ils s'appellent. Plus tard, j'ai entendu une rumeur selon laquelle Charles aurait agressé son meilleur ami, Julien. Hum, j'ai la réponse.


-Le sang est rouge pour tous, c'est pour cela que nous ne pouvons reconnaître les liens de sang, ni sa nature en soi.
Me dit-elle, un sourire sur les lèvres.

J'hausse un sourcil. Elle n'arrête pas d'essayer de me convaincre qu'elle et moi, nous ne sommes pas si différents. Je soupire, n'y croyant pas. Je suis né sang-pur, elle non. Je lui suis supérieur, c'est épuisant de débattre sur cela à chaque fois que je la croise. Pourtant, je n'ai nulle envie de la blesser ou de la rabaisser. J'aime l'écouter. Sa simplicité est rafraîchissante. Et sa présence, un secret, un silence, qui se trouve être l'inexistence même que je garde imperceptiblement pour moi. Nous nous retrouvons bien malgré-moi sur notre balai pour s'entraîner au Quidditch. Je fais comme si cela me déplaisait de lui parler mais en vérité... Ce n'est pas si désagréable. En fin de compte... En fin de compte...  

Il n'y a pas de larmes plus amères... 

Mon paternel a disparu. Cela fait trois mois. Et que m'apprend, mère ? Qu'elle l'a déclaré mort. Ce que je comprends, c'est qu'elle spécule ce qu'elle souhaite vrai. Pourquoi diable aurait-elle jugé bon de condamner mon père au trépas après seulement quelques mois ? Elle l'enterre sans me demander mon avis. J'ai eu une envie soudaine de me rebeller, c'était viscéral, lui faire comprendre que je ne suis pas d'accord avec sa décision. L'idée aurait été de manquer les funérailles de papa, l'affront ultime que j'aurais pu causer à notre famille. J'avais l'irrésistible tentation de céder à cet instinct d'opposition, moi qui n'avais jamais osé le vouloir. Cela ne m'était jamais venu à l'esprit. Je me suis finalement résous à y assister, non sans marquer ma désapprobation sans mot dire auprès de mère. Je m'y suis rendu, baissant les armes que j'ai eu l'audace d'essayer de lever, afin de préserver l'honneur de mon paternel. S'il revient et qu'il apprend que son fils aîné n'avait même pas daigné assister à sa cérémonie, il se serait retourné dans sa tombe -qu'il n'a évidemment pas-. La réputation de ma famille m'empêchera toujours d'agir selon mon bon vouloir. Je n'avais jamais vu de problème à cela jusqu'à lors. Je m'y suis résous depuis longtemps mais c'est la première fois que je me suis senti prisonnier de ma condition, de mon rang, de mon... Sang.


Chère mère,

Je ne peux que vous donner raison. Le temps file, je dois vous avouer qu'il me tarde que l'année scolaire s'achève. Vos renseignements s'avèrent justes. Il s'agissait d'un Philtre de Mort Vivante. (C'est incroyable comme ma soeur peut se montrer incorrigible à certains moments, elle ne sait nullement tenir sa langue. Cependant ne vous infligez pas autant de tracas. Vous le savez bien, je ne saurais jamais lui en tenir rigueur). Mes résultats sont tels que vous l'avez imaginé pour moi. J'en suis ravi. Je suis certain que Marcella ne pourra que suivre mon exemple, je lui souhaite même d'arriver à me surpasser un jour. Je suis certain qu'elle y arrivera.

Mon regretté papa aurait sans doute été plus présent dans nos cœurs, que je sais meurtris, s'il n'avait pas été enterré vivant.

Je soupire devant cette phrase. J'avais réussi à contenir les remarques sarcastiques et acerbes que je gardais en moi depuis le début de ma rédaction, un venin que je ne savais pas posséder envers mère. Je trouve cela insupportable qu'elle parle de papa comme s'il était bien mort. Qu'il n'y avait rien de plus à en dire si ce n'est l'acte de décès. Tss. Toutefois, reprenant contenance, j'efface ma phrase. Cela ne sert à rien de commencer une joute verbale dans une lettre qui ne saura qu'être lue et certains morceaux ignorés. Il y a des batailles qui ne valent pas d'être engagées, et celle-ci, en ce moment, en fait partie.

C'est intéressant. J'ai hâte de découvrir ces contrées que je n'ai pu explorer en votre compagnie qui m'est, vous vous en doutez, si précieuse en ces temps de deuil.

Je regarde cette réponse ironiquement écrite. Si je ne peux pas pleinement m'exprimer sur cette question, rien ne m'empêche d'être plus subtil. Elle saura lire entre les lignes. Il s'agit de ma mère après tout. Et je ne doute pas que la subtilité sera le maître mot de ces échanges.

En ce qui concerne les pronostics de Quidditch, je mets tout en oeuvre pour que papa, où qu'il soit, sache que je jouerai pour lui, en son honneur. Lui qui rêvait que je gagne la coupe de Quidditch l'année dernière, il fut déçu d'apprendre que mon équipe est arrivé deuxième au classement. Je compte bien décrocher la première place tant souhaitée cette année. D'ailleurs, pour notre prochain match contre Poufsouffle, nous sommes les grands favoris. Je ne me repose pas sur mes lauriers pour autant, je ne prends rien pour acquis...

Quelle ironie, non ? De savoir que je suis plus proche de mon père maintenant qu'il est déclaré mort que lors de son vivant. Le monde est ainsi fait. Je ne peux rien reprocher au mort, je ne peux en dire autant en ce qui concerne les vivants...

En parlant d'acquis, je vous remercie pour cette attention que vous avez eu à mon égard. L'huile pour balais est fort efficace sur le mien. Elle ne démérite pas sa réputation (autant pour son parfum que pour son avantage certain une fois le balai dans les airs).

Je dois également vous laisser, il se fait tard. J'ai un entraînement tôt demain. Il serait mal avisé pour le capitaine de ne pas se préoccuper de son sommeil. Ce serait manquer à mes responsabilités, je suis certain que vous saurez comprendre.

Mes meilleures pensées vous accompagnent, mère. Et bien que cela se soit déjà passé, je vous souhaite tout de même une agréable soirée en compagnie de cet illustre personnage.

Néanmoins, mère, sachez... Qu'il me manque.


Je ne suis pas un être déprimé... 



Je viens de recevoir mes résultats, j'ai eu dix Aspics sur dix épreuves passées.  

Métamorphose Effort exceptionnel.
Sortilèges Effort exceptionnel.
Potions Optimal
Histoire de la magie Optimal
Défense contre les forces du Mal Optimal.
Astronomie Acceptable.
Botanique Effort exceptionnel.
Soins aux créatures magiques Effort exceptionnel.
Arithmancie Optimal.
Étude des Runes Optimal.

J'ai fait honneur à ma famille. Mon champ des possibles est étendue à perte d'horizon. Et malgré cela, je ne sais toujours pas où je vais. Pour un chemin tracé depuis la naissance, c'est cocasse quand même. Je soupire. Il va falloir que je la rejoigne, cette famille. Ce qu'il en reste tout du moins. Quoique parfois, j'en viens à me demander si elle a jamais existé, si ce n'était pas une utopie que je voulais croire aveuglément, quitte à occulter tout le reste. J'étais sans doute trop jeune pour me rendre compte que... Leur histoire durait mais elle était perdue car elle n'était pas faite pour perdurer. Cette vérité est amère. Bien sûr, je conçois que leur mariage n'a pas été source d'amour, mais j'espérais qu'au fil du temps, ils avaient appris à s'apprécier. Mais la dernière fois que je suis rentré à la demeure familiale, c'est à peine s'ils se toléraient... Je termine ma dernière lettre, de celle que je ne posterai jamais, puis je ferai mes valises. Je quitte ma dernière adresse avec une perte certaine. Poudlard m'a vu évoluer, sans doute plus que mes propres parents.  

Mon amour me donne tous les torts...

IN FOR THE KILL - 2021

POUR LES BOTTINS:

● inventé, de famille, scénario ou sans visage ? inventé, famille existante. 
famille avery (première branche) : fils aîné, aurelius avery (18 ans), du fils aîné quintus avery (décédé à 45 ans, en 1954).[/size]
famille parkinson : fils aîné, aurelius avery (18 ans), de la fille aînée monica avery (46 ans), née parkinson, frère de marcella avery (14 ans). 

● Si scenario, merci de poster le lien vers ce dernier ici : /

● avatar : listing il est de la responsabilité du joueur ou de la joueuse de vérifier la vraisemblance des origines ethniques du fc choisi (voir l'annexe sur la représentation).

Code:

<w>louis partridge</w>, @"aurelius avery"

● alter ego : listing il est de la responsabilité du joueur ou de la joueuse de vérifier que le nom d'emprunt de son personnage sorcier⋅ère n'est pas déjà utilisé.

Code:

<wy>Aurelius Avery</wy> • <yw>Rufus Brown</yw>

● emploi et rôle:
listing attention aussi à la règle sur l'accumulation des positions. merci de respecter la casse du codage (majuscule / minuscule). Nous rappelons que les emplois moldus, pour les sorciers, sont des emplois factices. Votre personne n'y travaille pas réellement.

quartier de l'emploi : Londres.
nom de l'enseigne/département/institution : Eton Collège.

Code:

<w>étudiant :</w> @"AURELIUS AVERY"

quartier de l'emploi : /
nom de l'enseigne/département/institution : /

Code:

<w>en recherche d'emploi :</w> @"AURELIUS AVERY"

organisation s'il y en a : si ton personnage a deux organisations, par exemple passeurs et pègre, merci de d'ajouter le code ci-dessous pour chaque organisation. la règle du cumul des rôles et emplois s'applique aussi ici.

Code:

nom de la branche (ou sous-branche), rôle, @"PSEUDO"

particularité s'il y en a : si ton personnage possède une, voire deux particularités, merci de nous indiquer ci-dessous lesquelles et les détails qui s'y accompagnent.

nom de la particularité :
stade d'acquisition : basique, intermédiaire, expert, final
autre(s) : type de malédiction, place dans la meute (ou si solitaire), animal si animagi etc…

● parcours scolaire: listing
(uniquement si ton personnage est sorcier·e)

école : poudlard
maison et année de fin de scolarité : serpentard, 1955. 
était-iel préfet·e et/ou préfet·e en chef ? préfet, de 1952 à 1955.
était-iel joueur·euse de quidditch ? oui, batteur de 1950 à 1955, capitaine de 1954 à 1955. 
faisait-iel partie d'un ou plusieurs club(s) ? club de slug (1952-1955), club de duel (1950-1955).

● groupe : discordia.

● faceclaim : listing

Code:

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<div class="name2"><si>AURELIUS AVERY</si></div>
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<fi> GE:</fi>  18 ans<br/>
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<fi>FACTION:</fi> aucune<br/>
<fi2>SANG:</fi2> pur<br/>
<fi>CRÉDIT:</fi> goldanthem (tumblr)
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<div class="names">Louis Partridge</div>
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Ça promet de faire des étincelles avec Mona dis donc...  
Je ne te fais pas plus attendre et te voici ainsi validé avec ce tout jeune Avery fraîchement sorti de Poudlard ! Attention à nos chasseurs...

tu passes l'étape de la validation Bravo petit monstre, l'équipe se joint à moi pour te souhaiter encore une bienvenue chaleureuse.

parrainage • tu te sens un peu perdu⋅e ? Tu penses avoir besoin d'un peu d'aide pour te retrouver sur le forum, nouer des liens ? Pas de problèmes ! Nous avons mis en place un système de parrainage si tu en ressens le besoin. N'hésite pas à y faire un tour, hormis les vampires et les lycanthropes, personne ne mord !  

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