IN FOR
THE KILL

RPG HP && the village


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PÉRIODE DE JEU:
Juillet 1955
GODRIC'S HOLLOW ● Dans l’ombre, un texte commence à circuler dans les différentes communautés magiques, lu lors de soirées mondaines, traduits dans une dizaine de langue, le pamphlet, extrémiste, fait assez parler de lui pour être reproduit par les journaux ou lu sur les ondes de nombreuses radios afin d’en commenter ou critiquer le contenu. L’illégalité de leur organisation ne semble nullement avoir empêché les Mangemorts de diffuser leurs idéaux. (lire le pamphlet)
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a terrible want (mary)
death eater: always pure ●
Mona Parkinson
death eater: always pure
Mona Parkinson
feuille de personnage

Feuille de personnage
RELATIONS:
INVENTAIRE:
ACQUISITION:
WANDS
KNIVES
SOUL
hiboux : 1023
pseudo : foxie
faciès & dot : Ruth Wilson (thinkky)
doublon(s) : Mycroft ▸ Isadora ▸ Ethel ▸ Helen ▸ Saoirse ▸ Solène ▸ Agnes ▸ Adam ▸ Ralph
gallions : 2786
a terrible want (mary) 200w.gif?cid=82a1493br7sj5gkir53w09vv914q64owlkns38785v27zv8c&rid=200w
pronoms : she-her-elle
décade : 46 ans
labeur : éditrice (Obscurus Books)
alter ego : Patricia Brown, peintre aquarelliste
sang : pur, depuis toujours et à jamais, fierté portée en héritage, couronne invisible mais bien réelle
don : legilimens et animagus (hermine)
myocarde : veuve de Quintus Avery, jamais le grand amour mais il eut au moins le mérite d'être le père de ses enfants avant de disparaître tragiquement
allegeance : l'extrémisme de la suprématie sorcière en étendard, fanatisme brûlant les entrailles depuis l'enfance
particularité physique : tatouage sur l'avant-bras gauche, marque de ce sombre seigneur à qui elle a prêté serment
gif feuille : a terrible want (mary) FvgKPsF8_o

badges
ancienneté
1 an sur le forum.
parrainage
méfaits accomplis.
golden snitch
le.a speedy gonzales du rp.
prix rp
adepte des pavés.
dedoublator
posséder 5+ multi.
team niffleur
olympiades 2023.
demiguise
vendeur.se de scénarios.
animation
a participé au trick or treat 3.0
prix rp
participation aux tc.
crésus
2000+ gallions.
écrivain.e
avoir posté 15 rps.
team sombral
jeux d'iftk 2024.
à l'honneur
membre de la période.
floodeur
1000+ messages postés.
https://inforthekill.forumactif.com/t2337-mona-she-who-advises https://inforthekill.forumactif.com/t2349-mona-i-got-the-abattoi
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(#) a terrible want (mary) ●
07.04.24 17:42
● ● ●
you have nothing to fear
À PROPOS
DE CE SUJET
if you have nothing to hide
● ● ●
temporalité du rp : début juillet 1955
personnages concernés : Mary Travers-Flint & Mona Parkinson
trigger warnings : aucun à ce stade
intervention autorisée du mj : [ ] oui [x] non
autre(s) : Mary et Mona ne se sont vues qu'en coup de vent, lors d'événements mondains, depuis le début du printemps. Pour fêter le début des vacances d'été, Mona est invitée chez sa meilleure amie, afin qu'elles puissent enfin discuter en tête-à-tête...

IN FOR THE KILL - 2021-2022



JEUX 2024
a terrible want (mary) Vks8giC6_o
TEAM SOMBRAL
death eater: always pure ●
Mona Parkinson
death eater: always pure
Mona Parkinson
feuille de personnage

Feuille de personnage
RELATIONS:
INVENTAIRE:
ACQUISITION:
WANDS
KNIVES
SOUL
hiboux : 1023
pseudo : foxie
faciès & dot : Ruth Wilson (thinkky)
doublon(s) : Mycroft ▸ Isadora ▸ Ethel ▸ Helen ▸ Saoirse ▸ Solène ▸ Agnes ▸ Adam ▸ Ralph
gallions : 2786
a terrible want (mary) 200w.gif?cid=82a1493br7sj5gkir53w09vv914q64owlkns38785v27zv8c&rid=200w
pronoms : she-her-elle
décade : 46 ans
labeur : éditrice (Obscurus Books)
alter ego : Patricia Brown, peintre aquarelliste
sang : pur, depuis toujours et à jamais, fierté portée en héritage, couronne invisible mais bien réelle
don : legilimens et animagus (hermine)
myocarde : veuve de Quintus Avery, jamais le grand amour mais il eut au moins le mérite d'être le père de ses enfants avant de disparaître tragiquement
allegeance : l'extrémisme de la suprématie sorcière en étendard, fanatisme brûlant les entrailles depuis l'enfance
particularité physique : tatouage sur l'avant-bras gauche, marque de ce sombre seigneur à qui elle a prêté serment
gif feuille : a terrible want (mary) FvgKPsF8_o

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ancienneté
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golden snitch
le.a speedy gonzales du rp.
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adepte des pavés.
dedoublator
posséder 5+ multi.
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olympiades 2023.
demiguise
vendeur.se de scénarios.
animation
a participé au trick or treat 3.0
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participation aux tc.
crésus
2000+ gallions.
écrivain.e
avoir posté 15 rps.
team sombral
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à l'honneur
membre de la période.
floodeur
1000+ messages postés.
https://inforthekill.forumactif.com/t2337-mona-she-who-advises https://inforthekill.forumactif.com/t2349-mona-i-got-the-abattoi
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(#) Re: a terrible want (mary) ●
07.04.24 17:43
... and I had a terrible want in me to go out at night and see the stars.
A
TERRIBLE  WANT
Les rôles s’étaient inversés, une fois de plus, et c’était désormais au tour de la Ministre de recevoir son amie. Le repas avait été raffiné plus que copieux, les deux dames préférant savourer du regard que du palais - même si aucune n’avait renvoyé son assiette sans que celle-ci ne fût rigoureusement vide. Et si l’alcool avait été servi en accordance, Mona Parkinson avait veillé à ne pas avoir la main trop lourde. C’est qu’elle avait des confessions à faire, et qu’il valait mieux pour cela avoir les idées claires.

Prises dans un tourbillon qui oscillait entre le mondain et le politique jusqu’à en brouiller les frontières, elles ne s’étaient revues qu’à d’irréguliers intervalles tout au long du printemps. Leurs entrevues privées en avaient pâti, tant chacune avait privilégié ses propres projets - et Mona s’estimait en droit de juger que la propagande, dont elle était le principal relais, importait tout autant que les lourdes demandes de la charge ministérielle qui pesait sur son alliée. Il n’était bien sûr pas question de présenter la moindre excuse à ce sujet : l’une comme l’autre aurait considéré cela comme offensant. Leur amitié avait traversé plusieurs décennies - un fait qu’il valait mieux ne pas évoquer en leur présence, puisque l’on ne rappelait jamais son âge à une dame. Encore moins à deux d’entre elles. Encore moins lorsque les deux pouvaient vous transformer en charmant petit scarabée en un mouvement de baguette magique - et se poursuivrait encore longtemps, du moins Mona en était-elle absolument persuadée. Elle ne pouvait imaginer sa vie sans cette moitié d’elle, cette confidente qu’aucune année, qu’aucun aveu, n’avait su éloigner.

Car Mary savait tout de sa vie : depuis l’enfance, les fillettes avaient tout partagé. Cela avait commencé par des murmures discrets - souvent aux dépens d’une autre enfant, jugée moins gracieuse ou moins intelligente, ou tout simplement moins intéressante qu’elles - et cela avait évolué en secrets soigneusement gardés. Mary connaissait les origines exactes de la seconde tête brune dont avait accouché Mona ; et cette dernière n’ignorait rien de ce qui était arrivé à Conall Travers. Le poids de ces confidences aurait dû les faire chanceler, mais leurs mentons étaient restés levés à travers toutes les tempêtes, supportés par la dignité qu’elles apercevaient l’une chez l’autre. Du moins était-ce ainsi que Mona percevait leur relation, comme une source inépuisable d’inspiration et d’admiration. Mary était la seule femme dont elle n’était ni envieuse ni dédaigneuse, prouesse rarissime et jamais parfaitement répliquée. Il y en avait eu d’autres, dont le sang et le rang avaient laissé espérer qu’elles puissent se greffer à l'incomparable duo - dont la plus grande qualité n’était sans doute pas la modestie. Elles s’étaient appelées Cassiopeia, Aoife ou Irma ; avaient porté de prestigieux patronymes et prétendu à des mariages tout aussi étincelants que ceux des étoiles jumelles dans le sillage desquelles elles prétendaient se couler. Elles étaient demeurées, plus ou moins longtemps, dans la faveur de ces deux astres qui illuminaient le firmament de la société sorcière - non, décidément, la modestie n’était guère de mise. Mais aucune n’avait duré, et surtout, aucune n’avait éveillé en Mona l’envie incompressible de toujours se trouver à ses côtés.

Mary savait tout - tant que Mona l’en informait. Non qu’elle ait souhaité lui dissimuler quoi que ce soit, sachant par ailleurs que toute tentative du genre était ultimement vouée à l’échec : la Ministre de la Magie était l’une des personnes les mieux informées de leur monde. Simplement, depuis au moins trois mois, la brune n’avait pas trouvé l’occasion parfaite pour expliquer à sa meilleure amie les derniers tenants et aboutissants de sa vie. Futilités, auraient affirmé certains - des idiots, qui ne pouvaient pas comprendre à quel point une alliance pouvait changer le cours des événements, surtout lorsque ladite alliance était à la fois une union de fait et une stratégie quasi-militaire. Ces mêmes imbéciles ne pouvaient saisir l’importance du retour au nid de l’enfant héritier, devenu adulte et surtout homme de la famille en l’absence de son père. Ils n’auraient pas su, les pauvres, relier entre eux les points complexes d’un dessin que seule la Parkinson savait tracer de sa main experte. Il fallait pour cela un esprit aussi subtil - certains auraient dit retors - que le sien propre. Et à ce jeu, seule Mary savait participer.

Encore fallait-il que Mona soit prête à lui dévoiler ses cuisants échecs, au même titre que certaines de ses plus brillantes réussites. Étrangement, ces dernières étaient autrement plus faciles à avouer à demi-mot : ainsi, la propagandiste avait-elle reconnu d’un simple hochement de tête que le pamphlet suprémaciste qui déchaînait les passions des cercles sorciers était bel et bien issu de sa pensée. Elle ne s’en sortirait pas aussi aisément en ce qui concernait le projet de fiançailles qu’elle avait dû porter, puis avorter, en secret - pas celui de sa sœur et du jeune Dolohov, celui-là étant toujours à l’agenda de l’été qui commençait… Pour peu qu’elle puisse convaincre les tourtereaux d’accélérer un peu le mouvement, songea-t-elle, soudain exaspérée. C’était à croire qu’ils s’étaient mis d’accord pour la faire enrager, tant il leur fallait de temps pour accéder à la plus petite validation du plus infime détail lié de près ou de loin à la cérémonie. Dernier dénouement en date, Mona avait failli s’arracher les cheveux lorsque sa cadette avait passé un après-midi entier à hésiter sur la police d’écriture de leurs faire-parts d’invitation.

Non, c’était d’un autre projet qu’il s’agissait. Et si les deux amies avaient déjà longuement échangé au sujet de leur - fort large - cercle de connaissances mutuelles, en guise d’amuse-bouche, ce sujet faisait partie de la longue liste qui attendait encore d’être entamée. Ensuite venait l’issue de son fils - non qu’Aurelius lui pose le moindre problème. C’était justement cela, le souci : l’enfant qui n’en était plus un était devenu un mystère que sa propre mère échouait à percer. Il n’entrait jamais ouvertement en conflit avec elle, mais semblait s’arranger pour parvenir à déjouer systématiquement tous les plans qu’elle avait pu élaborer pour lui - dans son propre intérêt, ne pouvait-elle s’empêcher de soupirer.

Ingrates créatures, que celles qui composaient sa famille. Et encore, Mona aurait pu ressasser des griefs vieux de plusieurs décades au sujet de son frère Augustus, qui était persuadé que le rôle de chef de famille lui revenait. Elle aurait pu songer à Perseus, apparemment doté du même instinct de rébellion que Paulina, dont la réluctance au mariage deviendrait bientôt un sujet de commérages.

Elle aurait pu… Mais en présence de Mary, une envie nouvelle s’éveillait chez Mona : celle d’écouter. Elle avait bien des récits à conter, et les mots n’avaient aucun mystère pour celle qui avait passé sa vie à en jouer. Pourtant, en cet instant, alors qu’autour d’elle la nuit étendait doucement son voile satiné, la sorcière aux yeux pers souhaitait avant tout savoir ce que les dernières semaines avaient apporté à sa plus tendre amie - le terme pouvait surprendre, mais Mona, mieux que personne, savait que Mary était de ces femmes dont la façade protégeait une inépuisable fontaine d’affection. Pour sa fille, aussi irritante que Mona puisse trouver cette dernière ; pour ses filleules, dont le statut de naissance n’avait jamais semblé peser dans la balance ; pour son ex-mari, alors même que ce dernier lui avait brisé le cœur. Aussi, alors qu’elles se dirigeaient vers le salon pour s’y retirer, la sorcière se permit-elle de passer son bras sous celui de sa Ministre - de sa muse, aussi, bien qu’il s’agisse là d’un ultime secret dont elle ne comptait pas se départir avant un moment. L’aquarelle était restée sagement inachevée, sur le chevalet de l’artiste, qui n’osait plus trop y toucher - par respect, prétendait-elle. Sans doute était-ce davantage une peur irrationnelle qui retenait sa main, la peur de tout rater, de défigurer à jamais le visage fin et le profil aquilin.

Leur démarche lui rappelant les longues promenades en bordure du Lac Noir, à une époque où aucun être extérieur n’avait encore osé interférer dans leur amitié bourgeonnante, Mona demanda soudain d’une voix éthérée :

« Mary… Crois-tu qu’à douze ans, nous aurions pu imaginer cette vie ? Nous avons des enfants » - nous avons eu des maris, retint-elle, trop consciente encore de la dangerosité d’un tel sujet - « et ils ont bien dépassé l’âge que nous avions quand nous nous sommes rencontrées. Pourtant, il me semble parfois que nous n’avons guère plus que quinze ans, que nous nous intéressons pour la première fois aux garçons et à leurs pirouettes » - en effet, c’était à cet âge qu’elle-même s’était soudain passionnée pour les matches de Quidditch et leurs cortèges de victoires et de torses dénudés - « vingt ans, tout au plus ! À quoi rêvions-nous alors ? »

Elle connaissait la réponse, bien sûr. En tout cas, en ce qui la concernait : à peine sortie de l’adolescence, Mona avait rêvé d’un chemin bien tracé, d’un monde soigneusement ordonné dans lequel elle pouvait briller, encore et toujours. Un monde dans lequel rien ne lui était refusé, ni la position de meneuse de sa dynastie, ni l’amour de sa vie. Et, d’une certaine manière… Elle avait obtenu ce qu’elle désirait tant. Mais le mariage s’était consumé en cendres amères, et la lutte âpre pour l’attention de son père n’était toujours pas achevée.

Ce n’était toutefois pas d’elle-même qu’elle souhaitait parler. C’étaient les envies, les espoirs et les rêves de Mary qu’elle voulait à présent imaginer, espérant sans doute y reconnaître l’ombre des siens. « De quoi rêvais-tu ? » acheva-t-elle, une curiosité sincère au fond des paupières.

MADE BY @ICEANDFIRE / IN FOR THE KILL › 2021-2022


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