IN FOR THE KILL - 2021

Première année de vie:

Chaque enfant nait, s’il est chanceux, d’une mère et d’un père qui s’aiment. Il grandira entourer des siens dans l’amour et la sécurité, choyé et avec tous ses besoins élémentaires et affectifs comblés. Les premières années de la vie d’un enfant sont importantes; elle sert de fondation à la personnalité qu’il développera et à la confiance qu’il saura mettre ou non dans le monde qui l’entoure. Chaque enfant devrait naître aimé et protégé, peu importe sa race, son origine, le niveau financier de sa famille ou des croyances de ceux qui l’entoure.


Pour ma part, je dirais que j’ai pratiquement connu tout ça, mais d’une façon si étrange que je ne sais pas si je cadre vraiment dans ce genre de descriptif, en fait. Commençons par le commencement. J’ai un père et deux mères; l’une est ma mère biologique et l’autre est ma mère adoptive, la seule que j’ai réellement appelé « maman ». Il faut savoir que mon père Asher Greyback est du genre très généreux de sa personne au lit. Il a sa femme et des concubines. Je suis né de l’une de ses concubines bien que ce soit Fen (la femme de mon père) qui m’a réellement élevé et aimé.


Il faut dire que ma génitrice, Delaney Mcintosh, était une femme magnifique, mais particulièrement dérangée. Personne ayant ses pleines capacités mentales ne l’aurait choisi comme épouse, mais ça, mon père ne le savait pas encore. Oh, il devait avoir deviner qu’il y avait un truc qui clochait avec elle, mais autant? Peut-être pas. Par chance, ce n’était qu’une concubine et non pas une épouse.


À cette époque, ma mère biologique était amoureuse d’Asher Greyback à un point qui en frisait la démence. Elle était complètement obsédée par son magnétisme et désirait plus que tout au monde devenir son épouse légitime. C’est ainsi que je suis né. Elle pensait qu’en lui donnant un enfant, qui plus est un fils, Asher n’aurait pas d’autre choix que de lui donner un rôle officiel. Ce qu’il ne fit jamais. Elle était pour lui une distraction sympathique et le respect qu’il lui portait n’était pas de l’amour. Ce constat termina d’achever la faible santé mentale de Delaney. Elle aurait sans doute pu remplir un rôle de mère satisfaisant, mais m’ayant eu simplement pour forcer mon père à l’aimer, rapidement elle se désintéressa complètement de moi. Je ne lui servais plus à rien. Les rares fois qu’elle a eu des élans maternels, c’est lorsqu’elle voyait Fen me bercer avec tendresse et amour. Là, sa jalousie obsessive reprenait le dessus et elle réclamait son fils encore et encore.  


Malgré tout ça, est-ce qu’on aurait pu la soupçonner de nourrir quelques sombres projets pour récupérer la place qui lui revenait de plein droit, selon elle? Non. On ne veut jamais croire qu’une mère serait prêt à faire du mal à son propre enfant simplement pour attirer l’attention de ses pairs. Pourtant, c’est ce qu’on soupçonne qui s’est produit lorsque je n’avais que 7 mois, lors de l’une des rares nuits où elle devait s’occuper de moi puisque Fen était malade.


Bien évidemment, j’étais beaucoup trop jeune à l’époque pour avoir des souvenirs des événements, c’est donc l’histoire que m’a raconté mon grand-père qui s’est infiltré dans ma mémoire. Donc, selon les explications qu’à eut à produire ma mère biologique après l’événement, des hommes inconnus auraient profités de la nuit tombée pour s’infiltrer dans le campement, pénétrer sa demeure, m’enlever et me jeter dans la rivière non loin de là dans le but de me noyer. C’est elle qui m’aurait sauvé des flots en se réveillant lorsqu’elle a entendu mes pleurs de poupon. Par son geste de courage, elle espérait à nouveau gagner le cœur d’Asher et prendre la place de Fen.


Histoire rocambolesque, n’est-ce pas?


Surtout qu’il y a tellement d’incohérence dans cette histoire qu’il est évident qu’elle a tout inventé sans prendre en considération qu’elle habitait entourée de lycanthrope. Aucun inconnu n’aurait pu s’infiltrer dans la forêt sans qu’ils ne soient repérés. Pourquoi enlever un poupon pour le noyer? Pourquoi auraient-elles été la seule à entendre mes pleurs? Par instinct maternelle? Certainement pas. Le triste constat qu’on peut faire de cette histoire c’est qu’elle m’a jeté dans la rivière et qu’elle a ensuite sauté pour me tirer de l’eau avant que je me noie, tout ça pour gagner le cœur de mon père. L’amour et la folie qui l’habitaient pour Asher Greyback valaient plus que la vie de son propre enfant.


Du coup, elle a non seulement perdu son droit de vivre au campement, mais également tous ses droits sur moi et son droit d’être la concubine d’Asher. En tentant de prendre une place qui ne lui revenait pas, elle venait de tout perdre. Fen est véritablement devenue ma mère suite à tout ça, la seule que j’ai véritablement connue pendant mon enfance…jusqu’à ce que je fasse mon entrée à Poudlard.

Les manipulations d'une mère:

Vous vous souvenez de cette mère biologique que je soupçonne fortement d’avoir tenté de me noyer? Je n’ai plus eu de nouvelles d’elles jusqu’à mes treize ans. Je crois que mon père l’a réellement terrifiée lorsqu’il lui a retiré ses privilèges et ma garde. Sincèrement, jamais je n’aurais pensé qu’elle reprendrait contact avec moi un jour. Après tout, elle ne m’avait jamais réellement aimé ni désiré, je n’avais été que son moyen le plus efficace pour tenter d’atteindre le cœur de mon père.  Pourtant, lors de ma deuxième année à Poudlard, j’ai reçu un hibou d’elle, m’annonçant qu’elle était ma mère (avec le temps, je l’avais oublié à vrai dire. Pour moi, la seule mère que je n’ai jamais eu c’est Fen) et qu’elle souhaitait apprendre à me connaitre.


Curieux, je lui ai répondu simplement pour lui dire que ma mère s’appelait Fen Chang et que je ne voulais rien savoir d’une femme dont je ne savais rien. Je n’ai même pas pris la peine de signer ma missive, je l’ai simplement envoyé comme ça. Juste pour lui montrer le peu d’importance que son existence avait à mes yeux. Croyait-elle vraiment que je ne parlerais pas de cette piètre tentative d’entrer en contact à mon père? C’est tout naturellement que j’ai envoyé sa lettre à mes parents avec mes interrogations sur la marche à suivre. J’avoue avoir toujours été un peu impulsif et agressif, ma famille m’aide à relativiser et à raisonner adéquatement. Sincèrement, je ne pensais pas qu’elle aurait l’audace de m’écrire encore.


Sauf qu’elle le fit.


Pendant toute ma scolarité, elle me raconta par missive à quel point elle m’avait toujours aimé et que mon père avait tout fait pour que je lui tourne le dos. Elle parla de la manipulation dont j’étais victime (selon elle) pour les aimer plus qu’elle. Lentement, elle tissait une toile pour tenter que je me rebelle contre mon père, ma mère et même ma petite sœur sans se douter une seule seconde que l’une de ma plus grande qualité est la loyauté envers les miens.


Si un jour j’avais douté de l’affection de mes parents à mon encontre, peut-être aurais-je pu me laisser influencer par ses paroles sournoises et perfides, mais ce ne fut pas le cas. Lentement, j’ai commencé à lui répondre, tentant de lui faire croire que son plan fonctionnait. Pourquoi? Simplement pour découvrir pourquoi elle se donnait autant d’effort pour me faire trahir les miens. Lors de ma septième année, j’ai même accepté de la croiser à Pré-au-lard. Ça restera toujours l’un de mes pires souvenirs. En effet, dès qu’elle me vit, elle m’appela par le prénom de mon père, comme si ce-dernier n’avait pas vieilli avec les années. Je sais bien que je ressemble à mon paternel lorsqu’il avait mon âge, mais pas au point d’être son sosie. Il me fallut presque trente minutes pour la convaincre que je n’étais pas Asher Greyback, mais bien Fenrir Greyback. Ensuite, elle me demanda si ma famille parlait d’elle, de temps en temps. Son visage se tordit de douleur lorsque j’ai affirmé qu’elle n’était plus qu’un lointain et mauvais souvenir pour les miens. Cruel? Peut-être un peu. Je n’ai jamais vraiment fait attention aux sentiments des autres (sauf pour quelques élus).


J’ai découvert les sombres desseins qu’elle nourrissait pour moi lorsqu’elle me fit d'énorme sous-entendus à peine voilé sur le fait que nous serions une famille beaucoup plus heureuse et unie si Hazel et Fen n'étaient pas présentes. Si elles n'existaient plus, en quelques sortes. J'ai fait mine de l'écouter et de comprendre, alors que je ne rêvais que de la faite taire une bonne fois pour toute. Ma mère et ma soeur font parties de mon existence et le fait que ma génitrice parle aussi ouvertement de comment la vie serait merveilleuse sans elle me faisait craindre pour leur sécurité. Suis-je un peu trop protecteur ? Est-ce que ça me porte vers la paranoïa? Aux vacances d’hiver, cette année là, j'ai pu faire ce que mon coeur et ma conscience me dictait. Je suis retourné auprès de la meute et j’ai pu tout dévoiler à mon père sur les discours empreint de folie de celle qui avait un jour été sa concubine.

Pour l'instant, ses paroles n'étaient que des mots, mais deviendrait-elle plus dangereuse un jour?

L'incompréhension d'un exil:

Mon entrée à Poudlard. Normalement, tous les petits sorciers sont heureux d’y entrer et d’y vivre un millier d’aventure, mais moi…pas tellement. Poudlard me semblait énormément loin de ma famille et de ma meute, beaucoup trop loin. Ce n’est pas la peur qui rendait cette nouvelle aventure moins fabuleuse qu’elle aurait dû être, mais la crainte de quitter les miens. Les membres du clan, ils me connaissaient et me comprenaient. À Poudlard, je savais que je serais crains et jugés, mais que je serais également enfermé. Jusqu’à maintenant, je n’ai jamais dormi dans quoi que se soit qui ressemble à cette école. On ne m’a jamais forcé à rester assis pendant de longues heures à écouter des théories barbantes et inutiles. Je suis un futur loup, j’ai besoin de bouger et de courir. J’ai besoin de liberté!


Dois-je réellement vous dire que des retenues, j’en ai eu plus qu’un première année n’en a jamais eu auparavant? Je crois que c’est dans la fibre des Greyback d’être des fouteurs de troubles qui n’en font qu’à leur tête. Pourtant, c’est plus fort que moi, j’ai BESOIN de liberté et Poudlard est si restrictif que ça m’en hérisse mes poils inexistants. Au moins, en tant que Serpentard particulièrement rusée et craint, je peux m’amuser à terrifier mes camarades lorsque les cours deviennent trop lourds. Sincèrement, les trois premières années furent difficiles à tolérer, mais je relativisais en me disant que mon père me laisserait abandonné mes études avant les B.U.S.E. Je n’avais pas besoin d’une grande scolarité pour la vie dont je rêvais alors pourquoi me forcer à m’emmurer dans une école qui ne veut même pas de moi, de toute façon.


Sauf que je me suis rapidement confronté au refus de mon père de me voir abandonné ma scolarité. J’avais beau lui expliquer que Poudlard n’avait rien à m’offrir, que je m’y sentais emprisonnés, mais rien à faire. Il tenait à ce que je termine mes études. J’ai toujours respecté mon père, j’ai toujours tout fait pour qu’il soit fier de moi, mais ça…c’était particulièrement injuste de sa part. Cet exil forcé, que cachait-il derrière? Pourquoi ne me voulait-il pas au sein de la meute? Me considérait-il moins capable que lui de survivre lorsqu’il a été renvoyé de Poudlard? Les seuls cours où je me sentais le moindrement bien dans cette prison de pierre, c’était la botanique, les soins aux créatures magiques et l’astronomie. Pourquoi m’obliger à avoir un diplôme? Croyait-il vraiment que je choisirais une carrière ministérielle, moi qui étais incapable de dormir dans un dortoir et qui réclamait encore et encore ma morsure afin de devenir un loup, moi aussi?


J’ai tenté de me faire renvoyer de l’école, mais les menaces que j’ai reçu de mes parents concernant mon avenir de lycanthrope qui pourrait s’en retrouver influencé furent suffisantes pour calmer mon intensité. Alors j’ai rongé mon freint. J’ai supporter cette foutue prison qu’est Poudlard en serrant ma mâchoire et en rêvant de tout faire exploser. Évidemment, mes résultats scolaires étaient pour la plupart catastrophique, mais je n’en avais rien à faire. Je n’étais clairement pas l’étudiant typique que les professeurs rêvaient d’avoir, de toute façon. Toujours avec un uniforme négligé, froissé et parfois même déchiré par endroit, je ne portais jamais la cravate règlementaire et il m’arrivait souvent de sauter quelques cours. Plus j’avançais en âge, plus les rentrées scolaires devenaient difficiles. La veille ou le matin même de la rentrée, je m’arrangeais pour m’enfuir le plus profondément dans la forêt afin de rater le train, mais malheureusement, mon père me retrouvait à chaque fois et me forçait à prendre le train à chaque fois.  

Embrasser son destin:

 

Devenir un loup a toujours été mon plus grand rêve et ce, depuis que je suis en âge de comprendre ce que ça signifie réellement. Mon père et mon oncle ont toujours été mes exemples à suivre, des hommes auxquels j’aimerais pouvoir un jour prétendre ressembler. La première fois que j’ai demandé à me faire mordre, je devais avoir sept ans. Je ne comprenais pas pourquoi je devais attendre mon dix-huitième anniversaire avant de recevoir ce don familial qui faisait la gloire des Greyback. Sérieusement, est-ce que quelqu’un du clan croyait réellement que les années allaient me faire changer d’idée? Que l’âge ou la maturité me donneraient envie de rester différent du reste des miens? Je n’ai jamais eu ma place dans le monde sorcier, ma maison, c’est ma meute. Alors oui, tout comme mon envie de ne PAS vouloir être un étudiant à Poudlard, j’avoue que je suis devenu assez pénible avec ma demande répéter de devenir un lycanthrope. Lors de chacun de mes anniversaires, je demandais ma transformation en cadeau. Ma demande était la même à chaque Noel.


Je devais devenir un loup.


Je suis né pour devenir un loup.


Je l’ai toujours senti au plus profond de moi. Pourtant, mon père s’entêta d’attendre mon dix-huitième anniversaire, après mon année scolaire pour enfin réaliser mon vœu le plus cher.


La morsure, je l’ai reçue à mon avant-bras gauche. La douleur qui traversa mon corps en entier lorsque la mâchoire se referma sur ma peau pour la déchirer me fit hurler de douleur, mais en même temps, une certaine satisfaction pénétrait mon subconscient. Une fièvre intense et la souffrance me firent perdre conscience alors qu’on me prodiguait des soins d’urgence, mais je ne crois pas que Fen ou qui que ce soit ait craint pour ma vie. J’avais tellement réclamé cette morsure qu’il aurait été terriblement ironique que j’en meurs.


La première transformation fut encore pire, d’un point de vue douleur, mais tellement satisfaisante.


Et après cette première transformation, ce fut comme l’illumination. Comme si je venais enfin d’arriver à la maison après un long voyage. Comme si je m’étais enfin trouver.


J’étais enfin complet.

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développement de la particularité

MANIFESTATION ET IMPACT La lune est devenue ma meilleure amie. beaucoup de sorciers s'étant fait mordre par un lycanthrope ressente une honte et tente de rejeter leur nouvelle nature, mais ce n'est clairement pas mon cas. Oui, certaines émotions plus agressives et impulsives sont plus exacerbée à l'approche de la pleine lune, mais je n'y vois pas une contrainte. Nous sommes des loups, des prédateurs. Pourquoi avoir peur de notre véritable nature? Pourquoi craindre ce que nous sommes?

Alors oui, lors des nuits de pleines lunes je me transforme en immense loup assoiffé de sang et de liberté, mais le sentiment de pure ivresse que je ressens sous cette forme vaut toutes les souffrances liées à la transformation. J'en suis au stade ou j'accueille la douleur comme une vieille amie.

APPRENTISSAGE OU ACQUISITION Il n'y a aucun apprentissage à proprement parlé qui vous prépare à la lycanthropie. On devient un loup en se faisant mordre et en survivant à l'attaque. Ensuite, on pourrait dire qu'il y a un apprentissage instinctif à la survie en tant que loup.

STADES DE MAÎTRISE OU DE DÉVELOPPEMENT Aucun. On ne contrôle rien lorsqu'on est sous l'effet de la transformation. Je dirais que le seul "développement" ou "maîtrise" vient avec l'acceptation de notre nouvelle nature.


LIMITES ET CONTRAINTES La pleine lune a pleine influence sur nous, mais selon la légende, une potion existerait pour permettre aux sorciers mordus d'écourter les transformations. Personnellement, je n'ai jamais même songer à savoir si c'est vrai ou pas comme rumeur.

LOIS POSSIBLES EN VIGUEUR Recensement auprès du ministère de la magie...mais moi, je ne suis pas recensé, tout comme les membres de ma famille.

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POUR LES BOTTINS:

● inventé, de famille, scénario ou sans visage ?
Scénario rédigé par Euca.


LUKWOS GREYBACK (DÉCÉDÉ) & SARA FLETCHER (XX ANS, LIBRE)

I - @ASHER GREYBACK (40 ANS, PRIS) & FEN CHANG (39 ANS, PRISE)
→ AUCUNE DESCENDANCE

I - (1ÈRE CONCUBINE) @ASHER GREYBACK (40 ANS, PRIS) & Delaney Mcintosh (38 ANS, LIBRE)
→ FENRIR GREYBACK (20 ANS, Pris)

I - (2NDE CONCUBINE) @ASHER GREYBACK (40 ANS, PRIS) & LILJA (DÉCÉDÉE)
→ HAZEL GREYBACK (18 ANS, PRISE)



● Si scenario, merci de poster le lien vers ce dernier ici : Scénario

● avatar : Thomas Doherty est écossais. Je lui ai ajouté des origines britanniques.

Code:

<w>thomas doherty</w>, @"Fenrir Greyback"

● alter ego :Aucun alter égo. Il ne s'est pas plié à cette demande stupide.

Code:

<wy>fenrir greyback</wy> • <yw>fenrir greyback</yw>

● emploi et rôle: Aucun

quartier de l'emploi : aucun

Code:

<w>aucun :</w> @"FENRIR GREYBACK"

quartier de l'emploi : Aucun et partout à la fois
nom de l'enseigne/département/institution :Chasseur de primes

Code:

<w>chasseur de primes :</w> @"FENRIR GREYBACK"

organisation s'il y en a : Pègre Fletcher

Code:

Pègre, branche Fletcher, pillard, @"FENRIR GREYBACK"

● parcours scolaire:
école : Poudlard
maison et année de fin de scolarité : Serpentard, 1952
était-iel préfet·e et/ou préfet·e en chef ? AHAHAHAHAHAH non.
était-iel joueur·euse de quidditch ? Non, il déteste voler.
faisait-iel partie d'un ou plusieurs club(s) ? Non plus.

● groupe : Discordia

● faceclaim : Thomas Doherty

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<div class="infos2">INFORMATIONS</div>
<fi>ÂGE:</fi>  21 ans, presque 22<br/>
<fi2>MÉTIER:</fi2> chasseur de prime<br/>
<fi>FACTION:</fi> Pègre Fletcher<br/>
<fi2>SANG:</fi2> Hybride, lycanthrope<br/>
<fi>IDENTITÉ MOLDUE:</fi> Aucune</br>
<fi2>MÉTIER MOLDU:</fi2> Aucun</br>
<fi>CRÉDIT:</fi> theoriginalnepenthes
    </div>
</div></div></div></div>
<div class="names">NOM DE LA CELEBRITE ICI</div>
</div>
</a>

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    tout ce que j'avais à dire.
Un régal de te voir t'approprier ce petit louloup
Fais tout de même attention aux chasseurs qui rôdent
Hâte de te voir en jeu rebienvenue à la maison

tu passes l'étape de la validation Bravo petit monstre, l'équipe se joint à moi pour te souhaiter encore une bienvenue chaleureuse.

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