IN FOR
THE KILL

RPG HP && the village


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PÉRIODE DE JEU:
Juillet 1955
GODRIC'S HOLLOW ● Dans l’ombre, un texte commence à circuler dans les différentes communautés magiques, lu lors de soirées mondaines, traduits dans une dizaine de langue, le pamphlet, extrémiste, fait assez parler de lui pour être reproduit par les journaux ou lu sur les ondes de nombreuses radios afin d’en commenter ou critiquer le contenu. L’illégalité de leur organisation ne semble nullement avoir empêché les Mangemorts de diffuser leurs idéaux. (lire le pamphlet)
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apprivoiser l’animal. (arazel)
mob: bang, bang u're dead ●
Arthur Bagshot
mob: bang, bang u're dead
Arthur Bagshot
feuille de personnage

Feuille de personnage
RELATIONS:
INVENTAIRE:
ACQUISITION:
WANDS
KNIVES
SOUL
hiboux : 204
pseudo : roi de pique, marine.
faciès & dot : finn cole — olympia, cavarage, dickinson.
doublon(s) : la princesse jules, edith la pimbêche.
gallions : 677
apprivoiser l’animal. (arazel)  4871a94263e4294d3d48e4652fe3063695d25172
pronoms : masculin.
décade : vingt-deux grains tombés au fond du sablier, cri poussé quelques fractions de secondes après le jumeau, apogée de son existence sous l’essence de sa jeunesse.
labeur : talent inné pour voler, acrobate des airs et esprit ambitieux, attrapeur vedette des frelons de wimbourne, le numéro sept sur le maillot, joueur professionnel qui rêve des sommets, notamment de rejoindre l’équipe national et de rafler tous les trophées.
alter ego : aaron ackerman.
storytime : en cours ;;
etheldollyarazel ii

à venir ;;
— cass — dispo.

terminés ;;
brothershazel

sang : liqueur mêlée depuis trop longtemps pour prétendre à une quelconque stupide pureté, né d’une moldu et d’un sorcier, exemple parfait d’une cohabitation qui peut exister, mais autour du portrait de famille, le danger rôde toujours, à l’affût du moindre faux pas.
don : élu sourire le plus charmeur selon sorcière-hebdo, ça compte n’est-ce pas ?
myocarde : la presse prétend qu’il est un bourreau des cœurs, balivernes, son regard se tourne à sa surprise vers la gamine greyback.
allegeance : son frère en drapeau tatoué sur sa peau, mais la pègre à ses trousses, petit trafiquant des riches.
particularité physique : petite taille, idéale pour fendre les airs et saisir le vif, se tient souvent courbé, effet secondaire de ses entraînements sur son balai, fine cicatrice sur l’avant bras droit, vestige du derby contre les flèches et d’une faute à son encontre où il fut percuté contre les gradins.
gif feuille : apprivoiser l’animal. (arazel)  5617e6c54908a0a7abe012128b91defb5ab140f7

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a participé au trick or treat 3.0
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(#) apprivoiser l’animal. (arazel) ●
05.04.24 19:18

● ● ●
you have nothing to fear
À PROPOS
DE CE SUJET
if you have nothing to hide
● ● ●
temporalité du rp : juillet 1955, début du mois.
personnages concernés : @Hazel Greyback
trigger warnings : mention steak de niffleur, nudité, grossièreté.
intervention autorisée du mj : [ ] oui [x] non
autre(s) : les frelons ont gagné, vive les frelons !

IN FOR THE KILL - 2021-2022



    et je t’aime,
    même si j’en ai pas l’air,
    mon frère.
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labeur : talent inné pour voler, acrobate des airs et esprit ambitieux, attrapeur vedette des frelons de wimbourne, le numéro sept sur le maillot, joueur professionnel qui rêve des sommets, notamment de rejoindre l’équipe national et de rafler tous les trophées.
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don : élu sourire le plus charmeur selon sorcière-hebdo, ça compte n’est-ce pas ?
myocarde : la presse prétend qu’il est un bourreau des cœurs, balivernes, son regard se tourne à sa surprise vers la gamine greyback.
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particularité physique : petite taille, idéale pour fendre les airs et saisir le vif, se tient souvent courbé, effet secondaire de ses entraînements sur son balai, fine cicatrice sur l’avant bras droit, vestige du derby contre les flèches et d’une faute à son encontre où il fut percuté contre les gradins.
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(#) Re: apprivoiser l’animal. (arazel) ●
05.04.24 19:25

et cette fille m’a touché, je crois bien que c’est foutu, j’suis foutu.
A

PPRIVOISER
L’ANIMAL


La coupe, remportée. La victoire arrachée, le vif dans le creux de sa main. C’est mémorable, ça restera pour toujours dans l’histoire. Précisément ce que veut le joueur, le jeune champion, héros du match, celui qui asséna le coup de grâce à l’équipe adverse. Arthur a toujours voulu ça, devenir un héros, être dans les livres d’histoire, se hisser au sommet, parce qu’il aime avoir le contrôle sur tout et surtout, sur sa vie. Brillant lors du match, lors de la finale, il est au rendez-vous, au même titre que ses coéquipiers. Les frelons dominent la rencontre du début à la fin, c’est un sans faute et le final est explosif. Arthur pique vers les gradins, saisit le vif juste sous le nez d’un supporter et met fin à la rencontre. Un écart flagrant, trente à quatre-vingt dix et un trophée à la maison, le premier pour les frelons. Cette année à n’en point douter, l’or et le noir seront les couleurs de tous les amateurs de sport. Les maillots vont s’arracher, les contrats de sponsoring vont exploser et la fortune sera au rendez-vous, c’est donc ça, la gloire. C’est un sentiment incroyable, puissant et presque euphorique. D’autant que l’attraper a été élu homme du match ! Un privilège absolu, lui, déjà fier comme tout, se sent pousser des ailes, lui, il a réussi, il a tout réussi ! Enfin, non. Pas tout.
Un vilain et tout petit grain de sable s’est glissé dans la machine. S’il n’empêche pas les rouages de fonctionner, le mécanisme tourne moins bien. Il sonne creux, creux, comme le cœur du garçon. La gloire, c’est bien, mais seul, c’est moins bien. Constat amer quand il se rend compte que tous les trophées du monde ne peuvent remplacer l’absence de son frère jumeau. Ce crétin d’Adam n’était pas là. Bien sûr, le contraire aurait été étonnant s’est répété Arthur. D’autant que l’histoire avec Dolores n’a rien arrangé, ça n’a fait qu’empirer les choses, accentuer le gouffre qui les sépare. Salaud. Une insulte qu’il a proféré dans une lettre. Arthur ne l’a pas jeté, ne l’a pas brûlé. Il conserve le mot, non pas pour le jeter à la figure de son jumeau le moment venu, quoiqu’on en dise, il n’est pas assez vicieux pour ça. Simplement pour se rappeler chaque soir, combien il lui manque, ce frère.

Et quand arrive l’été, vient aussi la fin de la saison. La ligue en pause, les joueurs peuvent enfin se reposer. Des vacances bien méritées, mais pour autant, Arthur Bagshot ne rentre pas chez lui. Il évite. Au début, il n’avait pas le temps. Entre les entraînements, les interviews, les contrats avec les marques, son agenda était complet, ou pas ! De mauvaise foi, Arthur prétend cela, mais il sait au fond de lui, qu’il aurait pu trouver du temps pour sa famille. Seulement, sa carrière était et est toujours sa priorité. Lui, il veut plus qu’une simple maison, lui, il veut le monde à ses pieds. Il vise l’Olympe, le petit mortel et c’est peu dire. Alors, ne pas trouver le temps est devenu avec le temps justement, une mauvaise habitude. Aujourd’hui, s’il en ressent le besoin, le sorcier a presque oublié la maison. L’odeur qui s’échappe de la cuisine quand sa mère fait un bon repas. Le rire de son père qui lance des blagues ratées qui ne font rires que lui et son frère, avec qui, il se chamaille constamment, arrachant un sourire nostalgique à sa mère. C’est le piège de prendre de mauvaises habitudes. Elles restent, elles deviennent le quotidien et on finit par s’habituer, à vivre avec, les intégrer au quotidien.
Pourtant, Arthur a vu ses parents lors de la finale. Ils étaient là, ils ont répondu présents ! Le sujet d’Adam a d’ailleurs été soigneusement évité, Arthur ne tenant pas à s’épancher dessus. Mais entre la foule en délire, la remise de la coupe et des médailles, le jeune homme n’a finalement presque pas vu ses parents. Depuis, sa mère n’attend qu’une chose, qu’il rentre à la maison pour fêter sa victoire en famille. En famille, là, ça lui fait mal, à l’intérieur, à ce nabot.

Lassé de ressentir ce trouble, sentiment qui mélange à la fois une pincée de solitude et une dose d’amertume, regrets et remords, le tout dans le même panier, il décide de penser à autre chose, de se vider la tête. Le quidditch à l’arrêt, mis en pause, il a du temps à tuer, le rejeton Bagshot. Et s’il ne pense pas à sa famille, il pense à elle. Cette autre fille qui sort du lot. Oui, car Arthur est célèbre, encore plus maintenant. Nombreuses sont les sorcières qui veulent savoir s’il est toujours en couple avec sa partenaire Laurel ou si le mariage avec Dolores va avoir lieu. Certaines tueraient juste pour qu’il accepte de leur signer un autographe. La fille à laquelle il pense n’est pas de ce genre là. Le quidditch ne l’intéresse pas, la célébrité d’Arthur non plus, ça lui donnerait même de l’urticaire pense le garçon tandis qu’il marche vers sa maison.
Ce n’est même pas une maison, c’est une roulotte d’ailleurs.
Il s’agit de la petite dernière, Hazel Greyback. Plutôt jolie, des traits harmonieux, un blond à la fois solaire, à la fois hivernal, l’apparence de la parfaite fille de bonne famille, bien éduquée, costume qui trompe n’importe qui, car elle jure, elle menace, elle se veut belliqueuse autant qu’insoumise. En marge de la société, elle vit selon ses propres règles, la liberté absolue. La gloire finalement, fait pâle figure à côté se dit Arthur. Cette fille donc, sorcière au sang lupin, vit à l’orée de la forêt. Arthur n’aime pas s’y rendre, lui qui est toujours propre sur lui. Pourtant, il n’hésite pas, marche en direction de la roulotte. Comprenez bien, cette fille, Hazel, il n’arrive pas à la défaire de sa tête, la retirer de son esprit. Tel un parasite, elle est là, il pense à elle, plus qu’il ne devrait. Surtout que tout en elle le répugne. Mais ça le fascine aussi, étrange non ? Lui-même ne comprend pas, ne cherche pas à comprendre, peut-être de peur de connaître la question.

Enfin, il arrive devant la roulotte. Le jeune homme porte un costume simple, pantalon noir, bretelles par dessus sa chemise blanche et un simple gilet sans manche noir également. C’est qu’il fait chaud, surtout en plein milieu de journée, comme aujourd’hui. Juillet n’a pas apporté que la victoire retentissante des frelons, le mois a apporté l’été et sa chaleur. Et Arthur quant à lui, n’est pas seul. Il pose une drôle de boîte en bois à ses côtés. La cargaison semble bouger, il tape légèrement du pied. — Calme-toi, je te promets que tu ne finiras pas sur le grill qu’il marmonne avant de sortir ses cigarettes de sa poche et d’en mettre une entre ses lèvres. Il peut encore partir, choisir de rentrer plutôt que de rester, de donner à Hazel l’impression qu’elle ne le laisse pas aussi indifférent qu’il veut le faire croire. Le garçon ne sait pas s’il va supporter ses railleries, mais pourtant, il reste et après avoir tiré une longue taffe sur sa cigarette, frappe à la porte de la roulotte. Peut-être devrait-il transplaner ici et maintenant, laisser son paquet et disparaître ? Pourtant, il ne le fait pas, il se tient debout quand la porte s’ouvre sur la furie Greyback.
— Ça fait un bail. Les présentations c’est niais, se dire bonjour, ce n’est pas pour eux, n’est-ce pas ? Il tire encore sur sa cigarette. — Je viens te voir toi, cette fois. Ce qui change et c’est bien la première fois que Arthur Bagshot se déplace pour une fille qui n’est ni sa mère, ni une journaliste. La cigarette qui se consume entre ses lèvres, le sorcier prend sa baguette et d’un geste, fait apparaître un maillot, évidemment, le sien, des frelons et lui lance sans ménagement à la figure. — Déjà, ça, comme je te l’avais dis. Je ne sais pas si tu es au courant, mais on a gagné la coupe. Tu as devant toi le meilleur joueur de la ligue. Il prend la pose, fait ce fameux sourire qui lui a permis d’être élu l’an dernier sourire le plus charmeur selon Sorcière Hebdo avant de reprendre son sérieux. — S’il te plaît, n’en fais pas une serpillière. Il marque une pause et termine sa cigarette avant d’écraser le mégot sous sa chaussure.

— Et je sais que j’ai raté ton anniversaire, mais la vie m’accapare trop. Cependant, j’ai enfin du temps et comme dit l’adage, le meilleur pour la fin,  voilà pour toi. Arthur ouvre enfin la boîte, qui s’avère être une cage avec dedans, un niffleur. La créature ne cesse de se débattre, s’agitant dans tous les sens, mais une fois hors de sa cage, fixe Hazel avec intéressé. — Il s’appelle Thor. Comme le dieu, oui, Arthur trouve que son cadeau mérite un nom divin et d’un autre côté, Thor est aussi têtu que son marteau. Le niffleur l’est tout autant, ça semble une parfaite association, non ? Les bras tendus vers Hazel, il attend qu’elle s’empare de son cadeau vivant, un sourire un peu gêné, maladroit, ce qui ne lui ressemble pas, sur le coin des lèvres.

— Joyeux anniversaire en retard, Hazel.

Bon, alors, bonne idée ou pas ? La question demeure. Arthur n’offre jamais de cadeau, sauf à ses proches. Est-ce que Hazel est une proche ? Certainement pas. Pourtant, il tenait à lui offrir quelque chose, quelque chose de sympathique, un niffleur, c’est bien non ? Idée soudaine qu’il a eu quand il s’est rendu à Londres, au Chemin de Traverse pour trouver quelque chose. Le niffleur peut aider Hazel à trouver un trésor et puis, c’est un animal sympathique. Et enfin, si jamais elle n’aime pas, elle peut toujours le faire rôtir à la broche. Un steak de Niffleur, ça doit aussi être bon, surtout avec une bonne sauce aux poivres. Bref, dans tous les cas, c’est le cadeau parfait, car forcément, c’est Arthur Bagshot qui l’a fait !  
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Hazel Greyback
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Hazel Greyback
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pseudo : Mia
faciès & dot : Mary Elle Fanning - @ethereal-rpg
doublon(s) : {Natalya}
gallions : 2163
pronoms : Elle ☽ Her
décade : La sauvageonne naquit le vingt-trois juin de l'année mille neuf cent trente-six, elle est âgée de dix-neuf ans.
labeur : Enrôleuse débutante pour la pègre Fletcher.
alter ego : Aya Bush, jeune orpheline moldue provenant de la ville de Plymouth, dans le comté de Devon. Depuis quelques mois, la demoiselle occupe un poste d'arboriste-élagueur au sein de la communauté non-magique.
sang : Hybride
don : Lycanthropie ☽ Transformation en date de la fin de l'été de l'année dix-neuf cent cinquante-quatre.
myocarde : Célibataire ☽ Secrètement amourachée de l'attrapeur vedette des Frelons de Wimbourne.
allegeance : Meute Greyback
particularité physique : Piqûres et morsures de bestioles parsèment ses maigrelettes épaules.

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(#) Re: apprivoiser l’animal. (arazel) ●
08.04.24 12:40




TW : nudité, grossièretés

C'était le foutoir dans l'existence de la morveuse. Son oncle avait cané et son père avait foutu le camp, illico presto. La sauvageonne vivait pas ça bien parce qu'elle était une véritable fille à papa. Sans lui, elle se sentait comme une grosse merde. Alors, elle faisait n'importe quoi depuis que son vieux avait détalé loin, elle picolait et parlait mal aux gens. Puis la crapule avait été confiée à son parrain, @Roman Borgin, et elle flippait sa race. Elle l'adorait ce gars-là mais elle sentait bien qu'il allait la faire chier. Il n'était pas son papa-garou à elle et il ne la laisserait pas faire tout ce qu'elle voulait. Pour la meute et sa filleule, le nouvel alpha avait des idées. On ne savait pas encore lesquelles mais ça allait leur tomber sur le coin de la gueule, à un moment ou à un autre. Les loups étaient en danger et c'était maintenant son rôle à lui de les protéger. Roman était un homme d'action et la môme avait très peur du changement. Tout avait été chamboulé dans sa chienne de vie et la meute était la dernière chose stable qui lui restait encore. Ça et son taré de frère qui ne la quittait jamais. Et c'est qu'elle aimait la meute comme elle était, Hazel Greyback, avec sa bande de cons et ses roulottes déglinguées. Pour rien au monde, elle ne voulait qu'elle change et ça la tourmentait jour et nuit. Aussi, la louvette était plus agitée que les autres loups parce qu'elle connaissait son parrain par cœur. Elle savait bien qu'il ne voulait pas de cette vie-là pour le clan Greyback. Roman aspirait à mieux pour la meute et il pensait qu'il faille se doucher au moins une fois par jour. Ce type était complètement fou.

Ce jour-là, la blondasse suait comme un gros porc. C'était craignos pour elle lorsqu'il faisait soleil, avec sa peau fine et blanche. Alors, il y avait déjà ses épaules et ses cuisses qui avaient méchamment cramé. Ça lui faisait mal et elle avait paumé sa baguette magique dans tout son barda, à l'intérieur de sa roulotte. Hazel était bordélique, limite crado et elle perdait toujours toutes ses affaires. Pour sa baguette, ça la faisait vraiment chier parce qu'elle était l'une des seules du clan à maîtriser la magie. Et elle avait même appris un sortilège pour calmer les brûlures. Les autres, elle ne leur faisait pas confiance, elle avait la trouille de perdre un bras ou une jambe. Aussi, la cul-terreuse douillait et dormait maintenant sur le ventre. Elle se baladait à moitié à poil chez elle, juste un top et une petite culotte. Ça et son drôle de chignon sur la tête, à l'arrache et de traviole. La morveuse en avait rien à foutre parce qu'elle ne se pomponnait jamais. Elle n'était pas une nénette comme toutes les autres. Puis c'était pas son truc à elle, les frous-frous et tout le reste. La louve ne vivait que pour la meute et elle ruminait encore et toujours à ce sujet. Si elle n'avait plus ça, elle n'avait plus rien du tout. Pschitt. La gamine ouvre sa canette de bière avec les dents. Elle n'est pas fraîche et c'est dégueulasse. Putain de merde.

Boum, boum, boum. Quelqu'un frappe à la porte et ça fait un sacré ramdam dans la caravane. La crapule vit dans un tas de ferraille. Cette roulotte est croulante et insalubre. Mais la blondasse l'adore parce que c'est un cadeau de son papa et qu'elle est rouge pétante. Hazel la trouve jolie comme ça et ne veut jamais s'en séparer. Boum, boum, boum. La louve frémit parce qu'elle n'attend personne. Son frère ne toque pas et les louveteaux ne s'aventurent pas par ici. Fenrir leur arracherait les couilles s'ils osaient. « Bagshot. » Qu'elle souffle. C'est bien lui, @Arthur Bagshot, sur le pas de sa porte. La pucelle a du mal à y croire parce qu'elle ne s'imaginait pas qu'il reviendrait un jour. Ça s'était pas bien passé entre eux la dernière fois mais elle était si marquée par cette rencontre. « Pour... Moi ? » Qu'elle balbutie comme une idiote. C'est rare mais la cul-terreuse est toute quinaude. Elle aime pas perdre la face et boit une gorgée de bière pour se donner de la force. « T'es un gus qui tient ses promesses, alors. J'aurais pas cru. » Qu'elle lui avoue en le mâtant de la tête au pied. C'est irritant parce qu'il n'a même pas une goutte de sueur sur son beau costume. À côté, la péquenaude est toute collante, dégoulinante alors qu'elle ne porte presque rien sur elle. Ce gars-là, c'est tout ce qu'elle déteste le plus au monde mais elle lui sourit bêtement. « Ouais, j'ai entendu ça. » Qu'elle répond en pesant chacun de ses mots. La biquette ne s'intéressait pas au Quidditch avant de le connaître. Elle en avait rien à foutre jusque-là mais ça avait bien changé. À présent, l'attrapeur fait apparaître son maillot et le lui balance en pleine poire. La pucelle est vraiment gênée parce qu'elle ne sait pas mettre de mots sur ce qu'elle ressent à l'intérieur. Elle veut masquer son trouble et puis c'est tout. « T'emballe pas, ça tourne partout. » Qu'elle se défend avant même qu'il ne dise quoi que ce soit. La louvette est toute rouge parce qu'elle lui ment comme une effrontée. La vérité, c'est qu'elle s'est rancardée sur cette saison. Elle a aussi acheté des journaux, pour suivre les exploits de son nabot à elle. La morveuse n'assume pas tout ça alors elle imite le garçon et sa pose ridicule. Elle fait comme lui pour le titiller et c'est pas très sympa. « Tu l'as lavé, sagouin ? » Qu'elle lui demande avec ce petit geste du menton vers l'avant. La louvette flaire le tissu sans le lâcher du regard. C'est théâtral et elle adore ça. Il y a son odeur imprégnée là-dessus, ça la débecte autant qu'elle en salive. « C'est pour te charrier. » Qu'elle s'adoucit enfin tout en se désapant publiquement. Elle ôte son débardeur, juste sous ses yeux à lui puis enfile le maillot. C'est une dévergondée mais elle attend de voir sa réaction. Et mes seins, tu les aimes ? « J'ai gagné quoi, moi ? » Qu'elle le nargue en tournant sur elle-même.

Assez joué, la sauvageonne l'invite à entrer dans sa roulotte. « Si on t'chope là, ça va faire de sales histoires. » Qu'elle se justifie en déposant une canette devant lui, sur un vieux carton. Le garçon n'est pas venu les mains vides. Il y avait le maillot de star et maintenant, ça. Pour son anniversaire, il lui avait offert un niffleur. La blondasse ne l'écoute plus vraiment parce qu'elle est si captivée par la bébête. Elle l'attrape par la peau du cou et la renifle étrangement. « Cool. » Qu'elle finit par lâcher timidement. Elle est pas très démonstrative comme nénette mais ça lui plaît beaucoup. « Thor.... ? » Qu'elle répète avec tant de dédain dans la voix. Ce mec est insupportable. « Pourquoi tu fais ça ? Tu peux pas m'blairer. » Qu'elle l'interroge en relâchant la sale bestiole par terre. Elle ne trouverait pas grand chose ici mais elle était libre de ses mouvements. « Si c'est un pari avec tes potes, c'est pas l'bon jour. J'ai un tas d'emmerdes, Bagshot. » Qu'elle lui lance sur un ton de reproches. Hazel espère vraiment que ce n'est pas le cas, qu'il est venu pour elle et juste pour elle. Mais elle est parano parce qu'elle a toujours été rejetée dans sa chienne de vie. « Sinon... Prend une bière et raconte-moi. » Qu'elle parle à voix basse. Elle s'assoit en face de lui et vide sa boisson d'une traite. Raconte-moi ta vie.

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JEUX 2024
apprivoiser l’animal. (arazel)  Vks8giC6_o
TEAM SOMBRAL

« Y las noches que haya luna llena
Sera porque el niño esté de buenas,
Y si el niño llora
Menguara la luna
Para hacerle una cuna.
Y si el niño llora
Menguara la luna
Para hacerle una cuna. »
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(#) Re: apprivoiser l’animal. (arazel) ●
08.04.24 19:23

et cette fille m’a touché, je crois bien que c’est foutu, j’suis foutu.
A

PPRIVOISER
L’ANIMAL


TW : mention sexualité, nudité, grossièretés.

Il ne sait pas ce qui est le plus improbable, le nabot. Lui ici, le niffleur dans ses bras, le maillot lancé sans nonchalance à la propriétaire d’une roulotte qui semble approcher de l’état de ruines, ou alors, cette petite voix dans sa tête qui lui susurre que cette fille-là, elle est unique et que comme tout ce qui est unique, on le veut. Comme tout ce qui brille, on le désir. Il chasse rapidement ses pensées quand la porte s’ouvre, Arthur. Il fait son show, son cinéma, le joueur, le grand vainqueur de quidditch car il sait que dans ce domaine, il est doué. Comprenez bien qu’être pris au dépourvu, l’intéressé a horreur. Le contrôle avant tout, comme dans tout ce qu’il entreprend. D’ailleurs, à titre d’information, quand il a reçu sa lettre d’admission pour Hogwarts, Arthur a pris soin d’organiser un plan pour son avenir s’étalant sur plusieurs années. Et après l’obtention de plusieurs BUSES, il a revu ce plan et au bout du bout, il y avait une victoire éclatante lors de la finale de la ligue. Le voici donc à la fin de son plan d’actions, lui, la vedette qui aime tout contrôler, chef d’orchestre pointilleux, exigeant à souhait, est-il prêt à lâcher prise maintenant ? Se laisser porter par les flots, se prendre une vague dans la figure, boire la tasse, homme à la mer, à la dérive et à essayer un truc avec cette fille, loin d’être une ingénue, plutôt une enfant sauvage.

Sois ma Bonnie, je serai ton Clyde.
Quelque chose comme ça.

Mais inutile de brûler les étapes songe Arthur. Il veut apprécier l’instant présent et surtout, ne pas perdre la face, rester digne le plus longtemps possible, car le garçon le fait, cette fille, elle a le chic, le don, le talent inné, pour le déstabiliser, de quoi le remuer jusqu’aux tripes, comme jamais personne avant elle, pas même Laurel, la reine des abeilles au sein de leur équipe. Bagshot, qu’elle sort, il esquisse un sourire, ne peut s’empêcher de répondre : — Lui-même, le seul, l’unique et toujours avec une haute opinion de sa personne. Et immédiatement, il lance le fameux maillot, l’observe, sourire satisfait sur les lèvres. Elle est étonnée, la blondasse. Un point pour lui, elle est touchée, elle ne s’y attendait pas, à cette balle. — Pour toi, qu’il confirme, hochement de tête. Ce maillot, il vaut de l’or, Arthur le sait, plus d’une fan a attendu qu’il le retire lors de la finale pour l’envoyer dans le public, comme il fait souvent. Ou alors, l’échanger avec celui d’un autre joueur. Il aurait pu avec Russell Gates, un des deux batteurs de l’équipe adverse dont il admire la carrière et le style de jeu, mais non, Arthur n’a rien fait. Debout, sur son balai, il a pensé à elle.
Oui, ce maillot, celui de la finale, ça sera pour elle.
Foutue idée qui vient le faire chavirer à l’instant où la gloire frapper. Parce que cette voix, il ne veut pas l’écouter. Parce que tout chez Hazel la rend incompatible avec lui. Déjà, on en parle de cette dégaine ? C’est quoi cette tenue ? Il arque un sourcil, le sorcier, prend enfin le temps d’observer l’objet d’aucune ou presque, convoitise. Elle est habillée comme… Comme quoi ? On dirait qu’elle sort de son lit, mais pas comme ces filles que Arthur fréquente. Ici, pas de nuisette, ici de la sueur qui perle et des cheveux blonds comme les blés attachés en un chignon bohème, pas de chignon bas, sans doute trop chic pour cette espèce de sauvageonne. Pourtant, dans ce chignon de travers, aux mèches rebelles, il y a tout l’esprit de la gamine et encore une fois, ça brille, ça attire Arthur, mon précieux, quelque chose comme ça. Un pas en arrière, il préfère garder ses distances et n’oublie pas non plus, la créature qui s’agite dans sa cage. Et c’est presque un compliment qu’elle lui lance, Hazel, quand elle souligne qu’il tient ses promesses. Sourire de vainqueur sur les lèvres, il ouvre la bouche pour parler, répondre, raconter en détail le match, ses exploits, mais, ça l’arrête net dans sa course.
( . . . ) Par les tétons de Rowena, elle fait quoi, là ?!

Il écarquille les yeux quand elle se déshabille devant lui. D’accord, c’est une grande avancée dans leur relation, un pas de géant ! Il reste stupéfait, l’observe faire. Passe de son visage en sueur à ses … Seins. Oui et bien, la marchandise est posée là, devant lui, difficile de faire autrement. Il cligne des yeux. Sans gêne, sans pudeur, Arthur s’en doutait un peu, mais à ce point ? D’accord, pas de fioriture, la romance, c’est pour les autres, pour les fragiles comme son frère, mais quand même. Aucun doute, Hazel Greyback est unique. Et il ne peut pas nier, la vedette, que dans son pantalon, ça frétille un peu, mais il inspire, repousse ses envies et fait taire cette saloperie de petite voix qui revient lui murmurer, démoniaque, elle te chamboule à ce point, p’tit gars ? Oh, la ferme.
Mais retour à la réalité par sa voix à elle, elle, qui ne semble pas gênée le moins du monde, comme si c’est naturel ? Arthur se demande alors ce qu’elle penserait s’il ferait la même chose à cet instant ? Allez, tous à poil, dansons nus dans la forêt, satyre et nymphe, belle combinaison, n’est-ce pas ? Et elle ose, la souillon. Elle ose lui demander s’il a lavé son linge. Elle est sérieuse ? Il arque un sourcil, vexé, aucun doute, elle a un don Hazel, celui d’attiser tous les feux en lui, pas seulement la chaleur de son entrejambe. Et pire que tout, elle renifle la marchandise. — J’aurai peut-être dû le pas le laver justement… Qu’il raille, non sans imaginer sa sueur imprégnant le tissu, contre la peau de la sorcière, contre ses tétons. Oh, par la barbe de Godric, il risque de ne pas oublier ce presque nu de sitôt. Mais elle le cherche et elle gagne, elle gagne souvent, Hazel. Un peu trop au goût du gamin.

Sois ma Bonnie, je serai ton Clyde.
On va s’amuser à se détester.

Changement de sujet, Arthur doit achever son œuvre et surtout, donner le niffleur qui semble s’agiter dans sa cage. — Tu vas voir qu’il répond, ce que tu as gagné. Il ne sait toujours pas si c’est une bonne idée jusqu’à ce qu’il se décide enfin à donner la bestiole pour laquelle il a quand même claqué quelques gallions. D’accord, il a les moyens, surtout avec la prime liée à la victoire de son club à la ligue, mais quand même. Même pour Adam, il dépense rarement autant, c’est dire. Et comme ce crétin de jumeau l’a insulté dans une lettre, il ne compte même pas dépensé une malheureuse noise de bronze pour lui. Qu’il aille s’étouffer avec sa mauvaise foi, ce jumeau ô combien susceptible et aigri. Qui a parlé de mauvaise foi, hm ? Mais avant de donner le cadeau, on le tire à l’intérieur. Arthur a à peine le temps de saisir la cage qu’il est dans la roulote. Ni une, ni deux, il ne perd pas de temps et offre le cadeau. Un sourire un peu gêné sur les lèvres. Sérieusement, il a eu raison, ou pas, le petit prodige ? Il espère quand même que le niffleur ne va pas finir dans le feu, quoiqu’il se demande quand même quel goût ça peut avoir, le niffleur ? C’est tendre comme viande ? L’idée lui traverse l’esprit tandis que la sorcière saisit l’animal par la peau du cou et l’observe. À cet instant, on dirait une lionne prête à enfoncer ses crocs dans l’échine de sa proie. Pourtant, Hazel n’en fait rien. — Tu peux l’appeler Arthur, si tu préfères. C’est encore plus cool qu’il ajoute alors que la créature est posée au sol. Le niffleur observe alors la roulotte, tout comme Arthur.
D’accord, on est loin du palace. Proche du débarra, presque une décharge. Arthur se demande pourquoi il est là, alors qu’il pourrait avoir plusieurs filles dans son lit, un jacuzzi dans la pièce voisine et du champagne à gogo. Il n’est pas fan de champagne, préférant les alcools plus forts, mais les bulles, ça fait toujours son effet. Pourtant, il ne bouge pas, reste ici. L’inconnu ne l’effraie pas, ça l’excite. Avec Hazel, c’est un voyage, aller simple vers les enfers et il se demande s’il prendra ce train, ou restera sur le quai. Le niffleur lui, ne fera pas fortune ici, mais déjà, il disparaît sous ce qui ressemble à une pile de vêtements. Il a peut-être déniché une quelconque breloque là dessous qui vaut son pesant d’or, allez savoir. Et il s’assoit, prend la bière. — J’ai jamais dit que je ne pouvais pas te voir. Tu tires tes conclusions toute seule. Il hausse les épaules, boit une gorgée de la bière. Est-ce que c’est la société qui a abîmé les gens comme Hazel ? Non, penser ainsi c’est rédhibitoire se dit le gamin. Hazel, elle refuse les normes de cette société justement, ça, c’est puissant, il pense. — Je suis venu de mon plein gré parce que… Il marque une pause, ne sent pas le niffleur à ses pieds. — Et bien, j’avais envie de te voir. Ca te paraît si difficile à croire ? Il la fixe, boit une nouvelle gorgée avant de manquer de recracher l’alcool quand la créature lui pique dans sa poche, le porte monnaie dans lequel on entend des pièces, des gallions. — Rends-moi ça, sale petit voleur qu’il tonne tandis que le niffleur disparaît dans la roulotte. Arthur, sourcils froncés, marmonne : — J’aurai du en faire des steaks… Mais il ne bouge pas, reste sur son carton et observe Hazel. Raconter sa vie ? Qu’est ce qu’il peut dire ? Nouvelle gorgée. Il fait tourner dans sa main, la bière entamée.

— Pas grand chose à dire. Je suis champion, je suis le meilleur et je compte bien le rester. Être modeste aussi, il compte le rester. Petit rire hautain. — Mais oui, y a un truc. Tu ne dois sans doute pas savoir, t’es pas le genre de nana qui lit la presse, si ? Il ajoute : — J’ai été à la distillerie Weasley avant qu’elle ferme avec une amie. On m’a joué un sale tour et j’ai été victime d’un philtre d’amour. Ca a mis Dolores et moi dans une drôle de situation et en plus, ça n’a fait qu’aggraver la situation avec mon frère, ce crétin a flashé sur cette fille. Il pense qu’on va se fiancer alors que miss Abbott est une amie, juste une amie. Il lève les yeux au ciel. Pourquoi est-ce si difficile à croire ? Et puis, pourquoi il parle de ça, déjà ? Peut-être parce que Arthur  Bagshot espère que Hazel Greyback ne croit pas que Dolly et lui sont ensemble. Il l’observe, finir sa bière. Belle descente. Fais de même. — Une autre ? Et on crève de chaud, dans ta roulotte. Il faut dire qu’il fait chaud, lui-même comment à le sentir. Il se retient pourtant de se déshabiller, ne brûlons pas les étapes. — J’irai presque me jeter dans une rivière. Et le niffleur sort la tête derrière Hazel, des gallions dans ses petites pattes. Arthur le dévisage, sale petite bête !
— Et toi, des trucs à raconter ? Ah, tu sais, il existe un sortilège très pratique au quotidien, Recurvite. Ca peut même sauver des vies se dit Arthur. — Au fait, tu dis que si on nous voit ensemble devant ton chez toi, ça va faire des histoires. Pourquoi ? Il sait pourquoi, ça l’amuse, il aime être taquin, le bougre. — Peut-être que moi, j’aimerai bien que ça en fasse, des histoires.

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Ensemble, on va en faire, des folies.
Je te le promets, poupée.
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    et je t’aime,
    même si j’en ai pas l’air,
    mon frère.
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alter ego : Aya Bush, jeune orpheline moldue provenant de la ville de Plymouth, dans le comté de Devon. Depuis quelques mois, la demoiselle occupe un poste d'arboriste-élagueur au sein de la communauté non-magique.
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(#) Re: apprivoiser l’animal. (arazel) ●
23.04.24 16:55




TW : nudité, grossièretés

Boum, boum, boum. Bagshot frappe à la porte et ça la laisse presque sans voix. Elle bredouille parce qu'elle ne ressemble à rien à côté de lui, morte de honte. C'est une souillon, avec ses cheveux gras et son top crado. Puis elle parle pas bien la langue, c'est tout plein d'argot et d'injures. Habituellement, elle en a rien à foutre mais parce que c'est lui, ça change tout dans sa sale caboche. C'est juste une dégénérée et il s'intéresse à elle. Ça crève les yeux. Sinon, le garçon ne serait pas revenu sur le camp des barbares. On atterrit pas là par hasard. C'est pas beau par ici, juste des bâtards et c'est triste à pleurer. Il n'y a que des demeurés là-dedans et ils se castagnent pour tuer le temps. Pas d'espoir pour les va-nu-pieds, ils ne trouveront jamais leur place dans ce monde. C'est toujours la même rengaine avec les sorciers et les moldus. Ils se ressemblent plus qu'ils ne veulent bien le penser, finalement. Tous des enculés. Mais Hazel, elle, elle l'aime cet endroit. Elle ne veut plus le quitter et on la prend pour une débile. Elle se moque d'être jugée par la terre entière mais il y a Arthur maintenant. Lui, c'est pas pareil et elle se déteste pour ça. C'est du foutage de gueule parce qu'elle n'écoute jamais rien ni personne. Elle est toujours en train de beugler et ça casse les oreilles de ses proches. La blondasse est tellement colérique et ne fait que ce qu'elle veut. C'est une emmerdeuse et on l'aime pour ça aussi. « Humpf. » Qu'elle balbutie en se saisissant maladroitement du maillot. C'est rien que pour elle et c'est lui qui le dit. Alors, la pucelle l'asticote parce qu'elle n'a pas appris la politesse. Elle dit pas merci, elle sait pas faire puis elle est toute rouge comme une tomate. C'est si mimi de la part du garçon. Elle, elle n'a rien pour lui mais elle se souvient que les louveteaux aiment regarder ses seins. Ils regardent lorsqu'elle se baigne dans la rivière ou bien qu'elle danse autour du feu de bois. Ils regardent puis ils se font exploser le pif par Fenrir. Les louveteaux aiment regarder ses seins et elle s'imagine que Bagshot pourrait aimer à son tour. Sur-le-champ, elle se désape devant l'attrapeur, sans jamais le quitter des yeux. Parce qu'elle veut observer la réaction de la starlette de Quidditch. Qu'est-ce que tu préfères, mes seins ou la pointe de mes seins ? La morveuse voit tout sur son visage et se régale. Arthur est un louveteau comme tous les autres. Il regarde et il cligne tout pareil. C'est si bête, un garçon.

La dévergondée est fière d'elle-même et enfile le maillot de son joueur préféré. C'est bien ce qu'elle pensait, finalement. Elle ne le laisse pas indifférent et c'est son petit cœur qui bat la chamade. Alors, elle ose penser qu'il n'est pas venu jusqu'ici juste pour se moquer d'elle. À présent, la blondasse est moins parano et le laisse entrer à l'intérieur de sa roulotte. On crève de chaud dans ce tas de ferraille et c'est assommant pour tous les deux. « Non, pas Arthur. J'voudrais pas m'planter de bestiole l'jour où j'vais l'découenner pis l’embrocher. » Qu'elle se moque gentiment de lui. La bouseuse ne peut pas s'en empêcher parce que tout a commencé comme ça entre eux. Elle l'aime tant son cadeau, le niffleur qui fait maintenant sa petite vie dans la caravane. Il farfouille partout et ça amuse la sauvageonne. Celle-ci le suit du regard et s'y est déjà attachée. Elle ne lui fera aucun mal à celui-là. Pas elle mais elle espère que les louveteaux ne lui feront pas la peau. Ils sont tellement arriérés. « Pour... Pour-quoi ? » Qu'elle bégaye devant lui comme une idiote. Pourquoi tu t'intéresses à une nénette comme moi, hein ? La vedette pourrait avoir mille fois mieux et ça suscite de la peur chez elle. « Tu m'aimes... Bien, alors ? » Qu'elle le pousse à mettre des mots sur ce qu'il ressent pour elle. La morveuse baisse le regard parce que le garçon la fixe désormais. C'est à lui de gagner et de la bouleverser. C'est chacun son tour et il vient de marquer un point.

Le garçon se fait dépouiller par le niffleur et Hazel se tord de rire. C'est si rare chez la morveuse, de la voir aussi épanouie et ce n'est pas pour n'importe qui. « T'as dansé autour du bûcher, alors ? Le plus grand qui existe ? » Qu'elle l'interroge pour de vrai, les yeux dans les yeux. C'est lui qui disait ça la dernière fois et elle n'y pigeait rien. Elle ne comprend toujours pas mais elle veut bien essayer encore. « C'quoi ton prochain rêve, Bagshot ? » Qu'elle lui demande, la mine rieuse. Ce garçon est pas comme les autres. Il est plein de surprises. De bonnes surprises comme les plus mauvaises. Parce qu'il lui raconte maintenant une sale histoire et la louvette fronce les sourcils. C'est déjà envolé son bonheur. « Le p'tit génie est trop sage pour toi. » Qu'elle murmure tout bas. C'est énigmatique et l'attrapeur ignore encore bien des choses. « L'est trop sage et trop bien pour toi. » Qu'elle ajoute en laissant sous-entendre qu'elle la connaît bien cette nénette-là. « Mais pas moi. » Qu'elle finit en se mordillant la lèvre. Hazel ne sait pas encore quoi penser de tout ça. Cette histoire est futile et ça ne lui ressemble pas d'y être mêlée. Ça ne ressemble pas non plus à Dolores parce qu'elle est toujours si parfaite dans son genre. La sauvageonne lève les yeux au ciel puis change de sujet pour l'instant. Elle y reviendra plus tard parce qu'elle a des doutes sur lui. La blondasse n'en a pas encore fini. « Mon frère aussi, c'est un crétin. J'crèverais sans lui. » Qu'elle lance avant de tendre une autre bière à son invité. La péquenaude s'en sert une au passage. « À nos crétins d'frérots, alors ? » Qu'elle lui propose de trinquer. La morveuse est un peu perdue dans ses pensées, perturbée par les dernières révélations d'Arthur. C'est le niffleur qui la sort de celles-ci puisqu'il lui tend un gallion avec ses minuscules doigts. Elle récupère alors la pièce de monnaie en souriant. « Il s'appelle Flouze. » Qu'elle annonce à voix haute tout en le grattant derrière les oreilles.

La crapule le prend au mot et la revoilà débout à fouiller dans ses affaires. Elle lui jette une serviette de bain usée dans les mains puis s'exclame : « Attrape ça, on bouge ! » Qu'elle lui montre du doigt le carton de cannettes de bière. De son côté, la morveuse en prend quelques-unes dans ses mains et l'attend au pas de la porte. « On va s'baigner à la rivière. Suis-moi. » Qu'elle lui commente la suite des événements. « J'utilise pu ma baguette... Depuis que j'suis rentrée là. » Qu'elle ronchonne alors que le garçon tilte sur son petit bazar à elle. Qu'est-ce que ça peut t'foutre ? La bouseuse est piquée parce qu'elle sait bien que c'est une connerie de ne plus utiliser sa magie. C'est l'une des seules à la maîtriser sur le camp et elle est même plutôt douée. « Mon crétin d'frère va t'arracher les couilles si y nous voit ensemb'. » Qu'elle met en garde le joli attrapeur. Et ce ne sont pas des bobards alors il devrait se méfier. « Ça t'excite toujours ? » Qu'elle le provoque avec ironie. Enfin, les deux jeunes sortent de la roulotte et longent celle d'à côté. « Fenrir habite juste là. Ferme-la. » Qu'elle lui ordonne sèchement en jetant un coup d'œil à la fenêtre du frérot. Ce dernier fait la sieste et mieux vaut pas le réveiller. Hier, il participait encore aux combats clandestins de la pègre et c'était sanglant. Arthur et Hazel marchent encore un peu et quittent le campement Greyback. Ils sont dans la forêt et la blondasse se met à scander de drôles de vers en pleine nature : « OÙ SONT LES POULARDES ? J’AI FAIM ! OÙ  SONT LES VEAUX, LES RÔTIS, LES SAUCISSES ? OÙ SONT LES FÈVES, LES P TÉS DE CERF ? QU’ON RIPAILLE À PLEIN VENTRE POUR OUBLIER CETTE INJUSTICE ! Y’A PAS QUELQUES SOISSONS AVEC DE LA BONNE SOIVRE, UN PORCELLET, UNE CHÈVRE RÔTIE, QUELQUES CYGNES BLANCS BIEN POIVRÉS ? CES AMUSE-BOUCHES M’ONT MIS EN APPÉTIT. » Qu'elle répète à tue-tête. Ensuite, elle se retourne vers Arthur pour lui donner une explication : « J'préviens que c'est moi. Pour les louvarts qui surveillent le secteur. Y nous crèveront pas comme ça. » Qu'elle lui donne plus de détails. Au sein de la meute, ils ont leurs propres codes. Celui-ci est loufoque mais il en fait partie. Et la môme a crié plus fort que d'habitude parce qu'elle est avec un inconnu. On aime pas trop ça dans le coin alors elle prend toutes ses précautions. « Dolores est une pote. C'est la seule qui a été cool avec moi. À Poudlard, t'sais. » Qu'elle revient sur l'ancienne discussion, mine de rien. Au beau milieu de la forêt, elle ose enfin lui confier ce qui la lie à la brunette. « C'pas d'la gnognotte pour moi, alors... Déconne pas avec elle. » Qu'elle le menace en appuyant son index sur sa joue, pour le titiller encore. Elle adore ça. « Les moldus ont crevé mon oncle. C'était l'chef de notre meute alors maint'nant, c'est mon parrain l'Alpha. Et mon père, y s'est barré à l'aut' bout du monde. » Qu'elle déverse avec cet air faussement détaché. La louve ne raconte jamais sa vie à personne. C'est une première et elle sait pas encore si elle aime ça ou pas. Puis la sauvageonne ne sait pas encore si elle peut vraiment lui faire confiance. C'est un crétin.

1764 mots

{ DÉFI 01 DU 23.04 : Placer le monologue du film "Les Visiteurs" dans un rp }

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« Y las noches que haya luna llena
Sera porque el niño esté de buenas,
Y si el niño llora
Menguara la luna
Para hacerle una cuna.
Y si el niño llora
Menguara la luna
Para hacerle una cuna. »
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Arthur Bagshot
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Arthur Bagshot
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pseudo : roi de pique, marine.
faciès & dot : finn cole — olympia, cavarage, dickinson.
doublon(s) : la princesse jules, edith la pimbêche.
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pronoms : masculin.
décade : vingt-deux grains tombés au fond du sablier, cri poussé quelques fractions de secondes après le jumeau, apogée de son existence sous l’essence de sa jeunesse.
labeur : talent inné pour voler, acrobate des airs et esprit ambitieux, attrapeur vedette des frelons de wimbourne, le numéro sept sur le maillot, joueur professionnel qui rêve des sommets, notamment de rejoindre l’équipe national et de rafler tous les trophées.
alter ego : aaron ackerman.
storytime : en cours ;;
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à venir ;;
— cass — dispo.

terminés ;;
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sang : liqueur mêlée depuis trop longtemps pour prétendre à une quelconque stupide pureté, né d’une moldu et d’un sorcier, exemple parfait d’une cohabitation qui peut exister, mais autour du portrait de famille, le danger rôde toujours, à l’affût du moindre faux pas.
don : élu sourire le plus charmeur selon sorcière-hebdo, ça compte n’est-ce pas ?
myocarde : la presse prétend qu’il est un bourreau des cœurs, balivernes, son regard se tourne à sa surprise vers la gamine greyback.
allegeance : son frère en drapeau tatoué sur sa peau, mais la pègre à ses trousses, petit trafiquant des riches.
particularité physique : petite taille, idéale pour fendre les airs et saisir le vif, se tient souvent courbé, effet secondaire de ses entraînements sur son balai, fine cicatrice sur l’avant bras droit, vestige du derby contre les flèches et d’une faute à son encontre où il fut percuté contre les gradins.
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(#) Re: apprivoiser l’animal. (arazel) ●
23.04.24 20:17

et cette fille m’a touché, je crois bien que c’est foutu, j’suis foutu.
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TW : mention sexualité, nudité.

Franchement, il n’y a pas que ses seins. Ni ses tétons. Bon, d’accord, pour un homme, c’est étrange car même si le mâle en possède, ce n’est pas du tout la même chose. Alors forcément, quand on ne possède pas ce genre d’attributs, on veut les regarder d’un peu plus près et les voir, ça vous retourne, ça vous chamboule. Mais il n’y a pas que ça pour Arthur Bagshot, joueur des Frelons de Wimbourne ayant le maillot floqué du numéro sept. Parce que niveau sein, il peut se targuer d’en avoir vu. Déjà, ceux de Laurel qui sont, sans manquer de respect de respect à Hazel, car ce n’est pas la taille qui compte et ceci, dans de nombreux domaines, bien plus gros. Laurel n’est pourtant pas la petite-amie d’Arthur, mais leur relation peut paraître étrange. Si la poursuiveuse n’a aucune gêne à dévoiler son corps dans les vestiaires devant ses coéquipiers, elle refuse toute relation intime avec eux. Une politique que leur coach Eleazar approuve. Cependant, Laurel comme Arthur et sans doute comme le reste de l’équipe, hormis Bonnie peut-être, tellement cette gamine est revêche et indomptable, ils ont tous une vie privée et la maintenir éloignée du travail, faire cette distinction, c’est mieux. Malgré tout, pour se protéger davantage, les deux coéquipiers ont passé un accord. Laurel et Arthur, ce faux couple qui joue devant les photographes à se prendre par la main, à s’embrasser la joue pour mieux cacher encore leur vie. Double protection en somme. Mais revenons aux seins, s’il vous plaît. Oui, Arthur en a déjà vu, oui, ça lui chatouille toujours l’entrejambe quand il en voit, réaction facile, certaines diront que les garçons, c’est bête. Cependant cette fois-ci, il voit ceux de Hazel. Cette sorcière à la tignasse blonde, qui n’a rien d’une princesse, tout d’une souillon, qui jure presque à chaque mot, mais qui intrigue tellement Arthur, ça le chamboule plus qu’il ne l’aurait pensé, le nabot, qu’il reste figé quand il les aperçoit, les deux, une paire qu’il ne pensait pas voir de sitôt. Grand bond en avant dans leur relation ? Assurément, lui murmure cette petite voix dans sa tête.
Il cligne des yeux à plusieurs reprises, le jeune Bagshot. Il est perturbé et ce n’est pas dans ses habitudes. Comprenez qu’Arthur est le genre de personne qui aime avoir le contrôle sur presque tout. Il aime programmer chaque élément de sa journée, de l’heure du lever à l’heure du coucher. Il devrait sans doute se laisser aller davantage, mais il craint que le moindre faux pas puisse lui coûter sa carrière. C’est que c’est fragile une carrière et court, comme Dolores lui a si gentiment rappelé dans sa beuglante. Il s’en souvient encore, le garçon, le regard décomposé à écouter la missive dans le vestiaire. Fort heureusement, l’entraînement n’avait pas encore commencé et seuls Reiner et Emrys ont assisté à ce désastre. Le premier, capitaine de l’équipe s’est fendu d’un rire éloquent tandis que le second, batteur aux muscles d’acier lui a simplement dit bonne chance. Bonne chance oui, il en a besoin Arthur, tant sa vie semble lui glisser entre ses doigts et il n’aime pas ça. Pas ça du tout. Sauf avec Hazel. Elle est la surprise, elle est l’inattendue. Pourtant, sa carrière est là, dans l’ombre. Car courte et brève, le jeune sorcier veut en profiter à fond. Il doit tout donner pour le peu de temps que ça va durer. Aucun faux pas, car dans ce monde, on ne vous le pardonne pas. On peut vous élever très haut, mais vous brisez d’un seul coup. Plus dure sera la chute, comme leur rappel sans cesse le coach et une chute, Arthur Bagshot s’y refuse.
Il a eu chaud avec l’affaire de la distillerie. Il a voulu s’y rendre, changer ses plans, se faire une sortie avec une amie qui a viré au fiasco. Depuis, il veut rester dans les rangs, l’attrapeur, mais c’est l’été, son club a remporté la finale et il peut s’octroyer des moments comme celui-ci, à se détendre en compagnie de… Et bien, d’une fille qui lui plaît. Il est bien forcé de l’admettre en son for intérieur le garnement, cette nana, elle est toutes les saveurs mélangées. Aussi amer qu’une endive peut l’être, pourtant les endives, c’est bon quand on sait avoir quoi les associer ! Aussi salée qu’une pincée de sel, elle réhausseur le goût, la belle. Aussi acidulée qu’un citron, car elle entre dans le tas Hazel Greyback, elle pique et si au début, on n’aime pas, à la fin, on finit par en redemander encore et encore. Et puis, elle est sucrée, car Arthur le voit derrière les jurons et les provocations. Il y a une jolie fille qui veut peut-être simplement qu’on l’aime et qu’on l’accepte comme elle. Mais est-ce une bonne idée ? Arthur ne sait pas.

Et le voici dans la roulotte qu’il détaille un bref instant avant enfin, d’offrir le véritable cadeau. Il garde d’ailleurs au fond de sa gorge le compliment concernant le maillot. Il lui va bien, même très bien. Mais ça ferait trop non ? Ça serait peut-être… Non, en fait, il ne sait pas Arthur et préfère présenter Thor, le niffleur qui déjà, le détrousse bien trop rapidement à son goût. Bien sûr, Hazel lui répond, avec elle, c’est de la répartie franche et sans chichi, on ne met pas les formes, on est cru et c’est peut-être ça qui plaît au garçon, ça et tout le reste. Elle n’est pas du même monde que lui, elle n’est pas obligée de jouer un rôle, elle est elle-même et il adore ça, le minus. — Tu comptes l’embrocher ? Il arque un sourcil, pauvre Thor ! Cela dit, il rajoute — Je me demande quel goût ça peut avoir, la viande de niffleur. La petite créature relève la tête et semble le dévisager avant de disparaître. A-t-il compris que l’on parlait de lui ? Ça arrache un sourire à l’attrapeur avant d’en revenir à la jeune sorcière. Il est content de voir que le cadeau semble lui plaire. Il n’était vraiment pas certain de lui en vérité. Si Adam et lui n’étaient pas en froid, il lui en aurait sans doute parlé, à ce grand nigaud, de cette fille qui lui tord le cœur et qui n’est pas comme toutes les autres, non pas que son tableau de chasse soit long pour autant. La presse prête à Arthur bien plus de romances qu’il n’a pu en avoir, mais ça, c’est l’apanage des petites célébrités, dirons-nous. Il aurait demandé à Adam si choisir un niffleur était une bonne idée et plein d’autres choses, mais il n’a rien fait de tout ça, Arthur. Il a tout gardé pour lui, comme d’habitude et il a compartimenté dans sa tête les choses.
Sauf à cet instant.
À l’instant où Hazel lui pose la question. Il relève la tête, la fixe. Les compartiments semblent avoir explosé dans sa tête et tout s’est mélangé. Il bafouille un mot que même lui ne parvient pas à comprendre avant de se taire. Il l’aime… Bien ? Plus que bien, idiote qu’il se retient de répondre. Naturellement, sa main gauche glisse dans ses cheveux courts et saisit une mèche pour la triturer. Coup de pression et pourtant, variation des sentiments. — Parce que… Il commence. Et bien, le fanfaron semble perdre ses mots, sa voix. C’est difficile d’être mis autant face à ses sentiments et Arthur n’est pas brave. Le courageux, celui qui a le cœur noble, c’est Adam. Lui est un fier Gryffindor, son jumeau a terminé chez les piafs, chez ceux qui agissent avec sagacité dit-on. Ça le ferait bien rire, tiens. Arthur baisse les yeux un instant, fixe ses pieds. — En fait… D’ordinaire, il fonce dans le tas Arthur, il n’a pas peur de s’exposer, mais là, il ressemble davantage à son jumeau. Il ne sait pas pourquoi. En fait si, il sait. Et Arthur est surpris de le constater, lui qui avance toujours en premier, dit tout haut ce qu’il pense, ose s’exprimer, le voici qui n’ose pas. Pas parce qu’elle a peur, la petite vedette, mais parce qu’il redoute la réaction d’elle, la sauvageonne, Hazel. Et prendre en compte l’autre, ce n’est pas dans la nature du jeune homme. Sauf avec elle, sauf cette fois. T’es sympathique qu’il dit enfin en relevant le visage, posant son regard sur celui de la sorcière. Il a raté le coche, le mignon, il n’y arrive pas. Sympathique, non mais vraiment ? Il se mord la lèvre, il est vraiment nul. Zéro pointé ! Car sympathique, c’est peut-être un peu loin de la vérité. Même beaucoup, en fait. Aucun doute, c’est stupide, un garçon.

Une bière à la main, Arthur se perd dans une longue gorgée. Il essai de ne pas réfléchir, mais son cerveau tourne à flot. Il a chaud. Pas uniquement à cause du temps et de la chaleur des lieux, mais parce qu’elle lui donne chaud. Elle fait jaillir en lui, des sentiments qu’il ne maîtrise pas, dont il n’a pas le contrôle et Arthur en aurait presque une fièvre. Il doit rester calme, l’idiot alors il parle de tout, de rien. De sujets plus ou moins intéressants, se livre. Parce que dans sa tête, il ne peut pas se dire qu’il peut avoir plus avec la blonde. Elle est Hazel, il est Arthur. Quelque chose n’est pas compatible là dedans, si ? Elle ne serait pas heureuse avec un type comme lui, il le sait. Ah, mais pourquoi il pense comme ça, subitement ? Pourquoi il met un « on » sur quelque chose qui n’existe même pas ? Pourtant, elle porte son maillot. Ça lui va si bien. Elle est vraiment très belle avec. Sourire idiot rapidement chassé. Crétin.
Le garçon en revient à la discussion. Il la fixe ainsi, maintient son regard. Il se rend compte, Arthur, que si elle était plus près, il pourrait voir la myriade de variations dans ses yeux, les différentes teintes. Hazel est beaucoup de choses, finalement, lui dit cette petite voix. — Peut-être bien. Énigmatique, nouvelle gorgée avant une nouvelle question. Oh ? Son prochain rêve ? Il sait, il répond immédiatement, sourire passionné sur les lèvres. — Je rêve d’être sélectionné en équipe nationale pour la prochaine coupe du monde ! Il a de grands rêves Arthur, il ne veut pas s’imposer de limite. On doit vivre sa vie à fond, non ? C’est du moins ce qu’il pense et quand il s’agit de voler sur un balai, il est comme un enfant. Il a des étoiles dans les yeux. Ce n’est pas simplement une histoire d’égo ou d’ambition, mais réellement la passion. Il est dans son élément tout là haut, dans les airs. Il est à sa place et il aimerait au fond, que son frère trouve la sienne. Adam, les pieds sur terre, lui, tout là haut et pourtant, deux faces d’une même pièce. — Si jamais j’étais sélectionné… Tu viendrais me voir ? Parce qu’il est furtif, le bougre. Dans les gradins, il a cherché une tête blonde. Il en a trouvé, à la pelle, mais pas la sienne. Elle est unique Hazel, comme le vif d’or qu’il serre dans sa main, il n’y en a qu’un. Une fille comme elle, il n’y en a qu’une aussi. Et le sujet tourne autour de la famille, des frères, du frère. On parle aussi de Dolores, de cette amie dont l’amitié égratignée chagrine Arthur. Il regrette l’histoire de la distillerie, il regrette les mots de sa lettre, mais il a été blessé. Il est humain, le garnement, il ressent aussi des émotions et il n’aime pas, par la barbe de Godric, qu’on fouille dans sa vie privée sans y être invitée. Dolores n’a pas à mettre son nez dans ses histoires de famille, pourtant, il devrait s’excuser de l’avoir insulté. Elle n’est pas méchante, Dolly, au contraire. Il revient à la réalité, regarde à nouveau Hazel et trinque. C’est vrai qu’elle a un frère. Il paraît que c’est un diable. Car de Fenrir Greyback, on dit beaucoup de choses, mais Arthur ne l’a jamais rencontré. C’est mieux ou pire ? Il se pose la question. — Le mien est un crétin, mais un crétin gentil. Les bières s’entrechoquent, nouvelle gorgée. Et il manque de recracher le tout en entendant le prénom. Flouz ? Sérieusement ? Il hausse un sourcil, cherche le niffleur du regard qui se hisse dans les bras de sa maîtresse avant de regarder à nouveau Hazel. — T’es pas sérieuse ? Bien sûr que si et ça lui arrache un rire. Mais pas un rire moqueur, un rire sincère, franc, un rire qui prouve qu’il est intègre, vivant à cet instant. — J’adore. Et au moins, Flouz sera unique ! Aucun risque qu’un autre niffleur porte ce prénom se dit Arthur. C’est même une certitude. — Flouz, donc. Thor, c’était pas mal non plus. Mais il reconnaît que Flouz, c’est vraiment atypique.

Chaleur qui grimpe, Arthur est littéralement entrain de cuir dans cette roulotte, pourtant, il n’a envie de la quitter pour rien au monde. Il parle, se livre un peu et évoque brièvement une rivière. Parole en l’air, il dit ça comme ça, mais la sauvageonne elle, le prend au mot. Cette dernière se lève, l’attrapeur arque un sourcil. Il allait prendre une autre bière. — Quoi ? Il saisit la serviette, réflexe d’un joueur professionnel et l’’observe faire. Elle est sérieuse ? La rivière qui longe la forêt ? Mais il n’a aucune envie d’attraper des sangsues ou autre chose. C’est qu’il peut-être un fragile, le Arthur quand il veut. Cependant, partager un moment de complicité avec cette fille là, ça vaut sans doute de tremper son joli popotin dans l’eau. — Je me demande dans quoi je m’embarque, mais allons-y dit le jeune homme en se redressant. Il prend le carton avec les bières et sort en compagnie de la blonde. Dehors, c’est aussi chaud que dedans. Pas une brise de vent pour les rafraîchir, alors Arthur se dit que l’eau de la rivière, c’est peut être une excellente idée en fin de compte. — Tu sais, t’es libre d’utiliser ou pas la magie. Personne n’a à te juger là dessus, c’est ton choix. Il hausse les épaules, simplement. Lui ne le fera pas. Après tout, il a dans sa famille des gens qui préfèrent en faire abstraction. Il la suit, longe la roulotte et l’écoute. Oh, le grand frère est là dedans ? Et le nabot se fige quand la blonde lui dit sans détour que l’aîné peut lui… Quoi ? Il serre presque les jambes les unes contre les autres pour protéger son service trois pièces. — J’y tiens à mes couilles… Quand même un peu, c’est utile, même si parfois, ça peut jouer des tours, être capricieux, il ne tient pas à devenir un eunuque aussi jeune. Alors, Arthur obéit, se plonge dans un profond mutisme le temps de la traversée jusqu’à la forêt. Là, à l’abri sous les arbres, l’air est déjà plus frais. Arthur avance et l’écoute. La gamine Greyback se met soudainement à brailler une tirade qui n’a aucun sens. Si certains trouveraient ça d’un ridicule sans nom, lui, il trouve ça attendrissant. Elle est prévenante et ça lui refait la même chose qu’un peu plus tôt, ça le chamboule en lui, compartiments qui explosent. Mais il se retient, continu de marcher en compagnie de la sorcière. — Nous crever ? Sérieusement ? Et comment je fais après, pour t’inviter à un match quand je serai titulaire en équipe nationale ? Le ton de l’humour pour masquer le sérieux. De loin l’écoulement de la rivière se fait entendre. Il se demande, Arthur, si Hazel va se mettre nue pour se baigner ? L’image des seins lui revient subitement en tête, mais il fait taire la chose rapidement. Si elle fait ça, est-ce que lui aussi, il devrait… ? Connexion à la réalité quand Hazel parle à nouveau. Elle connaît Dolores ? Il s’étonne presque, mais le monde des sorciers est petit et ici, il n’y a qu’une seule école de magie. Ce n’est finalement pas si étonnant que si. Elle vient lui toucher le visage, il fait une grimace, la célébrité. — Je ne déconne pas avec elle. Enfin, il essai, mais il doit bien reconnaître qu’il a été un peu loin avec sa réponse. Cependant, c’est compliqué en ce moment et de cet été, Arthur veut simplement profiter, se détendre après une saison folle, teintée de hauts et de bas. — C’est une amie. Quoiqu’il est pu dire sur elle, elle est et restera son amie. Et nous deux, Hazel ? On est quoi ? La question, encore une fois, reste au fond de sa gorge.
Sympathique, mais quel crétin.
Les deux comparses continuent d’avancer et bientôt, la fille se met à parler de sa famille. Arthur est surpris, mais l’écoute sans un mot. D’accord … Il comprend rapidement que chez les Greyback, ce n’est pas simple. Il s’en doutait, par le biais de Malakai, mais quand même. Hazel se retrouve donc presque seule. Pincement dans la poitrine, car Arthur ne s’imagine pas dans cette situation, sans ses repaires. Il en a déjà perdu un, son frère, dans le brouillard, loin de lui et c’est affreux. Ça laisse un vide incroyable dans son cœur, alors en perde d’autres ? Et il prend conscience, le nabot, que cette fille qui le dépasse à peine, a beau parlé fort, brailler et jurer, mille et une grossièretés, elle se livre à lui, lui parle de sa vie privée. — Et toi, dans tout ça, dans la meute, tu occupes quelle place ? Parce qu’il n’y connaît rien, à la meute, Arthur. C’est un intrus, même pas un visiteur. Il sait que le sang est maudit, que ce sont des enfants soumis aux caprices de la lune, pourtant, aux yeux du garçon, ils ne sont pas des parias comme la société veut le faire croire, ils existent, ils ont simplement leur propre mode de vie. — Hazel, je sais que tu ne cherches pas ma pitié et ce n’est pas ça, je t’assure. Seulement, je suis désolé pour ton oncle et pour ton père. Il le dit, sincèrement, il ne sait pas, Arthur, si c’est une bonne idée, mais il le dit. Et cette fois, c’est lui qui plante son regard dans celui de la fille avant de reprendre la marche. — Si… Parfois t’en as marre de tout ça ou que tu veux juste voir autre chose, n’hésite pas à venir me voir. Je fais super bien les pancakes qu’il achève avant enfin, d’arriver aux abords de la rivière. C’est une invitation, très clairement, rendez-vous est donné, mais pas directement. Arthur pose la caisse de bières et observe l’eau. Ils sont au-dessus d’un petit monticule de terre et de roche. En contrebas, les bords de l’eau, que l’on peut atteindre sans difficulté. Il doit y avoir moins d’un mètre. Arthur se penche. L’eau est claire, limpide, pourtant, on distingue mal le fond. Ça doit être suffisamment profond pour sauter, songe le garçon avant de lancer une brève œillade à la fille. Une idée jaillit dans son esprit. Est-ce bien ou pas ? Coup de folie, coup de tonnerre même, coup de cœur. Pourtant, Arthur cède et veut tenter le tout pour le tout. — Retourne-toi ! Il dit et se met dos à Hazel, s’amuse presque de la situation tandis qu’il défait ses bretelles, déboutonne sa chemise. Est-ce qu’il doit retirer le bas aussi ? Déjà, les chaussures et les chaussettes. Il vide ses poches, pas grand chose hormis sa baguette qu’il pose sur ses vêtements au sol et un vif d’or qu’il garde toujours dans sa poche. Le premier qu’il a attrapé entant que professionnel, lors d’un match contre les Faucons quand il jouait encore pour son ancienne équipe. Le petit objet s’anime et déploie ses ailes pour virevolter. Il lui appartient maintenant, alors Arthur sait qu’il n’ira pas loin.

Et puis, pointe d’hésitation, finalement, il retire aussi le pantalon, garde son caleçon gris. Il inspire, Arthur parce que d’ordinaire, ça ne le dérange pas, mais encore une fois, avec cette fille, c’est différent. Une nouvelle œillade vers elle. Il se lance Arthur, l’attrape soudainement dans ses bras, ou plutôt, l’agrippe pour la soulever et la porter sur son épaule. — Attention ! Et sans un mot, il s’élance, court quelques pas et saute sans laisser le temps à Hazel de respirer, d’inspirer, dans la rivière.

Et si on buvait la tasse ensemble ?
Il a réussi ? Il a touché dans le mille ?


C’est profond, Arthur s’en doutait. Il n’a pas pied, Hazel non plus, s’en doute. Il la tient contre lui une fois dans l’eau. Elle est fraîche, ça lui arrache un frisson dans le dos, mais il garde la fille dans ses bras, ne veut pas qu’elle se blesse, pourtant, il se demande si elle va le noyer en remontant à la surface. Il prend le risque, respire à nouveau et laisse échapper son rire tout en passant une main sur son visage pour chasser les gouttes qui ruissellent. — Tu l’avais pas vu venir celle-là ? Il rit un peu, observe Hazel un moment. Il le trouve belle, unique, sauvage, libre, il la trouve plus que sympathique, il la trouve incroyable. Ça tambourine dans sa poitrine, ça martèle comme rarement, encore plus fort que lors d’un match de quidditch. Ce n’est pas le vif d’or qu’il veut saisir cette fois, mais ce truc dans sa poitrine qui fait boom boom, dans la sienne aussi d’ailleurs, ça fait boom boom, boom boom, ça ne s’arrête pas. Ça lui revient en tête alors, à cet instant précis. Tu m’aimes bien, alors ? C’est peut-être le moment de donner plus de lui. — En fait, tu me plais Hazel. Et il sent, malgré l’eau fraîche, le haut de ses oreilles qui devient rouge. Cette fois-ci, les mots se sont libérés, ne sont pas restés au fond de sa gorge. Cette fois-ci, il a osé montrer un peu plus qu’il est, cette facette qu’il cache à tous, même à ses proches.
Regarde Hazel, ce qui se cache dans sa poitrine. Et il donne plus de lui, le gamin, car c’est peut-être le moment. Approche et ajoute — Je te trouve bien, enfin, je veux dire… Il cherche quelques secondes ses mots — Jolie, mais de l’intérieur, pas juste de l’extérieur. J’aime que tu parles franchement, même si je ne comprends pas tout parfois. T’es un peu désordonnée, mais je trouve ça mignon. T’es sincère et entière, je trouve ça incroyable. J’aime passer du temps avec toi et je m’en voulais de ne pas avoir pu me libérer pour ton anniversaire, alors… Voilà ?

Donc toi, Hazel, t’es incroyable. Conclusion de mots déposés sur une flopée de sentiments. Ah, qu’est ce que c’est compliqué, les humains, les filles, comme les garçons.

DÉFI  MENSUEL : 2/2 rp de plus de 3000 mots. (4041 mots)

MADE BY @ICEANDFIRE / IN FOR THE KILL › 2021-2022



    et je t’aime,
    même si j’en ai pas l’air,
    mon frère.
mob: bang, bang u're dead ●
Hazel Greyback
mob: bang, bang u're dead
Hazel Greyback
feuille de personnage

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décade : La sauvageonne naquit le vingt-trois juin de l'année mille neuf cent trente-six, elle est âgée de dix-neuf ans.
labeur : Enrôleuse débutante pour la pègre Fletcher.
alter ego : Aya Bush, jeune orpheline moldue provenant de la ville de Plymouth, dans le comté de Devon. Depuis quelques mois, la demoiselle occupe un poste d'arboriste-élagueur au sein de la communauté non-magique.
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(#) Re: apprivoiser l’animal. (arazel) ●
28.04.24 20:30




TW : nudité, grossièretés, violences physiques et verbales

Hazel n'est pas une nénette sympa. Elle a un sale caractère de cochon et n'a pas vraiment d'amis à elle. Les louveteaux veulent la sauter et sa famille fait avec. Il y a aussi Roman qui joue les papas mais ça crève les yeux qu'il comble quelque chose. Alors, la louvette est très seule et ne gobe pas ça. Arthur la baratine et elle déteste qu'il la prenne pour une conne. La blondasse avait espéré qu'il lui dise la vérité. Puis elle avait espéré qu'il lui avoue tout ce qu'il ressentait. Une distraction ou l'amour de sa vie, elle s'était imaginée tout plein de scénarios dans sa binette. Des joyeux et des tout tristes, la cul-terreuse ne voulait que sa franchise. Alors, elle était désillusionnée parce qu'elle y avait presque cru. Pour une fois dans sa chienne de vie, la gosse pressentait qu'elle avait trouvé le bon. Celui qui était capable de l'aimer comme elle était, qui ne chercherait jamais à la changer. Celui qui resterait à ses côtés même si elle n'était pas sympa. Même si c'était juste pour rire, pour passer du bon temps en sa compagnie. Elle était partante tant que le garçon la prenait comme elle était. Quel gros connard. Qu'elle se lamente intérieurement. La brutasse lui cache sa peine parce qu'elle ne voulait jamais l'entendre dire ça. Je t'emmerde, Bagshot. Qu'elle pense très fort et ça lui brûle les lèvres. L'attrapeur la fixe avec son regard ascardamycte et elle a envie de lui arracher la tête. Il est tout ce qu'elle déteste et ça ne devrait même pas l'atteindre. Puis elle la déteste aussi, sa sale tête de con. La pucelle déteste tout chez lui mais elle a maintenant envie de lui arracher ses vêtements. C'est une vraie fournaise là-dedans et elle brûle de désir pour cet idiot.

La morveuse espérait autre chose de lui mais elle fait comme si de rien. Elle vide sa Bièraubeurre d'une seule traite et s'en sert une nouvelle, toujours aussi tiédasse. Puis elle lui pose des questions sur sa vie, sur ses rêves. Alors, Bagshot s'anime et il est tout rayonnant quand il rêve de Quidditch. Il est étincelant parce qu'il ne s'arrête jamais de rêver celui-là. C'est plus gros que lui mais il y croit à fond. Et ça le rend plus extraordinaire que tous les sorciers qu'elle a déjà croisés. La cul-terreuse lui sourit bêtement parce qu'elle est émue. « Arthur Bagshot a déboulé deux fois chez les va-nu-pieds dans son beau costume... Alors j'peux bien faire ça pour lui. » Qu'elle lui répond à voix basse, les joues légèrement teintées de rose. Ça ressemble à une invitation et ça lui plaît bien. Parce que c'est pas juste la fille sympa qu'on veut dans les gradins. C'est la fille. Alors, c'est au tour de la sauvageonne d'y croire. Ça va trop vite dans sa tête puis ils trinquent à leurs crétins de frères. On s'en branle de ces deux-là. La louvette a perdu le fil de la conversation, perdue dans ses pensées. « Le mien n'est pas gentil. » Qu'elle rebondit machinalement. A présent, la blondasse réalise que Fenrir n'est pas très loin et que c'est dangereux pour eux de rester là. Puis elle se relève soudainement. Il est temps de s'enfuir pour Hazel et Arthur. La fille lui propose la rivière mais n'importe où sera mieux qu'ici. Elle n'a pas chiadé son plan, elle sait juste qu'il faut partir avec leurs bières sous le bras.

Sur le chemin, ils font attention de ne pas réveiller le grand méchant loup. Celui-là qui émascule les copains de sa petite sœur. Ça fout la trouille à la starlette de Quidditch et Hazel pique un gros fou-rire. Mais c'est pas vraiment drôle parce qu'il est vraiment cap de le castrer. La blondasse plaque sa petite main sur sa bouche puis elle traverse péniblement le camp. Elle n'entend plus Arthur et se bidonne de plus belle. L'attrapeur a raison d'avoir peur et ce n'est pas gentil de se moquer de lui. Mais elle n'est pas une nénette sympa. « J'me sens pas une sorcière comme les aut'. » Qu'elle lance en haussant les épaules. « C'est encore pire depuis... Enfin, j'sais pas quoi faire de c'te magie. » Qu'elle insinue plein de choses mystérieuses à la fois. La louvette ne peut pas tout lui dire, ils se connaissent pas vraiment. Elle ne peut pas lui parler de sa Transformation, il y a de cela presque une année entière. Et enfin, elle ne peut pas lui parler de ses doutes, de la dépression qui s’ensuivit. Ce sont des propos xyloglottes dans la bouche de la gamine. Puis elle scande ces drôles de vers en pleine forêt, pour les protéger des louvarts qui rôdent et les surveillent en ce moment même. « Y devront déjà me passer d'ssus avant d'te toucher. » Qu'elle ronchonne à la pensée qu'ils oseraient lui faire du mal. La brutasse s'imagine qu'elle pourrait tuer pour ça. « Une amie, hein... ? » Qu'elle répète en plongeant ses grands yeux clairs dans les siens. À cet instant, on ne sait plus si elle parle toujours de Dolly ou bien d'elle-même. La péquenaude aimerait être plus qu'une amie pour lui. Elle espère beaucoup plus mais ce n'est peut-être pas un désir partagé. « Je... J'ai pas vraiment d'place. J'suis la fille de, la sœur de, la filleule de... J'me bats pour qu'ça change, tu vois l'genre ? » Qu'elle se montre sincère avec lui. La louve ne raconte pas d'histoires, elle ne s'invente pas de folles aventures. Elle galère et le lui livre comme ça. Pour la première fois, Hazel se confie sur elle, sur sa famille et sa vie. « T'en fais pas, Bagshot. C'mon lot à moi. J'ai l'habitude que la vie me chie d'ssus. » Qu'elle lui répond, un peu sur la défensive. La blondasse est touchée par les mots si parfaits de l'attrapeur. La pucelle lui sourit timidement avant de fuir son regard. C'est qu'elle n'aime pas se montrer comme ça, une nénette avec ses failles et ses faiblesses. La morveuse est une dure à cuire, c'est obligé pour survivre au sein de la meute. « Merci, t'es cool... » Qu'elle murmure comme si elle avait peur qu'on l'entende, comme si c'était honteux de dire simplement merci.

Retourne-toi. La morveuse tourne le dos à Arthur, les yeux grand écarquillés. Elle le sent qui s'agite derrière elle mais ne sait pas ce qu'il est en train de traficoter. « Je... Mais que... Tu fous quoi, Bagshot ? » Qu'elle le sonde, à moitié hilare. Hazel aime ces jeux-là, tout plein de surprises et d'aventures. Aussi, elle pousse un petit cri strident lorsqu'il la soulève puis la jette dans la rivière. Ensemble. PLOUF. La sauvageonne boit la tasse parce qu'elle continue de crier sous l'eau. GLOU-GLOU. Lorsqu'elle finit par remonter à la surface, la blondasse a le souffle court, avec toute cette flotte accumulée dans son nez et ses oreilles. Elle n'y voit plus rien et s’agrippe farouchement au garçon. « Tain' mais t'es complètement malade ! » Qu'elle s'exclame en riant. L'eau est gelée et la pucelle gesticule dans tous les sens pour ne plus couler. Aussi, l'attrapeur essuie les gouttelettes sur son visage et c'est beaucoup pour elle. Il y a son cœur qui s'emballe, ses battements qui s'accélèrent. La louvette a des papillons dans le ventre alors qu'il prononce ces quatre petits mots : Tu me plais, Hazel. C'est alors une vague d'émotions qui l’inonde, la déborde entièrement. La crapule rougit, elle a chaud et transpire malgré la froideur de ce bain. « Que... T'as dit quoi, là ? » Qu'elle bégaye comme une idiote. « Je... » Qu'elle commence sa phrase alors qu'il lui déballe tout ce qu'il a sur le cœur. C'est inattendu et inespéré pour la Greyback. VLAN. La barbare s'est élancée en arrière et lui a donné un coup de boule, en plein dans son pif. « J'SUIS PAS UNE NÉNETTE SYMPA ! » Qu'elle lui hurle dessus comme une timbrée. Parce que c'est lui qui la mise dans tout ses états. Sympathique, qu'il a osé avant de changer d'avis. La cul-terreuse est en pleine crise de nerf et tremble de son corps frêle. Elle a chaud et froid. Elle l'aime et le déteste. Tout ça en même temps. « T'ES UN IDIOT, ARTHUR BAGSHOT ! ET J'TE FOUS UNE RACLÉE PIRE QUE CELLE-CI SI TU M'INSULTES ENCORE. » Qu'elle crie toujours avec sa voix brisée. Hazel avale encore l'eau parce qu'elle nage pas très bien. Elle toussote puis se raccroche aux épaules de Bagshot. La pucelle enroule ses jambes autour de sa taille et leurs corps sont plaqués l'un à l'autre. Puis il y a aussi ce maillot avec le numéro sept qui lui colle à la peau. « J'suis désolée, c'est sorti tout seul... » Qu'elle lâche dans un long soupir. Un long soupir qui ressemble davantage à un gémissement. La louve est confuse et ne sait plus ce qu'elle pense, ce qu'elle dit, ce qu'elle fait... Il y a toute cette excitation qu'elle n'arrive pas du tout à gérer. « T'sais, je... J'sais pas dire de belles choses comme toi. Mais... Enfin, j'trouve que t'es un trou d'balle, surtout là, maintenant. » Qu'elle s'exprime avec la voix haletante. La paysanne le mate intensément puis avance son visage vers le sien, si délicatement cette fois-ci. SMACK. Hazel dépose un fin baiser sur les lèvres de l'attrapeur, à peine frôlées. Elle ne veut pas le brusquer, ni même le faire fuir. « Enfin, voilà... C'est ça que j'ressens, moi. » Qu'elle bafouille tout bas. La jeune femme déglutit difficilement, mal dans sa peau. Elle a frappé Arthur Bagshot au visage puis elle l'a embrassé sur la bouche. C'est une histoire de dingue. « T'as mal ? » Qu'elle lui demande en chuchotant. Elle espère que non. De son minuscule index, elle caresse son front, sa bouche, ses joues, son menton... La blondasse craint d'avoir tout gâché entre eux.

1799 mots

{ DÉFI 02 DU 28.04 : Placer les mots « CHIADER, XYLOGLOTTE ET ASCARDAMYCTE » }

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JEUX 2024
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TEAM SOMBRAL

« Y las noches que haya luna llena
Sera porque el niño esté de buenas,
Y si el niño llora
Menguara la luna
Para hacerle una cuna.
Y si el niño llora
Menguara la luna
Para hacerle una cuna. »
mob: bang, bang u're dead ●
Arthur Bagshot
mob: bang, bang u're dead
Arthur Bagshot
feuille de personnage

Feuille de personnage
RELATIONS:
INVENTAIRE:
ACQUISITION:
WANDS
KNIVES
SOUL
hiboux : 204
pseudo : roi de pique, marine.
faciès & dot : finn cole — olympia, cavarage, dickinson.
doublon(s) : la princesse jules, edith la pimbêche.
gallions : 677
apprivoiser l’animal. (arazel)  4871a94263e4294d3d48e4652fe3063695d25172
pronoms : masculin.
décade : vingt-deux grains tombés au fond du sablier, cri poussé quelques fractions de secondes après le jumeau, apogée de son existence sous l’essence de sa jeunesse.
labeur : talent inné pour voler, acrobate des airs et esprit ambitieux, attrapeur vedette des frelons de wimbourne, le numéro sept sur le maillot, joueur professionnel qui rêve des sommets, notamment de rejoindre l’équipe national et de rafler tous les trophées.
alter ego : aaron ackerman.
storytime : en cours ;;
etheldollyarazel ii

à venir ;;
— cass — dispo.

terminés ;;
brothershazel

sang : liqueur mêlée depuis trop longtemps pour prétendre à une quelconque stupide pureté, né d’une moldu et d’un sorcier, exemple parfait d’une cohabitation qui peut exister, mais autour du portrait de famille, le danger rôde toujours, à l’affût du moindre faux pas.
don : élu sourire le plus charmeur selon sorcière-hebdo, ça compte n’est-ce pas ?
myocarde : la presse prétend qu’il est un bourreau des cœurs, balivernes, son regard se tourne à sa surprise vers la gamine greyback.
allegeance : son frère en drapeau tatoué sur sa peau, mais la pègre à ses trousses, petit trafiquant des riches.
particularité physique : petite taille, idéale pour fendre les airs et saisir le vif, se tient souvent courbé, effet secondaire de ses entraînements sur son balai, fine cicatrice sur l’avant bras droit, vestige du derby contre les flèches et d’une faute à son encontre où il fut percuté contre les gradins.
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(#) Re: apprivoiser l’animal. (arazel) ●
30.04.24 20:32

et cette fille m’a touché, je crois bien que c’est foutu, j’suis foutu.
A

PPRIVOISER
L’ANIMAL


TW : grossièreté.

Je te trouve… Enfin, t’es sympathique.
Sympathique. Sympathique. SYMPATHIQUE. Si Arthur disposait de la capacité à se liquéfier sur place, sans doute serait-il devenue une sorte de mollusque indescriptible à cet instant. À défaut, il est et reste une endive avec ce goût doux et amer à la fois, il faut savoir l’apprécier. Sitôt les paroles prononcées, il se demande, l’attrapeur, comment il a pu dire ça ? Il est devenu encore moins doué que son nigaud de jumeau à cet instant et c’est peu dire. Même Adam n’aurait pas du ça à la fille qui lui plaît. Adam, il aurait bafouillé quelques mots, mais pas t’es sympathique. Pourtant, des deux, c’est sans doute le plus petit qui est le plus charmeur, le plus à l’aise avec la gente féminine. Arthur a toujours eu du bagout. Il n’a jamais eu du mal à s’exprimer, parlant parfois même à la place de son frère quand celui-ci cherchait ses mots pour lui éviter de le faire, prenant les devants, non pas pour s’illustrer, non pas pour se mettre en avant, mais pour le protéger, pour lui épargner la peine de parler. Arthur, il a même la langue bien pendue quand il veut et les mots tranchants, cassants quand il l’estime nécessaire. Il ne fait pas dans la demi mesure et encore moins avec les dames. Des filles qu’il a séduit, qui sont reparties avec l’attrapeur à leur bras, il y en a. D’autres ont même partagé sa couche. Des histoires d’un soir, parfois plus, parfois quelques soirs même, mais rien de sérieux, rien qui le met dans cet état.
Pourtant, Arthur Bagshot, il a toujours trouvé nul et vide de sens l’expression qui dit que l’on a des papillons dans le ventre. C’est digne des nigauds, de son jumeau par exemple. Pour lui, l’amour, c’est abstrait, c’est surtout quelque chose de physique non ? Un besoin à satisfaire immédiatement et qui, si on a passé un bon moment, demande à être réitéré. C’est tout, sauf les sensations qu’il ressent à cet instant. C’est tout, sauf les milliers de papillons qui volent dans tous les sens dans son ventre. Il n’aime pas ça, Arthur, alors il se perd, il ne sait pas quoi dire quand la belle sauvageonne le met devant le fait accompli. Oui, t’es sympathique Hazel. T’es même plus que ça, petite chipie, t’es la première à le faire vaciller à ce point, bousculer ses convictions, remettre tout ce qu’il croit acquis en jeu. Par les jupons d’Helga Hufflepuff, il est désarmé le nabot et quand vous aimez avoir le contrôle sur tout, que vous projetez votre vie sur plusieurs années pour que tout se déroule exactement comme vous le souhaitez, ça vous surprend. Alors sauter dans le vide, ça lui fait peur, à Arthur.
Pourtant, après avoir dit ses paroles, le jeune homme n’est pas à l’aise. Il sait qu’il n’a pas dit le fond de sa pensée, qu’il masque une vérité qui peut-être, l’effraie ? La peur de l’inconnue, la peur de tomber et de se faire mal, mais on se relève non ? C’est comme quand on apprend à faire du vélo sans les petites roues pour la première fois. Arthur se souvient très bien de ce jour d’ailleurs. Il est tombé après avoir pédalé quelques secondes, se faisant mal aux genoux, les deux en plus ! Il s’est juré alors de ne plus jamais remonté sur un vélo, s’agrippant à sa mère en pleurs, il a dit que c’était nul, que ça n’avait aucun intérêt et que c’était définitivement trop dangereux. Pourtant, son père, havre de sagesse derrière une calvitie persistante, il a alors affirmé que parfois, il faut recommencer, que oui, on tombe car la vie n’est pas simple, mais qu’en refusant d’essayer encore, de s’accrocher, on peut rater une super expérience. Arthur a mis une semaine avant d’essayer encore, mais il l’a fait. Il est tombé, mais s’est relevé cette fois pour ne plus jamais retomber. Et aujourd’hui, il ne fait plus de vélo, il vole bien plus haut, il n’a plus peur de tomber. Alors pourquoi il a peur comme ça, avec cette fille là ?

Il inspire profondément et accepte de la suivre. Pourtant, dans sa tête, ça tourne en boucle. Il y a cette petite voix, le Bagshot angélique qui lui murmure qu’il doit se rattraper, qu’il doit dire ce qu’il a sur le cœur. Oui, le numéro sept des Frelons est venu ici pour Hazel. Oui, il aime sa façon de parler, oui, il la trouve belle et oui, sa différence la rend unique à ses yeux et oui, il aimerait bien l’attraper, cette main qu’il fixe en longeant les différentes roulottes. Pourtant, ça reste encore et toujours coincé dans sa gorge. C’est que même si Arthur est bien plus vif d’esprit qu’Adam, il est bloqué. Quelque chose en lui ne veut pas fonctionner et ça l’énerve presque. Les yeux rivés sur la main de Hazel, il hésite, s’imagine déjà entrain de tendre la sienne, celle libre qui ne porte pas les boissons pour la saisir. Elle dirait quoi, Hazel si le garçon faisait ça ? Elle serait capable de le gifler, voir pire. Bon, en soi, ça ne serait pas dramatique et pas pire que de se prendre un cognard en pleine face, mais quand même. Arthur ne pense pas qu’il est prêt à tenter l’aventure. Alors il n’en fait rien.
Le sorcier tente alors de se concentrer sur la conversation en cours. Le frère de la jeune femme n’est pas gentil ? C’est à dire ? Quoiqu’elle a dit qu’il pourrait l’émasculer. Elle semblait être sérieuse et ça effraie encore plus Arthur. Une autre voix, moins angélique, plus diabolique, lui susurre dans sa tête que des filles, il peut en trouver plein. Même des garçons. Et qu’ils n’auront pas nécessairement de grand frère qui peut le changer en une eunuque. Pourtant, Arthur fait taire rapidement cette voix. Il veut… Il ne sait pas ce qu’il veut. Enfin si, il sait. Et c’est bien ça, le cœur du problème. C’est ça, oui, le cœur, cet organe. Un simple muscle et pourtant, le point central des émotions. — Le mien est gentil dit-il alors en continuant de suivre Hazel jusqu’à l’orée des bois. — Mais il comprend souvent les choses de travers. Adam a le chic pour ne jamais assimiler les choses comme il faut, pas assez vite pour Arthur. — Ce n’est pas le boursouflet qui roule le plus loin qu’il achève. Pourtant, son jumeau lui manque. Arthur aurait aimé lui parler de cette fille aux cheveux dorés qui le perturbe. Lui dire que parfois, il doit décrypter ce qu’elle dit, mais que ça ne l’empêche de vouloir la revoir pour en apprendre toujours plus sur elle. Qu’il lui a même offert un niffleur. Il voudrait ce soir, rentrer et lui raconter tout ça, mais ce soir, quand il passera le pas de sa porte, il sera seul. Ça lui met un coup, à Arthur de se rendre compte de ça. Il ne veut pas passer à côté de son histoire avec Hazel comme il passe à côté de celle avec son double. Tant pis si l’histoire avec cette fille se termine mal, tant pis pour les injures, les coups, bon, il espère quand même que ses testicules seront préservées. C’est toujours utile ! Mais il a envie de prendre le risque. Il peut encore se rattraper non ? Non, parce que Hazel, t’es pas sympathique. T’es tellement plus que ça, tellement beaucoup de choses !

Mais il ne sait pas trop ni quand, ni comment il doit lui dire tout ça, l’attrapeur. Alors il attend, le moment opportun tandis que le duo longe la rive, approche de la source. Le garçon écoute la sorcière, discute, s’intéresse. Tout chez Hazel lui semble nébuleux, mais d’elle, il veut tout connaître. Lui parler pendant des heures ne lui apparaît pas comme une corvée, bien au contraire. La curiosité l’emporte, l’envie de la comprendre un peu mieux, pour mieux l’aider, être là. Ça, c’est une première fois. Des autres filles, il s’en moque. D’elle, il veut bien plus que sentir sa peau contre la sienne. Il veut connaître la personne, l’esprit, l’âme avant le reste. Ça a forcément une explication, non ? Il se demande ce qu’en penserait Laurel tiens. Elle le pousserait sans doute dans les bras d’Hazel sans rien dire. Pourtant, ça veut tout dire, non ? Ah ! Par Merlin, que c’est compliqué, la valse des sentiments, mais dis-moi Hazel, tu veux la danser, la valse avec moi ? Ou tout autre chose, même une danse qui n’a aucun sens. Elle en trouvera, si tu danses avec moi.
— Tu n’as pas à être comme les autres dit Arthur sur un ton presque agressif, un peu trop ? En fait, c’est surtout brusque. C’est sorti tout seul parce que c’est la vérité. Elle est ce qu’elle et c’est très bien non ? Mais il peut essayer de comprendre, le jeune sorcier, ce qu’elle peut ressentir, d’être une sorcière, sans savoir quoi faire de sa magie, quand on est autre chose. Mais cette chose justement, à défaut de savoir, ça l’intrigue. — Et tu aimerais que ça change en quoi ? Dans quel sens ? La meute, des questions à foison. Arthur ne comprend pas tout. Il lui semble que c’est pire qu’un arbre généalogique issue d’une des grandes maisons. Chez les Bagshot, aucun doute, c’est plus simple. Il ajoute — Chez nous, on est quatre. Mes parents et mon jumeau. Il marque une pause. — Un jour, si tu veux je… Je te montrerai ? Comment c’est, chez nous, je veux dire.
Encore une invitation, une autre d’ailleurs. La deuxième, ça veut dire quelque chose non ? Même si les mains ne se touchent pas. Enfin, Arthur, il en a l’impression, mais sous entendre les choses, laisser l’autre deviner, ce n’est pas assez. Alors, il décide, le gamin, de grimper à nouveau sur ce vélo et cette fois, de prendre avec lui, dans son envol, Hazel.

Tout se passe vite. Il se déshabille rapidement et la saisit dans ses bras. Pas un vif d’or entre ses doigts, mais un bien plus précieux. Il saute Arthur, la belle contre lui et les voici dans l’eau. C’est froid, pour ne pas dire glacial, mais ça permet ce déclic, ça permet de déverrouiller chez le bougre, ce bloquage qu’il avait jusque là. Il parle, il est sincère. Il dit ce qu’il pense de cette fille, combien elle est différente pour lui. Elle n’est pas juste une fille, elle est Hazel et c’est ça qui lui plaît. À aucun moment pourtant, il la lâche, il la garde contre lui, nage pour deux. Il ne sait pas ce qu’il va obtenir comme réponse, Arthur, mais il ne regrette pas son choix, à aucun moment il ne…
Il ne voit pas le coup de boule venir. Il se le prend en pleine figure et recule le nez. Un vilain crac se fait entendre, l’os cède et l’attrapeur lâche un grognement qui s’apparente à une sorte de cri presque animal. — FUCK ! Qu’il jure entre ses dents avant de sentir son sang qui bouillonne et qui serpente sur son nez, se mêle à la fois à ses lèvres, change la couleur de ses dents, coule sur le menton pour donner ensuite une teinte vermeil à l’eau devant son visage. — MAIS ÇA VA PAS !? Qu’il hurle à son tour aussi fort qu’elle, si bien que Arthur n’entend pas ce qu’elle dit, il s’en moque complètement. C’est comme quand on se prend un cognard ! Pourquoi elle a fait ça enfin !? Elle est pas bien ? Il fronce les sourcils, la douleur lui pique la figure, il retient même une larme. Aucun doute, elle sait cogner, la louve ! — T’ES COMPLÈTEMENT SIPHONNÉE C’EST PAS POSSIBLE ! Qu’il braille aussi fort qu’elle. C’était censé être une déclaration ! Par les tétons de Rowena, c’était censé être sacrément romantique et même pourquoi pas, finir sur une fin heureuse ! Comme dans Cendrillon ou quelque chose comme ça, bref, tout se manger en pleine poire un coup de boule ! — BAH VAS-Y JE T’ATTENDS ! Il répond à sa provocation avant de se calmer, de passer une main sur son nez qui pisse le sang et d’y mettre de l’eau pour faire disparaître le tout, mais le sang coule toujours et revient. Il va avoir un sacré bleu, même après avoir utilisé la magie pour remettre le tout en place. Un léger soupir, une énorme envie de la noyer ici et maintenant, pourtant, sitôt que la vaurienne enroule ses jambes autour de lui, s’agrippe au garçon comme une moule à un rocher, ça le calme. Il se dit que quelque part, il aurait du s’y attendre avec elle. Elle n’est pas comme Cendrillon, on se rapproche plutôt de la fée Clochette qui n’en fait qu’à sa tête, boude et n’hésite pas à causer du souci à Wendy. Oui, elle est indomptable, sauvage et c’est ça qui lui plaît. Pourtant, à cet instant, dans ses bras, lovée contre lui, contre son torse, dans son maillot à lui, ça le bouscule, ça le cogne à l’intérieur. Il nage d’un bras et de l’autre, la serre un peu plus contre lui. Un loup, ça a des crocs, mais pas que. C’est plein de choses, un loup. Comme elle. — Bah… C’est rien qu’il dit finalement. — C’est pas pire que de se prendre un cognard. Et il sait de quoi il parle ! Puis, la magie fera le reste dès qu’il sera retourné sur la rive, il remettra le tout en place il se dit, avant de l’écouter. — La faute à qui si je suis un trou de balle avec le nez cassé et qui pisse le sang ? Il arque un sourcil, il a envie de rire, mais ça lui arrache une grimace, ça fait mal. Un mal de chien, bordel, mais c’est presque attendrissant aussi. — Et puis… Trou de balle toi-même.

Et puis, un silence. Un moment de flottement. Elle le fixe. Il la fixe. Le sang continu de couler, ça n’a rien de glamour, on peut oublier les paillettes et le décor féérique. C’est à la fois violent et intense, c’est comme un verre d’alcool fort, quelque chose qui fait au moins cinquante degrés, ça vous arrache la gorge, c’est presque du désinfectant et pourtant, on en demande encore et à la fin, on finit par apprécier le goût que ça.
Le goût de ses lèvres. La sauvageonne ne lui laisse pas ce goût, car elle frôle ses lèvres, presque un mirage, une caresse subtile. Cette fille n’est définitivement pas comme toutes les autres il se dit, surpris. Dans les yeux d’Arthur, un éclat, quelque chose qui brille. Elle a… ? Elle a bien ? Il reste silencieux un instant, cligne des yeux comme revenir à la réalité. Elle ressent ça, Hazel ? Elle aussi ? Le coup de boule, c’est le coup de l’émotion donc ? Un coup, un sacré, on peut le dire. Il esquisse un faible sourire, fait le faux fier. — Non, ça va, j’ai vu pire. Et quand il sourit vraiment, il grimace et retient un juron entre ses dents. — En fait… Tu m’as pas loupé, ça fait un mal de chien qu’il confie finalement, mais c’est pas grave. Il se tait encore quand la fille effleure son visage, chaque coin du bout des doigts. Il ne la quitte pas du regard, la fixe avec cette irrésistible envie de l’embrasser. Un vrai baiser, quelque chose de sincère. Oh non, il ne compte pas partir. Il n’a pas peur Arthur, il est même subjugué par cette fille aux cheveux blonds comme les blés. — Hazel… Qu’il commence doucement. Les deux, à la dérive par la rivière et son courant arrivent sur la rive gauche, de l’autre côté. Arthur a pied, alors il se dit que la belle aussi, pourtant, il ne la lâche pas, la garde contre lui, mais cesse de nager. Ça libère ses mains. L’une remet une mèche blonde de la sorcière derrière son oreille. Il la regarde encore un instant, prend le temps de détailler son visage. Première fois qu’il la voit d’aussi près. Ses yeux, le spectre coloré de son regard, ses cils, son nez, intacte pour le coup ! Et ses lèvres, gourmandises qui attirent chez le garçon, l’irrésistible envie d’y goûter. Et ils reviennent à la charge, les papillons dans le ventre. Pourtant, son regard remonte aux yeux de la belle.
— Tu as raison, t’es pas sympathique. Il prend le risque d’un autre coup, mais il aime jouer Arthur. — T’es plein d’autres choses que j’adore. Même ce coup de boule, je l’adore. Étrange non ? Si ça avait été quelqu’un d’autre, il serait encore entrain de râler, aucun doute, voir de hurler parce qu’on a abîmé son si beau et précieux visage. Mais parce que c’est elle, il n’en tient pas rigueur. Au contraire, le garçon se dit qu’il l’a peut-être même mérité au vue de la réponse pathétique qu’il a donné tout à l’heure. [color:c1e5=#darkblue]— Dis-moi ce que tu as envie, là maintenant ? À part me frapper encore. Il marque un pause, le jeune homme, sent son cœur, organe traître qui s’accélère. C’est lui qui commande maintenant, le cerveau est en mode off, définitivement. Il est incapable de penser comme avant, avant Hazel, avant toi, jolie petite sauvageonne. Et il aimerait qu’elle soit la sienne.
— Moi, j’ai envie que tous les deux, on… On soit le trou de balle l’un de l’autre. C’est maladroit, mais c’est poétique, quelque part non ? Il n’est pas certain de lui, Arthur, mais il pense avoir compris. Avec cette fille là, avec la gamine qui vit dans une roulotte, la vie, c’est plein d’incertitude et il accepte ça, le fils Bagshot. Elle est super belle d’ailleurs, dégoulinante d’eau, il perçoit presque une fragilité derrière ce côté bestial. L’envie d’en voir plus, d’en découvrir plus.

— Tu sais, j’ai envie de t’embrasser. Mais vraiment. Un vrai baiser. Pourtant, sans son accord, il n’en fera rien l’attrapeur. Il attend, il peut attendre des heures d’ailleurs qu’elle le soit. Lui, s’est jeté à l’eau, il n’attend plus qu’elle, celle qui est fait voler des milliers de papillons dans son ventre, à ce petit con.


(3225 w.)

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    et je t’aime,
    même si j’en ai pas l’air,
    mon frère.
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