GODRIC'S HOLLOW ● Dans l’ombre, un texte commence à circuler dans les différentes communautés magiques, lu lors de soirées mondaines, traduits dans une dizaine de langue, le pamphlet, extrémiste, fait assez parler de lui pour être reproduit par les journaux ou lu sur les ondes de nombreuses radios afin d’en commenter ou critiquer le contenu. L’illégalité de leur organisation ne semble nullement avoir empêché les Mangemorts de diffuser leurs idéaux. (lire le pamphlet)
sang : moldue, sang aussi bourbeux que la bière de son pays natal, étincelles qui coulent dans les veines.
myocarde : lesbienne assumée et revendiquée, coeur qui bat pour les beaux yeux d'une blonde en particulier.
allegeance : les copains d'abord, la bande avant tout ; mais de bande il n'y a plus, alors elle se jette dans une nouvelle cause à corps perdu. Les Chasseurs sont sa nouvelle famille, dynamique dysfonctionnelle et conflits compris.
particularité physique : cicatrice de brûlure couvrant l'intégralité de sa cuisse droite. Taches de rousseur qui constellent le visage, les épaules et les bras.
PRÉNOM, NOM ●SAOIRSE Toíreasa FINNIGAN, c’est du moins ce qui est marqué sur ses papiers. Mais tout le monde l’appelle TASHA, parce que c’est plus simple : c’est pas de sa faute si les Angliches sont infoutus de prononcer les syllabes gaéliques, mais elle a la flemme de les voir essayer. Pour ceux que ça intéresse, ses prénoms veulent dire respectivement Summer et Freedom, sauf qu’elle se voit moyennement demander aux gens de l’appeler comme ça. Tasha, c’est très bien : court, efficace, comme un kick de batterie - ou un poing dans la tronche. TRIGGER WARNINGS ● meurtre, deuil, drogues, violence, vulgarité, lesbophobie, pyromanie. AGE & DATE DE NAISSANCE ●25 ANS, née le 3 DÉCEMBRE 1929, même si elle refuse obstinément de révéler cette date - même à ses rares proches. Elle n’a pas choisi de naître, elle ne va tout de même pas fêter ça en sus. ORIGINES & BRANCHE FAMILIALE ● rousse au caractère aussi flamboyant que ses cheveux, Tasha est sans nul doute possible IRLANDAISE, comme le rappellent les nombreux jurons gaéliques qui émaillent son discours révolutionnaire. Une famille peu nombreuse - pour éviter les bouches inutiles à nourrir, répétait sa mère : il y a juste ses parents, son frère aîné et elle. Elle ne sait pas s’ils sont encore en vie, tous les trois, et à vrai dire elle s’en fiche. La famille, c’est un concept bourgeois. STATUT CIVIL & ORIENTATION ● qu’est-ce que ça peut bien vous foutre ? Ouais, elle aime les FEMMES, et alors ?! N’importe qui avec deux sous de bon sens peut voir que les mecs sont tous des gros bourrins machistes - Pete était l’exception, mais Pete est mort, voilà ce qui vous arrive quand vous êtes un gars trop bien pour ce monde. Farouche célibataire, Tasha laisse néanmoins son coeur battre au rythme des oeillades d’une certaine blonde, COUPLE incendiaire incertain de son futur - mais le seul temps qui compte est le présent. PROFESSION ● récemment devenue GÉRANTE du pub de Godric’s Hollow, elle fait tourner le DRUNKEN SAILOR toutes les nuits. Énergie adulescente dépensée sans compter dans cette nouvelle fonction qu’elle laisse l’absorber, attendant qu’un groupe ne réclame la scène qu’elle a fait installer dans un coin du bar. NATURE ●MOLDUE pour laquelle la seule magie qui en vaille la peine, c’est la musique qu’elle fait jaillir de son saxophone. Le reste, c’est du flan et des paillettes, ou bien la mort au bout d’une baguette. LIEU DE VIE ● finie la bande - fini le squat sans adresse fixe. Finie la vie de bohême, commence le temps des responsabilités. Logement pris à l’étage du DRUNKEN SAILOR, quartiers privés partagés avec la petite Lucy dans le quartier de SOUTHSIDE. La propriété est un concept bourgeois, cependant, aussi Tasha se jure-t-elle qu’un jour elle partira - elle ne sait juste pas quand, exactement. GROUPE ●DISCORDIA depuis qu’un éclair de lumière verte lui a pris son meilleur ami, depuis l’emménagement dans ses nouveaux quartiers, depuis ce mot laissé par l’ancien propriétaire. UNE FACTION ? ● bande disloquée, ne restent plus que les filles. Contact repris avec celle qu’elle connaît sous le seul surnom de La Colonelle, entrée fracassante dans les rangs des CHASSEURS. Quitte à faire payer les sorciers, quitte à tout faire péter… autant être du côté de celleux qui contrôlent l’explosion. CROIS-TU EN LA MAGIE APRÈS LES DERNIERS ÉVÉNEMENTS ? ● seul un imbécile refuserait de croire en l’existence de la magie ! Faut vraiment pas avoir les yeux en face des trous pour continuer à se voiler la face, mais bon, on donne bien le droit de vote aux idiots… Évidemment, qu’elle croit en la magie. Fascination pour les possibilités d’un alliage mécanico-magique qui a pourtant pris le goût des cendres et du pétrole, amertume devenue corrosive, étincelle sur laquelle il suffirait de souffler un peu pour déclencher un incendie. AVATAR & CRÉDITS ●Luca Hollestelle (draiochta & greenhouselab) CARACTÈRE OU RÉPUTATION ● selon le thème astral que Jules a réalisé pour elle, Tasha est Sagittaire, avec Lune en Bélier, ce qui expliquerait son envie perpétuelle d’exploration, son besoin de solitude et sa capacité à s’épanouir au milieu du chaos. Selon Jack, qui n’y connaît rien en astrologie, Tasha est chieuse-en-chef, ascendant casse-couilles. Elle préfère dire qu’elle n’a pas peur d’exprimer ses opinions, peu importe qui les entend - et si ça ne leur plaît pas, elle s’en fiche comme de sa première culotte. Elle n’a pas vraiment de principes, si ce n’est une farouche opposition à toute forme d’autorité. Le feu, qu’elle aime tant observer, est aussi l’élément qui lui correspond le mieux, tant elle semble vivre de rage et d’alcool - l’amour et l’eau fraîche, très peu pour elle. La loyauté toujours offerte à la bande, ou à ce qu’il en reste, elle se laisse toutefois consumer par la colère. La rêveuse a cédé sa place, concédant la partie à la révolutionnaire en quête d’un monde meilleur - peu importent les moyens employés pour y parvenir. QUE CHERCHE TON PERSONNAGE ? ● elle ne cherche rien, ni le sens de la vie qui l’emmène, ni l’amour de ses rêves, la douceur et la fièvre. Non, Tasha est une feuille vagabonde dans le courant de la création, elle se laisse guider par le chaos et profite du présent, laissant derrière elle le passé, convaincue qu’il n’y a pas de futur qui vaille la peine de se projeter plus loin que le lendemain.
WHO ARE YOU REALLY?
I - Suite au bûcher de la Saint Godric durant lequel une sorcière a été exécutée en réponse à l'assassinat de la fille de Churchill, quelle a été ta réaction ? Elle s’en fiche. Ou plus exactement, elle s’en fichait - avant que les sorciers ne lui prennent son meilleur ami. Depuis ce jour, toutefois, elle a rejoint le camp des admirateurs du bûcher. Pour chacun des nôtres, on prendra l’un des leurs : une devise que renierait sans doute Pete le pacifiste, seulement il n’est plus là… Alors, Tasha fait ses choix seule.
II - Suite à l'explosion du secret magique, les chasseurs tentent de grossir leurs rangs afin de protéger leur monde, mais surtout annihiler le monde magique. Quelle est ta position ? D’abord émerveillée par les potentialités que révélait l’existence de la magie, la rouquine a vu ses rêves timides voler en éclat lors du meurtre de Pete. Depuis, elle a rejoint les rangs de ces chasseurs, et ne rêve plus. Seuls sont restés les cauchemars.
1929 ●0 ANS - Saoirse voit le jour au troisième étage d’un immeuble des faubourgs de Belfast, entre les vagissements maternels et les cris de son frère aîné, qui tente ce jour-là de mettre le feu aux rideaux pour attirer l’attention de ses parents. 1937 ●7 ANS - l’Irlande fendue en deux reste derrière eux, alors que les Finnigan partent pour l’Angleterre. Les usines de Manchester tournent à plein régime, mais si les bras des émigrés sont plus que bienvenus, on moque leur accent et leur religion. 1939 ●9 ANS - Saoirse s’ennuie ferme en classe. Souvent punie pour son inattention, elle développe une aversion à l’autorité qui l’accompagnera toute sa vie. Hors des frontières, un conflit que l’on dit mondial a éclaté : dans les rues de Manchester toutefois, la lutte est quotidienne, et la gamine n’a pas le temps de penser à la guerre que se font les adultes. 1941 ●11 ANS - punie une fois de trop par un professeur trop zélé, elle tente de fuguer plutôt que de rentrer chez elle. Ce premier essai, pitoyable, se finit sans gloire après une nuit passée à errer dans les rues de la ville, rattrapée par son père qui lui fait passer l’envie de s’enfuir à coups de ceinture. 1944 ●14 ANS - accusé de collusion avec l’ennemi, le père Finnigan perd son emploi dans les fonderies. La famille compte désormais uniquement sur la subsistance que fournit son fils aîné - pas exactement légale, mais face à la faim, les principes s’effacent rapidement. 1945 ●16 ANS - pendant la messe de Noël, Saoirse échange des regards languissants avec l’une des choristes. À la fin de la cérémonie, les deux jeunes filles se retrouvent et ont le temps de partager quelques baisers volés avant que le père Finnigan ne débarque. 1946 ●16 ANS - la tannée prise lors des fêtes de fin d’année achève de scier les derniers liens d’affection qui unissaient Saoirse à sa petite famille. Frère absent, mère impuissante et père violent - nul ne la retient cette fois. Elle quitte le nid sans un mot, et prend le premier train qui passe. 1948 ●18 ANS - dans les rues et les bars de Soho, la gamine est devenue adulte. Ici, elle peut être qui elle veut : si elle conserve son accent, elle mâtine également son vocabulaire d’un argot typiquement londonien. Elle apprend le saxophone en autodidacte, passionnée par la puissance et la subtilité du souffle des jazzmen venus d’Amérique. 1951 ●21 ANS - parce que la vie serait trop calme sans une ou deux étincelles, Saoirse se pique de politique. Elle assiste à des meetings clandestins, et rejoint bientôt les poseurs de bombes qui parsèment le Royaume-pas-si-Uni de leurs œuvres. 1952 ●22 ANS - blessée lors d’un attentat, soignée tant bien que mal par une femme qui pourtant appartient au camp ennemi, la rouquine revient à ses premiers amours : la musique et les filles. Elle rejoint le groupe hétéroclite emmené par Pete Glaswock, et devient Tasha la saxophoniste - depuis l’ombre, celle qu’elle surnomme “La Colonelle” l’observe. 1953 ●23 ANS - Pete oscille entre la vie et la mort, et l’habituée des explosions et des décisions impulsives se force à la douceur pour veiller son meilleur ami aux côtés de Jules. Princesse des bas-fonds et artificière de Belfast tressent une alliance inattendue - tandis que Jack le bassiste passe ses nerfs sur les rares meubles de leur squat londonien. 1954 ●24 ANS - alors que l’existence du monde sorcier est révélée, la bande composée de Pete, Jack, Harry et Tasha refuse de changer ses petites habitudes. Il faudra l’insistance de Jules pour finalement les traîner jusqu’au village de Cornouailles où ses parents ont une maison de vacances. 1955 ●25 ANS - le monde s’embrase - littéralement. Meurtre de la petite Churchill, représailles sous forme de bûcher, puis un autre assassinat, qui frappe trop près du coeur. Pete est emporté par la folie meurtrière des sorciers, et la bande implose sans que personne ne puisse l’empêcher.
BEHIND THE SCREEN ●PSEUDO & PRÉNOM : Foxie SCÉNARIO OU PERSONNAGE INVENTÉ ? pré-lien (réécrit pour devenir un personnage original) AGE : celui de Kurt Cobain PAYS : celui de Hooverphonic SORT OU PERSONNAGE FAVORI : Hermione, évidemment. COMMENT AS-TU CONNU IFTK ? j’ai trop de comptes ici pour qu’on me demande ça. DES SUGGESTIONS ? je sais où les poser quand j’en ai. AUTORISES-TU LE STAFF À PLACER TON PERSONNAGE DANS LES PERSONNAGES DISPARUS SI TU QUITTES LE FORUM ? à voir le moment venu.
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Dernière édition par Saoirse Finnigan le 21.01.24 15:06, édité 3 fois
sang : moldue, sang aussi bourbeux que la bière de son pays natal, étincelles qui coulent dans les veines.
myocarde : lesbienne assumée et revendiquée, coeur qui bat pour les beaux yeux d'une blonde en particulier.
allegeance : les copains d'abord, la bande avant tout ; mais de bande il n'y a plus, alors elle se jette dans une nouvelle cause à corps perdu. Les Chasseurs sont sa nouvelle famille, dynamique dysfonctionnelle et conflits compris.
particularité physique : cicatrice de brûlure couvrant l'intégralité de sa cuisse droite. Taches de rousseur qui constellent le visage, les épaules et les bras.
J’ai toujours dit que la vraie vie commençait à seize ans. C’est ma théorie favorite - les autres, elles m’emmerdent. La gravité, je m’en fous. La relativité, je m’en fous. L’existence de Dieu, je m’en fous. Et toutes les théories politiques, aussi : je m’en fous. Le problème des théories, c’est que ça reste… Théorique. Rien ne vaut la pratique.
Du coup, pour moi, en pratique, la vraie vie a commencé à seize ans. L’année où j’ai embrassé une fille pour la première fois ; l’année où j’ai quitté le foyer… Putain, qu’est-ce que je déteste cette expression. Sous prétexte qu’il y a un feu dedans, l’endroit où on grandit avec ses parents devient un foyer. Un nid. Comme si on était des putains d’oiseaux. Alors que si je devais être un animal, je choisirais clairement autre chose qu’un piaf. Un écureuil, peut-être ? Nan, c’est con les écureuils, ça oublie souvent où ça a planqué ses noisettes… Note que moi aussi, j’oublie souvent des trucs. Du coup, ouais, un écureuil.
Bref, j’en étais où ? Ah oui, quitter la maison. Enfin, l’appartement. Ce trois pièces exigu qu’on partageait avec mes parents - ma mère la taiseuse, et mon père qui aimait s’écouter parler, le duo qui s’était bien trouvé - et mon frangin. Un brave type, quelques années en plus que moi, et toujours prêt à se jeter dans la première bagarre venue pour prouver qu’il était le plus fort. Prêt à passer beaucoup de marchés pas très licites pour nous assurer un repas, quand le père rentre les mains vides après une journée à quémander devant les usines. Il me manque un peu, parfois : Funny Fergie comme je l’avais baptisé, Fergus Conall Finnigan aux yeux du catéchisme local - Ferg’ le grand frère. Mais le reste - l’appartement qui puait le charbon, les commères qui nous servaient de voisines, la messe tous les dimanches, ce genre de conneries - je l’ai laissé derrière moi sans regrets.
Il y avait bien cette fille, rencontrée lors d’une messe justement. Mary - comme la moitié des Irlandaises de mon âge, prénom tellement commun que c’est difficile à oublier. Des yeux bleus comme l’océan, presque gris, et une incisive légèrement de travers. Quand elle souriait, ça me flanquait des étincelles dans le ventre. Si elle avait voulu venir, je l’aurais emmenée avec moi, direction la capitale. Vu qu’elle est pas là, je te laisse deviner sa réponse.
tiger, burning bright
De la ville, j’en avais déjà vu. Belfast, d’abord, puis Manchester : pas exactement des bourgades paisibles, mais ça m’allait très bien. J’ai toujours eu besoin qu’il se passe des choses - et de préférence beaucoup - autour de moi, étrangement ça m’apaise. Mais Londres, laisse-moi te le dire, c’est une autre soupe. La ville s’étend à perte de vue, impossible d’en délimiter les contours. Sur les murs, les traces de ce qu’on appelle le Blitz sont encore bien présentes. Des impacts, des absences aussi.
Dans les ruelles du quartier de Soho, cependant, la vie reprend ses droits. Les couleurs sont partout, et les gens ! Ici, on croirait que tout le monde est de passage. Je suis l’une des seules rouquines, mais pour le reste on vient des quatre coins de l’Empire, et nos accents se mélangent dans un joyeux bordel. Quelques Américains se targuent de m’enseigner la politique à grands coups de discours révolutionnaires, et je les laisse faire en lorgnant sur les instruments dont ils animent nos soirées.
Petite et vive, je finis par me faire embaucher de manière officieuse, et j’effectue quelques courses pour la branche locale de l’IRA. J’écoute leurs arguments de loin, ça parle de renverser l’ordre établi et de réclamer notre souveraineté ancienne, que les foutus Angliches nous ont piquée à force de traités. J’ai jamais été bien calée en histoire, mais pour la première fois on me demande mon avis et je le donne : qu’on fasse tout cramer, pour recommencer à zéro. C’est à moitié une plaisanterie, à moitié de la provoc’ rageuse mais j’y crois un peu tout de même.
Et c’est comme ça que je finis seule dans la fumée d’un attentat foiré. J’ai la cuisse en sang, la peau en feu, je me sens étrangement vivante alors même que je sais que je risque d’y passer. Dans le soir qui tombe, une silhouette. Des bras forts, un parfum de femme mais le ton ne va pas avec. Ca gueule des ordres, et on obéit. Je me réveille sur un lit de camp, et elle m’observe comme si elle m’avait veillée toute la nuit. Je l’appellerai La Colonelle, même si elle proteste un peu - ce n’est pas son grade exact, me dit-elle. M’en contrefiche, je lui réponds sans (trop) d’agressivité. Faut dire qu’elle m’a plus ou moins sauvé la vie, ça mérite un minimum de respect.
baby, you’re a firework
Je dirais pas que je me suis rangée des voitures. Parce que la vie avec la bande, c’est pas de tout repos non plus. À Londres puis dans ce patelin paumé du fin fond des Cornouailles, on a toujours eu le chic pour faire choc. La provoc’ dans le sang, apparemment on avait chopé la même maladie quelque part entre l’enfance et l’adolescence. Cinq individus, bientôt six, rejoints par une gamine du coin qui a davantage sa place sur les toits qu’en dessous : la bande, sans autre dénominateur commun que la volonté d’être libres.
Libres de jouer la musique qu’on veut entendre, pas juste celle qui passe à la radio aux heures de grande écoute. Parce que je t’avais prévenu : je jouerai pas les figurantes, et encore moins les choristes. J’ai pas la tête d’une enfant de chœur, de toute façon. C’était le saxophone ou rien, et ça t’a fait marrer. Les autres me trouvent étrange, décalée, trop violente pour être une fille et trop sensuelle pour être un feu follet. Mais toi, tu m’as jamais regardée comme une bête de foire. Je ne sais toujours pas ce que tu as vu en moi, je crois que je ne saurai jamais exactement.
Libres d’aimer qui on veut, comme on veut. Ca aussi, ça faisait partie de notre accord tacite. Liberté absolue, pour la musique et pour le reste, il est interdit d’interdire un point c’est tout. Et des filles, j’en ai aimé, à la pelle. Ou plutôt, je les ai draguées. Histoire de faire rager Jack, ou juste parce que je peux, parce que ça ne mène à rien - jamais. Que des histoires sans lendemain, des histoires de rien parce qu’il faut bien passer le temps. Parce que parfois, un compliment un peu adroit suffit à les emporter dans mon lit ; parce que parfois, la bataille est plus ardue mais j’aime ce jeu auquel je ne risque pas grand-chose. Si elles prennent peur, je peux toujours dire que je plaisantais. Que j’étais bourrée.
Parce qu’on est libres, nous. Le monde, lui, ne tournera jamais assez vite pour nous rattraper. Je prends un malin plaisir à plastronner en rêvant du grand soir, mais tu sais que le sommeil m’échappe plus souvent qu’à mon tour. Que dans les recoins du squat on peut encore trouver mille traces de mes inventions ratées, fragments de nuits passées à m’esquinter les yeux sur un nouveau projet, explosions parfois sonores au point de vous réveiller.
ashes to ashes
Sauf que le squat s’est vidé. C’est Jack qui a donné le signal du départ sans le vouloir. Engagé volontaire dans l’armée de Sa Putain de Majesté, lui qui était le premier à hurler son dégoût de l’autorité. La bande a perdu son bassiste, et moi j’ai perdu mon meilleur ennemi. Il n’a jamais été amateur des grandes déclarations, mais tout de même… Juste un mot griffonné à la hâte au lendemain de l’enterrement, merde quoi. Ca l’aurait écorché de nous dire au revoir proprement ?
Harry l’a suivi, dans la semaine ou presque. Pour le coup, je l’ai vu venir mais ça m’a fait mal tout pareil. Il était malheureux comme les pierres, on l’était tous. Sous le choc, et pour une fois on avait rien provoqué. Bref. Il nous a dit qu’on serait toujours les bienvenues à Londres, et on a fait semblant de le croire : Jules, qui tout à coup s’est découvert une tante éloignée chez qui elle peut crécher. Lucy qui a toujours vécu ici, et qui s’accroche à cet endroit comme une moule à son rocher. Et moi, qui ai fermé la porte du Black Dog pour la dernière fois alors que t’étais même pas parti depuis un mois.
Les filles sont ici comme chez elles, tu devrais les voir aller et venir comme si rien n’avait changé. Mais moi… je m’y perds, mon vieux. C’est trop calme sans toi, et j’aime pas beaucoup trop ça. J’ai même pas eu le temps de te parler de Jules, du “nous” encore fragile qu’on forme par je ne sais quel miracle. Ca existe et c’est doux, et pour une fois j’ai pas envie de tout fracasser après trois nuits. Je crois qu’elle est spéciale - enfin non, je sais qu’elle est spéciale, c’est notre Princesse après tout. Mais c’est aussi plus que ça.
C’est un peu - beaucoup - grâce à toi, tu sais. Et tu n’es même plus là pour le voir. Putain d’ironie de la vie, qu’on dit. Ironie de la mort, plutôt. On a tenu une petite cérémonie, t’aurais dû nous voir dans nos plus beaux habits noirs. Personne n’a pleuré, parce qu’on s’est dit que t’aurais pas voulu ça. Alors on a ri, on a bu, on a chanté - pour toi.
Et après le temps du choc, après le temps du deuil - viendra le temps de la colère.
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Dernière édition par Saoirse Finnigan le 22.01.24 22:53, édité 4 fois
sang : moldue, sang aussi bourbeux que la bière de son pays natal, étincelles qui coulent dans les veines.
myocarde : lesbienne assumée et revendiquée, coeur qui bat pour les beaux yeux d'une blonde en particulier.
allegeance : les copains d'abord, la bande avant tout ; mais de bande il n'y a plus, alors elle se jette dans une nouvelle cause à corps perdu. Les Chasseurs sont sa nouvelle famille, dynamique dysfonctionnelle et conflits compris.
particularité physique : cicatrice de brûlure couvrant l'intégralité de sa cuisse droite. Taches de rousseur qui constellent le visage, les épaules et les bras.
DATE D'ENTRÉE en juin 1955, Tasha rejoint l’organisation clandestine, qui a ses locaux dans les sous-sols du bar qu’elle vient de reprendre. MOTIVATIONS suite à la mort de son meilleur ami, tué par des sorciers suprémacistes (en réalité, la famille de Juliet Malfoy, cherchant à récupérer cette dernière), Tasha est à la dérive. S’accrochant à la personne la plus stable de son entourage, à savoir Elvira Quinn (qu’elle surnomme "La Colonelle" depuis leur rencontre à Londres), elle se lance à corps perdu dans la cause des chasseurs de monstres. IMPLICATION au départ, elle se contente de poursuivre l’accueil des réunions dans ses locaux. Rapidement, toutefois, elle met ses talents d’artificière au service de la branche braconnière, usant de ses compétences en matière d’explosifs pour préparer des pièges. Elle refuse toutefois de prendre part à quelque forme de torture que ce soit, profondément mal à l’aise avec cette manière de procéder ; proche des scientifiques, dont elle scrute les recherches avec intérêt, elle se méfie de la branche religieuse du mouvement.
derrière l'écran
VOS MOTIVATIONS DE PRISE DE POSTE comme je l’avais expliqué dans ma demande de refonte, rejoindre les Chasseurs me permettra de développer davantage le personnage de Saoirse, en l’impliquant plus directement dans les intrigues du forum. VOS ENGAGEMENTS je m’engage à jouer activement ce rôle d’artificière (et d’alliée plus généralement) ; je suis évidemment partante pour être impliquée dans certaines missions/TC de faction, ainsi que disponible pour des RPs liés à l’avancement de la faction. VOTRE VISION POUR L'IMPLICATION DE VOTRE PERSONNAGE elle ne prendra sans doute jamais de grande responsabilité hiérarchique, et ne suit que difficilement les ordres de personnes qu’elle ne connaît pas, mais elle fait aveuglément confiance à Elvira Quinn. Elle peut donc prendre part aux missions des braconniers (j'ai d'ailleurs placé Saoirse dans cette dernière branche, mais elle peut collaborer avec les scientifiques également).
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Dernière édition par Saoirse Finnigan le 23.01.24 15:11, édité 2 fois
sang : moldue, sang aussi bourbeux que la bière de son pays natal, étincelles qui coulent dans les veines.
myocarde : lesbienne assumée et revendiquée, coeur qui bat pour les beaux yeux d'une blonde en particulier.
allegeance : les copains d'abord, la bande avant tout ; mais de bande il n'y a plus, alors elle se jette dans une nouvelle cause à corps perdu. Les Chasseurs sont sa nouvelle famille, dynamique dysfonctionnelle et conflits compris.
particularité physique : cicatrice de brûlure couvrant l'intégralité de sa cuisse droite. Taches de rousseur qui constellent le visage, les épaules et les bras.
décade : le glas de ses dix-neuf ans vient de sonner, entre une adolescence perdue et l'âge adulte qui lui ouvre les bras
labeur : fraîchement diplômée, elle est assistante parjurante depuis quelques mois au Magenmagot
alter ego : Nicole Desplat
sang : sang pur, bien que ça n'ait pas la moindre importance à ses yeux
myocarde : le coeur accroché et offert à un doux géant
allegeance : elle est entrée il y a peu chez les passeurs, branche aubépine
particularité physique : une cicatrice sur la tempe droite, due à une malheureuse rencontre avec un cognard lors de son tout premier match de quidditch
J'adore ce qui se dessine dans cette refonte ! Je n'avais pas encore eu l'occasion de lire la précédente fiche puisque je savais déjà que ça ne serait plus d'actualité par la suite, mais je pense que y a totalement moyen de se trouver un petit lien bien sympathique avec mon loulou (gérante d'un pub, moldue chasseuse, queer, y a des atomes crochus et des inimitiés évidentes qui se dessinent à mon sens)
OOOOH La belle Saoirse Bon courage à toi pour cette réécriture de la donzelle Si jamais tu as des questions sur les chasseurs ou quoi, tu sais qu'on est jamais loin, y'a aucun soucis ( et puis une si belle demoiselle parmi nous krkrkrkr ça va faire du bien, une nouvelle tête ouiiiiii - même si mon Raph n'est clairement pas le plus sociable ni le plus loquace j'réfléchirais à un truc pour te le mettre dans les pattes mouhahahaha ) Hâte de découvrir cette nouvelle version de la demoiselle
labeur : Directeur du département de contrôle et régulation de créatures magiques
alter ego : Clyde McKenzie
sang : Pureté vermeille, naturellement
don : légilimens (stade final) & occlumans (stade intermédiaire)
myocarde : Promesses formulées avec Zorah Gregorovitch, enhardi pourtant dans la discrétion de quelques baisers de Judas. Le coeur pourtant ne cogne que pour une seule et même fleur.
allegeance : Convaincu par les discours (pour ne pas dire les catalinaires) de Grindelwald, c'était donc sur cette même lancée qu'il suivait attentivement les propagandes du jeune Riddle.
particularité physique : Quelques lézardes dissimulées en vindicte de sa malsaine obsession
Ooooooh la voici la voilà Il me tarde de découvrir cette nouvelle version de Saoirse
CE FC Elle est si belle Luca Très bon choix!
J'aime déjà beaucoup ce que j'en lis **
Chasseurs? Oh oh ... c'est intéressant ça
Bon courage pour le reste de ta rédaction chouchou
Promesses de l'ombre ☩
Sombres convoitises. La bête grattait la porte de la cruauté, le condamnable en bourgeon prêt à l'éclatement. Promesses scellées. Ces charognes subiront la crête de tes vagues barbares. L'ogre est lâché, affamé de vindicte et de cruauté.
sang : moldue, sang aussi bourbeux que la bière de son pays natal, étincelles qui coulent dans les veines.
myocarde : lesbienne assumée et revendiquée, coeur qui bat pour les beaux yeux d'une blonde en particulier.
allegeance : les copains d'abord, la bande avant tout ; mais de bande il n'y a plus, alors elle se jette dans une nouvelle cause à corps perdu. Les Chasseurs sont sa nouvelle famille, dynamique dysfonctionnelle et conflits compris.
particularité physique : cicatrice de brûlure couvrant l'intégralité de sa cuisse droite. Taches de rousseur qui constellent le visage, les épaules et les bras.
@Dolores Abbott wiiii, elle revient une version légèrement revisitée, j'espère qu'elle te plaira tout autant que la première !
@Damon Scamander évidemment qu'on va se trouver un ptit lien ! Parce qu'ils ont de quoi s'entendre, comme de quoi se détester... ça va envoyer du pâté !
@Raphael Rookwood toi aussi, je viendrai te voir pour un lien (en plus, j'ai enfin regardé Lockwood & Co., du coup je te laisse imaginer mon adoration pour ton FC ) Tasha peut clairement apprécier un gars qui n'essaie ni de la draguer ni de la battre au bras de fer Et je sais à qui poser mes questions si j'en ai, histoire que le troisième post soit à la hauteur de vos attentes !
@Warlock Yaxley nouvelle version, même FC (enfin, j'en avais déjà changé il y a quelques mois ) Mais oui, elle sera davantage engagée, cette nouvelle Saoirse ! Hâte de lui faire croiser le chemin de Gawain et des autres chasseurs !
décade : vingt-cinq années, essence d’une jeunesse en pleine ivresse.
labeur : autrefois fille à papa, petite poupée au talent inné pour concocter des potions, potionniste indépendante qui ne peut plus exercer, obligée de se cacher, désormais pianiste de bar dans un restaurant chic moldu.
alter ego : annie montroses, petite française égarée en quête d’une vie bohème.
sang : sorcière dans les gênes, pureté dans le vermeil, héritage désavoué et renié.
don : esprit scellé, verrou déposé et cœur sous cadenas, intrusion rendue difficile par la pratique de l’occlumancie. (occlumancie stade II)
myocarde : sentiment puissant, étincelle qui se transforme en incendie causé par cette fille à la crinière rousse, couple fragile qui se consolide un peu plus chaque jour.
allegeance : fugitive aux idées hors du temps, hors de son époque, rêve d’égalité, de paix, en désaccord avec les siens, mais à ce jour, sans faction déterminée.
particularité physique : poupée d’apparat, articulations cassées dans la pénombre, première balafre sur l’épaule gauche, maléfice reçu, peau craquelée, seconde balafre à la chute des reins, accident sur un balai, elle déteste voler depuis ce jour et peau marquée par l’encre noir, sous le sein droit se dessine une branche de belladone, aussi belle que mortelle, poison délicieux.
I U très très fort, ce personnage, cette refonte et ces nouveautés, ces ajouts et le déchirement lié à la perte de Pete, tout ce que cela va entraîner ça promet du feu de dieu, really, j’ai hâte d’explorer tout ça avec toi, mais aussi de voir l’évolution de tasha à côté ! Évidemment, le moment sera l’arrivée de hervé (je le prépare ) mais sinon, rebienvenue ta plume est toujours aussi belle, ce personnage, toujours aussi explosif, je l’aime, marrions les et puis le trio avec lucy, je suis fan
suis-je meilleure, suis-je pire qu’une poupée de salon ? et je vois la vie en rose bonbon. je suis partout à la fois, brisée en mille éclats de voix. — press play.
carnet de bals:
je ne fais pas de fiche de liens, si tu veux papoter lien, mp moi ou viens sur discord —
Je n'ai qu'une chose à dire avec cette nouvelle version de toi-même :
J'adore TOUT et le lien qui se dessine avec Elvira est blblblb ( La Colonelle valide, jusqu'au surnom que tu lui as choisi ) Hâte de lire la toute fin de la fiche ! (et tout le drama qui va suivre eh )
décade : (trente-six éternités) la carne fatiguée, omoplates affalées.
labeur : (armurier) lames rutilantes et pistolets assassins, l'on ne vante plus les talents de celui qui confectionne et entretient les armes de haute facture.
storytime :
› body talks (vivian).
› ces petites victoires (hunters).
› hérétique monotonie (raleygh).
sang : (moldu) être pur dénué de magie, essence que l'on ne saurait souiller.
myocarde : (marié) à tout jamais lié à l'amie d'enfance, les jeunes époux qui s'apprivoisent entre désir et mensonges.
allegeance : (chasseur) boucher, ogre morfale en quête de vengeance. bras droit de la branche braconnière aux côtés de la Barbare. Persévérance sous la coupe des Vertues.
particularité physique : (scars) stigmates de la guerre fracassant le derme, couverts par l'étoffe.
je sors mon petit chasseur rien que pour l'occasion. ce que je lis de la refonte de ce personnage me met d'ors et déjà l'eau à la bouche, j'aime beaucoup la direction que tu prends avec Tasha suite aux derniers évènements survenus dans sa vie et j'ai très hâte de voir la dynamique que cela va engendrer dans ses anciennes relations (jules, wink wink) et ses nouvelles. elle risque d'avoir Keir souvent dans les pattes, à défaut d'avoir Anthony à emmerder il rabattra sa frustration sur la nouvelle gérante de son bar miteux préféré. bon courage pour la fin de la rédaction love, et si tu as besoin de quoi que ce soit tu sais où nous trouver.
sang : moldue, sang aussi bourbeux que la bière de son pays natal, étincelles qui coulent dans les veines.
myocarde : lesbienne assumée et revendiquée, coeur qui bat pour les beaux yeux d'une blonde en particulier.
allegeance : les copains d'abord, la bande avant tout ; mais de bande il n'y a plus, alors elle se jette dans une nouvelle cause à corps perdu. Les Chasseurs sont sa nouvelle famille, dynamique dysfonctionnelle et conflits compris.
particularité physique : cicatrice de brûlure couvrant l'intégralité de sa cuisse droite. Taches de rousseur qui constellent le visage, les épaules et les bras.
@Juliet Malfoy j'ai bien failli m'exploser le coeur en écrivant la suite... Mais j'ai déjà hâte de développer ce nouveau tournant en jeu, avec Jules notamment On attend Hervé et bientôt Lucy, et puis la bande 2.0 sera au complet
@Elvira Quinn M'dame la Colonelle Voilà qui a bien progressé, il ne me reste plus que le post sur les factions, c'est pour bientôt Trop contente que ça te plaise, et déjà hâte d'explorer ce lien revu avec toi
@Keir McIntyre ouuuh, un autre copain qui aime faire joujou avec les trucs qui font boum, Tasha risque de l'apprécier ! n'hésite pas à débarquer dans la fiche de liens ou mes MPs si tu veux discuter plus posément d'un lien entre les deux
Encore un tout grand merci pour vos compliments les zamis, bientôt finiiii
décade : Quatre longues décennies qu'elle arpente ce bout de caillou perdu dans l'immensité de l'univers. Règne devenu torture depuis seulement quelques mois.
labeur : Théoricienne et chercheuse en potions / trafiquante d'organes de créatures magiques et hybrides
sang : Pureté autrefois adulée à présent souillée par une affliction qu'elle n'ose nommer. Malédiction rongeant la chair et l'âme dès que la rondeur céleste atteint son paroxysme.
don : Malédiction sous le joug d'Hécate. Poison offert par un vieil ami autrefois tant admiré. Seul l’âpreté du fiel persiste aujourd'hui, alimenté par l'appétit insatiable de son nouveau compagnon silencieux.
myocarde : L'accident a provoqué la chute de l'anneau qui enserrait jusqu'à son âme. Libération au prix cruel, solitude subie plus que choisie, encore moins assumée.
allegeance : Tête encapuchonnée de la sombre étoffe (Mangemort - Black Horse), elle s'acoquine des profondeurs (pègre).
particularité physique : Marque sinistre qui orne à présent sa hanche gauche, épousant la chair tendre de son ventre jusqu'à son bassin dans une étreinte mortifère. L’épiderme également marqué par la haine de son cadet. Rappels des confrontations sanglantes dans lesquelles ils se sont unis, forgeant le mépris de l'autre.
Cette refonte J'aime toujours autant l'explosive Tasha et j'ai hâte de voir ce que ça va donner dans son implication avec les chasseurs suite au décès de Pete... Sans parler des révélations à venir concernant Jules
Tu connais déjà la maison chou, amuses-toi bien et je vais suivre attentivement les aventures de la belle moi
tu passes l'étape de la validation Bravo petit monstre, l'équipe se joint à moi pour te souhaiter encore une bienvenue chaleureuse.
parrainage • tu te sens un peu perdu⋅e ? Tu penses avoir besoin d'un peu d'aide pour te retrouver sur le forum, nouer des liens ? Pas de problèmes ! Nous avons mis en place un système de parrainage si tu en ressens le besoin. N'hésite pas à y faire un tour, hormis les vampires et les lycanthropes, personne ne mord !
factions et missions • tu as rejoint une faction ? Tu peux l'aider à gagner en ampleur sur le forum en participant à des missions qui peuvent aussi t'apporter des gains non-négligeables pour ton personnage ! Nous te conseillons aussi de rejoindre le flood de faction pour comploter avec tes autres camarades.
vie du forum • le flood t'est ouvert et on t'encourage enfin à voter pour nous soutenir et gagner des gallions. N'hésite pas de même à proposer des affiliés.
Broken your servant I kneel, it seems what's left of my human side is changing, is slowly changing in me. Looking at my own reflection when suddenly it changes, violently it changes. + aeairiel
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Il me tarde de découvrir cette nouvelle version de Saoirse 
Elle est si belle Luca 
une version légèrement revisitée, j'espère qu'elle te plaira tout autant que la première !
Et je sais à qui poser mes questions si j'en ai, histoire que le troisième post soit à la hauteur de vos attentes ! 
) Mais oui, elle sera davantage engagée, cette nouvelle Saoirse ! Hâte de lui faire croiser le chemin de Gawain et des autres chasseurs !
U
très très fort, ce personnage, cette refonte et ces nouveautés, ces ajouts et le déchirement lié à la perte de Pete, tout ce que cela va entraîner 
) mais sinon, rebienvenue 
et le lien qui se dessine avec Elvira est blblblb 
( La Colonelle valide, jusqu'au surnom que tu lui as choisi 
)
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Trop contente que ça te plaise, et déjà hâte d'explorer ce lien revu avec toi 
