IN FOR
THE KILL

RPG HP && the village


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PÉRIODE DE JEU:
Septembre 1955
GODRIC'S HOLLOW ● Dans l’ombre, un texte commence à circuler dans les différentes communautés magiques, lu lors de soirées mondaines, traduits dans une dizaine de langue, le pamphlet, extrémiste, fait assez parler de lui pour être reproduit par les journaux ou lu sur les ondes de nombreuses radios afin d’en commenter ou critiquer le contenu. L’illégalité de leur organisation ne semble nullement avoir empêché les Mangemorts de diffuser leurs idéaux. (lire le pamphlet)
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à l’heure du thé.
neutral: no mans land ●
Edith Trelawney
neutral: no mans land
Edith Trelawney
feuille de personnage

Feuille de personnage
RELATIONS:
INVENTAIRE:
ACQUISITION:
WANDS
KNIVES
SOUL
hiboux : 163
pseudo : roi de pique, marine.
faciès & dot : vanessa kirby — vixen ; rampld.
doublon(s) : jules la princesse, tuthur l’endive et ron le papa ours.
gallions : 615
à l’heure du thé. Bc6f291bef1f0b75196c854fcef87a779652e3e1
pronoms : féminins.
décade : trente six plaies.
labeur : historienne et autrice, fascinée par les grands évènements du monde magique, conservatrice de cet héritage d’autrefois.
alter ego : une certaine nancy bates.
sang : mélange des âges qui ont donné le précieux don, mêlé ou maudit, la frontière semble si mince.
don : sa langue accérée, venin qu’elle crache par excès de jalousie et d’impuissance, elle dénuée du précieux don.
myocarde : mariée, mère de famille, mais union décousue, mariage piétiné et promesses disparues depuis bien longtemps, pourtant un refus profond de la rupture, les apparences sont bien trop précieuses pour les gâcher.
allegeance : de plus en plus dubitative vis à vis du ministère, favorable aux mangemorts sans être partisane, mais les liens du sang avant tout, protéger la famille en premier.
particularité physique : elle porte toujours son alliance, contrairement à son époux.
gif feuille : à l’heure du thé. F03298eec5268c3839b5b770e52c5e9d4093e8f4

badges
ancienneté
1 mois sur le forum.
floodeur
100 messages postés.
crésus
500 gallions
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(#) à l’heure du thé. ●
06.08.24 19:26
● ● ●
you have nothing to fear
À PROPOS
DE CE SUJET
if you have nothing to hide
● ● ●
temporalité du rp : août de l’année 1955
personnages concernés : @Agatha Trelawney ; @Saturnine Trelawney et Edith Trelawney ainsi que sa chienne, Daisy.
trigger warnings : pour le moment, aucun.
intervention autorisée du mj : [ ] oui [x] non
autre(s) : ( . . . )

IN FOR THE KILL - 2021-2022


(. . .)
mais cette vie,
elle m’aura,
à l’usure.
neutral: no mans land ●
Edith Trelawney
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Edith Trelawney
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KNIVES
SOUL
hiboux : 163
pseudo : roi de pique, marine.
faciès & dot : vanessa kirby — vixen ; rampld.
doublon(s) : jules la princesse, tuthur l’endive et ron le papa ours.
gallions : 615
à l’heure du thé. Bc6f291bef1f0b75196c854fcef87a779652e3e1
pronoms : féminins.
décade : trente six plaies.
labeur : historienne et autrice, fascinée par les grands évènements du monde magique, conservatrice de cet héritage d’autrefois.
alter ego : une certaine nancy bates.
sang : mélange des âges qui ont donné le précieux don, mêlé ou maudit, la frontière semble si mince.
don : sa langue accérée, venin qu’elle crache par excès de jalousie et d’impuissance, elle dénuée du précieux don.
myocarde : mariée, mère de famille, mais union décousue, mariage piétiné et promesses disparues depuis bien longtemps, pourtant un refus profond de la rupture, les apparences sont bien trop précieuses pour les gâcher.
allegeance : de plus en plus dubitative vis à vis du ministère, favorable aux mangemorts sans être partisane, mais les liens du sang avant tout, protéger la famille en premier.
particularité physique : elle porte toujours son alliance, contrairement à son époux.
gif feuille : à l’heure du thé. F03298eec5268c3839b5b770e52c5e9d4093e8f4

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(#) Re: à l’heure du thé. ●
06.08.24 19:35
aucune famille n’est ce qu’elle semble être.
À

L’HEURE
DU THÉ


Bientôt dix-sept heures sur l’horloge qui trône dans l’entrée, bientôt l’heure du thé. Edith a toujours apprécié cette grosse horloge ancienne qui fait du bruit à chaque quart d’heure, comme à chaque demie-heure et encore plus à chaque heure. Irvin, beaucoup moins. Les enfants, pas du tout. Astoria répète sans cesse qu’elle est imposante et immonde, tandis que le petit Cornelius s’agace car le ding dong répété l’empêche de profiter de ses nombreuses siestes durant l’été. Edith s’en moque, elle tient à cette horloge et elle restera à sa place. Elle y tient, car elle appartenait à son père et l’aînée l’a ramené du foyer à la mort de celui-ci. La valeur sentimentale de l’objet va bien au delà de l’aspect encombrant. La sorcière a même appris les bases de l’horlogerie pour savoir remonter le cadran quand cela est nécessaire. Elle peste toujours quand elle le fait et cela donne matière à son époux pour lui répéter de s’en débarrasser, mais la sorcière s’y refuse et après de multiples tentatives, parvient toujours à ses fins. C’est sans doute cela, l’esprit Serpentard, mon cher et tendre, nous nous en tirons toujours. Roublards et astucieux, tels sont les serpents comme chantait le vieux Choixpeau autrefois.
L’horloge donc, s’apprête à sonner dix-sept heures. Ah oui, nous avons oublié de mentionner la présence indésirable de la cousine américaine Saturnine qui a sans doute vu l’horloge. En même temps, difficile de ne pas la voir. Elle trône dans l’entrée tel l’élément central, mais son avis importe peu Edith. En fait, cette dernière fait comme si elle n’existait pas. Comme si Saturnine n’avait pas déposé des jours auparavant ses valises pour une durée indéterminée chez les Trelawney-Fudge et que petit à petit, elle grappillait des morceaux de territoire. Edith ne se rend plus à l’étage, ne souhaitant pas la croiser. Évidemment, elle a bien remarqué que sa fille passait beaucoup de temps avec l’américaine. Cela lui déplaît, mais Irvin n’a de cesse de lui répéter de se détendre. Edith ne répond pas, elle ricane. Un rire de sorcière, un rire froid, moqueur, sinistre. Difficile de se détendre. Elle n’a qu’un souhait, que Saturnine marche un jour sans faire exprès sur l’un des soldats de plomb de son fils et qu’elle décide que trop c’est trop, qu’il est grand temps de partir. Actuellement, son souhait ne s’est pas encore réalité. Peut-être devrait-elle se mettre en quête d’une lampe magique ? L’idée lui a vaguement traversé l’esprit.
Edith Trelawney se sent donc affligée, fatiguée et de moins en moins chez elle. L’intruse déplaît à elle autant qu’à sa chienne qui grogne dès que l’américaine semble essayer de la caresser. C’est bien Daisy, tu es un bon chien répète alors haut et fort Edith depuis son secrétaire plus loin dans la pièce, une cigarette entre les lèvres. Ces situations cocasses amusent beaucoup trop Irvin au goût de sa femme qui ne cesse de jouer la neutralité, affirmant que l’arrivée de Saturnine, Ninine comme il l’appelle, par les tétons de Rowena, que c’est niais ! Est une opportunité et qu’il faut voir la joie qu’elle apporte dans cette maison. Edith roule des yeux, préférant se taire que d’être méchante. Mais il insiste, tente de trouver des raisons ou n’importe quoi pour justifier la présence du parasite ici.
— C’est la famille, chérie.
Trop facile comme excuse.
— Vois-tu Irvin, je pense sincèrement que désormais, aucun invité ne devrait être admis dans cette maison sans que sa date de départ ne soit décrétée.

Bref, c’est la joie et la bonne humeur dans cette maison, vous l’aurez compris. Mais aujourd’hui est un grand jour. Aujourd’hui, Cornelius est avec son père. Ce-dernier a décidé de l’emmener au ministère pour qu’il l’assiste dans des tâches administratives barbantes. Cornelius semblait ravie de voir l’endroit où travaille son père. Astoria quant à elle, n’est plus punie. Elle en a profité pour rejoindre ses amies en ville pour une journée entre filles. Bien sûr, elle a râlé quand Edith lui a donné un couvre-feu, mais elle a accepté. Si elle avait osé répondre à sa mère, celle-ci n’aurait pas hésité à rallonger sa punition. Et l’américaine ? Elle n’est pas là. Pas dans la maison et Edith ne sait pas où Saturnine Trelawney traîne, encore moins qui elle voit et elle s’en moque. Tout ce qu’elle a remarqué en début d’après-midi, c’est la maison qui était vide. Le calme régnait et en dehors des ronflements de Daisy dans son panier ainsi que le tic tac récurant de l’horloge, aucun son. Si cela est reposant l’espace de quelques instants, cela devient vite oppressant, pour ne pas dire glaçant. Edith sent comme une absence naître dans cette maison. Pas d’enfant et surtout, aucun cri de bébé. Petit à petit, elle sent son cœur qui se serre. Ça cogne fort à l’intérieur d’elle et la sorcière ne se voit pas finir toute la journée seule, jusqu’au soir. Elle inspire et prend une feuille vierge sur son parchemin pour envoyer un hibou à sa sœur Agatha.

Chère petite sœur,
Si tu es libre, tu es la bienvenue à l’heure du thé.

Elle ne signe pas. Son écriture en italique parle pour elle et puis, Agatha sait forcément. Le vieux hibou boiteux d’Irvin disparaît dans les airs avec le courrier et déjà, Edith se sent mieux. Elle doit préparer tout pour le thé, cela va lui occuper l’esprit. Elle repose sa plume et observe un bref instant les feuilles raturées. Décidément, l’inspiration ne vient pas. Elle n’est pas prête d’envoyer à son éditeur un nouvel ouvrage et ça l’agace énormément.

Plus tard, l’horloge annonce enfin dix-sept heures et Edith a terminé tout ce qu’elle voulait faire. Dans le jardin, certes petit, mais intimiste, elle a posé une nappe blanche sur la table ronde en fer forgé. Dessus sont déposés des petites tasses avec les soucoupes. Le service est chic. En porcelaine et blanc avec de petites roses peintes ici et là. Le tout est typiquement anglais et accompagné sur une assiette de deux parts de dundee cake ainsi que d’un petit pot de lait fumant. Le gâteau, Edith ne l’a pas fait. Non pas qu’elle n’aime pas cuisiner, c’est cependant le domaine de la benjamine de la famille, celle qui fait toujours la tête pour rester courtoise, mais un dundee cake demande du temps et de la patience. Edith n’a aucun des deux alors elle a opté pour une pâtisserie moldue située à quelques rues d’ici qui prépare régulièrement ce célèbre gâteau écossais aux raisins secs. La mère de famille adore ce gâteau et pour deux raisons. La première, elle a toujours été friande de raisins et la seconde, à noël il y a fort longtemps, il y avait toujours un dundee cake comme dessert sur la table des Trelawney. C’est un morceau du passé que Edith aimerait ramener au présent. Elle se demande d’ailleurs si sa sœur va le remarquer aussi. Elle espère tout en posant deux coussins couleur vert d’eau sur les deux chaises qui encerclent la table. Il ne manque plus que le sucrier avec sa petite cuillère et peut-être du miel songe Edith tout en allant éteindre l’eau. Elle verse le tout dans une théière et pour finir, dépose une fleur de jasmin fermée séchée. La tête au dessus de la théière, la sorcière observe le phénomène se produire. Doucement, avec la chaleur de l’eau, la fleur s’ouvre et dévoile tous ses arômes, changeant la couleur de l’eau. Autrefois, Edna adorait ce spectacle et Edith trouvait cela niais de rester ainsi à observer cela. Tu perds du temps pour des choses futiles ! Edna avait raison en fait.

Mais Edith sort de ses pensées quand on frappe. Elle se dépêche d’aller ouvrir après avoir déposé la théière sur la table. Pile à l’heure ! Parfait, car l’aînée déteste le manque de ponctualité qu’elle estime être un manque de respect absolu. — J’arrive ! Mais déjà, Daisy est réveillée et la chienne se met à aboyer derrière la porte. — Non ma toute belle, ce n’est pas la peine de jouer les gardiennes comme ça dit-elle en prenant l’animal dans ses bras ce qui ne l’empêche pas de continuer à aboyer. — Ce n’est qu’Agatha, voyons, tu la connais.

Et sur ces mots, la maîtresse de maison ouvre la porte.

MADE BY @ICEANDFIRE / IN FOR THE KILL › 2021-2022


(. . .)
mais cette vie,
elle m’aura,
à l’usure.
passeur: be kind & just ●
Agatha Trelawney
passeur: be kind & just
Agatha Trelawney
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Feuille de personnage
RELATIONS:
INVENTAIRE:
ACQUISITION:
WANDS
KNIVES
SOUL
hiboux : 78
pseudo : Melissa (Eternal Love)
faciès & dot : Candice King (all souls)
doublon(s) : Emma Parkinson, Judith Gregorovitch
gallions : 380
à l’heure du thé. Tumblr_inline_n4bkckRcnh1s2djns
décade : Les années passent sans laisser de rides sur ton visage d'ange. Trente-quatre années depuis ta naissance et pourtant tu continues de vivre une jeunesse qui a désormais disparue.
labeur : Animatrice radio chez ritm. Tu animes deux émissions. « Jus de citrouille » qui donne la parole aux auditeurs à la recherchent de conseils. « A coeur ouvert » où tu interviewes des sorciers connus sur leurs vies privées.
storytime : MILA -AUGUSTUS - EPHY - OONA - EDITH - ENID - RONALD - AGNES - OONA
sang : Sang mêlé, fierté d'accueillir la différence. Ce mélange ne rend que plus fort ton envie d'unir l'univers sorciers à celui des non-sorciers.
don : Troisième oeil qui réagit au toucher, objets, lieux et personnes. Il prend la forme de visions parfois floues, parfois nettes du passé. Tu possèdes également des compétences en pyromancie.
myocarde : Les courbes féminines, les contours masculins. Tu aimes ce qui est beau à tes yeux.
gif feuille : à l’heure du thé. Tumblr_inline_ns3xj1zjqG1snobye_250

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crésus
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(#) Re: à l’heure du thé. ●
08.08.24 19:40
A l'heure du thé
Un être sans famille c'est comme un arbre sans branches. @Drouet @Edith Trelawney & @Saturnine Trelawney

Les nuages rapidement dissipés par une brise légère te laissent entrevoir le soleil. La baie vitrée transmet sa chaleur avec douceur alors que tu trempes ta plume dans l’encrier. Les couleurs chatoyantes des fleurs disposées çà et là dans cette pièce que tu affectionnes tant émerveillent toujours autant tes pupilles. Tu souris, parce que c’est si simple et si beau d’admirer une pièce que l’on a aménagée soi-même. Elle te ressemble cette véranda, elle suit tes humeurs. Les saisons qui se succèdent aussi, laissant une trace visible dans cet endroit où tu aimes te détendre. C’est aussi ici que tu écris les lettres à Edna, que tu dessines, que tu joues avec tes neveux et que tu travailles. La rédaction des questions de cette interview te donne pas mal de fils à retordre d’ailleurs. Une pause s’impose. Tu te lèves pour rejoindre la cuisine lorsque le bruit caractéristique du hibou d’Irvin se fait entendre. Profitant de la fenêtre ouverte, il se pose directement sur la table en bois. L’encre, pas encore sèche, laisse quelques traces. Tu fais la moue, émets un grognement, mais te précipite pour lire le courrier. Ton visage s’apparente à celui d’un enfant ouvrant son premier cadeau de Noël. La curiosité est un aspect de ta personnalité qui suscite l’affection chez certains, mais pour d’autres c’est une vraie tare.

Chère petite sœur,
Si tu es libre, tu es la bienvenue à l’heure du thé.

Un sourire vient éclairer ton visage. Edith sait à quel point tu apprécies chaque moment passé en sa compagnie. Du moins, tu l’espères. Tu t’empresses d’aller chercher une friandise pour le hibou au hululement curieux. Il s’envole aussitôt son dû reçu. Tu te regardes brièvement dans le miroir. Edith est toujours impeccable. Elle remarquera le moindre défaut, la moindre faute de goût. La robe blanche évasée te va à merveille, tu aimes beaucoup comment elle met en valeur les courbes de ton corps sans en faire trop. Tu as à peine le temps de ranger plume, encre et parchemin qu’il est déjà l’heure de quitter ton domicile. Le soleil encore haut dans le ciel se reflète sur les pavés. Ces rues tu les apprécies tant que tu as décidé de rejoindre le domicile de ta sœur à pied, tes chaussures claquant sur le béton.

Devant la porte, tu entends les aboiements de Daisy, comme d’habitude. Un sourire apparaît sur tes lèvres alors que tu entends les paroles de ta sœur sans pouvoir distinguer ce qu’elle dit à sa chienne. « Bonjour Edith ! » Fidèle à toi-même, tu l’enlaces. Il faut garder chaque trace des bons moments. Chaque détail se fige dans un coin de ta tête et ce moment où tes bras enserrent Edith et ton menton vient se poser sur son épaule en fait partie. Ton attention se porte ensuite sur la petite chienne. « Et coucou toi ! »  Tu la gratifies de quelques caresses sur le front alors que sa queue remue vivement.

Si Agatha adore voir sa sœur, ce n’est pas sans l’once de nostalgie. Voir Edith c’est te souvenir qu’Edna n’est plus là, mais c’est aussi te rappeler qu’Agnes ne sera pas présente. Les moments où la famille était réunies sont beaucoup trop loin. Tu te demandes souvent si cela arrivera encore d’ailleurs. Ça te fait du mal, car malgré leurs caractères bien trempés et leurs échanges brusques, tu les aimes tes sœurs, bien plus qu’elles ne s’en rendent compte. Tu rentres dans la maison parfaitement décorée et rangée. Le contrôle d’Edith sur son environnement t’impressionnera toujours. « Les enfants ne sont pas là ? » Tu es déçue, oui et non. Tes neveux sont la prunelle de tes yeux. Tu les aimes à l’infini et chaque moment passé avec eux est précieux, mais tu as aussi rarement la chance de n’avoir Edith rien que pour toi. Pour toi, c’est synonyme de confidences. De quoi te rassurer un peu sur l’état de ta sœur. Si Edna est partie sans laisser de trace, cela t’a au moins permis de te rendre compte qu’il fallait profiter de chaque instant avec ceux qu’on aime. Tu t’inquiètes d’autant plus facilement pour tes sœurs. Et tu éprouves d’autant plus l’envie de réunir ta famille à nouveau. « Comment vas-tu ? » Lâches-tu par politesse, car tu connais Edith et elle ne va pas s’épancher aussi rapidement.
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