IN FOR
THE KILL

RPG HP && the village


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PÉRIODE DE JEU:
SEPTEMBRE 1955
GODRIC'S HOLLOW ● Dans l’ombre, un texte commence à circuler dans les différentes communautés magiques, lu lors de soirées mondaines, traduits dans une dizaine de langue, le pamphlet, extrémiste, fait assez parler de lui pour être reproduit par les journaux ou lu sur les ondes de nombreuses radios afin d’en commenter ou critiquer le contenu. L’illégalité de leur organisation ne semble nullement avoir empêché les Mangemorts de diffuser leurs idéaux. (lire le pamphlet)
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et après l’incendie, l’orage.
neutral: no mans land ●
Juliet Malfoy
neutral: no mans land
Juliet Malfoy
feuille de personnage

Feuille de personnage
RELATIONS:
INVENTAIRE:
ACQUISITION:
WANDS
KNIVES
SOUL
hiboux : 818
pseudo : komorebi, marine.
faciès & dot : florence pugh, lionheart, thatcher.
doublon(s) : arthur l’endive, edith la pimbêche, ron le papa ours et alicent la moldue.
gallions : 582
et après l’incendie, l’orage.  Tumblr_omcswaZbbf1rdh5j2o3_r3_250
pronoms : féminins.
décade : vingt-cinq années, essence d’une jeunesse en pleine ivresse.
labeur : autrefois fille à papa, petite poupée au talent inné pour concocter des potions, potionniste indépendante qui ne peut plus exercer, obligée de se cacher, désormais pianiste de bar dans un restaurant chic moldu.
alter ego : annie montroses, petite française égarée en quête d’une vie bohème.
sang : sorcière dans les gênes, pureté dans le vermeil, héritage désavoué et renié.
don : esprit scellé, verrou déposé et cœur sous cadenas, intrusion rendue difficile par la pratique de l’occlumancie. (occlumancie stade II)
myocarde : éprise, le cœur offert à une belle incendiaire venant d’Irlande, prête à tout pour vivre son histoire même si cela fait d’elle une traîtresse à son sang.
allegeance : fugitive aux idées hors du temps, hors de son époque, rêve d’égalité, de paix, en désaccord avec les siens, mais à ce jour, sans faction déterminée.
particularité physique : poupée d’apparat, articulations cassées dans la pénombre, première balafre sur l’épaule gauche, maléfice reçu, peau craquelée, seconde balafre à la chute des reins, accident sur un balai, elle déteste voler depuis ce jour et peau marquée par l’encre noir, sous le sein droit se dessine une branche de belladone, aussi belle que mortelle, poison délicieux.
gif feuille : et après l’incendie, l’orage.  C61798d80ccd440c70a6f24f5b6bdd996f35e42d

badges
golden snitch
le.a speedy gonzales du rp.
serial voteur.se
mordu.e des top-sites.
prix rp
adepte des pavés.
team niffleur
olympiades 2023.
animation
a participé au trick or treat 3.0
floodeur
500 messages postés.
team sombral
jeux d'iftk 2024.
crésus
1000 gallions.
ancienneté
1 an sur le forum.
https://inforthekill.forumactif.com/t3018-en-ton-coeur-brulera#3 https://inforthekill.forumactif.com/t3885-jules-en-ton-coeur-bru
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(#) et après l’incendie, l’orage. ●
27.10.24 20:15
● ● ●
you have nothing to fear
À PROPOS
DE CE SUJET
if you have nothing to hide
● ● ●
temporalité du rp : septembre de l’année 1955.
personnages concernés : @Saoirse Finnigan et Juliet Malfoy.
trigger warnings : pour le moment, aucun.
intervention autorisée du mj : [ ] oui [x] non
autre(s) : rien à signaler.

IN FOR THE KILL - 2021-2022




    unbowed,
    unbent,
    and unbroken.
neutral: no mans land ●
Juliet Malfoy
neutral: no mans land
Juliet Malfoy
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pseudo : komorebi, marine.
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doublon(s) : arthur l’endive, edith la pimbêche, ron le papa ours et alicent la moldue.
gallions : 582
et après l’incendie, l’orage.  Tumblr_omcswaZbbf1rdh5j2o3_r3_250
pronoms : féminins.
décade : vingt-cinq années, essence d’une jeunesse en pleine ivresse.
labeur : autrefois fille à papa, petite poupée au talent inné pour concocter des potions, potionniste indépendante qui ne peut plus exercer, obligée de se cacher, désormais pianiste de bar dans un restaurant chic moldu.
alter ego : annie montroses, petite française égarée en quête d’une vie bohème.
sang : sorcière dans les gênes, pureté dans le vermeil, héritage désavoué et renié.
don : esprit scellé, verrou déposé et cœur sous cadenas, intrusion rendue difficile par la pratique de l’occlumancie. (occlumancie stade II)
myocarde : éprise, le cœur offert à une belle incendiaire venant d’Irlande, prête à tout pour vivre son histoire même si cela fait d’elle une traîtresse à son sang.
allegeance : fugitive aux idées hors du temps, hors de son époque, rêve d’égalité, de paix, en désaccord avec les siens, mais à ce jour, sans faction déterminée.
particularité physique : poupée d’apparat, articulations cassées dans la pénombre, première balafre sur l’épaule gauche, maléfice reçu, peau craquelée, seconde balafre à la chute des reins, accident sur un balai, elle déteste voler depuis ce jour et peau marquée par l’encre noir, sous le sein droit se dessine une branche de belladone, aussi belle que mortelle, poison délicieux.
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(#) Re: et après l’incendie, l’orage. ●
27.10.24 20:22
mon amour, dis-moi à quoi tu penses, si tout ceci à un sens. Mon amour, je ferai tout ce que je peux, l’impossible si tu le veux, mon amour, dis-moi, est-ce que tu m’aimes.
E

T APRÈS L’INCENDIE,
L’ORAGE


Quelques notes pour terminer le morceau et le clavier renfermé soigneusement. Des applaudissements de la part des clients, un petit sourire sur le coin des lèvres, léger hochement de tête avant que l’artiste ne se lève et s’incline un peu. Robe de satin noire, des talons hauts et un maquillage léger, du rouge sur les lèvres, toujours. Numéro 999 de chez Dior, ni plus ni moins et pour parfaire le tout, quelques gouttes du très célèbre N°5. La même comédie tous les soirs et l’approche d’une tragédie, reculer pour mieux sauter ou reculer pour mieux rater le saut, n’est-il pas trop grand ? Dans la tête en quittant le restaurant, la crainte de croiser à nouveau le chemin de la cousine. Medea, oiseau de mauvais augure, annonciatrice de la fin du rêve, tout va s’effondrer, tu vas tout perdre. Cette pensée intrusive qui ne cesse de faire des remous dans l’esprit de Juliet Malfoy, telle la marée, elle va et vient au gré de ses envies. Pourtant, Medea a raison. Juliet est sur un fil, funambule, un seul faux pas et elle peut tomber. Aucun filet pour la rattraper, alors la question se pose, combien de temps cela va-t-il encore durer ? Une boule se forme dans sa gorge alors que la sorcière approche du pub que tient la femme qu’elle… Aime ? Son cœur s’emballe. Encore. Dis le encore. S’il te plaît. Je t’aime. Et toi ? Est-ce que tu m’aimes ? Bien sûr que oui. Jules n’en doute pas, n’en a jamais douté, mais est-ce que la tenancière à la crinière de feu aime vraiment Juliet ? Pas simplement une fausse image, quelqu’un d’autre ? Une fausse poupée, un jouet. Incomprise, Juliet s’arrête et observe la devanture du pub. Dans sa tête, tout se mélange. La façade a besoin d’un sérieux coup de peinture, dans son jus comme dirait Saoirse. Oui, dans son jus, car l’irlandaise aime ce qui est vrai, sincère. Même si c’est imparfait, même si c’est abîmé. Tant que ce n’est pas pipé, comme les dés. Juliet a triché. Juliet a menti. Juliet n’est pas véritablement Jules et Jules n’est pas véritablement Juliet. Ce poids, la princesse le porte depuis trop longtemps. Hantée, elle l’est. Et elle est certaine que Saoirse s’est rendue compte quelque chose n’allait pas. Juliet, plus pensive que souriante, Juliet, plus silencieuse que souriante. Si la conversation n’est pas encore arrivée sur la tard, Jules sait que c’est pour bientôt. La voici coincée, incapable de faire un pas. Elle peut… Elle peut encore retourner chez Dolores, s’enfermer dans la chambre qui est sienne et s’excuser plus tard auprès de Saoirse, lui assurer que non, elle ne l’évite pas. Encore un mensonge. Elle s’adosse contre un lampadaire. Son passé la rattrape et elle a peur, Juliet. Elle ne peut pas fuir éternellement. Mais ce n’est pas quelqu’un de courageux. Elle ne pense pas l’être, la blonde. Elle ne l’a jamais été. La lâcheté est une similitude qu’elle partage avec son défunt père. La solution de facilité, toujours. Mais jusqu’à quand ?
Mais qu’est ce que je dois faire ? Tu le sais. La réponse, tu la connais. Sois honnête. Ne sois pas quelqu’un d’autre. Sois toi-même. Cependant, le risque lui paraît trop grand, trop gros. Joueuse, Juliet l’a toujours été. Mauvaise perdante aussi et elle ne veut pas, non, elle ne peut pas perdre Saoirse. Cette femme est son ancre, son étoile polaire, celle qui lui indique le nord et bien plus encore. La perdre serait dévastateur, surtout après Pete. Jules n’est pas certaine de pouvoir se relever. Aimer, c’est donner à quelqu’un le pouvoir de nous faire du mal et Saoirse possède ce pouvoir, sans peut-être, en avoir réellement conscience. Le sais-tu ?

Inspiration. Comme c’est complexe l’amour, comme c’est difficile et sournois, l’amour. Mais l’amour donne un sens à toute cette histoire, Jules veut s’y accrocher. Elle veut croire que non, Saoirse ne va pas lui en vouloir, peut-être un peu, mais pas au point de la rejeter, pas au point de la repousser et de lui dire que tout est fini. Pensée intrusive, même fin qui tourne en boucle, ritournelle fatale dans son esprit. Non. Juliet veut s’accrocher à une fin heureuse. Quelque chose comme ça, oui. Après tout, une princesse ne peut connaître qu’un dénouement de ce genre non ? Et elles vécurent heureuses encore et encore jusqu’à la fin des temps.
Juliet se laisse le temps de fumer une cigarette pour se vider l’esprit, cesser de trembler. Apaiser l’esprit comme elle peut, se détacher de ces scénarios possibles qui s’entrechoquent dans sa tête. Car elle doit le dire à Saoirse, qui elle est vraiment. Tout le nœud du problème est là. Son identité, sa véritable nature. Elle, une sorcière. Elle, qui refoule cette partie depuis si longtemps, pour sa propre sécurité, mais est-ce l’unique raison ? Les paroles de Medea dans sa tête reviennent alors, marée haute. « Est-ce que tu crois qu’ils vont t’accepter dans toute ta vérité, toi, l’héritière d’un nom qui n’évoquera pour eux que la cruauté et l’intolérance ? Est-ce que tu te tais parce que tu espères pouvoir rentrer, si finalement ils te haïssent autant que les nôtres les haïssent ? » Bien sûr que non. Saoirse ne peut pas la haïr. Juliet en est convaincue. Elle ne peut pas. Elle l’aime. Elle ne lui a pas dit, mais elle le pense. C’est certain. Et elle lui montre. Dans les gestes quotidiens, dans le étreintes qu’elles partagent, dans ces petits-déjeuners devenus rituels qu’elle lui apporte le matin, dans ses baisers qu’elle lui glisse dans le cou, tous les jours, un vie à deux que la rousse et la blonde se bâtissent chaque jour. Mais derrière l’amour, oh mon amour, sa jumelle se cache, la haine. Est-il si facile de passer de l’un à l’autre ? Et cette crainte qui lui enserre les entrailles. Est-ce que tu m’aimes ? Non. Est-ce que tu m’aimeras même après la vérité ?

La porte du pub s’ouvre sur la silhouette de la princesse. Minuit n’a pas encore sonné et pourtant, quelques piliers de bar sont encore là. Souvent les mêmes gueules, bois-sans-soif qu’il faut jeter dehors ou presque. Au comptoir qui est le sien malgré l’interdit, la crinière de Saoirse tranche avec la couleur du bois. Elle prépare un cocktail, lequel ? Celui qui porte son nom ? Petit sourire sur le coin des lèvres, mais Juliet n’a pas soif et veut simplement se changer, chercher une quiétude avant l’orage qui gronde, qui s’annonce. Ses talons claquent sur le sol au rythme de cette impitoyable horloge, comme a dit sa cousine. Elle l’a trouvé, les autres la trouveront. Et encore, l’écho de sa voix, à la diseuse de malheur. « L’horloge tourne, Juliet. Et elle est impitoyable. » Oui. Elle sait. Et si elle pouvait, la fille Malfoy, elle éclaterait cette maudite horloge à coup de batte. Elle est d’ailleurs certaine que l’idée plairait à la gérante du pub.
Un client la siffle, mais la princesse l’ignore, se contente de croiser le regard de la belle rousse. Sourire offert à son étoile avant de lui indiquer l’escalier vers l’appartement où elle se dirige. Un échange silencieux, une façon de dire on se retrouve plus tard, là-haut. Et elle disparaît, la belle, grimpe se réfugier dans sa tour d’ivoire.

Appartement spartiate d’hier, un peu plus vivant aujourd’hui. On peut dire ça comme ça, avec une photo de la bande que Juliet a réclamé à Harry après lui avoir écrit et quelques affaires à elle qui traîne ici et là. Jules aime s’éparpiller. C’est un moyen de laisser son empreinte ici, Jules was here! Et elle laisse sur le palier, porte refermée, ses talons avant de déposer son manteau sur le bord du lit et de se laisser tomber sur celui-ci. Ce lit, désormais plus qu’un sommier, un souvenir. Dans ce lit, nous nous sommes aimées. C’était beau, c’était fou. Et son petit cœur de princesse s’emballe sitôt. Juliet fixe le plafond. Elle doit lui dire. Ce soir, cette nuit. De toute façon, il n’y a pas de bonne façon, ni de mauvaise. Il n’y a pas de bon moment, simplement la force et le courage de lui dire. Et dans sa tête, la même scène se rejoue, la même fin. Elle va souffrir, Saoirse. Par sa faute et ça, Juliet n’arrive pas à l’accepter. Juron entre ses jolies lèvres tandis qu’elle se redresse. Finalement, peut-être aurait-elle dû prendre un shot de quelque chose, n’importe quoi avant de monter, pour se donner du courage. Du courage en bouteille, comme disait Jake. Il était con, Jake, mais il avait raison sur ce point.
À défaut d’alcool, Juliet fait tomber la robe dans la petite pièce qui fait office de salle de bain. Elle reste plus longtemps qu’il ne faut sous l’eau chaude, brûlante. Elle sait, la princesse, que ça va encore râler, sans doute Lucy, pour avoir tiré toute l’eau, mais elle avait besoin de se perdre sous les flots. Cheveux humides, Jules les sèche grossièrement, les rabat en arrière avant d’emprunter à Saoirse un vieux t-shirt et un pantalon, le tout fera office de pyjama. Un instant, la princesse de pacotille, princesse de rien du tout observe son reflet dans le miroir au dessus du lavabo.
— Saoirse, je suis… Mais elle s’arrête, ne va pas au bout des choses, au bout des mots. Son amie Dolores lui a dit que tout irait bien, qu’il ne pouvait pas en être autrement. Si l’intention était là, Jules n’a pas pu s’empêcher de penser que Dolly n’a aucune certitude. Pour la jolie brune, c’est facile. Elle est avec un sorcier, quelqu’un comme elle. Quelqu’un qui pas non plus perdu son meilleur ami à cause d’un assassin portant une baguette. La perte de Pete date de plusieurs semaines, plusieurs mois maintenant, mais le souvenir est vivace. L’acceptation passe toujours si mal. Cet acte innommable a embrasé le feu de la colère chez Saoirse. Jules l’a vu et le voit dès que le souvenir de Pete resurgit, comme un retour de flamme. Dans ses yeux, l’éclat d’un brasier, vengeance. Alors comment pourrait-elle accepter que la blonde soit du même monde que celui qui a fait ça ? Celui qui a commis ce crime !?
Est-ce que tu m’aimes ?
— Ça va aller, il faut que ça aille. Elle murmure pour se rassurer avant de quitter la petite pièce pour aller se chercher un verre d’eau.

Je t’aime. Elle l’a dit, la princesse et ce n’est pas rien car la blonde l’a dit à très peu de personnes, élus, dans sa vie. Elle aime la lecture Jules, elle aime la beauté des mots et la puissance qu’ils ont. Ces mots-là, ils veulent dire quelque chose. Ils ne sont pas à prendre à la légère. C’est bête, mais c’est sincère surtout. Au plus profond d’elle-même.
Minuit sonne. Enfin, Juliet le pense en entendant douze coups qui sonnent quelque part dehors. Allongée dans le canapé, enroulée dans une couverture, elle attend, elle attend et finalement, elle tombe de fatigue. Princesse au pays des merveilles, princesse à qui on coupe la tête pour trahison. Qui tient la hache ? Qui est le bourreau ? Saoirse, c’est toi ? On a dit qu’aimer, c’est donner le pouvoir à l’autre de nous blesser. Peut-être que Juliet a aussi ce pouvoir, peut-être qu’elle peut aussi blesser la furie irlandaise. Impossible. Si, tout est possible. Mais moi, je t’aime. Et toi, est-ce que tu m’aimes ? Assez fort pour accepter ça, assez fort pour surmonter ça, assez fort pour me comprendre, pour me pardonner, pour m’aimer comme je suis, Juliet Malfoy, sorcière et princesse. Oh, mon amour, dis oui, je t’en supplie.

MADE BY @ICEANDFIRE / IN FOR THE KILL › 2021-2022




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