hiboux : 180
pseudo : komorebi, marine.
faciès & dot : vanessa kirby — caelestisart ; rampld.
doublon(s) : jules la princesse, tuthur l’endive, ron le papa ours et alicent la moldue.
gallions : 622 pronoms : féminins.
décade : trente six plaies.
labeur : historienne et autrice, fascinée par les grands évènements du monde magique, conservatrice de cet héritage d’autrefois.
alter ego : une certaine nancy bates.
sang : mélange des âges qui ont donné le précieux don, mêlé ou maudit, la frontière semble si mince.
don : sa langue accérée, venin qu’elle crache par excès de jalousie et d’impuissance, elle dénuée du précieux don.
myocarde : mariée, mère de famille, mais union décousue, mariage piétiné et promesses disparues depuis bien longtemps, pourtant un refus profond de la rupture, les apparences sont bien trop précieuses pour les gâcher.
allegeance : de plus en plus dubitative vis à vis du ministère, favorable aux mangemorts sans être partisane, mais les liens du sang avant tout, protéger la famille en premier.
particularité physique : elle porte toujours son alliance, contrairement à son époux.
gif feuille :
floodeur
100 messages postés.
ancienneté
6 mois sur le forum.
| ( #) session de tutorat. ● 16.10.24 14:58 |
| ● ● ● Trick or treat 'til the neighbors gonna die of fright Pumpkins scream in the dead of night ● ● ● temporalité du rp : fin octobre, quelques jours avec Halloween, de l’année 1935.personnages concernés : @Judith Gregorovitch et Edith Trelawney.trigger warnings : pas pour le moment.intervention autorisée du mj : [ ] oui [x] nonautre(s) : le rp se déroule au château, durant la scolarité des deux sorcières. IN FOR THE KILL - 2021-2022 (. . .) mais cette vie, elle m’aura, à l’usure. |
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hiboux : 180
pseudo : komorebi, marine.
faciès & dot : vanessa kirby — caelestisart ; rampld.
doublon(s) : jules la princesse, tuthur l’endive, ron le papa ours et alicent la moldue.
gallions : 622 pronoms : féminins.
décade : trente six plaies.
labeur : historienne et autrice, fascinée par les grands évènements du monde magique, conservatrice de cet héritage d’autrefois.
alter ego : une certaine nancy bates.
sang : mélange des âges qui ont donné le précieux don, mêlé ou maudit, la frontière semble si mince.
don : sa langue accérée, venin qu’elle crache par excès de jalousie et d’impuissance, elle dénuée du précieux don.
myocarde : mariée, mère de famille, mais union décousue, mariage piétiné et promesses disparues depuis bien longtemps, pourtant un refus profond de la rupture, les apparences sont bien trop précieuses pour les gâcher.
allegeance : de plus en plus dubitative vis à vis du ministère, favorable aux mangemorts sans être partisane, mais les liens du sang avant tout, protéger la famille en premier.
particularité physique : elle porte toujours son alliance, contrairement à son époux.
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| ( #) Re: session de tutorat. ● 16.10.24 15:04 |
| l’aigle et la vipère, des citrouilles et des chauves-souris, les joies de l’uniforme scolaire et de nos mésaventures. S ESSION DETUTORAT
Halloween et sa saison des citrouilles, des bonbons à foison qui font des ravages sur les dents et des élèves qui s’amusent à faire peur aux autres. Les fantômes qui déambulent dans les couloirs, s’émerveillent des décorations dans la grande salle. Des chauves-souris qui se baladent librement au sixième étage suite à un maléfice lancé par plusieurs élèves de Gryffondor pour embêter ceux de la maison Serpentard, rivalité qui ne connaît aucun répit, surtout pas en cette période. Et dehors, le froid a commencé à s’installer, mais un froid qui est humide, qui suinte sous la peau, pas mordant, mais assez frais pour qu’une fumée s’échappe d’entre les lèvres des élèves qui s’aventurent dehors pour se balader, courir dans les feuilles qui tombent ou pour se rendre tout simplement à leurs cours. Edith ne compte pas rester longtemps dehors. Sitôt le cours de soins aux créatures magique terminé, elle traverse les jardins en direction du château. Le soleil a déjà décliné. L’automne annonce toujours les prémices des jours courts et des nuits plus longues. La jeune élève ajuste ses mitaines en laine et serre un peu plus son écharpe aux couleurs de sa maison contre elle. D’argent et d’émeraude, l’écusson sur le tissu frappé, une fierté pour celle qui est aujourd’hui encore, jugée car de sang-mêlée et pourtant, élève dans la noble maison de Salazar Serpentard. Cependant, Edith n’a que faire de ce que pensent les autres. Très peu d’avis hormis le sien compte. Il y a celui de ses parents qu’elle souhaite rendre fier. Celui de ses sœurs Agatha et Edna. Agnes est encore trop jeune, trop immature pour que son avis puisse avoir une quelconque importance pour sa grande sœur. Il y a aussi celui de Paulina. Paulina Parkinson. Sa rivale qui d’ailleurs, devrait bientôt souffler ses seize bougies. Edith le sait, non pas que cela l’intéresse, mais parce que l’an dernier, à cette même date, Paulina n’a pas pu souhaiter son anniversaire. Elle, tout comme Edith alors préfète, Thomas Abbott, Ralph Quirrell et d’autres élèves, se sont retrouvés en retenue tous ensemble, enfermés la nuit de Halloween à astiquer sans magie les armures. Edith garde encore un souvenir désastreux de l’an dernier et depuis elle ne peut associer la fête des morts à autre chose qu’à ce funeste évènement. Une question demeure pourtant, pourquoi l’avis de Paulina compte ? Paulina n’est rien pour elle. Une camarade, la fille aux longs cheveux noirs qui s’assoit à côté d’elle en cours d’histoire de la magie et ne lui parle pas. Paulina, cette joueuse d’échecs qu’elle aime affronter, mais qui la déroute. Paulina, parce que Edith cherche à avoir son approbation à elle, plus qu’à quiconque. Paulina, toute une histoire. Mais outre Paulina qui n’est pas avec elle, sans doute encore en cours à l’orée de la forêt à caresser les Veaudelunes, un autre avis compte pour Edith. Celui de Judith Weasley. Une de ses rares amies, car Edith Trelawney n’a pas besoin d’une tripotée de fausses copines avec qui jaser dans les toilettes des garçons. Edith veut des amies sincères et Judith est une amie de qualité. Les deux sorcières se connaissent depuis la première année de la rousse et si le vieux chapeau a envoyé cette-dernière chez Serdaigle, cela ne les a pas empêché d’entretenir leur amitié et de la renforcer avec le temps. D’ailleurs, Edith compte aider son amie comme il se doit. Judith passe son brevet universel de sorcellerie élémentaire cette année, année charnière comme les professeurs ne cessent de répéter et pour qu’elle puisse réussir et viser la carrière qu’elle souhaite, Edith compte aider son amie. Les deux sorcières se sont mises d’accord, selon leurs emplois du temps pour se voir à raison de deux à trois fois par semaine à la fin de journée afin de réviser ensemble certains points où Judith a du mal. C’est aussi l’occasion de se retrouver en tête à tête, loin des autres, loin de Paulina, loin des idiots des autres maisons et de leurs blagues stupides (…)
Edith arrive près des grandes portes du château, le souffle court pour avoir accéléré le pas. Le brouillard tombe rapidement à cette période et elle sent le bout de ses doigts se rafraîchir. La jeune sorcière a hâte de retrouver Judith, mais quand elle pousse l’une des deux imposantes en bois du château, elle sursaute, un cri s’échappe ainsi que des rires. Des chauves-souris frôlent le haut du crâne d’Edith avant de s’envoler dehors. Les rires de trois élèves s’échappent depuis le bout du couloir à sa droite. Edith les fusille du regard, mais déjà, les intéressés déguerpissent rapidement, n’oubliant pas à qu’ils ont à faire, sauf qu’Edith, l’œil avisé, a reconnu le visage de Lucan McAlister. Ce crétin de Gryffondor ne paie rien pour attendre se dit l’aînée Trelawney. Elle referme la porte derrière elle et se dirige rapidement vers le grand escalier.
Les tableaux eux aussi semblent apprécier la période d’Halloween. Quand Edith passe devant le portrait de Ser Gustave Pippin, ce-dernier termine d’installer des citrouilles dans le décor de son salon, quant à l’insupportable Chevalier du Catogan, il hurle à qui veut l’entendre qu’il peut terrasser tous les monstres qui oseront se dresser devant lui. Edith l’ignore royalement et quitte l’escalier pour longer un corridor avant d’ouvrir la porte d’une vieille salle de classe abandonnée. — Judith ! dit-elle, sourire aux élèves. La pièce est vide, abandonnée depuis que le professeur de défense contre les forces du mal a décidé qu’une classe plus grande serait nécessaire pour les travaux pratiques. Edith a eu l’autorisation, car Edith est une bonne élève, une des meilleures, les professeurs lui font confiances, de venir s’entraîner ici pour pratiquer la magie. C’est naturellement qu’elle a envoyé une note ensorcelée à son amie pour l’inviter à la rejoindre. — Pile à l’heure, comme toujours. Comment vas-tu ? Elle demande en posant sur un vieux pupitre son sac. Dedans, on peut voir le reflet d’un paquet cadeau orange et noir, les couleurs de Halloween. Un cadeau oui, mais Edith ne pense pas qu’elle l’enverra. Paulina ne comprendrait pas et serait capable de mettre le contenu au feu en pensant que c’est une mauvaise farce. Quelle idiote, cette fille. Elle a la beauté d’une déesse, mais la finesse d’esprit d’une harpie, quant à la douceur… Un troll est sans doute bien plus tendre. Par Merlin, pourquoi Paulina occupe autant ses pensées ? Edith chasse rapidement cette fille de sa tête et dépose aussi son écharpe, ôte sa robe de sorcier et retrousse ses manches. Elle porte l’uniforme traditionnel. Une jupe grise, un pull de la même couleur sans manche et en dessous, une chemise blanche ornée de la cravate de sa maison. Son regard s’arrête sur Judith — Ton insigne te va bien, mais ne leur fait aucun cadeau dit-elle en cherchant sa baguette au fond de sa sacoche en cuir de dragon. — D’ailleurs, ce crétin de McAlister s’amuse à lancer le maléfice de chauve-furie à tout va dans le château ! Tu es préfète, n’hésite pas à agir. Ah, la voilà ! Edith sort enfin sa précieuse baguette. Fine, quelques runes gravées sur le pommeau, en prunelier avec du crin de licorne. Elle approche et d’un geste, déplace quelques pupitres sur le côté pour faire de la place. La salle est petite c’est vrai, mais suffisante. Sous les pieds de la sorcière, le vieux parquet en bois craque un peu. — Bien, par quoi veux-tu commencer ? Nous avons jusqu’à l’heure du dîner. Oh, je ne t’ai pas demandé, comme s’est passé ton cours de potions ? As-tu réussi à réaliser le Philtre de Paix qui était demandé ? Elle s’adosse contre le mur en ardoise, prête à donner tout ce qu’elle peut pour aider son amie à réussir. La clef du succès pour Edith, ce sont les études et la persévérance, elle ne compte rien lâcher, surtout pas quand cela concerne Judith. Judith, l’une des rares personnes dans l’école que Edith considère comme quelqu’un d’intelligent et de fréquentable. Judith, qui est là depuis plusieurs années et qui restera. Edith tient à ce que cette amitié perdure, même après l’école. Elle ne le dira pas, mais Judith est un élément qui fait tenir l’équilibre fragile de cette balance invisible qui régit le quotidien de la sorcière de sang-mêlée. À elle, elle peut tout dire ou presque. Elle n’a parfois même pas besoin de dire les choses pour que son amie les devine. Parfois, c’est agaçant, car Judith Weasley est intelligente et vise toujours juste, mais c’est une qualité que respecte la jeune sorcière. Alors pour son amie, Edith est prête à tout donner, son temps, son énergie, sa loyauté, tout. MADE BY @ICEANDFIRE / IN FOR THE KILL › 2021-2022 (. . .) mais cette vie, elle m’aura, à l’usure. |
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