IN FOR
THE KILL

RPG HP && the village


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PÉRIODE DE JEU:
Septembre 1955
GODRIC'S HOLLOW ● Dans l’ombre, un texte commence à circuler dans les différentes communautés magiques, lu lors de soirées mondaines, traduits dans une dizaine de langue, le pamphlet, extrémiste, fait assez parler de lui pour être reproduit par les journaux ou lu sur les ondes de nombreuses radios afin d’en commenter ou critiquer le contenu. L’illégalité de leur organisation ne semble nullement avoir empêché les Mangemorts de diffuser leurs idéaux. (lire le pamphlet)
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the truth never set me free - (warlock)
death eater: always pure ●
Emma Parkinson
death eater: always pure
Emma Parkinson
feuille de personnage

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hiboux : 74
pseudo : Eternal Love
faciès & dot : Natalie Dormer @solvnar
doublon(s) : Agatha Trelawney, Judith Gregorovitch
gallions : 424
the truth never set me free - (warlock) Tumblr_nn31ybpJnz1tu1gjuo2_r1_250
décade : 43 années se sont écoulées depuis sa tendre naissance.
labeur : Briseuse de sorts en chef pour le département des accidents et catastrophes magiques.
alter ego : Emily Andrews
sang : e sang-pur qui coule dans ses veines et celui de son fils. Ce liquide rouge si ridiculement adulé et qui lui a permis de tant posséder. La tête haute, le torse bombé, la démarche assurée, tout provient de là.
myocarde : Mariée à Augustus Parkinson.
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(#) the truth never set me free - (warlock) ●
13.06.24 20:20
● ● ●
you have nothing to fear
À PROPOS
DE CE SUJET
if you have nothing to hide
● ● ●
temporalité du rp : mi-juin 1955.
personnages concernés : @WARLOCK YAXLEY & @EMMA PARKINSON
trigger warnings : pas pour le moment.
intervention autorisée du mj : [ ] oui [X] non
autre(s)
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sang : e sang-pur qui coule dans ses veines et celui de son fils. Ce liquide rouge si ridiculement adulé et qui lui a permis de tant posséder. La tête haute, le torse bombé, la démarche assurée, tout provient de là.
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(#) Re: the truth never set me free - (warlock) ●
13.06.24 20:45
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he truth
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ft @"warlock yaxley

Douloureux sont les souvenirs d’une enfance et d’une adolescence heureuses. Une époque depuis longuement révolue où les tracas d’adulte ont pris une place trop importante. Rien ne va, tout est bouleversé, chamboulé. Emma remet tout en question. Les choix qu'elle a faits il y a plusieurs années semblent avoir un impact encore aujourd'hui. Tout son univers a été fracturé. La seule sûreté, sa famille, évaporée. Il n'était que trois, il semble n'être aujourd'hui que deux. Elle réfléchit, calcule sans arrêt, se demande où aller, comment faire. Elle n'avance plus. Paralysée par cette situation. Le poids de la vérité est trop lourd pour ses frêles épaules. Les cernes sous ses yeux d’habitude souriants en disent long sur la nuit qu’elle a passée. Une nuit de plus à tourner, à se questionner. Une nuit où dès qu’elle a entendu la porte du manoir s’ouvrir, elle s’est empressée de se glisser sous la couverture faisant mine de dormir. Parfois elle veut lui faire face, elle veut le regarder mentir, sourire et lui raconter une journée qui n’a peut-être jamais eu lieu. Parfois, elle n’en a pas la force.

Les pas d’Emma résonnent sur les pavés de cette ruelle mal éclairée par cette météo perturbée. Le ciel d’un gris sombre invite à rester tranquillement cloitré chez soi. Le parapluie rangé dans le sac à main, elle marche d’un pas rapide, espérant arriver au salon de thé avant que la pluie ne commence à tomber. Sa main tient fermement son manteau. Crispée. Perdue dans ses pensées. Emma tente de trouver le courage d’affronter Warlock. L’un de ses plus vieux amis, son confident. D’ordinaire, c’est un plaisir de partir à sa rencontre, mais c’est difficile aujourd’hui. C’est difficile, car cela fait plusieurs semaines qu’elle a découvert que Zorah entretenait une relation avec Augustus. Si Emma n’a jamais bien apprécié Zorah, aujourd’hui, la rage gronde en elle, même si elle sait qu’elle n’est pas dans ses droits et que ses reproches ne doivent être dirigés que vers Augustus. C’est compliqué de ne pas en vouloir à la beauté de cette femme impressionnante. La compétition entre les deux blondes a toujours été présente, sans qu’Augustus ne soit au courant, il a choisi LA personne qui pouvait lui faire le plus de mal. Leur couple n’allait pas bien depuis de nombreuses années, mais c’était la goutte d’eau. Elle préférait l’époque où il s’agissait de simples doutes, celle-là lui permettrait de passer des nuits normales.

Humide et froide, l’atmosphère extérieure déteint sur son humeur déjà bien maussade. Elle pousse la porte du salon de thé. L’ambiance sécurisante de ce milieu tant de fois fréquenté l’apaise immédiatement. Ça, et la silhouette rassurante de Warlock qu’elle voit se dessiner à leur table habituelle. Elle reprend ses esprits, efface son air triste et fait de son mieux pour donner le change. Il la connait tellement par cœur qu’elle ne sait si elle pourra le tromper. Passant devant un elfe de maison au regard sombre, elle marche fièrement vers son ami. « Bonjour Warlock ! » Son regard se pose sur la table, encore vide. « Comment vas-tu ? Ça fait bien trop longtemps qu’on ne s’est pas vus. » Sûrement parce qu’elle l’a évité aussi longtemps qu’elle a pu. Elle sait qu’elle sera dans l’incapacité de lui mentir, elle tiendra bon un petit moment, mais au bout du compte, elle lui expliquera. Elle ne sait pas s’il est au courant pour Zorah et Augustus. Sa femme et lui ont un accord qu’Emma a toujours trouvé étrange, jusqu’à maintenant. Au moins, ils sont égaux. C’est bien plus juste que de se retrouver dans sa situation. « As-tu déjà commandé ?  »
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décade : 46 laps épars, déjà
labeur : Directeur du département de contrôle et régulation de créatures magiques
alter ego : Clyde McKenzie
sang : Pureté vermeille, naturellement
don : légilimens (stade final) & occlumans (stade intermédiaire)
myocarde : Promesses formulées avec Zorah Gregorovitch, enhardi pourtant dans la discrétion de quelques baisers de Judas. Le coeur pourtant ne cogne que pour une seule et même fleur.
allegeance : Convaincu par les discours (pour ne pas dire les catalinaires) de Grindelwald, c'était donc sur cette même lancée qu'il suivait attentivement les propagandes du jeune Riddle.
particularité physique : Quelques lézardes dissimulées en vindicte de sa malsaine obsession
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(#) Re: the truth never set me free - (warlock) ●
26.06.24 15:26
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Force était de constater que le trouble creusait son lit dans ta famille, cavait la pierre d’assurance qui faisait rempart aux émois refoulés. L’humeur fourbue à ces intimes dérangements, à ces tintouins débordant de la corne d’abondance t’invitait à rencontrer l’amie de toujours. Bien que tu respectais la vie privée de chacun, celle la concernant t’avait toujours inquiété à l’inimitié grassement grignotée pour son palabreur d’époux. S’il pouvait délivrer la même attention envers qu’elle que sur les mots qu’il dégoisait amplement de son bec, peut-être porterait-elle moins le chagrin sur la délicatesse de ses traits ? Et Blablabla. Et pourtant, tu l’écoutais. À croire presque que tu te régalais de ses pompeuses discutailleries, toi mesurant toujours la qualité et nécessité de tes mots. Parler pour ne rien n’était pas ton antienne mais semblait s’introduire dans ses dispositions. Peut-être était-ce une de ses ruses pour barber l’interlocuteur, pour ensuite mieux le vilipender ? Ah pour te barber, il t’avait généreusement chatouillé tes limites. Les oscillations virulentes sur son sort s’étaient cognées dans la caboche en chapelet de migraines.

Cette peine qu’elle s’échinait à voiler se soupçonner dans la familiarité que vous partagiez depuis les années. Qu’il t’agaçait ce blanc-bec se lustrant la langue à coups de branlette mentale. Une veinule tambourinait d’exaspération contre ta tempe à votre dernier causerie. Il était fort, très fort. Tu n’étais pas homme à plier sous l’émoi mais le coquin avait su fissurer ton masque de contenance. Singularité t’arrachant des sentiers battus. Tu devais bien l’admettre mais Augustus était particulièrement doué, pour ne pas dire hautement qualifié, pour t’animer de quelques acides impatiences. Les nimbes devenaient rudes pour le beau diable, tricotaient leur ressentiment, dressaient dans l’imaginaire le pilori sur lequel tu rêvais de le voir pendre. Délicieux fantasme que de le voir souffrir, la vindicte féroce mais sans doute infantile. Sombres gouailles scellées. Chance pour lui d’être un Parkinson ? Le respect que tu nourrissais pour cette famille t’endiguait aussitôt les cruels élans. Si seulement Mona était l’héritière de cette honorable famille. Empailler son frère comme ce magnifique centaure trônant fièrement dans ta crypte te grattait l’humeur, te l’emmiellant de désirs sadiques. Peut-être pourrais-tu lui demander cette faveur ? Quelque chose se nuançait à tes désirs de la rejoindre en tant que bras droit. Les derniers mot t’avaient bousculé de quelques zèles féroces. Tu l’imaginais déjà persifler à ta requête, à ta ‘petite farce capricieuse’. Ça n’en était pourtant point une. Cette société patriarcale méritait quelques chambardements. L’esprit tricotait ci et là ces velléités tues, encore plus à celui d’imaginer ta fille en héritière. Était-ce encore un caprice ? Dans tous les cas, tu connaissais assez bien Mona, ‘même très bien, pour savoir qu’elle t’appuierait sans cérémonies dans cet entrain.

C’était l’esprit chargé de nébuleuses que tes pas s’enlisaient au salon de thé, les synapses ressassant les dangereuses insinuations d’Augustus sur ses frivolités partagées avec ta femme. Tu ne devrais pourtant point t’en froisser, toi comme elle parfaitement consentants sur les libertés que vous vous étiez toujours autorisées. Et pourtant, ça t’irritait à un plus haut point, un serpent acide ondulant sous la carne en frissons contrariés. La jalousie traînait en rat-crevard sous l’encéphale, te chatouillait l’humeur de noirs émois. Tu ne te connaissais pas cette facette jusqu’à il y a quelques récentes années, jusqu’à te sentir crever le myocarde par mille alênes à chacun de ses regards pour un autre. Faiblesse soudaine de l’âme. L’amour rendait faible. Ça te répugnait, te mutilait l’abîme de rancœur. Alors, l’imaginer dans les bras de l’autre serpent t’animait d’houles sauvages. Chaque tissu s’était crispé dans une géhenne muette pour ne pas l’étrangler. Ce n’était pas très gentleman. Un petit Endoloris t’aurait sûrement contenté, le temps d’un instant.

A priori, tu étais en avance, comme toujours. Un œil traînait en nonchaloir sur l’aiguille de ta montre avant de te faire conduire par un elfe vers ta table préférée, celle dans la petite alcôve arrondie du salon en intimité prisée. Le temps s’égrenait rapidement avant qu’Emma ne se glisse dans l’embrasure de l’entrée, t’écorchant la commissure d’un sourire en subtilité. L’échine affranchie de l’assise pour la saluer, la courtoisie jointe à la promiscuité de l’amitié délivrait les gestes en délicatesse. « Bonjour Emma » La belle sylphide jouait la mascarade mais à ce jeu-là, et sans prétention, tu étais bien plus fort. Les laves capturaient la lueur bilieuse dans ses pluies du ciel. Une baise s’égarait sur le dos de sa main, le regard traînant sur son visage de triste poupée, l’âme enracinée aux égards de la bienséance. « Trop longtemps, en effet.. » Rouspétance traînant sur la langue à l’intonation de la voix, évinçant discrètement la question. « Assieds-toi, je t’en prie » Les griffes s’apposaient sur le dos de la chaise pour l’enjoindre à s’asseoir avant de t’installer en face. « Non je viens à peine d’arriver » Une œillade par-dessus ton éclanche suffisait à déculotter l’elfe jusqu’à vos pieds. « Que puis-je vous servir ? » Tu interrogeais ton amie du regard avant de plonger à nouveau dans les billes noires de la créature. « Deux Darjeelings d’Inde » Un classique parmi les thés anglais qui ne perdait pourtant rien de sa finesse culinaire. Tu observais le demi-portion décaniller derrière le comporte avant de regagner les rives troubles de l’amie. Les questions et inquiétudes macéraient sur le palais, patientant à qui lancerait le premier la balle. Tu n’avais jamais compris l’inimitié farouche qu’elle se disputait avec ta femme, évitant toujours soigneusement d’interférer dans ces petites querelles. « Comment va Octave ? » La langue claquait prudemment à l’ébauche de confessions. Vous ne saviez décemment pas vous mentir l’un l’autre.

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Promesses de l'ombre ☩


Sombres convoitises. La bête grattait la porte de la cruauté, le condamnable en bourgeon prêt à l'éclatement. Promesses scellées. Ces charognes subiront la crête de tes vagues barbares. L'ogre est lâché, affamé de vindicte et de cruauté.
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(#) Re: the truth never set me free - (warlock) ●
30.06.24 13:19
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La confiance rompue, les entrailles torturées et le cœur saignant. Son univers si parfait en apparence est complètement dévasté. Elle ne sait pas ce qui lui fait le plus de mal, savoir qu’Augustus comblait ses désirs ailleurs ou que d’autres femmes l’avaient touché. Sa peau, son odeur, ses envies les plus sombres, tout ce qui lui appartenait avant est à partager désormais. La jalousie est un feu brûlant qui la consume petit à petit. Le doute est émis à chacune de ses sorties, à chaque départ vers un bureau qu’il ne rejoindra peut-être pas de la journée. Les questions fusent. Les interrogations prennent une place démesurée dans son esprit. Ça tourne en boucle, ça l’empêche d’avancer.

Warlock, une lueur dans ses yeux, un feu débordant de questions. Elle sait qu’il découvrira le moindre de ses secrets. Il en a toujours été ainsi. Leur promiscuité depuis tellement d’années ne laisse plus de place aux mystères. Une amitié si forte que rien n’a pu les séparer. Même pas leurs conjoints réciproques. Leurs rencontres, une bouffée d’oxygène pour Emma qui a toujours pu se confier à Warlock.  Un fin conseiller qu’elle aurait sûrement dû écouter des années auparavant lorsqu’elle lui a annoncé ses fiançailles avec Augustus. L’entente entre les deux hommes est seulement cordiale, oscillant entre les accords et une rivalité certaine. Emma sait depuis le début qu’il n’a pas approuvé son union, comme elle, qui n’a jamais compris son amour pour Zorah.

Des semaines ont passé avant qu’Emma n’ose se rendre disponible pour l’une de leurs réunions tant appréciées. Se plaindre n’est pas dans son éducation. Survolées. Les douleurs du passé ne sont jamais contées comme des épreuves, mais comme un apprentissage nécessaire pour s’élever. Il fallait qu’elle soit assez solide pour ne pas craquer devant lui. Digérer les derniers évènements de sa vie n’a pas été chose aisée. Les larmes ont coulé. La colère a fait son chemin dans son cœur. Emma s’assoit face à Warlock. Espérant secrètement qu’il ne percevra pas la détresse dans ses yeux.

Il évite sa question, la laissant dans ses interrogations. Son regard sonde son âme à la recherche de réponses qu’elle n’obtiendra sûrement pas avant la prochaine tasse de thé. « Octave va bien, merci. » Un faible sourire éclaire son visage. « Si on s’abstient d’écouter les dires de son père du moins. »  Augustus reproche à Octave son manque d’engagement. Elle soupçonne surtout qu’il lui reproche d’être trop proche de sa mère.  Il a choisi son camp pour le plus grand bonheur d’Emma. Le petit elfe dodeline jusqu’à leur table, déposant les tasses avec toute la douceur dont il pouvait être doté. Son attention se reporte sur son ami. Elle connait les tourments qu’il traverse avec sa fille. Elle sait parfaitement la douleur que cela doit lui provoquer. Bien loin de ses propres préoccupations. Emma ne pourrait, ne serait-ce qu’imaginer, traverser la même chose avec Octave. Ils se sont toujours compris dans cet amour inconditionnel qu’ils éprouvent pour leur progéniture. Surprotéger ces êtres qui peu à peu se détachent pour voler à leurs propres aventures. « En parlant de nos enfants chéris, comment va Natalya ? Se remet-elle doucement ? » Une once d’inquiétude qui pointe dans sa voix. Elle ne sait pas comment accueillir une mauvaise nouvelle. Voir son ami torturé est si douloureux pour elle.  « Cela doit être terriblement dur pour vous. » Lâche-t-elle en baissant le regard vers le thé fumant. Même si elle ne porte pas Zorah dans son cœur, elle ne peut nier qu’elle éprouve de la compassion pour le couple.

La tasse posée sur sa lèvre inférieure, le liquide brulant qui coule dans son œsophage, réconfort certain contre toutes ces mauvaises passes qui se déroulent dans leurs vies respectives. « Comment se porte Zorah d’ailleurs avec tout cela ? » Détourner la conversation de son âme esseulée. Tenue à l’écart de la vie de son époux. Abandonnée par ce mari pour qui elle a tout donné.

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(#) Re: the truth never set me free - (warlock) ●
22.07.24 20:08
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Si tu faisais généralement rempart aux émois palpables, c’était pourtant d’inquiétude que s’étreignaient les sourcils. Les années s’égrenant et les dissensions ci et là concernant l’épouse et l’époux de l’un et l’autre n’avaient pourtant réussi à vous éloigner, pas complètement. L’amie se faisait pourtant désirer ces derniers temps, semblait se dissoudre dans l’absence pour conjurer tes potentielles questions. Et des questions, ‘pour ne pas dire des inquisitions, tu en avais à foison sur la langue. Rare amie à qui le cœur se déliait des ronces si souvent cultivées. Combien de fois n’aviez-vous pas récolté les feuilles mortes de vos maux ? Ils étaient maintenant si nombreux que vous ne les comptiez plus. L’amitié se révélait butin que tu préservais férocement des pillards inconscients. Et pourtant, c’était d’une main invisible que tu balayais ses questions, peu enclin à glisser si précocement sur cette pente branlante. Ses incisives turquoises semblaient vouloir te sonder, tes laves rencontrant ses pluies éternelles non sans broncher.

Un rictus se dessinait sur le contour incarnat de ses lèvres à l’évocation de son discutable époux. « Parce-qu’il se sent concerné par l’éducation de votre fils ? De toute façon, qu’est-ce qu’il ne reproche pas aux autres ? Personne ne semble aussi parfait que sa petite personne.  » L’interrogation se voulait piquante sur la langue, presque moqueuse, l’humeur s’étant précocement enhardie. « Je te prie de m’excuser Emma. Je suis un peu nerveux ces temps-ci » soupirais-tu, l’amertume en relief du visage las. L’excuse pourtant ne s’offrait qu’en politesse de l’amour qu’elle éprouvait pour lui. Augustus était bien des choses, et bien peu aussi. Le naufrage de son empathie se heurtait à l’attraction de ses aspirations. Un homme grand et pompeux à la fois. Tu n’arrivais encore à définir s’il t’agaçait plus qu’il ne te fascinait ou l’inverse, car tu admirais les ambitieux. Dernièrement, l’agacement écrasait tout autre ressentiment, surtout aux non-dits soufflés à demi-voix sur son hypothétique relation avec ton épouse. Ce simple souvenir te crispait les poings en fugacité. L’imaginer contre la soie chaleureuse de ta femme, récoltant ses saveurs affolantes et ses soupirs te fracturait l’abîme. L’envie sauvage d’en faire un condamné te chatouillait l’encéphale. Si et seulement ci il ne portait pas l’honorable nom de Parkinson et n’était pas la supposée tendre moitié de ton amie. Sans doute fallait-il plutôt le comparer à un citron sur aphte.

Quoiqu’il en soit, Octave allait bien. N’était-ce pas le principal ? L’importance que vous nourrissiez pour votre progéniture n’engraissait que plus encore votre complicité et compréhension. ‘Les enfants avant tout. L’amour inconditionnel pour ta princesse, ‘ta petite camomille, était source parfois, ‘souvent, de bien des conflits avec Zorah. L’interrogation redoutée se glissait finalement sur ses lèvres. Et Natalya ? L’émoi fendait tes laves l’espace d’un instant d’une douleur muette. « Pour te dire franchement les choses... » Tu soupirais sans doute un peu trop longtemps pour rester dans la bienséance, mais qu’importe. Emma était l’exception à la règle, te connaissant sans doute un peu trop par cœur aux années lapidées dans les complicités et connivences. Tu te rappelais encore de cette fois où, jadis, tu récoltais ses larmes salées du bout des doigts. Vous frôliez la puberté, en proie à vos humeurs quinteuses. Tu lui avais promis punir le moindre idiot lui arrachant des perles chagrinées, un petit sourire tendre et complice en coin. Un âge houleux et ingrat où les sentiments se tricotaient et détricotaient seconde par seconde. T’étais jeune et ignare. Ces promesses innocentes dissipées dans d’autres, dans celles de l’âge mûre. Et la voilà promise à Augustus, et les années s’étaient égrenées trop vite, ne laissant le temps ni aux regrets, ni aux remords de prendre leur place. « ça a été assez éprouvant ces derniers mois, autant pour elle que pour sa mère... » Autant pour toi, mais la fierté te scellait les labres. Tu n’étais pas homme à geindre. « Je sais qu’elle remonterait la pente. Elle est forte... » Et si fragile à la fois, ‘et si détruite. Cette étincelle qui jadis peuplait ses eaux cristallines s’était éteinte, ne laissant plus que la froideur de la crainte et l’angoisse. Ta poupée étincelante s’était chiffonnée dans l’émoi, rongée par ses papillons noirs, meurtrie par des douleurs invisibles. « On ne ressort pas si facilement de ces traumatismes... » Celles-là même que tu offrais parfois aux indisciplinés de ta crypte. Ce n’était pas de ton propre chef si tu les blessais. C’était simplement de leur faute. A elles et elles seules. Tu n’aspirais qu’à leur offrir fascination quand elles te punissaient, te troublaient de leur ire percutante. La colère avait bien des facettes et bien trop souvent, elle se dévoilait source d’obsession, celle-là même que tu te refais à dénuder du masque de contenance si souvent maintenu. Se laisser aller à l’émoi n’était pas très séant.

Ton regard s’inclinait sur les volutes dansantes de ton thé fumant, les saveurs épicées te picotant la truffe de délices muets. L’ombre d’un amusement sans joie tirait ta commissure vers le bas. Tu repensais aux fragilités palpables de ta femme au sort infortuné de votre fille. La vulnérabilité qu’elle avait délivrée contre son gré t’avait rappelé les jours morbides et inquiétants après la naissance de Callum. « Elle va mieux... » Mieux peut-être, bien était toute autre chose. « C’est un peu frileux entre nous en ce moment... » Si d’ordinaire, tu te répugnais à dévoiler la moindre fragilité sur ta vie privée, il en était tout autre en sa présence. Emma n’était pas comme les autres. Les lèvres s’apposaient sur le contour de porcelaine, laissant le nectar brûlant glisser dans l’avaloir en délivrance des mots trop longtemps retenus en nœud gordien. « C’est difficile pour toi aussi, n’est-ce-pas ? » Douceur sur les traits en invitation à s’épancher. Elle s’échinait comme toi à clapir ses sentiments derrière le garde-fou d’une contenance qui n’avait lieu d’être entre vous. « J’ai vu ton mari il y a peu... » avouais-tu finalement, un muscle tressautant au coin de la mâchoire. Sans doute te trahissais-tu par les cliquetis de ta cuillère contre l’arrondi ferme de ta tasse. « Après toutes ces années, je me surprends toujours à me demander ce qui t’a plu chez lui... »


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Promesses de l'ombre ☩


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Emma Parkinson
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29.07.24 0:06
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La tempête, le tonnerre pourrait gronder, les éclairs percer le ciel, Warlock serait là. Dans cette amitié si douce, Emma a toujours su trouver du réconfort. Une parenthèse délicate dans une vie marquée par les tragédies. Aujourd’hui encore, alors que les tourments encombrent son esprit, il est fidèle au poste, prêt à lui tendre la main. Si elle a tenté de l’éviter depuis tant de semaines, c’est que la vérité était trop dure à accepter. Augustus n’est plus l’homme qu’elle a épousé, peut-être ne l’a-t-il jamais été. Son ami de toujours avait pourtant essayé de la prévenir. Observateur aguerri de cette amourette de jeunesse devenant union officielle. Emma n’a jamais compris. Plutôt, elle n’a jamais voulu comprendre. A l’inverse, elle n’avait jamais éprouvé de réelle sympathie pour son épouse. Zorah était une femme tout à fait respectable à la beauté notable, mais malgré des efforts certains, Emma n’avait jamais réussi à l’apprécier.

Ce qui aurait pu être une belle histoire de camaraderie remplie de repas conviviaux, était restée une amitié entre deux êtres se connaissant depuis l’adolescence. Si d’ordinaire ils prennent le plus grand soin à ne pas rabaisser le partenaire de l’autre, Warlock semble s’emporter à priori sans raison. Les sourcils d’Emma se soulèvent devant son humeur bougonne. Bien vite rattrapée par des excuses qui font sourire la sorcière. « Tu n’as pas besoin de t’excuser, c’était plutôt mérité. »  Un sourire malicieux collé aux lèvres. Qu’il est bon de voir qu’Augustus ne porte pas son masque si bien qu’il le pense. Pendant quelques secondes, la frivolité de la conversation l’apaise. Sa façon d’estimer Octave devient le cadet de ses soucis alors qu’elle prend la chose tant à cœur d’ordinaire.

Le soupir un peu trop long de son ami lui rappelle la douleur qui doit le traverser. Ses yeux se baissent lui laissant le temps qu’il faut pour reprendre la parole. « Et pour toi aussi, je n’en doute pas. »  Parce qu’il s’oublie souvent, sûrement par peur de dévoiler une once de fragilité, mais qu’elle sait à quel point son amour pour Natalya est absolu. Une qualité qu’elle apprécie grandement chez son ami et qui manque cruellement à son époux. « Bien sûr, elle va y arriver, mais elle a besoin de temps. »  Ton regard plonge dans le sien avec sincérité pour ajouter : « Si je peux faire quoi que ce soit, n’hésite pas. »  Au-delà de la cordialité, sa proposition est authentique. Elle connait peu la jeune Yaxley, mais elle éprouve, tout naturellement, de la compassion pour elle. L’angoisse qui doit ronger son paternel est tout aussi évidente. La prunelle de ses yeux a trop souffert. Violence atroce qui peine le cœur capable d’empathie d’Emma.

Sa main entourant la tasse fumante, réchauffée par ce liquide ambré, son attention portée vers son interlocuteur dont le ton sérieux l’inquiète quelque peu. Confidences empreintes d’honnêteté qui la laissent bouche bée. Frileux ? Alors que son couple semble au bord du gouffre, celui de son ami ne semble rien avoir à lui envier. Ses lèvres s’entrouvrent, prêtes à poser des questions, mais les mots continuent de couler. « C’est difficile pour toi aussi, n’est-ce-pas ? » Le souffle coupé, la gorge serrée, les larmes au bord des yeux. Tout est retenu, même si c’est lui. Elle frotte ses paumes, déviant la tristesse repoussée dans un coin de son esprit depuis le début de leur conversation. Il s’est livré, alors elle doit en faire de même. Si leur amitié a duré aussi longtemps, c’est que le jugement n’a jamais été de la partie. « Oui, c’est… compliqué. Terriblement compliqué. »  Lâché en un souffle, cette simple phrase lui a demandé un effort colossal. Retirer sa carapace, parler de son couple, n’est pas une chose aisée pour celle qui s’évertue à paraitre parfaite en tous points. Elle comprend ses paroles précédentes qui les amenaient à ce moment. Il s'est sûrement donné la mission difficile de l'avertir sur les occupations nocturnes de son époux. « Tu es au courant n’est-ce pas ? »  Ses yeux trouvent enfin le courage de rencontrer son regard. Parce qu’elle ne décèle aucune once de critique dans ses pupilles, elle s’autorise à continuer. « Pour Zorah et Augustus ? »  Malgré elle, une larme perle dans son œil droit qu’elle vient rapidement essuyer de son index. Ni vu, ni connu, ou presque. Puisque leur rencontre se prête aux épanchements et qu’il est l’un des rares sur qui elle puisse compter, Emma se laisse aller à d’autres confidences. « Je me sens si idiote. »  La bouche masquée par la paume. « Il n’était pas comme ça avant, jamais il n’aurait osé me faire cet affront. »  Si Warlock n’a jamais porté Augustus dans son cœur, Emma s’est toujours démenée pour le défendre, mais pas cette fois. Il est peut-être temps d’ouvrir les yeux sur cet homme qu’elle croyait si bien connaitre. « Comment fais-tu pour le supporter ? »  Certes, le contexte n’est pas le même, mais peut-être y-a-t-il un secret bien gardé pour ne pas avoir l’esprit embrumé par les images de son partenaire frôlant d’autres peaux.  
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25.08.24 15:11
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Mérité ? Plus que de raison. L’humeur perforait la poupée d’Augustus croquée de l’imaginaire par des aiguilles en salves. Le masque se chiffonnait d’excuse au nom de votre amitié. Au nom de l’amitié ne devriez-vous pourtant pas être honnête l’un avec l’autre ? Tu n’était peut-être pas le plus avouable des hommes, te parant de discrétion en garde-fou des blâmes que la presse se régalait de vomir au premier faux pas. Tu n’imaginais l’esclandre siffler en calomnies des langues acescentes des vipères ondulant sous vos pieds. L’épouse Yaxley folâtrant avec l’héritier Parkinson ? L’honneur d’Emma bafoué ainsi que le tien. Tu devinais déjà les rires chiffonnant les goules en théâtre satirique, car de rire la plèbe se défigurait si bien. Le pain des potins et le vin des gouailleries qu’ils réclamaient voracement. Mieux valait-il s’assurer que ça ne tombe malencontreusement entre les écoutilles d’un Skeeter. Ces guivres étaient bien trop gourmandes de scandale pour votre sérénité à tous les deux, encore plus aux idées d’union partagées avec Mona et Zorah concernant ta princesse au bras imaginé de Perséus. ‘Des légèretés en préliminaires de promesses respectables en apparence. Monsieur Parkinson semble vouloir déjà s’imprégner de la tiédeur de la famille Yaxley en tâtonnement pour son cher cadet. Les synapses s’électrifiaient déjà du fiel imprimé sur papier, tricotaient les plus nébuleuses perspectives aux évidences ébréchées. Tu ne le permettrais pas. Les griffes se resserraient, s’imaginaient déjà étrangler le joli cou de l’avocaillon Parkinson. La perspective te grisait, te nourrissait de violences muettes. La commissure se repliait d’un rictus amusé à sa remarque, amusé et amer, car tu devinais dans ses mots l’inconfort de cette discussion.

« Tu as sans doute raison » Si de patience tu t’armais souvent, c’était pourtant ankylosée que l’humeur se meurtrissait. Le désir de voir ta princesse se relever au plus vite, de lui ôter de son joli visage de poupée les crispations d’un mal-être viciant. Elle était si mal. Et toi, aussi inemployable qu’un gobelin dans une banque vide, dans tes recherches cagnardes, bien trop à ton goût. « Merci » Tes griffes s’apposaient sur les siennes en caresse amicale, en reconnaissance sincère dans la douceur de vos échanges. Amitié choyé depuis le berceau de votre enfance, l’un comme l’autre se soutenait au mieux malgré les houles secouant vos humeurs, malgré les tempêtes déferlant dans vos abysses. Sa présence s’était dévoilée plus que salvatrice quand tu pensais perdre ta femme à la naissance de Callum. Présence en pansement d’une détresse émotionnelle. 

Les onyx déclinaient le temps d’un instant sur les volutes danseuses de ton thé fumant, t’hypnotiseraient presque si tu ne te savais pas seul. Tu goûtais une première lippée du nectar brûlant, laissait le fer-chaud glisser dans l’avaloir, s’y étranglait aux confessions soupçonnées. Bien sûr qu’elle le savait, s’en doutait. Les femmes étaient nourries d’un instinct bien plus aiguisé que le vôtre, vous pauvres hommes se surprenant au dénouement épuisé depuis longtemps. Un petit muscle tressautait à l’angle de ta mâchoire, la barrière émaillée torturée entre les crocs broyés. Un Endoloris serait plus doux qu’une formulation des vérités à voix haute. La préférence d’une carcasse meurtrie écrasait celle d’un cœur saignant. Tu déposais aussi calmement que tu le pouvais ta tasse, avalais goulûment une bouffée d’air en tentative de contenance. La sève vermeille devenait pus dans les veines. Tu te sentais faisander à t’imaginer dans la perversion de ton âme les deux traîtres s’étreindre, le sourire d’Augustus en offrande grivoise et malicieuse. Merlin Zorah...pourquoi avait-il fallu que tu le choisisses lui plutôt qu’un autre ? Il y avait bien assez de coquebins dans la cour. Ça t’irritait d’un mal-être lysergique. L’animosité devenait poison, se répandait dans l’ichor bouillonnant de vindicte. Et tu soupirais, encore et sans retenue. C’était d’ivresse et non de thé que vos cervelles auraient bien besoin pour s’éteindre des maux en saule cogneur. « Je suis navré pour toi Emma. Tu mérites mieux que... » Cette ordure, cette vieille crapule ? Ta langue se nouait par respect pour l’amie. « Ton cher mari a pris soin de me l’apprendre. Tu le connais, il aime piquer quand il n’a plus de cartes en main » grondais-tu entre tes crocs. Tu aurais presque pu le tuer, ‘presque’. Ce serait bien trop doux pour lui, et trop facile. Et pardi que tu aimais sentir tes petits rats se tordre de douleur en supplice et en langueur. « Un vrai enfant » Soupir en légèreté. Quolibet en miel suret sur la langue. « Tu connais les libertés que l’on s’était octroyées avec Zorah aux prémices de notre mariage mais...je crois qu’il me devient pénible de le supporter, et encore moins avec ton mari » La jalousie rampait en rat crevard dans les cloaques de l’encéphale, titillait le thalamus de maux lancinants. Le masque se fissurait aux contrariétés fourmillant sur la gueule. « J’ai presque eu envie de l’étrangler » voulais-tu plaisanter, un sourire crispé en coin. Presque ? Oh non Emma, tu l’avais soigneusement imaginé lui taillader les commissures pour l’imprimer de son immuable sourire perfide. « Comment l’as-tu appris ? Laisse moi deviner...Augustus ? » Ce serpent était assez félon pour le lui révéler sans scrupules. « Promets moi de garder ça sous silence. Je ne tiens pas à ce que ça s’ébruite jusqu’aux oreilles de personnes...mal intentionnées... » Ces longues années d’haleine à maintenir la mascarade d’une famille équilibre ne seront pas vaines. Foi de Yaxley.




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