IN FOR
THE KILL

RPG HP && the village


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PÉRIODE DE JEU:
Juillet 1955
GODRIC'S HOLLOW ● Dans l’ombre, un texte commence à circuler dans les différentes communautés magiques, lu lors de soirées mondaines, traduits dans une dizaine de langue, le pamphlet, extrémiste, fait assez parler de lui pour être reproduit par les journaux ou lu sur les ondes de nombreuses radios afin d’en commenter ou critiquer le contenu. L’illégalité de leur organisation ne semble nullement avoir empêché les Mangemorts de diffuser leurs idéaux. (lire le pamphlet)
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most often unseen (jez & ollie)
mob: bang, bang u're dead ●
Ethel Filch
mob: bang, bang u're dead
Ethel Filch
feuille de personnage

Feuille de personnage
RELATIONS:
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hiboux : 203
pseudo : foxie
faciès & dot : Adeline Rudolph (pastbreathing)
doublon(s) : Mona ▸ Mycroft ▸ Isadora ▸ Helen ▸ Saoirse ▸ Solène ▸ Agnes ▸ Adam ▸ Ralph
gallions : 1338
most often unseen (jez & ollie) 51030f24982d5804a80a5f362938371a0ace2382
pronoms : she-her (elle)
décade : 27 hivers tous frais
labeur : herboriste, vendeuse de plantes plus ou moins létales et plus ou moins légales pour le compte de la boutique familiale
alter ego : Cecilia Smith, discrète conservatrice du Musée d'HIstoire Naturelle
storytime : ARTHURPRIMMALCOLMJEZ & OLLIE
sang : sang mêlé, à la réputation aussi sale que vérifiée
don : maudite, condamnée au silence pour peu que sa langue s'écarte du droit chemin de la vérité
myocarde : divorcée, davantage attirée par les courbes féminines que par les egos fragiles
allegeance : fidèle à elle-même avant tout, alliée occasionnelle de la pègre Bulstrode
gif feuille : justgifs

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golden snitch
le.a speedy gonzales du rp.
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mordu.e des top-sites.
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https://inforthekill.forumactif.com/t2629-ethel-speak-no-evil https://inforthekill.forumactif.com/t2664-ethel-demons-are-a-gir
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(#) most often unseen (jez & ollie) ●
23.03.24 20:20
● ● ●
you have nothing to fear
À PROPOS
DE CE SUJET
if you have nothing to hide
● ● ●
temporalité du rp : septembre 1941
personnages concernés : Jezabel Rosier, Olivia Fletcher & Ethel Filch
trigger warnings : aucun (à ce stade)
intervention autorisée du mj : [] oui [x] non
autre(s) : Jez, Ollie et Ethel entament leur troisième année à Poudlard. Depuis deux ans, leur trio discret mais bien solide pratique le langage des signes pour communiquer. À noter : c'est durant ce mois de septembre 1941 qu'Ethel apprendra que son mutisme occasionnel est dû à une malédiction...

IN FOR THE KILL - 2021-2022



JEUX 2024
most often unseen (jez & ollie) Vks8giC6_o
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Ethel Filch
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(#) Re: most often unseen (jez & ollie) ●
23.03.24 20:22
A storm arrives at the exact second when a girl learns she’ll never be free.
M
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UNSEEN
« Tu ne trouves pas qu’ils ont l’air… minuscules ? » demanda la fillette à sa voisine. Elles n’étaient pas beaucoup plus grandes que les chétifs élèves qui venaient de pénétrer dans l’immense salle éclairée de mille chandelles, mais deux ans passés dans ces couloirs leurs conféraient une assurance dont les première années étaient encore cruellement dépourvus. « On dirait qu’ils sont tombés dans le Lac Noir » reprit-elle, notant soudain qu’en plus d’être petits, les nouveaux et nouvelles étaient également complètement trempés.

Arrivées environ une demi-heure plus tôt, les gamines avaient échappé à l’averse qui arrosait à présent le sol écossais. Et si, au plafond enchanté, les éclairs dansaient, nul n’avait d’yeux pour les voir. L’assemblée se concentrait sur les derniers arrivés, cohorte de quarante créatures tremblotantes - sous l’effet de l’ondée, ou celui de l’anxiété inhérente à la rentrée scolaire à Poudlard ? Ethel aurait bien été incapable de le discerner.

« J’espère que le discours de Dippet ne sera pas trop long, cette année… J’ai tellement faim que je pourrais avaler un… Comment tu dis un éléphant ?» plaisanta-t-elle, ses mains dansant devant son visage. Elle signait toujours, lorsqu’elle s’adressait à Jezabel - question de respect, estimait la trop sérieuse Ethel. Si son amie devait signer chacun de ses mots, elle en ferait de même. Il en allait ainsi depuis leur rencontre à bord du Poudlard Express, deux ans plus tôt.

Il ne pleuvait pas, ce jour-là. Au contraire, le soleil inondait la gare de King’s Cross. Pourtant, l’enfant n’avait pas souri jusqu’à ce que s’effacent les visages de ses aînés dans la fumée qui avait envahi le quai. À onze ans, Ethel avait déjà compris que si son frère et sa sœur avaient fait le déplacement, c’était par obligation plus que par amour familial. Mais à l’idée d’une année scolaire loin de leurs moues réprobatrices, loin des moqueries constantes d’Eleanor et des remarques cinglantes d’Ebenezer, le visage d’Ethel Filch s’était soudainement éclairé. Elle avait serré contre elle sa maigre valise, et s’était lancée en quête d’un compartiment encore vide. Elle n’était pas restée seule bien longtemps, toutefois : une première fillette à la peau dorée avait fait irruption, puis une seconde enfant avait poussé la porte du compartiment. Si la première avait accaparé l’attention de la timide Ethel par son débit quasi-constant d’anecdotes et de sourires à faire fondre un glacier, la seconde l’avait captivée sans même prononcer un mot. Elle avait les plus beaux yeux du monde, avait décidé l’enfant - qui, dans la même seconde, avait déterminé que quoiqu’il lui en coûte, elles deviendraient amies. Par chance pour les taiseuses qu’étaient Ethel et la nouvelle - Jezabel, prénom aussitôt gravé dans sa mémoire et dans son cœur - Olivia avait maintenu le flot de la conversation à elle seule.

Les noms de famille étaient venus après, au moment fatidique où le Vice-Directeur s’était avancé pour les appeler une à une. Ethel Filch, avait-il intoné, et elle avait tremblé comme une feuille à l’idée que son nom soit moqué, mais aucune autre voix ne s’était élevée jusqu’à ce que… « Ah, la petite Filch. Devrais-je t’envoyer là où tes aînés ont rencontré tant de succès ? À moins que tu ne veuilles tracer ton propre chemin ? » Sidérée par l’intervention - personne ne lui avait dit que la Cérémonie de Répartition impliquait un chapeau parlant - elle était restée scotchée au tabouret sur lequel on l’avait assise, jusqu’à ce que l’objet finisse par prendre sa décision, beuglant un sonore   « SERDAIGLE ! » Encore sonnée par l’intensité du moment, elle avait rejoint la table au blason bleu et bronze, enregistrant à peine les quelques applaudissements et le nom suivant, déjà appelé… Olivia Fletcher. Quelques instants plus tard, Jezabel Gamp avait suivi, et Ethel avait souri à nouveau lorsque le Choixpeau avait prononcé son verdict.

Les injonctions de son paternel - ne jamais, jamais s’approcher des Fletcher, tu m’entends Ethel ? - semblaient désormais bien lointaines. Après tout, ce qui se passait à Poudlard… Comment aurait-il pu le savoir ? Et puis, avait rapidement raisonné l’enfant, il était tout simplement impossible d’échapper à la sollicitude d’Ollie Fletcher. Aussi, pour la première et la dernière fois de sa courte existence, Ethel avait désobéi. Ollie, Jez et elle formaient désormais un trio soudé, pas systématiquement fourré ensemble - Ollie ayant été répartie à Serpentard, elles se trouvaient dans les Salles Communes les plus éloignées - mais néanmoins fréquemment réuni. Et de leçons communes en sessions d’études écourtées par l’apparition soudaine d’un sac de friandises magiques, les gamines avaient grandi, partageant ces moments et ces secrets qui ne sauraient appartenir qu’à cette phase particulière entre l’enfance et l’adolescence.

« Ne te retourne pas, mais je crois qu’Ollie a déjà décidé de changer de table pour la soirée » signa Ethel, peu après que tous les noms de cette nouvelle année aient été appelés et conséquemment répartis. Et alors qu’Armando Dippet se levait pour entamer son traditionnel discours, la silhouette familière d’Olivia Fletcher vint effectivement se glisser sur leur banc. Et au diable l’étiquette… Mais, comme elles l’avaient appris peu de temps après avoir fait sa connaissance, Ollie Fletcher n’était pas le genre d’enfants à qui l’on pouvait aisément imposer un règlement.
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Jezabel Rosier
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Jezabel Rosier
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pronoms : she ; her
décade : les affres du temps ne sont pas encore passés par-là, la vingt-septième année de vie sur le point de débuter, encore au printemps de sa vie.
labeur : écrivaine connue sous le pseudonyme de Darcy O'Connor, notoriété qui n'est plus à faire. Les récits plus sybarites sont écrits par Lottie Felcroft.
alter ego : Charlotte Crowley
storytime : wicked game feat. thomas
most often unseen feat. ethel & olivia
aristocat rp libre

sang : l'ichor presque divin aux yeux des bien-nés, pureté préservée, sacralisée.
don : animagus chat, félidé écaille de tortue aux prunelles identiques aux siennes
myocarde : officiellement mariée à Octavio Rosier, le couple n'est plus depuis un an pourtant, doucereuse séparation connue uniquement d'eux.
allegeance : sa famille, la branche de la pègre magique à laquelle elle appartient [artefacts magiques & objets rares], faussaire pour celle-ci.
particularité physique : le mutisme sur le bout de la langue, tare de naissance, honte familiale, couplée à l'hétérochromie de ses yeux (bleu&vert), tatouage de la pègre (retourneur de temps) en gravure costale droite.
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(#) Re: most often unseen (jez & ollie) ●
27.03.24 15:51
A storm arrives at the exact second when a girl learns she’ll never be free.
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La tête posée nonchalamment sur sa paume droite, la petite serdaigle – petite étant presque un euphémisme, elle était persuadée de ne pas avoir pris plus de deux centimètres depuis la fin de l’année scolaire passée – patientait, comme tout élève présent dans la Grande Salle. D’ici quelques instants, les portes s’ouvriraient pour laisser entrer les premières années, que le Choixpeau Magique, après avoir chanté sa chanson d’introduction, répartirait entre les quatre maisons de l’école. D’ailleurs, quand on évoque le dragon, on en voit le bout de la queue, alors qu’enfin, le grincement des portes marquait le début d’un long moment de solitude entre les concernés et le vieux bout de tissu miteux. Lors de son arrivée, Jezabel n’avait pu s’empêcher de se demander s’il n’abritait pas des mites, ou pire… des poux. Son cousin, Priam, avait certifié lors du dernier repas familial avant sa rentrée, que l’un de ses camarades en avait été affublé, car personne ne lavait jamais le Choixpeau Magique, au risque de le voir réduit au silence pour toujours. Ce n’était donc pas sans appréhension qu’elle avait accueilli ce dernier sur sa tête. À ce souvenir, la gamine ne put s’empêcher de cligner des yeux avec une simili lassitude. Priam ne manquait pas de jouer les imbéciles et les plaisantins, malgré pourtant cette vive intelligence dont il était pourvu. Comme bien des membres de la famille Gamp, il rejoindrait bientôt les rangs de la Pègre Magique, sous la tutelle des Shafiq… mais avant cela, il briguait une excellente carrière au ministère, en tant que briseur de sorts. Jamais jusqu’alors, Jezabel n’avait entendu parler des exploits d’un quelconque sorcier possédant ce titre… Mais Priam en était bien capable, bien qu’elle ne put s’empêcher d’émettre un doute sur le fait que ses prouesses ne seraient pas celles escomptées. Accrochant sa voisine, et plus particulièrement ses phalanges, la Gamp redressa la tête, s’intéressant à la conversation plutôt qu’à ses propres pensées, avant de tourner le faciès vers les nouvelles têtes, pour mieux hausser les épaules. « Je n’ai pas l’impression d’avoir grandi depuis notre première année… » Signa-t-elle en retour, manifestement vexée de ne pas avoir grappillé quelques centimètres de plus. Sa grand-mère avait assuré qu’elle aurait la taille svelte et élancée de sa mère… mais à bien se regarder, Jezabel commençait sérieusement à en douter. Peut-être était-ce un brin de mauvaise foi, alors qu’elle observait les nouvelles têtes, ne pouvant s’empêcher d’hausser un sourcil devant la mine détrempée de ces derniers, eau gouttant de leurs vêtements et cheveux et achevant course au sol. Assurément, le concierge allait être ravi d’être obligé de nettoyer derrière eux. Cette année toutefois, aucune tête ne lui était connue, aussi, elle ne manqua pas de se détourner d’eux, s’intéressant plutôt à sa camarade et amie depuis maintenant trois ans, les lèvres s’étirant d’un amusement non-feint, alors qu’elle ne pouvait s’empêcher de répondre, prenant toutefois son temps pour lui laisser le temps d’assimiler sa gestuelle. Ethel s’était montrée bonne élève lorsqu’elle avait manifesté l’envie d’apprendre le langage des signes, et en cela, la Gamp lui était reconnaissante, tout comme elle l’était envers la troisième comparse de leur trio, Olivia Fletcher, qui avait manifesté le même engouement. Pouvait-on rêver meilleures amies ? « Tu as encore faim après tout ce que tu as dévoré dans le train ? » C’était presque un rituel : au passage de la dame aux bonbons, le trio se répartissait au dépend de ses moyens l’achat de tous les bonbons et gâteaux disponibles, de sorte à ne jamais manquer une nouveauté de chez Honeydukes. L'âme généreuse - ou la gourmandise - veillait à ce que Jezabel dépense plus d'un gallion pour combler le manque. À la fin du voyage, il restait toujours beaucoup de sucreries, qu’elles se répartissaient jusqu’à leurs prochaines retrouvailles. En montant dans le Poudlard Express pour la première fois de sa vie, jamais Jezabel n’aurait pu imaginer nouer une amitié aussi solide…

Elle s’en souvenait presque comme si c’était hier, le temps était magnifique, Priam était venu lui dire au revoir, tout comme Danika, pourtant si occupée en temps normal. Si l’un lui avait rappelé de bien faire attention à sa tignasse, l’autre n’avait pas manqué d’être plus réservée, pince-sans-rire. Il lui avait même semblé percevoir un soulagement manifeste chez ses parents, l’allègement de ne plus l’avoir dans leurs pattes sans doute, elle qui semblait demander bien trop d’attention quand elle veillait pourtant à demeurer dans la bibliothèque ou la salle d’art. Sans réellement s'obstiner dans les manifestations d’aurevoir, elle était plutôt partie en quête d’un compartiment vide, la cage de son chaton – cadeau de son cousin – dans une main, trainant sa malle de l’autre. L’entreprise s’avéra rapidement être un échec, l’obligeant à pousser une porte au hasard pour faire face à deux gamines de son âge. Sans doute se connaissaient-elles déjà, puisque l’une d’entre elle racontait ses vacances comme si elles étaient amies de longue date. Avait-elle seulement le droit de les déranger ? Elle avait pris sur elle, posant sa malle pour attraper un calepin et un crayon dans sa poche, interrogeant sur la possibilité de partager le compartiment. Que risquait-elle à demander ? Au mieux, les deux fillettes l’ignoreraient, au pire, elles se moqueraient de son mutisme. Rien d’insurmontable. Elle n’avait pas envisagé la possibilité qu’elles puissent devenir camarades, puis amies. Le soulagement avait étreint ses épaules lorsqu’elle avait rejoint la table des Serdaigle – maison de sa sœur avant elle -, mais surtout, Ethel. Elle aurait préféré qu’Olivia soit elle aussi répartie chez les bleus et bronze, et pendant un instant, elle crût que cette dernière ne voudrait plus rien avoir à faire avec elles… Et fut enchantée de se tromper, lorsque celle-ci ne manqua pas de les rejoindre plusieurs fois à leur table, ou à l’extérieur. C’était le début d’une belle amitié, n’en déplaise à certains.

Tapotant des doigts sur la table à mesure que le Choixpeau répartissait les élèves – elle s’obligeait toutefois à applaudir, à l’instar de ses camarades – ceux qui rejoignaient sa maison, elle n’en fut pas moins ravie lorsque le dernier étudiant, un Zabini, fut enfin envoyé dans sa maison pour les sept prochaines années, reportant ainsi toute son attention sur les paroles d’Ethel, se retenant presque de pouffer de rire. Elle n’avait pas besoin de se retourner pour imaginer Ollie venir à pas de souris jusqu’à elle. Assurément, elle devait d’ores et déjà s’attirer les foudres de ses camarades verts et argents. Regardant sa montre, elle signa de nouveau pour son amie « Elle a presque dix minutes de retard. » avant de faire une place pour l’autre, et de veiller à ce que Dippet ne la voit pas. Certaines personnes étaient bien plus à cheval sur l’étiquette que d’autres. D’ailleurs, où se trouvait leur préfet, ce cher Diego Zambrano, insupportable monsieur-je-respecte-le-règlement. S’il voyait Olivia, il ne manquerait pas de pointer du doigt son insigne brillant et de la renvoyer d’où elle venait. « Vous pensez que nous aurons beaucoup de cours ensembles ? » Signa-t-elle de nouveau, espérant sans aucun doute avoir plus de cours avec Serpentard que Poufsouffle ou Gryffondor. « Je crois que l’on m’a rajouté deux heures de cours particuliers en plus cette année. J’ai reçu une liste de livres en plus de ceux que nous devions acheter. » Ce n’était pas un secret qu’elle avait droit à d’autres heures supplémentaires. Loin d’être une corvée, c’était nécessaire pour qu’elle puisse un jour être une sorcière accomplie. Là où certains commençaient à apprendre l’utilisation des sortilèges informulés à leur sixième année, Jezabel n’avait eu d’autres choix que de les apprendre dès la première année. Et une année encore avant, il lui fallait apprendre en théorie presque pratique les sortilèges qui seraient enseignés en lors de son entrée à Poudlard. « Ce n’est pas cette année encore que je rejoindrai l’équipe de Quidditch. » se moqua t’elle, sans pourtant prétendre avant l’intention de le faire. Ce sport ne l’intéressait aucunement.

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Olivia Fletcher
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pronoms : elle
décade : 27 années écorchées
labeur : Maquerelle, l'obscène luxure, ton doux fléau (Bras droit de Fen)& Soigneuse (gynécologie) pour ces dames flétries
sang : Mêlé, pensais-tu dans ce qu'on t'avait raconté...
don : animagus (souris)
myocarde : le coeur cogne dans la géhenne de l'interdit
allegeance : sûrement pas pour ta belle gueule
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(#) Re: most often unseen (jez & ollie) ●
01.04.24 12:26
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Les pas claquaient dans la précipitation d’un retard scrupuleusement entretenu. Les bras de Morphée en dévotion, t’avais l’habitude de traînasser sous l’étoffe cotonneuse en ronflements contentés. Cette fois-ci pourtant, tu t'étais simplement contentée d'une sieste grasse. La crinière en bataille, tu t’étais déjà glissée en catimini entre deux camarades, non sans te récolter le regard désapprobateur de ton titulaire. Pincement de l’ourlet inférieur, sourire pantois en excuse, tu reportais finalement ton attention sur la marmaille en arrivage. Les pierres de lave en quête du dragon solitaire parmi les lions, c’était d’un soupir retenu que tu t’accrochais à son échine. ‘Dommage. Moue boudeuse en fugacité sur la trogne, t’observais les premières années s’avancer dans la pudeur des premiers jours. L’émerveillement de la magie et de ses contours te percutait encore l’encéphale de frémissements confortables. Poudlard en refuge des violences paternelles, tu t’y accrochais fermement, redoutant toujours le retour sous les hostiles pénates. Si les uns s’impatientaient des vacances, tu étais plus du genre à t’en alpaguer.

L’envie de rejoindre tes amies te grattait déjà l’encéphale d’une impatience familière. Quel dommage de n’avoir pu te retrouver dans la même maison. Soupir en délivrance des vermeilles gourmandes, tu graillais déjà quelques confiseries glissées dans ta poche. Vos premières rencontres te soulignaient l’ourlet d’un sourire tendre. En plus d’un foyer, l’amitié que vous vous nourrissiez te remplissaient l’abîme de miel, pansant les cicatrices que les supplices et racontars avaient créées.

Sans tambour ni trompette, tu te faufilais promptement vers la table des bleus et argents, le malice gras sur les labres. Ethel semblait te remarquer, invitant Jezabel à te céder une petite place à ses côtés. Tu te sentais l’humeur maraude, les gloussements retenus sur le palais. « J’espère ! Je n’ai pas encore regardé le programme » Égale à toi-même. Si tu t’appliquais dans la besogne des cours, tu avais l’indécrottable inclination de t’y prendre toujours à la dernière minute. Syndrome du petit chaton, tu te laissais distraire par la moindre agitation. « Ce sont des livres concernant les sorts informulés ? » signais-tu, l’âme éclatant de curiosité. Tu l’admirais pour son assiduité. Certes, elle n’avait d’autres choix que de s’appliquer plus qu’un autre, mais la rigueur dont elle faisait preuve t’obligeait également à te botter la croupe. Si tu voulais entreprendre des études médicales, tu n’avais d’autres choix que de t’acharner dans l’étude. « On pourrait apprendre ensemble durant nos heures libres ce que tu as appris en plus si tu veux ? Ça pourrait être chouette ? » Avancer ensemble, d’un même pas. Peut-être étais-tu trop optimisme, crédule ou simplement ambitieuse, mais l’idée de partager ces savoirs avec tes amies te gargarisait intimement. « Tu n’as pas peur de te casser un ongle ? » te moquais-tu gentiment, les vermeilles s’ourlant de taquinerie. «  Je me suis inscrite au club d’astronomie cette année mais j’aimerais bien également rejoindre le club de potions. D’ailleurs, ça se passe comment Ethel ? » L’interrogation s’adressait directement à ton amie, les lagunes s’abreuvant de curiosité.

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Avait-elle été aussi impressionnée que les petits nouveaux, lors de sa propre arrivée au Château ? Sans doute. Pourtant, très vite, peut-être même dès ce premier trajet à bord du Poudlard Express, Ethel avait su puiser un rien d’assurance dans les mentons fièrement levés de ses amies. Celui de Jezabel, porté par l’habitude que conférait son éducation, regard égaré dans les hauteurs en quête d’informations nouvelles ; celui d’Ollie, pointé vers un avenir glorieux, museau avide d’oublier les rigueurs du passé. Alors, Ethel aussi avait relevé le visage, avait tourné ses yeux vers le monde qui l’entourait et avait tenté de se frayer un passage dans ce monde nouveau. Elle avait encore du mal à croire qu’elle y avait sa place, elle l’enfant de Richard Filch et d’une femme transparente dont ne restait qu’un nom - mère décédée trop jeune pour qu’elle en garde de réels souvenirs. Elle avait du mal à assumer que ses tenues étaient rapiécées, les poches sans cesse trouées par l’usure d’avoir appartenu à sa sœur aînée avant elle. Elle avait du mal à accepter de payer moins que les autres lorsque le chariot à friandises s’arrêtait devant leur compartiment, dépensant pourtant la somme censée durer un semestre entier - elle devrait cette année trouver des astuces lucratives, si elle souhaitait pouvoir boire un simple chocolat chaud à Pré-Au-Lard… Mais ce tracas la rattraperait plus tard.

Pour l’instant, l’enfant pas tout à fait adolescente encore se réjouissait de voir la dernière membre du trio les rejoindre à la table des Bleus et Bronze. Si Jezabel était la lune, capable malgré son calme apparent de soulever de véritables marées - et de produire des sortilèges dont Ethel ne parvenait jamais à répliquer parfaitement les effets, malgré l’avantage qui lui était conféré de pouvoir prononcer les mots correspondants - Ollie était sans conteste leur soleil à toutes les deux. Un sourire, un mot et elle les embarquait dans des aventures mémorables, dont l’excitation se mêlait parfois avec une pure terreur - mais de cela, Ethel Filch ne pipait mot. Elle ne voulait pas être celle qui avait peur, celle qui craquerait la première parce que si son père apprenait… Elle ne voulait pas que ses deux astres l’abandonnent, parce que sans elles, Merlin seul savait comment elle trouverait son chemin jusqu’à la cérémonie de diplomation censée clôturer leur septième année. Parfois, le petit scorpion songeait à cette lointaine festivité, jamais tout à fait persuadée d’avoir mérité sa place au Château, à moitié convaincue qu’on réaliserait bientôt qu’il y avait eu erreur, qu’elle n’avait rien à faire là.

Mais lorsqu’Ollie et Jezabel l’encadraient, lorsqu’elles plaisantaient au sujet des improbables chances qu’avait la seconde de rejoindre une équipe de vol sur balais - ce qu’elle n’avait de toute façon aucune intention de tenter -, dans ces moments-là, Ethel parvenait à y croire. Elle se rappelait qu’elle avait même quelques mérites, dont un talent certain pour la confection des potions et pour tout ce qui concernait les plantes, magiques ou non. « Oui, regarde » répondit-elle, sortant un morceau de papier soigneusement replié de sa besace en cuir fatigué. Une besace qui ne payait pas de mine, mais dont elle ne se séparait jamais - comme presque toutes ses affaires, baguette magique incluse, la sacoche avait connu d’autres propriétaires - et dans laquelle elle semblait pouvoir fourrer une quantité impressionnante de brics et de brocs. Elle pointa les indications rédigées en pattes de mouches à l’encre noire, certains détails soulignés en couleurs :  « Les leçons de Sortilèges et Enchantements, et celles de Botanique, celles d’Arithmancie et d’Histoire de la Magie, aussi. Bon, pour les Potions, c’est râpé. Tu devras te coltiner les Lions, Ollie » acheva-t-elle avec un brin de compassion - tout le monde savait que la plupart des élèves de Gryffondor étaient des brêles en matière de breuvages magiques, à moins qu’il ne s’agisse de Bièraubeurre.  « Deux heures ? Si seulement je pouvais échapper à Vance pendant ces deux heures-là… Je n’ai aucune envie de participer au cours de Soins aux Créatures ! » protesta-t-elle vainement.

Qu’elle le veuille ou non, Ethel participerait à ces leçons - et il valait mieux pour elle qu’elle en retire d’excellentes notes. Son père n’en attendait pas moins, ne faisant aucun mystère des objectifs que servait cette décision au sujet du programme scolaire de sa dernière fille. Il fallait tout savoir des animaux magiques, si l’on voulait pouvoir en exploiter les moindres propriétés - ou vendre au chaland ce qui ressemblait à des crins de licorne, mais qui n’était en réalité que des poils de moustache de Fléreur.

« Si tu as besoin d’aide pour les fiches de lecture… » proposa-t-elle, changeant rapidement de sujet - elle évitait beaucoup de sujets, la petite Filch, surtout lorsqu’ils concernaient son paternel.  « Carrément ! » glissa-t-elle, appuyant d’un geste des mains la proposition d’Ollie. Davantage de temps en bibliothèque, n’était-ce pas le rêve de tous les élèves ?

« Pour les clubs, ça n’est pas bien compliqué : il suffit de signaler ton envie de les rejoindre au professeur en charge, il devrait relayer l’information aux Préfets… Quoique » se reprit-elle,  « je serais toi, je passerais directement par les Préfets, parce que Slughorn est du genre distrait pour ces choses-là. » À vrai dire, pour tout ce qui ne concernait pas directement son petit club d’élèves favoris, Horace Slughorn semblait parfois suprêmement désintéressé. On aurait cru qu’il s’ennuyait d’être là, coincé dans un château écossais avec des élèves qui parfois - il fallait bien l’admettre - avaient autant d’affinité pour les potions qu’un troupeau de Scroutts à Pétard n’en avait pour la danse classique.

Alors que les fillettes discutaient, un tintement de cristal interrompit leurs gesticulations au même titre que les conversations environnantes. Le silence se fit, et le Directeur Dippet se leva de sa cathèdre. Ses longs cheveux grisonnants flottaient de son chapeau - dont le rebord de fourrure avait toujours questionné Ethel, le Directeur était-il donc frileux des esgourdes ? - jusqu’à ses épaules couvertes d’une épaisse tunique bordeaux. Dippet entama un discours pompeux sur l’importance de l’éducation dans une vie, surtout lorsque les temps étaient troublés - passage qui rappela à la petite sorcière qu’au-dehors, une guerre faisait rage. Un conflit qui préoccupait avant tout les Moldus, mais les sans-magie avaient apparemment développé un impressionnant arsenal capable de causer des dégâts que même la magie ne savait réparer. À treize ans tout juste accomplis, cependant, de tels soucis ne savaient occuper les esprits bien longtemps - et le Directeur lui-même finit par alléger le ton de son allocution, souhaitant la bienvenue et la bonne nuit à l’ensemble des élèves et du personnel.

Sur ces mots, des raclements de bois indiquèrent que l’on repoussait les bancs pour se rendre dans les dortoirs. Comme elle le faisait toujours, Ethel suivit le mouvement de ses condisciples et amies, espérant secrètement qu’Ollie leur suggérerait de prendre la fuite discrètement vers la tour d’Astronomie - elles avaient découvert un an auparavant que le soir de la rentrée était aussi celui où la vigilance des enseignants était relâchée, le concierge lui-même profitant de la docilité toute fraîche des élèves pour piquer son meilleur roupillon.

Avant qu’elle n’ait pu elle-même formuler la suggestion, toutefois, elle vit son chemin barré par un cinquième année à la mine patibulaire. Taillé comme une armoire à disparaître - et doté d’un charisme très similaire à celui d’un meuble inanimé - Vincent Burke la toisait de toute sa hauteur. « Filch. Mon père m’a dit que t’avais un truc pour moi » gronda-t-il - ou, plus exactement, tenta-t-il de gronder, sa voix le trahissant à la moitié de sa phrase. Il n’avait pas tout à fait terminé de muer, et le résultat était un caquètement ravissant qui eut le malheur de faire naître un incompressible éclat de rire dans la gorge d’Ethel. « J’ai dit un truc drôle ? » s’enquit l’armoire à glace, entraînant immédiatement une dénégation gesticulée de la part d’une Ethel terrifiée. Burke était l’un de ces types vicieux qu’il valait mieux ne pas fâcher, sous peine de se retrouver victime d’un maléfice particulièrement sournois - et particulièrement indétectable par le corps professoral. « Ben quoi, filth, t’as perdu ta langue ? Allez, file-moi le machin, qu’on en finisse. J’ai autre chose à faire que de traîner avec des saletés dans ton genre. »

« Je ne suis pas une saleté » marmonna le scorpion, dont la peur cédait progressivement la place à une colère trop longtemps réprimée. « J’ai pas bien entendu… T’as dit un truc, saleté ? » « J’ai dit : je ne suis pas une saleté. Et j’ai rien pour toi, alors… »

À ces derniers mots, tout le corps d’Ethel sembla soudain se resserrer. Sa propre gorge l’étranglait, sa langue se collait à son palais, et l’entièreté de ses muscles se contractait dans une crampe aussi horrible qu’inattendue.

« Ben qu’est-ce qui t’arrive, Filch ? Eh, les autres » beugla Burke, attirant l’attention d’une grappe de quatrième et de cinquième années qui s’attardait dans le Grand Hall, « je crois que Filch se sent pas bien… Il est sans doute temps de passer le balai, pour éliminer les saletés dans son genre avant que l’année ne commence vraiment » lâcha-t-il d’un ton faussement désinvolte, son effet quelque peu gâché par sa voix de fausset.

Mais Ethel n’avait plus du tout envie de rire. Elle parvenait à respirer, mais ce n’était que de justesse, et devait lutter contre son corps tout entier, en particulier son visage, dont les traits ne semblaient pas vouloir bouger d’un iota. Que lui arrivait-il ? Dans la besace, sa main était elle aussi serrée, poing solidement fermé autour de l’objet de contrebande attendu par Burke, qui déjà s’éloignait sans plus s’en préoccuper…

défi hebdomadaire
utiliser la particularité d’un personnage à son désavantage

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Jezabel Rosier
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particularité physique : le mutisme sur le bout de la langue, tare de naissance, honte familiale, couplée à l'hétérochromie de ses yeux (bleu&vert), tatouage de la pègre (retourneur de temps) en gravure costale droite.
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(#) Re: most often unseen (jez & ollie) ●
05.05.24 21:30
A storm arrives at the exact second when a girl learns she’ll never be free.
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L’amitié, dès lors qu’elle est parfaitement entretenue et préservée de tout indésirable, peut s’avérer être une plante merveilleuse, plus belle encore qu’un tournesol chantant sous les rayons du soleil, ou qu’un magnolia bleu de lune. Jezabel pouvait s’estimer heureuse d’avoir trouvé des amies telles qu’Ethel Filch et Olivia Fletcher. Heureuse, et extrêmement chanceuse : lorsqu’elle était montée dans le Poudlard Express la première fois, elle n’aurait jamais pensé pouvoir nouer une amitié aussi rapidement. Si elle se devait même d’être honnête envers elle-même, une fois le train quitté, le lac noir traversé et la cérémonie de répartition passée… Elle n’aurait finalement guère été étonnée qu’Olivia demeure avec ses camarades de maison, et qu’Ethel se trouve d’autres amis autrement plus intéressants qu’elle. Pourtant, Ethel l’avait entrainée dans un dortoir, déclarant par ce simple geste qu’elles allaient demeurer ensemble – au moins pour les sept prochaines années – et Olivia n’avait de cesse de les rejoindre le plus régulièrement possible, que ce soit durant les heures de cours mais aussi en dehors. Et si la Gamp s’en était intimement étonnée, elle avait fini par se convaincre que la destinée en avait terminé de se moquer d’elle, et qu’elle avait trouvé de véritables amies – plus encore lorsque ces dernières s’étaient montrées désireuses d’apprendre le langage des signes pour pouvoir communiquer avec elle, ce qui pouvait presque s’apparenter à cette époque, comme un langage secret n’appartenant qu’à elles. Il y avait pourtant bien une ombre à ce tableau : il n’y avait pas une journée ne débutant sans que la jeune sorcière muette ne s’attende à ce qu’une de ses deux camarades ne se détourne d’elle, moquerie sur le bout de la langue et phrase assassine « Tu ne croyais tout de même pas que nous étions vraiment amies ? » Une PAPELARDISE dont elle le savait pertinemment, elle ne s’en remettrait pas, tant elle estimait leur amitié si précieuse. Chaque jour cependant, Ethel – même avec sa mine déconfite et épuisée d’avoir étudié jusque tard dans la nuit, la saluait avec ce même entrain habituel propre à une personne s’extirpant tout juste de son sommeil, et Olivia ne manquait pas de les rejoindre le plus rapidement possible. Dès lors, ses craintes – infondées – s’évanouissaient pour la journée, ne manquant pas de rappliquer pourtant au petit matin du lendemain. Aigreur d’estomac devenue coutumière, et ce, malgré le fait que sa grand-mère, durant les fêtes de fin d’années de sa toute première année à Poudlard, lui ait soufflé sur un ton rocailleux indue par la fumée d’une CHIBOUQUE dont elle était friande « Une Filch et une Fletcher ? Tu aurais pu te faire des relations parmi les plus grands noms, mais des gamines aussi mal-loties que ces deux-là feront de bien meilleures associées dans la vie. » Et la vieille Gamp savait de quoi elle parlait, un pied dans la tombe, et l’autre toujours dans les affaires de la Pègre Magique. Assurément, ces deux noms ne lui parlaient que trop bien. Certes, elle n’avait pas employé le mot « amies », ALINOR GAMP ne croyait pas en l’amitié, qu’elle jugeait trop versatile, mais le terme « associées » était sans conteste ce qui s’en approchait le plus. Le regard presque étincelant de malice de la vieille femme avait presque réussi à convaincre Jezabel. Mais elle pouvait se targuer d’une chose : sa grand-mère approuvait son choix d’amies, et ce n’était pas chose aisée que de lui faire accepter ce genre de chose : elle avait tendance à se méfier de tout et surtout de tout le monde. Trop de trahisons certainement au cours de sa longue existence.

Toujours était-il qu’une nouvelle année débutait, et que l’amitié s’avérait toujours intacte, comme au premier jour, mais avec des variations dues aux journées passées ensembles : les trois malicieuses avaient appris à se connaître, à dénoter les changements d’humeur de chacune, et Jezabel espérait vraiment que cette année encore, les cours communs avec Serpentard seraient suffisamment nombreux pour qu’elles puissent y participer ensemble. Ethel, bien plus organisée – quoi que Jezabel pouvait bien se défendre sur ce sujet – vint extirper l’emploi du temps reçu avec la liste des affaires scolaires. Comme de coutume depuis deux ans maintenant, elle avait d’ores et déjà dénoté tout ce qu’il était indispensable à savoir. Glissant son menton de nouveau sur la paume de sa main gauche, la Gamp eut un sourire amusé, mais pas moins entendu sous les signes de sa camarade de maison et dortoir. Évidemment qu’elle avait déjà repéré les cours communs, quand elle-même s’était plutôt préoccupée de constater les heures de cours en plus. Deux heures nécessaires à son instruction de la magie avancée. Se redressant, elle hocha la tête non sans tourner cette dernière vers Olivia, avant de signer de nouveau. « Pas spécifiquement sur les sortilèges informulés. Je crois qu’il s’agit des livres de cours des quatrième année, pour que je sois au niveau pour la rentrée prochaine. » Si tôt ? C’était en réalité plutôt habituel depuis ses dix ans : elle devait s’entrainer avec de l’avance sur les sortilèges de l’année suivante pour être au même niveau que ses camarades. Jeter un sort peut s’avérer facile pour quiconque peut prononcer une formule, mais elle, même en bougeant les lèvres… Rien ne sortirait de sa baguette. Évidemment, croire que tout le monde peut lancer un sortilège informulé serait aussi ridicule : il faut une volonté ferme pour se permettre de jeter un sort sans même ouvrir la bouche. De la volonté, et l’entrainement adéquat pour ce faire. Il ne faisait aucun doute que bien des membres de la famille Gamp, à commencer par ses parents, pensaient que Jezabel ne ferait jamais une excellente sorcière. Médiocre certainement, et certains avaient même tendance à l’imaginer cracmole : quitte à développer des tares, jamais deux sans trois ? Seule sa grand-mère paternelle se faisait alliée dans la cour des mécréants, veillant à ce qu’elle étudie avec brio pour prouver à tous ces « crétins de troll des rivières » (existe-t-il vraiment une différence avec ceux des montagnes ?) qu’ils avaient torts. Et elle le faisait quotidiennement. Certes, tous ses essais informulés n’étaient pas concluants, mais elle était capable néanmoins d’utiliser les sorts les plus communs au quotidien. « Je ne suis pas contre les fiches récapitulatives et l’entrainement. » Et du travail d’apprentissage en plus ? Merlin, elle en avait bien besoin. Tant sur les cours de cette année à venir, que les devoirs en plus. Elle se devait de fournir plus d’efforts, raison pour laquelle elle ne pouvait rejoindre aucun club. Pourtant, elle aurait certainement apprécié de rejoindre celui des échecs sorciers ou même d’astronomie. Les duels étaient évidemment exclus, même si elle appréciait d’y assister. Les temps d’oisiveté ou pour FOLÂTRER hélas, n’étaient pas pour elle. Elle ne pouvait se le permettre, certainement pas au risque de donner raison aux membres de sa famille qui ne croyaient pas en elle.

Rictus mi-figue mi-raisin, tandis qu’elle observe Ethel, dont la mine s’était naturellement assombrie sous l’évocation du cours de Soins aux Créatures Magiques, l’un des rares qu’elle semblait ne pas apprécier. « Tu veux que je m’occupe des fiches de notes pour ce cours ? » Signa-t-elle en retour. Un rendu pour service rendu, c’était bien le moins que l’on puisse faire. « J’ai feuilleté le manuel de cette année, on devrait normalement étudier les licornes, les hippogriphes et les sombrals en “grosses“ créatures. On ne sera pas nombreux à voir les troisièmes je le crains. » Chevaux ailés oniriques, association sépulcrale à laquelle nul ne voulait être confronté. Attrapant son verre de jus de citrouille, elle s’en accorda une, puis une seconde gorgée – il n’y avait vraiment qu’à Poudlard que l’on trouvait le meilleur jus de citrouille – avant de signer de nouveau. « Je compte sur vous deux pour me faire des résumés de ce que vous apprenez en club. » Une vie scolaire par procuration, toujours mieux que rien, c’est un maigre réconfort, mais un bout de chocogrenouille tout de même. Délaissant un instant la conversation – car il faut bien avouer que les inscriptions aux clubs ne sont malheureusement pas pour elle – elle se concentre sur son repas, joue de gourmandise de par le regard dans un premier temps : il y a beaucoup de victuailles sur la table, et suffisamment de quoi contenter son estomac et assouvir la curiosité de son palais. Entre tarte à la citrouille, pomme de terre sautées au beurre à l’ail, ailes de poulet ou boulettes épicées… le choix semble bien difficile. La réflexion ne manque pas d’instaurer une mimique songeuse sur son faciès, alors que finalement, elle se laisse tenter par les divers mets, garni son assiette d’un peu de tout, sans jamais tout mélanger pour autant. C’est une expérience qu’elle tentera d’elle-même à mesure de ses coups de fourchettes. À côté d’elle, son camarade de maison semble en faire tout autant, jetant parfois un regard en direction du trio, sans doute plus incommodé par la présence de la serpentard à la table des bronze et argent que par la conversation en signes qu’il ne peut vraiment espionner. Froncement de sourcils de la part de la petite sorcière, que déjà le troisième année s’en retourne à son assiette, oreilles écarlates sans doute de s’être fait prendre en pleine observation.

Première fourchette plantée, et déjà, la saveur semble envahir ses papilles, le beurre des pommes de terre venant fondre sur sa langue. Rien à voir avec les repas servi dans la demeure Gamp. L’elfe de maison de la famille était bien plus doué dans le ménage et le rangement qu’en cuisine, bien que nul n’ait jamais eu à se plaindre de son service. Mais aussi bon soit-il, les elfes de Poudlard s’en sortaient bien mieux. Elle pouvait presque sentir la fraicheur du beurre, le temps mis pour le battre, l’herbe de qualité mâchonnée par les vaches et les fleurs aromatiques. Saveur inégalée, que le croustillant de la peau du poulet venait rehausser. Il fallait évidemment prendre le temps de savourer, et non s’empiffrer comme s’il s’agissait du dernier repas de toute une vie, et dès lors, il était possible de ressentir le moindre ingrédient, sa provenance, sa transformation jusqu’à la dégustation. Quel hédoniste culinaire ne saurait apprécier dès lors une si douce cuisine ? Plaisir coupable sur le visage de la fillette, qui ne manque pas de mélanger les mets entre eux pour en extirper toutes les subtilités. Combien de temps dura ce manège ? Celui de terminer toute son assiette, ou fut-il interrompu par Dippet, le directeur actuel qui tenait à faire son discours de rentrée ? Un discours pourtant bien grave, en comparaison aux années précédentes, mais qui ne pouvait réellement toucher les jeunes sorciers, préservés du monde des sans-magie. Toutefois, ce n’était pas sans rappeler un tout autre conflit qui lui, faisait rage dans tous les pays sans exception, divisant les sorciers : celui mené par Gellert Grindelwald et son furieux adage « for the greater good ». Plus d’une fois elle avait entendu les membres de sa famille en parler entre eux. Se disputer serait le mot le plus adéquat en réalité. Elle… elle se contentait tout bonnement de suivre les informations par le biais de la gazette, mais certainement pas d’en débattre : le conflit était tout bonnement assuré. Repoussant l’assiette de tarte à la mélasse qu’elle s’était gardée pour le dessert, elle eut un léger soupir de contentement avant de suivre l’exemple de ses camarades, ramassant son sac par la même occasion. Il y avait à l’intérieur plus d’un trésor, mais celui-ci était surtout constitué de pièces en chocolat plutôt que d’or. Si elle visait juste, les trois comparses esquiveraient l’heure du coucher sitôt le mot de passe obtenu pour rejoindre leur salle commune.

Projet à mener à terme, mais que déjà un lourdaud de Serpentard venait repousser. Quel était son nom déjà ? Burke. Adolescent boutonneux aux cheveux gras qui n’avait dans la tête pas mieux qu’un pois chiche pour cerveau. Le genre de brute à peine capable d’aligner trois mots correctement, mais capable de faire parler ses poings. Le genre de personne que Jezabel détestait plus que cordialement. Et elle n’aimait décidemment pas ce qu’elle entendait, son irritant pour son ouïe délicate, l’incitant à farfouiller un instant son sac. Nul ne lui prêtait jamais attention, c’était l’avantage de son mutisme couplé à sa discrétion naturelle. Extirpant l’un des cadeaux de son cousin Priam, elle eut une prière de remerciement mutique pour ce dernier : fidèle client de chez Zonko, il ne se lassait pas de dépenser quelques gallions pour des farces et attrapes, souvent bien douteuses, sans jamais oublier d’en faire cadeau à Jezabel, affirmant sans détour qu’un jour… elle pourrait en avoir besoin. Nombre de ces attrapes avaient terminées leur course dans une boite sous son lit, mais cette fois… Merlin soit loué pour la prévenance de Priam, l’une d’elle allait pouvoir servir : petite araignée ensorcelée, dont le poil contenait un poil à gratter plutôt virulent. Profitant que nul ne faisait attention à elle, elle eut l’audace d’attendre qu’il se tourne pour la déposer sur son épaule, la laissant faire son travail. Il passerait une bien mauvaise nuit, assurément. Maigre vengeance, mais nul n’avait le droit de s’en prendre à son amie aussi impunément. Amie qui, une fois qu’elle eut de nouveau tourné son visage vers elle, ne semblait plus dans son assiette. Attrapant son poignet pour la rassurer – parce qu’elle estimait sans doute qu’elle en avait besoin – elle lâcha pourtant rapidement sa main pour pouvoir signer à son attention « Est-ce que tout va bien ? »


DÉFI RP placer les mots papelardise, chibouque, folâtrer
2368 mots

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