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democracy dies in darkness (julian) |
hiboux : 199
pseudo : foxie
faciès & dot : Cate Blanchett (unbrokenresurrection)
doublon(s) : Mona ▸ Mycroft ▸ Ethel ▸ Saoirse ▸ Agnes ▸ Adam
gallions : 1378 pronoms : she-her (elle)
décade : 55 ans
labeur : présidente du Magenmagot, juge estimée et collègue respectée, troisième figure du monde magique - en toute modestie, évidemment.
alter ego : Lydia Webster, avocate pour la firme locale Wesson & Mackenzie
sang : née-moldue, ascendance en source de fierté mais aussi de douleur pour la sorcière que ses parents n'ont jamais réellement encouragée
don : bouclier dressé autour d'un esprit dont il faut protéger les secrets, expertise dans le domaine de l'occlumancie acquise au fil des anset d'une pratique assidue
myocarde : mariée à l'unique amour de sa vie, le psychomage Oliver Umbridge
allegeance : alliée tacite des Passeurs, mais loyale au Magenmagot avant tout
particularité physique : porte parfois des lunettes à monture écaille de tortue
gif feuille :
golden snitch
le.a speedy gonzales du rp.
serial voteur.se
mordu.e des top-sites.
prix rp
adepte des pavés.
dedoublator
posséder 5+ multi.
animation
a participé au trick or treat 3.0
floodeur
100 messages postés.
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avoir posté 5 rps.
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1 an sur le forum.
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participation aux tc.
| ( #) democracy dies in darkness (julian) ● 09.08.24 23:09 |
| ● ● ● you have nothing to fear if you have nothing to hide ● ● ● temporalité du rp : août 1955 personnages concernés : @Julian Skeeter & @Helen Umbridgetrigger warnings : aucun pour l’instantintervention autorisée du mj : [ ] oui [x] non autre(s) : / IN FOR THE KILL - 2021-2022 JEUX 2024 TEAM SOMBRAL |
| hiboux : 199
pseudo : foxie
faciès & dot : Cate Blanchett (unbrokenresurrection)
doublon(s) : Mona ▸ Mycroft ▸ Ethel ▸ Saoirse ▸ Agnes ▸ Adam
gallions : 1378 pronoms : she-her (elle)
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labeur : présidente du Magenmagot, juge estimée et collègue respectée, troisième figure du monde magique - en toute modestie, évidemment.
alter ego : Lydia Webster, avocate pour la firme locale Wesson & Mackenzie
sang : née-moldue, ascendance en source de fierté mais aussi de douleur pour la sorcière que ses parents n'ont jamais réellement encouragée
don : bouclier dressé autour d'un esprit dont il faut protéger les secrets, expertise dans le domaine de l'occlumancie acquise au fil des anset d'une pratique assidue
myocarde : mariée à l'unique amour de sa vie, le psychomage Oliver Umbridge
allegeance : alliée tacite des Passeurs, mais loyale au Magenmagot avant tout
particularité physique : porte parfois des lunettes à monture écaille de tortue
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| ( #) Re: democracy dies in darkness (julian) ● 09.08.24 23:10 |
| Mentir sous serment est un crime mais on n’a jamais envoyé personne en prison pour avoir laissé une rumeur se propager D EMOCRACY DIES IN DARKNESS « Ah. C’est vous qu’ils ont envoyé. »
On avait déjà vu mieux comme accueil. Beaucoup mieux, même. Seulement voilà, pour cet interlocuteur-là, Helen Umbridge n’avait pas la moindre intention de pratiquer le rond de jambe. La langue de bois, passerait encore, puisque les circonstances l’y obligeaient. Mais les plaisanteries pouvaient aller voir dans un autre pays si elles s’y trouvaient : en ce qui concernait Julian Skeeter, la magistrate avait perdu toute envie d’être plus que polie.
Que l’on ne s’y méprenne pas : elle avait pour la profession journalistique tout le respect dû au quatrième pouvoir. La presse était nécessaire, essentielle, vitale à tout régime politique qui se voulait un tant soit peu démocratique. Les journalistes, lorsqu’ils venaient s’enquérir auprès d’elle des ragots ministériels, avaient en réalité à cœur de saisir au plus près le fonctionnement des rouages du système. Lorsqu’ils publiaient des articles, que ceux-ci soient favorables à ses prises de position ou non, ils informaient le public. Et seul un public correctement informé pouvait voter en son âme et conscience.
Seulement voilà, Julian Skeeter n’était pas un journaliste. Il n’en méritait ni le titre ni les émoluments, et si Helen avait eu le caractère nécessaire à la poursuite de vendettas hautement personnelles, il était certain que le scribouillard se serait retrouvé à la porte de son enseigne en moins de temps qu’il n’en fallait pour dire bibidi-bobidi-bou. Mais non, la magistrate s’était montrée raisonnable. Résignée aurait été plus proche de la vérité. Certes, l’écrivaillon avait cru bon de baver un article en double page décrivant en détails - des détails complètement, horriblement fallacieux et faux, évidemment, mais comment aurait-elle pu le prouver ? - la vie personnelle de la Présidente du Magenmagot. Certes, il avait refusé toute rétractation lorsqu’elle lui avait personnellement écrit pour l’implorer. Mais elle considérait l’incident clos, et refusait que les accusations ridicules selon lesquelles son mari et elle-même avaient choisi de placer leurs carrières avant la fondation de leur famille soient à nouveau répétées dans l’espace public - fût-il celui d’un procès en diffamation.
L’incident était donc bel et bien clos. Et pourtant, il était au-dessus de ses forces de sourire à l’individu que sa secrétaire introduisait à présent dans le bureau qu’elle occupait seule, au second niveau des entrailles ministérielles. Tout au plus parvint-elle à lui signaler de prendre place dans le moins confortable des deux fauteuils opposés au sien, de l’autre côté du bureau en bois de cèdre verni. La même boiserie dont était faite sa baguette magique contenant un unique crin de licorne, cette dernière ornant le bureau depuis un petit repose-baguette fort utile au demeurant.
La blonde s’assit de l’autre côté du meuble massif, avant de prendre enfin le temps de quelques politesses basiques. « Monsieur Skeeter. Vos instruments de travail sont-ils prêts ? J’aime autant vous prévenir, j’ai bien vu votre camarade dans le couloir, mais je n’ai malheureusement pas le temps de me prêter à une séance de photographie. Vous trouverez sûrement d’autres personnalités qui accepteront d’étaler leurs visages en Une de la Gazette du Sorcier, toutefois, je ne me fais aucun souci à ce sujet. »
Merlin tout-puissant... Il était rare de la voir aussi hargneuse. D’ordinaire, Helen était la bonté et la grandeur d’âme incarnée. Et si elle pouvait paraître intimidante, exigeante au point d’en être maniaque, et quelques autres qualificatifs un poil moins aimables, elle n’était pas… comme cela. Il fallait qu’ils envoient Skeeter, regretta-t-elle silencieusement. Ils auraient pu envoyer n’importe qui d’autre, mais il fallait que ce soit lui, évidemment. La simple présence de cet homme suffisait à lui hérisser les poils de la nuque, et elle réalisa que sa mâchoire menaçait sérieusement d’imploser sous la force de la crispation à laquelle elle forçait ses muscles. Aussi prit-elle une profonde inspiration, relevant ses barrières mentales d’occlumens exercée - on n’était jamais trop prudente -en même temps qu’elle relevait la paire de lunettes à monture en écaille jusqu’à ce que cette dernière soit en équilibre parfait sur l’arête de son nez. Elle était prête.
« Bien. Entrons directement dans le vif du sujet » - et pas de voulez-vous, aucune question rhétorique. Les questions viendraient après, quand elle laisserait au gratte-papier le temps de rassembler ses pensées.
« J’ai préparé un communiqué, bien sûr, mais j’ai pensé que vos supérieurs apprécieraient l’opportunité d’une entrevue, afin que nos concitoyens puissent se considérer pleinement informés de ce qu’il se passe au sein de leur Ministère. »
Elle laissa le silence reprendre un temps ses droits, scrutant le visage de Skeeter comme si elle s’apprêtait à en dresser un portrait de mémoire. À quoi s’attendait-il ? Depuis des mois, la rumeur enflait que la magistrate avait des vues sur le poste suprême : des rumeurs qu’elle désapprouvait fermement, et corrigeait dès qu’elle les entendait murmurées sur son passage, bien sûr. Mais bien malin qui aurait su dire ce que renfermait le secret de son cœur… Même elle, en vérité, n’était pas tout à fait certaine de la réponse, et ce pour une multiplicité de raisons contraires et contrariantes. Il y avait son estime pour la Ministre actuelle, son ancienne élève - tout comme Skeeter, d’ailleurs. Il y avait leurs nombreuses divergences d’opinion. Il y avait leurs collègues masculins, tous persuadés que leur séant serait mieux assis s’il était perché sur le siège ministériel, et - pour la plupart - perclus des pires préjugés concernant la suprématie du sang. Il y avait son époux, dont les absences de plus en plus répétées lorsqu’elle rentrait au domicile conjugal lui indiquaient qu’elle pouvait s’absenter en retour, à moins qu’Oliver ne cherche justement à souligner que son épouse lui manquait ? Autant de motifs qui pesaient plus ou moins lourdement dans la balance de cette question jamais ouvertement posée. Et à laquelle elle ne comptait pas répondre aujourd’hui.
« J’aurais préféré garder ceci le plus confidentiel possible, pour la sécurité de toutes les personnes impliquées. Mais il s’avère que le secret professionnel n’est plus ce qu’il était, et que trop d’indiscrétions circulent déjà. »
Il avait suffi d’une seule, à vrai dire. Par quel mystère l’information avait fuité, Helen n’en avait pas le début d’une idée, mais le fait était là. Carrow savait ce qu’elle avait désespérément cherché à tenir celé, ce qui ne lui laissait pas d’autre choix que de sortir du bois. Ne pas le faire aurait été laisser la porte ouverte à d’autres tentatives d’intimidation - et si la magistrate se savait assez solide pour tenir bon contre vents et marées, elle ne pouvait décemment en demander autant de tous ses subalternes. Elle pensait à la jeune Dolores, bien sûr, mais aussi à Demelza Scamander et Lorna Prewett, qui l’avaient aidée à construire le dossier, et même aux Aurors qu’elle avait chargé d’enquêter. Elle avait accepté cette charge, cet office presque plus politique que juridique ; ils et elles n’en avaient pas fait de même. C’étaient des fonctionnaires, qu’elle devait par conséquent protéger de toute inférence externe à leur travail.
« Mon département a ouvert une enquête officielle sur le dossier Khabarov » finit-elle par lâcher, avant de remonter d’un imperceptible fragment de millimètre ses lunettes à monture en écaille. « Bien sûr, le dossier était déjà en cours de traitement. Toutefois, au vu de la situation pour le moins chaotique que traverse notre communauté, nous avons jugé » - j’ai estimé aurait été plus proche de la vérité, mais Helen se permit cette largesse, puisqu’elle parlait au nom de son service, à défaut de parler au nom du Ministère tout entier - « qu’il était plus que temps de faire toute la clarté sur cette affaire. »
La blonde souleva ensuite un sourcil élégant, signalant au scribouillard que s’il souhaitait poser quelques questions pour diriger la suite de l’entrevue, c’était l’instant approprié.
MADE BY @ICEANDFIRE / IN FOR THE KILL › 2021-2022 JEUX 2024 TEAM SOMBRAL |
| hiboux : 117
pseudo : WonderCat
faciès & dot : Andrew Scott (Barbe-Noire)
doublon(s) : Antonin ♦ Julian ♦ Primrose ♦ Diana ♦ Malcolm
gallions : 1159 pronoms : He/him
décade : 46 ans
labeur : Journaliste/bitch profesionnelle
alter ego : Mitchum Jones
sang : Sang-mêlé. Cette obsession de certaines familles pour la pureté du sang est totalement idiote à ses yeux. Moldus, sorciers, cracmols... tous ont leurs petits secrets qui ne demandent qu'à être dévoilés et il s'avère que ceux de ses grandes familles au sang-pur sont beaucoup plus croustillants que les autres. Il n'y a rien de plus jouissif que de voir ces mines hautaines perdre de leur superbe devant une liaison ou un détournement de fond révélé.
myocarde : Marié depuis de longues années à Cynthia Skeeter. Un amour sincère les unis malgré quelques incartades de Julian. Incartades professionnelles comme il les appelle, quand le scoop mérite une nuit passée entre d'autres draps que les siens. Le couple a attendu de longues années avant de pouvoir devenir parents d'une magnifique petite Rita. Petit trésor de son père, princesse chérie à qui il ne peut rien refuser.
gif feuille :
serial voteur.se
mordu.e des top-sites.
prix rp
adepte des pavés.
dedoublator
posséder 3 multi.
animation
a participé au trick or treat 3.0
floodeur
100 messages postés.
ancienneté
2 ans sur le forum.
| ( #) Re: democracy dies in darkness (julian) ● 22.08.24 17:53 |
| Mentir sous serment est un crime mais on n’a jamais envoyé personne en prison pour avoir laissé une rumeur se propager D EMOCRACY DIES IN DARKNESS « Bien entendu, qui d’autre très chère ? »
Qui d’autre aurait été apte à mener cette interview mis à part le grand Julian Skeeter ? Bon il devait l’avouer, le journaliste n’avait laissé le choix à personne, que ce soit à ses collègues ou à son rédacteur en chef pour obtenir l’exclusivité d’une entrevue avec la présidente du Mangenmagot et personne n’y avait trouvé à redire non plus. Voler à un Skeeter l’opportunité d’un scoop et d’un grand article, c’était comme s’en prendre à la reine d’un essaim de guêpes, complémentent stupide et dangereux.
Sourire aux lèvres, il ne pouvait masquer sa joie ni se défaire de cette insolence qui caractérisait les membres de sa famille et ce malgré l’air revêche et rebuté qu’Helen Umbridge lui adressait. Il fallait dire que les relations entre eux n’étaient pas au beau fixe et Julian savait qu’il avait sa part de responsabilité là-dedans : un article écrit quelques années plus tôt, aux mots savamment choisis avaient provoqué l’ire de la présidente. La vérité faisait mal, toujours mais pour cette fois là, Julian devait avouer qu’il n’avait pas été de main morte et qu’il s’en était pris à un très gros poisson, du genre brochet et les retombées avaient été assez douloureuses mais pas fatales.
Il avait donc là l’occasion de se racheter – et de faire briller son image au passage – et la tâche n’allait pas être facile : en matière de rancune et de ténacité, les femmes surpassaient les hommes : Mona, Cynthia et même Rita en étaient les preuves vivantes et Helen Umbridge ne dérogeait pas à la règle. Prenant place dans un fauteuil au confort relativement bas – où était passé le budget alloué à l’ameublement du ministère par Merlin ? – il entreprit de sortir son matériel journalistique : parchemin, calepins, encre, crayons, plume à papote et bien entendu sa baguette magique avec la même précision qu’un potionniste étalant ses instruments au fond d’un cachot humide.
« C’est fort dommage, les lecteurs apprécient toujours de pouvoir observer les visages des noms qu’ils lisent, enfin si vous y tenez tant je ne vais pas insister. »
D’ordinaire Julian se montrait plus insistant mais il devait brosser la présidente dans le sens du poil. Tad Cooper resterait dans le couloir comme une âme en peine, à moins que cette sauterelle de photographe ne trouve un quelconque employé pour lui tenir compagnie, il ne s’en faisait pas pour lui.
La plume à papote bleu canard se redressa sur le parchemin, semblant tendre l’oreille à l’annonce du début de l’entretient. Julian quant à lui ressentait une effervescence digne de celle d’un stade lors d’un grand match de Quidditch. Pour le moment Helen Umbridge ne lui communiquait que des informations dont il était déjà en possession ou qu’il avait déjà devinées. Dites m’en plus. Mais rien ne servait de presser, déjà parce qu’il aurait été imprudent de le faire et qu’en cet instant, Julian avait l’impression de se retrouver des années en arrière, sur les bancs de Poudlard, époque bénie où Helen Umbridge était son enseignante de défense contre les forces du mal.
« Les gens n’ont plus que le nom de Khabarov à la bouche, voilà qui devraient assouvir leur curiosité, tout ce qu’ils savent c’est qu’il est détenu à Azkaban, ce qui est assez une information assez peu juteuse. Oh bien sûr la conférence de presse de madame la Ministre a contenté une bonne partie de la population pendant un instant, mais ce n’est suffisant comme vous devez vous en douter. Alors pour commencer, il est de notoriété publique que monsieur Vadim Khabarov était lié à un certain Tom Riddle, des mesures ont-elles été prises concernant cet individu ? »
Si Khabarov avait été l’exécuteur, il paraissait évident pour certains que le dénommé Riddle avait été l’instigateur.
« La population s’inquiète à propos de sa sécurité et elle souhaiterait être rassurée quand à ceux qui pourraient représenter une menace pour elle, nous n’avons plus aucune nouvelle depuis l’emprisonnement de Khabarov. »
La plume à papote dansait sur le parchemin, Julian aurait pu jurer qu’elle jubilait autant que lui. De son côté le journaliste prenait des notes, apposant dans son calepin de futurs commentaires personnels aux réponses qu’Helen Umbridge lui fournirait incessamment sous peu.
MADE BY @ICEANDFIRE / IN FOR THE KILL › 2021-2022 I’m miss sugar pink liquor, liquor lips I’m gonna be your bubblegum bitch ©️crackintime- IFTK awards 2023:
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| | ( #) Re: democracy dies in darkness (julian) ● |
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| democracy dies in darkness (julian) |
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