IN FOR
THE KILL

RPG HP && the village


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PÉRIODE DE JEU:
Septembre 1955
GODRIC'S HOLLOW ● Dans l’ombre, un texte commence à circuler dans les différentes communautés magiques, lu lors de soirées mondaines, traduits dans une dizaine de langue, le pamphlet, extrémiste, fait assez parler de lui pour être reproduit par les journaux ou lu sur les ondes de nombreuses radios afin d’en commenter ou critiquer le contenu. L’illégalité de leur organisation ne semble nullement avoir empêché les Mangemorts de diffuser leurs idéaux. (lire le pamphlet)
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ce jour d’été.
passeur: be kind & just ●
Ronald Abbott
passeur: be kind & just
Ronald Abbott
feuille de personnage

Feuille de personnage
RELATIONS:
INVENTAIRE:
ACQUISITION:
WANDS
KNIVES
SOUL
hiboux : 39
pseudo : roi de pique, marine.
faciès & dot : anson mount — littlewildling.
doublon(s) : jules la princesse, tuthur l’endive et edith la pimbêche.
gallions : 259
ce jour d’été.  Bd2d288cc591d2713787d597660c9032b6ace047
pronoms : masculins.
décade : quarante-six ans.
labeur : autrefois auror puis garde du corps au service de la ministre de la magie, il a été envoyé à l’étranger suite aux évènements de la st godric comme punition, désormais de retour, il a démissionné pour trouver un emploi temporairement comme vendeur de pâtisserie chez madame guillotine.
alter ego : edgar usher, librement inspiré de l’œuvre et de l’auteur.
storytime : en cours ;;
dollyenidagathadolly/le gendre

sang : sang-pur, souhait de son père de maintenir la pureté sur le blason, lui-même a épousé jadis une sang-pure, mais ceci est un hasard, car l’homme est persuadé que le sang ne fait pas le sorcier, bien au contraire.
don : animagus déclaré, il est capable depuis plusieurs années de se transformer en lièvre.
myocarde : cœur malmené par la vie et par ses épreuves, veuf depuis le décès tragique de son épouse, il a eu une relation avec une certaine ministre de la magie avant d’y mettre un terme, depuis son retour, il se concentre sur autre chose et a décidé de cloisonner l’organe.
allegeance : engagé dans la lutte contre les mangemorts, il lutte auprès des passeurs depuis son retour et a rejoint la branche chêne pour mettre ses compétences au service d’autrui.
particularité physique : une barbe et des longs cheveux qu’il a laissé pousser durant son séjour en europe de l’est, des cicatrices ici et là, notamment une visible au bras gauche, souvenir d’un maléfice qui l’a frappé jadis, mais surtout, le dos partiellement brûlé, blessure datant de l’époque où il traquait le mage noir grindelwald.
gif feuille : ce jour d’été.  D8e0370eaf2ff979b509a3a304de692135a03dc9

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(#) ce jour d’été. ●
05.08.24 19:40
● ● ●
you have nothing to fear
À PROPOS
DE CE SUJET
if you have nothing to hide
● ● ●
temporalité du rp : mi-août de l’année 1955.
personnages concernés : @Dolores Abbott  et son papa ours, Ronald Abbott.
trigger warnings : pas pour le moment.
intervention autorisée du mj : [ ] oui [x] non
autre(s) : (. . .)

IN FOR THE KILL - 2021-2022




family, duty and honor.


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Ronald Abbott
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pronoms : masculins.
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labeur : autrefois auror puis garde du corps au service de la ministre de la magie, il a été envoyé à l’étranger suite aux évènements de la st godric comme punition, désormais de retour, il a démissionné pour trouver un emploi temporairement comme vendeur de pâtisserie chez madame guillotine.
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sang : sang-pur, souhait de son père de maintenir la pureté sur le blason, lui-même a épousé jadis une sang-pure, mais ceci est un hasard, car l’homme est persuadé que le sang ne fait pas le sorcier, bien au contraire.
don : animagus déclaré, il est capable depuis plusieurs années de se transformer en lièvre.
myocarde : cœur malmené par la vie et par ses épreuves, veuf depuis le décès tragique de son épouse, il a eu une relation avec une certaine ministre de la magie avant d’y mettre un terme, depuis son retour, il se concentre sur autre chose et a décidé de cloisonner l’organe.
allegeance : engagé dans la lutte contre les mangemorts, il lutte auprès des passeurs depuis son retour et a rejoint la branche chêne pour mettre ses compétences au service d’autrui.
particularité physique : une barbe et des longs cheveux qu’il a laissé pousser durant son séjour en europe de l’est, des cicatrices ici et là, notamment une visible au bras gauche, souvenir d’un maléfice qui l’a frappé jadis, mais surtout, le dos partiellement brûlé, blessure datant de l’époque où il traquait le mage noir grindelwald.
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(#) Re: ce jour d’été. ●
05.08.24 19:47
tout père doit protéger sa fille comme les épines protègent la rose.
C

E JOUR
D’ÉTÉ


Le voyage est long. Il ne s’écoule pas en quelques heures, mais bien en jours. Des jours que Ronald arpente les différents sentiers, grimpe dans des trains et dort dans des auberges au hasard, se mêlant à la masse des étranges moldus. Oh, il n’a rien contre eux, bien au contraire, mais force est de constater qu’il y a des choses qu’il ne comprend pas chez eux. Où est l’intérêt de de développer un réseau ferroviaire quand les trains partent toujours ou presque en retard ? Chez les sorciers, cela n’existe pas, mais apparement, la France moldue excelle dans cette discipline. Car oui, c’est bien par la France que Ronald Abbott compte rejoindre sa patrie, l’Angleterre. C’est à Ouistreham qu’il embarque pour le ferry et qu’il se découvre relativement sensible au mal de mer. Il grogne, il rage et vide une fiole de potion pour l’empêcher de vomir son dîner par dessus bord. Pourquoi s’infliger cela par Merlin ? Lui qui est un sorcier, il lui suffit de faire une demande auprès du ministère anglais pour obtenir un portoloin légal et arriver directement chez lui. Notons qu’il peut même le faire illégalement, mais Ronald n’aime guère enfreindre les règles, par principe, il est à cheval vis-à-vis de cela. Sauf que non. L’auror de jadis se refuse à prévenir le ministère, ni même à transplaner pour arriver soudainement sur les terres anglaises. Entêté et allongeant son voyage de plusieurs jours, lui qui, dès fin juillet, aurait pu être chez lui aux côtés de sa famille et surtout, de sa très chère fille, préfère voyager ainsi. En effet, il ne souhaite guère prévenir quiconque au ministère de la magie, entrant presque incognito chez lui. Bien sûr, il sait Ronald, qu’il ne le restera pas longtemps et il n’y tient pas. Sitôt qu’il mettra un pied en Angleterre, il compte bien envoyer un courrier destiné au département de la justice magique pour annoncer sans détour sa démission.
À bien y penser, cela lui serre le cœur. Son insigne déjà rendue jadis, il a toujours été estimé là-bas, il a toujours eu une place d’honneur, lui, le héros comme certains le considèrent. Mais de héros, le voici désormais déchu. L’exil forcé pèse lourd sur sa conscience et le vieux bougre a la rancune tenace. Il ne pardonne pas. Les poings serrés, il a ruminé pendant des semaines cette sanction qu’il juge aujourd’hui encore, profondément injuste. Du ministère, il ne veut plus rien avoir en commun. Et pour Ronald Abbott, s’en détacher purement et simplement est la meilleure solution. Parfois, il faut trancher net ses attaches, même si les racines sont profondes disait sa mère et elle avait bien raison. Ce n’est pourtant pas le fort de Ron, de trancher les liens. Au contraire, le sorcier a plutôt tendance à les conserver, lui qui a le changement en horreur, lui, un peu trop rigide sur les bords. Il a même essayé encore avec Mary, il a voulu y croire, mais il s’est convaincu lui-même que cette relation était vouée à l’échec. Ce n’est pas la faute de la ministre, c’est simplement ainsi que les choses doivent être. Fatalité comme prétexte pour mettre un terme à une liaison secrète, Ronald ne souhaite pas croiser le chemin de la sorcière actuellement. Il serait mal à l’aise, dépité et même honteux, car cet exil a joué avec lui, ressassant en boucle les évènements qui ont conduit à cette sanction. La St Godric qui tourne au drame, cette peur viscérale de perdre sa fille, la dispute avec Mary car il l’a simplement et purement abandonné. Entre la famille, l’honneur et le devoir, Ronald a fait son choix. Et puis, une autre querelle avec sa fille, son choix justement. Et dans les yeux de celle-ci, le reflet de sa mère. Victoria, toujours quelque part à l’intérieur, profondément ancrée, attachée à l’âme.
Aucun doute, démissionner est la seule solution pour repartir à zéro, si tenter que cela soit vraiment possible. Car malgré la distance, l’éloignement même physique, les souvenirs vont persister. Ronald le sait. Voici son combat au quotidien, lui, hanté par de multiples fantômes.

Quand le ferry termine sa traversée, l’homme se laisse emporter par la foule pour sortir du navire. Il inspire profondément l’air marin de Portsmouth avant de reprendre son chemin. Il lui faut plusieurs heures pour rejoindre Londres où il se repose le temps d’une nuit. Pour cette fois ci, le sorcier opte pour la célèbre auberge du Chaudron Baveur où il demande une chambre. Cette-dernière n’est guère spacieuse, mais elle suffit. Il réclame un hibou au gérant qui lui indique qu’il dispose de trois rapaces dont une chouette. Ronald choisit la chouette hulotte, mauvais choix. Elle pince fort et Ronald jure entre ses dents avant d’accrocher en grognant la lettre à la patte du volatile qui prend son envol. Il ne se retourne pas sur la chouette, ne la regarde même pas s’envoler dans le paysage londonien car il sait Ronald, qu’un seul mot, un sortilège d’attraction et il peut récupérer l’enveloppe contenant sa lettre de démission. Il n’en fait rien et rejoint son lit sans manger ce soir-là. L’appétit n’y est pas, car malgré tout, dire adieu au ministère reste un profond déchirement.
Le lendemain, il ne fait pas encore jour quand il se lève. Après une douche, il s’observe dans le miroir. Quand l’homme a quitté le pays au printemps dernier, il avait une petite barbe poivre et sel. Celle-ci est désormais bien plus fournie, mais le changement le plus surprenant reste ses cheveux qui retombent désormais sur ses épaules. Au départ, cette nouvelle apparence devait simplement l’aider à infiltrer un cartel spécialisé dans le braconnage du côté de la Transylvanie, mais Ronald se satisfait de cette nouvelle apparence. On le reconnaît moins facilement déjà, il est persuadé que le gérant du pub pense réellement qu’il s’appelle Edgar Usher d’ailleurs et puis, cela va de paire avec son envie de tout recommencer, d’avoir une nouvelle vie qu’il veut consacrer à sa famille et à leur protection. Par tous les moyens, il est déterminé à protéger ce qu’il a de plus cher. L’honneur, le devoir, le tout, pour la famille et non plus pour une cause qui ne semble plus faire écho pour lui.

C’est par le premier train du matin que le vieux bougre arrive à Godric’s Hollow. Il ne fait encore chaud, mais le sorcier se contente d’une simple chemise grise anthracite sous ses bretelles et laisse sa veste dans son sac. Un sac qui apparaît très léger, mais la magie fait le reste pour contenir ses affaires. Rapidement, il prend le chemin des quartiers sorciers et retrouve ses marques. Il reconnaît Mandrake Alley. Il est facile de penser que rien n’a changé, mais en réalité, c’est tout l’inverse. Les numéros des maisons et des appartements s’enchaînent. Ronald accélère le pas inconsciemment. Sa fille n’est plus qu’à quelques pas. Elle ignore que son père rentre, car de cela, Ronald n’a touché mot à personne. Pas même à son petit frère Thomas. Tous le pensent encore à l’étranger, soumis à une sanction disproportionnée. Comment peut-on reprocher à un père d’avoir choisi son enfant à son rôle de bouclier lige ? Il n’arrive pas à comprendre et ne cherche même plus à essayer. Il a suffisamment ruminé entre ses dents, ronger un os dont il ne reste que des miettes. Désormais, il retrouve les siens. Il est chez lui.
Ronald arrive enfin et il s’arrête devant la porte. Dolores doit sans doute dormir. On est dimanche après tout, elle ne travaille pas et puis… Il est encore très tôt, à peine sept heures, quelque chose comme ça. Le père doit avouer qu’il n’a pas réfléchi à la suite. Dans tous les scénarios possibles qu’il a imaginé avant de monter dans le ferry - sur le ferry, la concentration était surtout ciblée sur le fait de ne pas vomir - il s’est dit qu’il frapperait simplement et qu’il dirait à sa fille quelque chose comme, « bonjour, ma chérie » ou encore « papa est rentré ! » mais maintenant qu’il est là, il veut aller plus loin. Il veut rentrer chez lui, chez eux et préparer le petit déjeuner pour Dolores. Quand elle était petite, il adorait préparer le petit déjeuner avec sa fille. Ronald aime cuisiner et encore plus quand c’est avec elle. C’était une sorte de rituel dont le temps a eu raison. Il est temps de reprendre le contrôle des choses, non ? Alors Ronald use d’un sortilège pour faire sauter le verrou et entre à pas de loup. Il laisse son sac dans l’entrée, retire ses chaussures et se rend dans la cuisine. Ses yeux remarquent que certaines choses ont changé. De nouvelles affaires, bibelots et compagnie sont posés ici et là et Ron n’a pas le souvenir de les avoir déjà vu. Dolores a-t-elle refait la décoration ? On trouve notamment une paire de lunettes sur le meuble d’entrée qui n’appartient à personne ? Avec un livre d’un auteur français, les Misérables. Depuis quand sa fille lit Victor Hugo ? Mais Ronald ne touche à rien et décide de rester concentrer sur sa mission, la cuisine.

Ainsi, il s’affaire rapidement après s’être lavé les mains en essayant de faire le moins de bruits possible. Les manches retroussées, il commence à faire griller les toasts, non sans en avoir dévoré un. Son estomac vide depuis hier soir réclame sa pitance lui aussi. Dans les étagères au dessus du plan de travail, Ronald cherche sa fameuse marmelade d’orange, mais trouve à la place de la confiture à la fraise. Cela fera l’affaire. Il décide ensuite de préparer des œufs à la coque et espère qu’il trouvera du bacon ou des saucisses pour accompagner le tout.
Dans sa tête, tout se bouscule. Il se demande comment sa fille va réagir. A-t-elle lu la lettre qu’il avait déposé sur le meuble de l’entrée avant son départ ? Lui en veut-elle encore ? Va-t-elle lui dire qu’il a besoin d’aller chez le coiffeur et vite ? Et elle, surtout elle, comment va-t-elle ? Elle a forcément changé, elle n’a pu que s’embellir, ressembler un peu plus à sa formidable mère. À cette pensée, un sourire s’étire sur les lèvres de l’homme, tellement perdu dans ses pensées, tellement heureux, le cœur en émoi d’être enfin chez lui, enfin de retour, qu’il n’est guère discret et fait plus de bruit qu’il ne devrait, de quoi réveiller une princesse qui dort à l’étage ou, rectification, qui dormait.  

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Dolores Abbott
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gallions : 2008
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pronoms : elle
décade : le glas de ses dix-neuf ans vient de sonner, entre une adolescence perdue et l'âge adulte qui lui ouvre les bras
labeur : fraîchement diplômée, elle est assistante parjurante depuis quelques mois au Magenmagot
alter ego : Nicole Desplat
sang : sang pur, bien que ça n'ait pas la moindre importance à ses yeux
myocarde : le coeur accroché et offert à un doux géant
allegeance : elle est entrée il y a peu chez les passeurs, branche aubépine
particularité physique : une cicatrice sur la tempe droite, due à une malheureuse rencontre avec un cognard lors de son tout premier match de quidditch
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(#) Re: ce jour d’été. ●
16.08.24 22:34
Old as she was, she still missed her daddy sometimes.
C

E JOUR
D’ÉTÉ


Les mots, ça pouvait être aussi douloureux que les gestes. Plus parfois. Et ceux d’un ami, lorsqu’ils étaient particulièrement tranchants, c’était pire que tout. Ecrits, plus encore, parce que ça voulait dire qu’il y avait réfléchi à ces mots là, surtout alors qu’il avait mis tant de temps à lui répondre. Et voilà qu’elle en avait reçu de nouveaux. La lettre d’Arthur, elle ne l’avait même pas lue en entier. Le premier paragraphe seul avait suffi à la mettre hors d’elle. Il croyait vraiment qu’elle avait la moindre envie de lire en long en large et en travers ses exploits sur le terrain de Quidditch ? Frustrée, énervée, elle avait froissée la feuille de parchemin avant de la jeter. Le truc c’est que maintenant, quelques jours plus tard, ça la travaillait: est-ce qu’elle avait bien fait ? Est-ce qu’elle aurait dû lire jusqu’au bout ? La lettre était longue après tout, peut-être que ça disait autre chose. Peut-être qu’elle devait se montrer mature et lui donner une chance.
Et puis non, pourquoi ce serait à elle de faire un effort d’abord ? D’accord, c’est vrai, elle avait envoyé une beuglante mais ce qu’il avait dit dans sa lettre c’était bien pire ! En plus son attitude faisait de la peine à Adam, elle n’était pas idiote, elle le voyait bien. Alors rien que pour ça, il ne méritait pas deux minutes de son temps. S’il voulait lui dire quelque chose, il n’avait qu’à venir frapper à sa porte, il savait très bien où elle habitait !

Il n’empêche que ça la travaillait, au point qu’elle s'agaçait seule, se tournant et se retournant sous ses couvertures. Cette lettre là, elle n’en avait pas encore parlé à Adam et elle n’était pas sûre que ce soit une si bonne idée. Si elle aimait tout lui dire, elle n’avait pas envie d’ajouter une couche supplémentaire à la tension qui régnait entre les jumeaux, d’autant plus qu’il n’y avait rien à dire sur cette fichue missive qu’elle n’avait même pas lue.

Ruminer pouvait demander une certaine énergie et après avoir été maintenue éveillée un peu trop tard, la petite brune finit par s’endormir profondément.

Du moins, pas assez profondément pour ne pas être éveillée par un bruit inhabituel. Si au début elle résista, persuadée que tout ceci ne pouvait être que dans son rêve, elle finit par être arrachée bien malgré elle aux bras de Morphée. A côté d’elle, les deux Boursouflets avaient commencé à s’agiter, signe qu’il y avait bel et bien quelque chose d’anormal. Demeurant silencieuse, elle tendit l’oreille pour être sûre et en eut bien vite le coeur net. Elle savait que ça ne pouvait pas être Jules, la princesse était avec Tasha et il aurait été impensable de la voir s’extirper plus tôt que prévue des bras de la rousse.

Alors quoi ?

La réponse lui vint naturellement: ça devait être une de ces Guêpes écarlates, les fans d’Arthur. Ou même plusieurs d’ailleurs, qui devaient avoir trouvé le moyen de s’introduire chez elle. Alors ça, c’était un peu fort ! Elle avait cru en être débarrassée, les courriers avaient fini par cesser, tout comme les articles. Forcément, à ne pas se parler, Dolly et l’Attrapeur ne leur avaient plus rien donné à se mettre sous la dent. Elle s’était crue tranquille et avait totalement cessé d’y penser, mais apparemment elle avait crié victoire trop vite. Et cette fois-ci, hors de question de se laisser faire ! Les lettres ou les colis malveillants c’était une chose, mais entrer comme ça chez elle au petit matin, elle ne l’accepterait pas, oh ça non ! D’ailleurs il lui semblait que son père avait mis en place quelques sécurités magiques avant de partir, comment ces filles avaient-elles fait pour passer au-delà ? Peu importait, ce qui comptait à présent était de les chasser d’ici.

D’un doigt apposé sur ses lèvres, elle fit signe à Marple et Poirot de rester silencieux. Elle s’extirpa lentement de son lit et saisit sa baguette posée sur sa table de chevet. Elle s’avança avec précaution, ouvrant la porte aussi doucement que possible pour éviter de la faire grincer. Puis elle évolua à pas de loups dans le couloir, le coeur palpitant. Le bruit ne venait pas du salon comme elle l’avait cru, mais de la cuisine. Parfait, autrement dit elles seraient coincées. Rêvait-elle ou pouvait-elle percevoir le son des placards qu’on ouvre et qu’on ferme ? Et même des odeurs qui d’ordinaire lui auraient mis l’eau à la bouche ? Ces pestes étaient en train de se servir dans SA cuisine ! Il n’en fallait pas plus pour que la jeune Abbott se trouve remontée comme un coucou. Pointant sa baguette devant elle, elle déboula dans la pièce d’un seul coup. « Sortez de chez… »

Pour s’arrêter aussitôt.

Parce que ce n’était pas une bande de filles qui se trouvait devant elle mais un homme, un seul, à la haute stature, les cheveux longs et la barbe fournie, si bien qu’elle faillit ne pas le reconnaitre.

Faillit seulement. Parce que sa silhouette en réalité, elle l’aurait reconnue entre mille. Il n’y en avait qu’un comme lui.

Au début, elle resta totalement interdite, figée sur place. Sa baguette lui échappa des mains pour venir s’échouer sur le carrelage et elle ne s’en rendit même pas compte. Tout ça était si soudain que pendant quelques secondes, rien ne voulut s’imprimer dans la tête de la môme qui n’en était plus vraiment une. Les yeux écarquillés, elle crut un instant être en train de rêver. Mais non, ce n’était pas un rêve et quand elle s’en rendit compte elle ne perdit pas une minute de plus.
« Papa ! » Qu’il était doux ce mot là, il coulait sous la langue et la remplissait d’une chaleur réconfortante. Il lui avait manqué, elle ne l’avait plus prononcé depuis des semaines, ce mot là qui avait toujours fait partie de sa vie. Joignant le geste à la parole, elle fondit sur lui, se jeta dans ses bras alors que ses yeux se remplissaient de larmes sous le coup d’une brusque émotion. Elle retrouvait sa présence, son odeur familière et là elle était sûre qu’elle ne rêvait pas, qu’il était vraiment là.

« J’avais peur que tu reviennes jamais… » qu’elle confessa d’une petite voix en se blottissant contre lui, comme quand elle était petite et qu’il était celui capable de tout réparer quand quelque chose n’allait pas. Bientôt, elle reprendrait ses esprits, peut-être même qu’elle le réprimanderait pour ne l’avoir pas prévenue qu’il était sain et sauf sur le chemin du retour. Mais pour le moment, elle n’y pensait même pas, alors que le soulagement s’insinuait peu à peu en elle, que la peur qui l’avait souvent tenaillée ces derniers temps disparaissait.

Il était de retour, et c’était tout ce qui comptait.

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sang : sang-pur, souhait de son père de maintenir la pureté sur le blason, lui-même a épousé jadis une sang-pure, mais ceci est un hasard, car l’homme est persuadé que le sang ne fait pas le sorcier, bien au contraire.
don : animagus déclaré, il est capable depuis plusieurs années de se transformer en lièvre.
myocarde : cœur malmené par la vie et par ses épreuves, veuf depuis le décès tragique de son épouse, il a eu une relation avec une certaine ministre de la magie avant d’y mettre un terme, depuis son retour, il se concentre sur autre chose et a décidé de cloisonner l’organe.
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E JOUR
D’ÉTÉ


Il ne trouve pas sa marmelade d’orange préférée. Même si Ronald a opté pour une confiture de fraises, ça le dérange. Alors il cherche, il fouine, bouge un peu tout dans les placards, en vain. Sourcils froncés, il bougonne dans sa barbe avant de se baisser pour chercher dans les placards des meubles du bas. Rien du tout, non plus. Ce qui frappe l’homme, c’est que certaines choses n’ont pas changé de place. Toujours au même endroit, toujours là, comme si le temps ne s’était pas écoulé. Mais à l’inverse, d’autres nouvelles choses, des nouveaux couverts, de nouveaux torchons remplacent les anciens. Alors si, envers et contre tout, le temps a passé. Cela lui provoque un petit pincement au cœur et Ronald, même s’il est bien de retour, sait que le temps perdu ne se rattrapera jamais. Des mois finalement, ce n’est rien dans une vie, à peine quelques grains de sable dans le sablier, mais des mois loin des siens, c’est trop. Un soupir en refermant le tiroir avant de se relever et … — Aïe ! Il a oublié de refermer le tiroir du haut et il s’est cogné le haut du crâne dans un bruit qui semble trahir sa présence.
Et Ronald peste, jure dans sa tête, mille vulgarités contre cette étagère qui l’a, sans aucun doute, agressé à cet instant précis. Une main sur l’endroit où il s’est cogné, il frotte comme si cela pouvait apaiser la douleur qui vient marteler sa tête. Et dans celle-ci, retour en enfance. La voix de sa mère se fait entendre, comme un lointain écho dans le brouillard « Ne frotte pas, Rony, c’est un cadeau ! » Drôle de cadeau se dit-il avant de fermer comme il faut le placard.

Un soupir. Il devrait se passer de marmelade. Le pot était quand même gros et il doute que Dolly ait tout mangé toute seule. D’autant que Ronald aime la marmelade d’orange très amère, avec les grosses écorces d’orange dedans. L’amertume donne un goût incroyable à la préparation et il rêvait de s’en faire un toast. C’est son pêché mignon. La chose qu’il peut manger à n’importe quelle heure de la journée, surtout si cela accompagne une tasse de thé. Victoria n’a jamais compris ce penchant excessif pour la marmelade, préférant le sucré voir le salé à l’amertume. Ronald lui, trouvait dans cette saveur, toute une richesse insoupçonnée. Et encore une fois, cela lui rappel combien il a été absent. Suffisamment longtemps pour qu’on oublie d’acheter un nouveau pot, ce qu’il fera dès demain d’ailleurs. Un nouveau soupir avant d’abandonner la partie. L’ancien auror est conscient qu’il faudra quelques temps pour que la cicatrice invisible provoquée par cet exil forcé, bannissement ô combien injuste, ne guérisse et qu’il cesse de regarder en arrière pour se concentrer sur l’avenir.
Mais Ronald n’a jamais été un homme très patient. Nouveau grognement pour manifester son mécontentement avant d’en revenir au reste du petit déjeuner.
Les œufs ont terminé de cuir. Rapidement, Ronald les sort de la casserole à l’aide de sa baguette, les faisant léviter et les passe sous un filet d’eau froide pour couper la cuisson avant de les placer sur les coquetiers. Il en revient ensuite à la poêle où les saucisses cuisent. Cela lui donne l’eau à la bouche. Tout s’accorde presque en même temps, symphonie parfaite des ustensiles quand le grille-pain fait sauter les toasts et que Ronald termine par le meilleur, toujours pour la fin, le thé. Dos à l’entrée de la pièce, l’homme prend son temps pour observer les différents thés qui se trouvent dans les boîtes. Il les sent, reconnaît à l’odeur un classique Earl Grey à la bergamote. Le second thé tire plus sur le Daarjeling pense Ronald. Il va sentir le troisième quand un son attire son oreille. L’homme n’est plus auror depuis longtemps, mais il y a des choses que même le temps ne saurait vous prendre. Les sens et les réflexes, tout cela reste en alerte, la vigilante est constante quand on a passé autant d’années dans le circuit. Alors, Ron sait qu’il n’est pas seul. Que quelqu’un approche et il repose doucement les boîtes à thé avant de saisir sa baguette, se concentre sur les bruits de pas. Ils sont infimes, délicats. Comme si on marchait sur du velours, non. Comme si on ne souhaitait pas être entendu. Sa fille faisait souvent ça quand elle était petite, quand elle essayait de sortir de sa chambre après le couvre-feu. Aussi espiègle que sa mère, la princesse.
Alors il sait, Ron. Il sait qu’il n’aura pas besoin de sa baguette, mais de toutes ses forces pour ne pas verser une larme, vieux papa ours, face à son enfant. Cependant, il ne se retourne pas, il reste volontairement de dos le temps de son arrivée. Car chez Ron, il reste cette appréhension. Ce souvenir encore douloureux de leur dispute et de lui, quittant la maison. Je reviendrai vite. Il n’a pas su tenir sa promesse, il l’a laissé là, il n’a pas eu le choix, parce qu’il l’a choisi justement. Parce qu’il la choisira toujours. Elle est sa vie et son sang, elle est sa plus belle victoire et Ron ne croit pas être encore près à la céder à un autre homme, ou à quiconque quand un jour, elle lui dira que ça y est, elle a trouvé l’amour elle aussi. Entre sourire attendrissant et mélancolique, il se perd dans ses souvenirs, dans ses pensées, si bien que le sorcier perd le fil et c’est son ouïe toujours aussi vive qui le ramène à la réalité. Le son d’une baguette qui touche le sol, résonne en plusieurs notes sur le carrelage et Ronald se retourne enfin. Il veut parler, ouvrir la bouche, dire quelque chose comme je suis là, je suis rentré, je ne pars plus, mais il ne dit rien. Il ne dit rien, le père, car Dolores vient contre lui, se blottir dans ses bras et il n’y a rien à dire à cet instant.

Et la mécanique reprend vie. Le cœur semble de nouveau fonctionner correctement, car depuis plusieurs mois, il tournait à l’envers, il n’était pas bien centré, quelque chose n’allait pas. Bien sûr, évidemment, sa fille était si loin de lui. Mais ce n’est plus le cas et Ron inspire, ferme un instant les yeux et répond à l’étreinte que Dolores lui donne. Oh, comme il lui semble loin, si loin, le temps de l’orage et des disputes, le temps de cette porte qui claque au petit jour pour partir à l’étranger, trop loin du foyer. Ronald le sait, sa fille est la clef de voûte de toute sa cathédrale intérieure, elle est la pièce maîtresse et sans elle, quelque chose n’allait pas. Sans elle, il n’est plus qu’un homme bourru, mais avec elle, il est un père, accomplissement d’un tout.
Il l’entend parler, il relève un peu la tête, mais la garde encore dans ses bras. Tant pis si les toasts refroidissent et si les saucisses brûlent un peu trop sur le feu, tout ceci est finalement dérisoire face à l’instant présent. — Tu le pensais vraiment ? Un petit rire dans la barbe. Il ajoute — Voyons, ma puce, jamais je ne t’aurai abandonné. Et cette fois, c’est lui qui resserre l’étreinte, la garde un peu encore, l’espace d’un instant, dans ses bras. Mais ce que Ron ne dit pas, c’est que plus d’une fois, il a bien cru qu’il n’allait pas y arriver, qu’il n’allait jamais pouvoir rentrer tellement la mission qu’on lui a imposé l’a entraîné loin de chez lui. Un réseau vaste et tentaculaire de braconniers, s’infiltrer chez eux, se perdre dans une fausse identité et oublier qui on était avant, sous le masque, mais le sorcier ne l’a pas oublié, jamais car cette étincelle qui n’a jamais cessé de brûler à l’intérieur de lui, c’était elle, c’était sa fille.
— Je suis rentré pour de bon qu’il termine enfin. Conclusion qui finalement, vaut toutes les explications du monde, toutes les excuses et tous les regrets d’autrefois, toutes les disputes ne comptent plus, rien d’autre, que sa fille. Ce petit bout de femme qui chaque jour, devient plus femme que fille, mais dont les yeux brillent toujours du même éclat. Tu ressembles encore plus à ta mère, qu’il pense, mais dans ses bras, comme ça, il repart en arrière Ronald. Quand il lui tenait sa main, quand elle s’étonnait, du haut de ses quelques années, que sa main était si petite par rapport à celle de son père. Quand elle lui demandait d’apprendre à danser, pour faire comme les grands, comme papa et maman et qu’il la faisait danser sur ses pieds avant de la porter sur ses épaules. Alors, ça va aller maintenant, ma fille, je te le promets.

— J’ai préparé un bon petit déjeuner qu’il dit enfin après de longues minutes. Combien de temps a duré l’étreinte ? Ronald ne sait pas et il s’en manque. À dire vrai, il aimerait mettre sur pause le temps, mais cela n’est pas possible, comment le rattraper, alors le père veut vivre ces précieuses minutes pleinement, avec Dolores. Car préparer le petit déjeuner le dimanche matin, ça a toujours été le moment de Ronald, le moment qu’il préfère dans la semaine, car autour de l’assiette, il a sa fille rien que pour lui, il parle de tout et de rien avec elle, de ce qu’elle a fait durant sa semaine, de ses aventures, de ses rencontres, pas les garçons, pas encore ! Et ils rient ensemble, il l’admire, qu’elle est belle, oui, c’est la plus belle, n’est-ce pas ? Forcément et il profite de chaque instant, ô combien précieux. Alors ce petit déjeuner est comme avant, mais différent. C’est comme autrefois, mais en mieux, car tu es une femme à en devenir et du temps qui a passé, je veux tout savoir, mais surtout (…)
— Et j’aimerai savoir qui a mangé toute ma marmelade aussi…
On ne plaisante pas avec la marmelade de Ronald Abbott, par Merlin.  

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