passeur: be kind & just ● hiboux : 150
pseudo : rngrrckt (jess).
faciès & dot : felicity jones (av) ©bambieyestuff (sign) awona (gifs) summersgifs
gallions : 715 pronoms : elle, she, her
décade : ( trente-quatre ans )
labeur : ( auror )
alter ego : ( isobel carter )
sang : ( sang-pur )
don : ( animagus ) ( maudite )
myocarde : ( égaré ) épine d'une rose dans le marbre, pour autant que les choix ont tant brisé. ( amour éternel ) figé en cet héritier qu'elle chérit de tout son être.
allegeance : ( passeurs )
particularité physique : ( chapeaux tous plus exceptionnels )
gif feuille :
ancienneté
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floodeur
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| ( #) correspondances de augusta longbottom ● 01.05.24 16:29 |
| ● ● ● you have nothing to fear if you have nothing to hide ● ● ● ● mes correspondances: ici se trouve ma volière personnelle. veuillez envoyer lettres à cette adresse. CODE DE LETTRE - Code:
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<center><div class="mod1"><div class="mod2"><div class="mod5"><div class="mod11">● ● ●</div><div class="mod9">you have nothing to <j>fear</j></div></div><div class="mod6"><div class="mod3">une <j>lettre</j></div></div><div class="mod4"><div class="mod10">if you have <j>nothing</j> to hide</div><div class="mod12">● ● ●</div></div></div><div class="mod7">Le contenu de la lettre à ajouter ici.</div><div class="mod8">IN FOR THE KILL - 2021</div></div></center> IN FOR THE KILL - 2021 This is what happens when you listen to the voices of the underworld. |
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mob: bang, bang u're dead ● hiboux : 822
pseudo : datnavy (sarah).
faciès & dot : charlie hunnam. / ava (delirium), gifs (mars, r. rocket).
doublon(s) : keir, charles.
gallions : 1417 pronoms : he/him.
décade : (trente-huit) années soupirées, hivers burinant le derme, entaillant la pierre, visage éreinté, carcasse devenue trop lourde à traîner.
labeur : (croupier) golden dragon casino, repère de ses déboires, antre malodorante de sa débauche, geôle dorée dans laquelle trafiquer ses méfaits ; aux yeux de tous il bat les cartes, sous la table il passe les faux gallions blanchis pour le compte de la pègre.
alter ego : tommy becker.
storytime :
› un air de déjà-vu (augusta).
› what was i made for (agnès).
› what about us (erhy). sang : (sang-pur) carmin immaculé, essence qu'il ne faut guère souiller, blason entaché de déshonneur, couronne d'épines arrachée au déshérité.
don : (occlumen)
myocarde : (en berne)
allegeance : (pègre)
particularité physique : (scars) trente-six lignes blanches gravées sur le derme, pour autant de temps passé dans les geôles putrides d'Azkaban. (tattoo) code barre traçant le numéro de matricule encré sous la carne, à la naissance du cou, au dessus de l'épaule droite.
gif feuille :
parrainage
méfaits accomplis.
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floodeur
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prix rp
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| ( #) Re: correspondances de augusta longbottom ● 01.05.24 16:57 |
| ● ● ● you have nothing to fear if you have nothing to hide ● ● ● MARS 1951 La missive est déposée devant le manoir Longbottom par un hibou rabougri et déplumé. L'enveloppe, frappé du sceau d'Azkaban, a été ouverte une première fois par le service de contrôle du courrier, avant d'être négligemment refermée avec du ruban adhésif. À l'intérieur, le parchemin a été froissé et déchiré - les lettres, d'un écriture penchée et pressée, sont cependant toujours lisibles
Augusta, mon amour, Voilà quelques semaines maintenant que j’ai été arraché à notre foyer et il me semble qu’une éternité a passé, comme si le temps se dilatait différemment. Je m’accroche à ces lettres, même si aucune d’elles ne semble t’être parvenue… La situation doit te paraître difficile, si ce n’est insurmontable, mais je t’en prie Augusta, tout cela n’est qu’un terrible malentendu. Si seulement tu trouvais la force de répondre à cette lettre, de venir me rendre visite, je pourrais tout t’expliquer. Laisse moi tout t’expliquer Augusta. Si tu savais comme tu me manques. Les souvenirs heureux nous échappent lentement, rendant nos carcasses coquilles vides de toute joie. Pourtant, lorsqu’arrive un peu de répit, je repense à toi, à cette façon que tu as de rire, à tes yeux qui pétillent de malice, aux frissons que ce simple son provoquait le long de l’échine. Je repense à l’odeur de ta peau, aux constellations qui s’y dessinent là où nul autre ne pourrait les voir. Je repense à la mélodie de ta voix, qui berce notre enfant, notre tout petit. Ces éclats de mémoires seront bientôt, eux aussi, cerclés de brouillard, à mesure que les barrières de l’esprit s’effriteront sous l’assaut de mes geôliers. Alors laisse moi te dire ô combien je t’aime Augusta, avant que le bonheur que me procurait notre amour ne me soit arraché à son tour. Tu es celle que je n’ai jamais attendue et qui pourtant a fait vaciller tout mon être. Tu es mon phare dans cette tempête, la lueur à laquelle s’accrocher pour ne pas succomber à l’obscurité. J’ignore de quoi sera fait demain, mais une certitude subsiste : lorsque lumière sera fait et que je serais libéré, je t’épouserais, comme nous nous l’étions promis. Je vous aime de tout mon coeur, toi et Frank. Je t’en conjure, écris moi. Emile. 307 mots IN FOR THE KILL - 2021 |
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