IN FOR
THE KILL

RPG HP && the village


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PÉRIODE DE JEU:
Juillet 1955
GODRIC'S HOLLOW ● Dans l’ombre, un texte commence à circuler dans les différentes communautés magiques, lu lors de soirées mondaines, traduits dans une dizaine de langue, le pamphlet, extrémiste, fait assez parler de lui pour être reproduit par les journaux ou lu sur les ondes de nombreuses radios afin d’en commenter ou critiquer le contenu. L’illégalité de leur organisation ne semble nullement avoir empêché les Mangemorts de diffuser leurs idéaux. (lire le pamphlet)
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now is the summer of our discontent (saturnine)
neutral: no mans land ●
Mycroft Fitzpatrick
neutral: no mans land
Mycroft Fitzpatrick
feuille de personnage

Feuille de personnage
RELATIONS:
INVENTAIRE:
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hiboux : 187
pseudo : foxie
faciès & dot : Benedict Cumberbatch (endless-love)
doublon(s) : Mona ▸ Isadora ▸ Ethel ▸ Helen ▸ Saoirse ▸ Solène ▸ Agnes ▸ Adam ▸ Ralph
gallions : 1025
now is the summer of our discontent (saturnine) Tumblr_inline_p93pgwsv571sj4qvu_500
pronoms : he/him (il)
décade : 46 ans
labeur : escroc reconverti en professeur de littérature
storytime : DIANARALEYGHMYCRONIN IIISATURNINE
sang : moldu, sang trop ordinaire que pour être intéressant
myocarde : homme seul, prétendant un veuvage imaginaire pour échapper aux commérages, le coeur battant pour un autre homme - passion illégale pour son temps, émois illicites et pourtant réciproques
allegeance : il ne prête serment qu'à lui-même, à la fois trop curieux et trop égoïste pour s'engager dans une quelconque cause ou organisation
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golden snitch
le.a speedy gonzales du rp.
serial voteur.se
mordu.e des top-sites.
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adepte des pavés.
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posséder 5+ multi.
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100 messages postés.
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a participé au trick or treat 3.0
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participation aux tc.
écrivain.e
avoir posté 10 rps.
à l'honneur
membre de la période.
crésus
1000 gallions.
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(#) now is the summer of our discontent (saturnine) ●
12.04.24 17:01
● ● ●
you have nothing to fear
À PROPOS
DE CE SUJET
if you have nothing to hide
● ● ●
temporalité du rp : le second lundi de juillet 1955
personnages concernés : Evangeline Harcourt & Mycroft Fitzpatrick
trigger warnings : aucun pour l'instant
intervention autorisée du mj : [] oui [x] non
autre(s) : /

IN FOR THE KILL - 2021-2022


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myocarde : homme seul, prétendant un veuvage imaginaire pour échapper aux commérages, le coeur battant pour un autre homme - passion illégale pour son temps, émois illicites et pourtant réciproques
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(#) Re: now is the summer of our discontent (saturnine) ●
12.04.24 17:03
Si vous avez des envies de meurtre, je vous recommande de vous abstenir, c’est très mauvais pour le moral.
T
HE SUMMER OF OUR DISCONTENT
Un jour, il quittera Godric’s Hollow et retournera à Oxford.
Ou peut-être même à Londres.
Mais ce jour n’est pas encore venu.

Un jour, il parviendra à dire non à Diana Brown.
Mais ce jour n’est pas encore venu.

Par contre, ce lundi, lui, est bel et bien arrivé. Après une semaine d’intenses préparations, le professeur d’anglais - qui est à ça, mais vraiment à ça, de démissionner : il faut juste qu’il trouve le courage de rédiger sa lettre et de la poster, en espérant ne pas croiser Miss Brown à l’épicerie du quartier, parce qu’il ne pourrait pas la regarder droit dans les yeux … - n’est pas peu fier du résultat de ses efforts. Le local qu’on lui a prêté est méconnaissable, et pour cause : il a transformé la salle de classe en un théâtre de poche, rideaux rouges et coulisses inclus. Collectant les brics et les brocs qui composent l’ensemble auprès de voisins visiblement surpris par cette soudaine envie de faire partie de la communauté, Mycroft s’est démené pendant les quelques jours qui ont suivi la cérémonie de remise des diplômes. Il croit d’ailleurs s’être coincé un ou deux muscles, ou peut-être sont-ils juste froissés ? À moins qu’ils ne soient ni l’un ni l’autre, simplement rouillés par le manque d’entretien du littéraire, qui n’a guère de temps à accorder à l’exercice physique.

L’exercice théâtral, par contre, relève davantage de ses compétences - et est bien mieux à même d’attirer son intérêt. C’est d’ailleurs à cause de cet intérêt non dissimulé qu’il se retrouve ici, coincé dans le charmant village de Godric’s Hollow alors même qu’il s’était promis de reprendre la route vers des cieux académiquement plus cléments - et surtout plus gratifiants. Diana lui a fait part de son désarroi à l’idée que les jeunes gens du coin ne disposent d’aucun événement culturel susceptible de les occuper pendant les mois d’été. Et l’ancien escroc, au lieu de réaliser le piège qu’on lui tendait, a sauté à pieds joints sur l’occasion de monter une pièce de Shakespeare pour la population locale. A-t-il remarqué le sourire discret mais bien réel de sa jeune collègue ? Si on lui demande, il prétendra que non. Qu’il s’est fait avoir comme un bleu, et que l’institutrice lui devra une fière chandelle s’il parvient à mener à bien ce projet qui n’est pas le sien.

Pourtant, lorsqu’on y regarde de plus près, on peut voir l’ombre d’un sourire traverser son visage désormais barbu. Il faut un peu chercher, car le Fitzpatrick a lui-même fait partie de ces thespiens que l’on trouve partout à Oxford. Il sait composer un masque d’indifférence ennuyée, mais si on y regarde bien… Oui, c’est une étincelle nouvelle qui luit au fond de ses yeux clairs. Une pièce de Shakespeare, enfin ! Il semblerait qu’il soit parvenu à amener ce symbole fort de la culture anglaise jusqu’aux Cornouailles, et le Londonien n’est pas peu fier. Armé de trois bouts de ficelle et d’une caisse de livres qui ont vu des jours meilleurs - toutes les éditions de ses pièces favorites, du moins toutes celles qu’il est parvenu à emprunter à la bibliothèque locale - il débarque dans la salle de classe transformée avec l’aisance des conquérants.

Sauf que… Sauf que le local est déjà occupé. Sur la scène - des tables attachées ensemble, la surface obtenue traîtreusement inégale - une femme se pavane, la mine passant par toutes les émotions en l’espace d’un instant. Et le bruit de la porte qui s’ouvre, poussée par un Mycroft ahanant sous le poids du carton plein de livres, ne suffit pas à la tirer de ses exertions scéniques - à moins qu’elle n’ait que faire de ce spectateur inattendu. Ce qui permet au professeur de l’observer déclamer une tirade sans queue ni tête - un espèce de mélange de citations du Barde, mélangées et entrecoupées en une sorte de minestrone verbal sans grande saveur - avant de s’effondrer soudain, une main collée au front comme si la chaleur de ce mois de juillet l’avait soudainement frappée façon massue.

Il faut un instant au professeur pour comprendre ce qu’il se passe, et un moment de plus pour laisser tomber la caisse qu’il porte - et qui manque de lui écrabouiller les pieds - avant de se précipiter vers la scène. « Hum… Madame ? Miss ? » tente-t-il, tapotant l’épaule de la blonde - dont les traits lui évoquent vaguement quelqu’un, mais qui ? - dans un vain effort pour la sortir des vapes dans lesquelles elle semble plongée. « Mademoiselle ? Réveillez-vous, je vous en prie ! » implore-t-il, tapotant les joues de l’évanouie. Il doit s’agir de l’aide que l’institutrice lui a promise - dans ses souvenirs, elle avait mentionné une dame au passé d’actrice, et Mycroft avait imaginé une retraitée un peu loufoque mais cultivée, pas cette espèce de donzelle au maquillage visiblement surfait qui a eu le culot de venir s’étaler sur sa scène… Que va dire Diana si elle apprend qu’il a laissé une jeune femme se blesser ainsi ? Et que faire, dans une telle situation ? En bon lecteur, il pense immédiatement à lui faire respirer des sels - sauf qu’il n’est pas un personnage de Jane Austen, et ne se promène pas les poches pleines de sel de mer, pour peu qu’il s’agisse de ce type de sel, il n’a jamais compris l’allusion. Ou alors…

Non.

Tout mais pas… ça.

Pas le bouche-à-bouche !


« MISS ! RÉ-VEI-LLEZ-VOUS ! » beugle-t-il, collant une gifle décidée à l’endormie - qui, il ne l’a pas aperçu, vient d’ouvrir un œil malicieux.

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Saturnine Trelawney
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pseudo : pollypocket (cy)
faciès & dot : Jodie Comer (smmggallery)
doublon(s) : dolores & paulina
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pronoms : elle
décade : 32 yo
labeur : Ancienne actrice à Hollywood, pique-assiette professionnelle
alter ego : Evangeline Harcourt
sang : Mêlé
don : Hurle pour les morts, Banshee
myocarde : Volage, papillonnant pour oublier l'être disparue depuis trop longtemps
allegeance : Seule sa personne compte, et aussi un peu sa famille même si elle ne l'avouera jamais
particularité physique : Elle est parfaite, tout simplement
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(#) Re: now is the summer of our discontent (saturnine) ●
23.04.24 14:23
We're actors — we're the opposite of people!
T
HE SUMMER OF OUR DISCONTENT
Comment j’en suis arrivée là, je ne saurais pas vraiment l’expliquer. J’étais pourtant pas emballée par la proposition, et puis sans savoir comment, j’ai fini par accepter. Difficile à croire, mais Diana est peut-être encore plus douée que moi pour convaincre les gens d’aller dans son sens. Je sais même pas comment elle a fait, mais ça a fini par me sembler une pas si mauvaise idée, finalement. Bon, je ne suis pas particulièrement friande des enfants, surtout quand il y en a beaucoup, mais ils peuvent être mignons quand ils veulent. Et puis comme l’a dit Di, c’est une bonne cause et s’il y a bien une chose qui m’anime, c’est aider les autres. Ma générosité n’est de toute façon plus à prouver. A la réflexion, c’est vraiment une bonne action: imaginez la chance qu’ils ont d’avoir une véritable célébrité sous leurs yeux ébahis ! Et qui sait, peut-être qu’un agent passera par là, constatera mon indéniable talent et me proposera à nouveau du travail. C’est que niveau argent ça commence à être compliqué et j’ai pas envie de rester indéfiniment dans ce trou perdu.

Mais assez parlé de moi, c’est à ces pauvres enfants que je pense. Je suis peut-être coincée ici mais au moins c’est temporaire (enfin j’espère), alors qu’eux n’ont jamais rien vu d’autre que ce tout petit village paumé. Si c’est pas malheureux ça ! Heureusement que je suis là pour leur apporter un peu de rêve et de bonheur. Quelle chance ils ont de rencontrer une personnalité telle que moi ! Je parie que jamais ils ne s’y seraient attendus. Je vais les inspirer, j’en suis certaine. Et ça va m’inspirer de savoir que je vais les inspirer, donc en fait c’est un peu comme si je m’inspirais moi-même.

J’ai choisi soigneusement ma tenue, élégante bien sûr parce que les pauvres c’est pas ici qu’ils doivent voir autre chose que des oripeaux bon marché, mais pas trop salissante tout de même, des fois que certains auraient l’idée d’apposer leurs mains collantes sur moi (j’ai déjà eu l’expérience avec Sybil, alors je sais de quoi je parle). Je suis censée être assistée d’un professeur, mais bon comme il n’est pas là je me permets de commencer sans lui. De toute façon, c’est sûrement moi que ces enfants veulent voir et pas un sinistre enseignant, sans doute vieux et grisonnant.

J’ai donc entamé la leçon sans attendre, me présentant d’abord (mais y en avait-il besoin ? Evidemment qu’ils doivent savoir qui je suis !), mais il leur faut surtout apprendre des choses U-TILES. « Jouer la comédie ne vous servira pas seulement pour la scène, mais pour la vie de tous les jours. Comme le disait mon cher ami James Dean, personne ne peut résister à une attitude théâtrale. » Je me déplace sur la scène en agitant les bras. « Par exemple, si le repas qu’on vous sert à la maison après une longue journée d’école ne vous convient pas, un texte bien écrit, récité de la bonne manière vous permettra d’obtenir réparation de la part de vos indignes parents. » Je me place correctement sur scène, plante mes pieds dans le sol et prends une voix de stentor.

« OU SONT LES POULARDES ? J’AI FAIM ! OU SONT LES VEAUX, LES RÔTIS, LES SAUCISSES ? OU SONT LES FÈVES, LES P TÉS DE CERF ? QU’ON RIPAILLE À PLEIN VENTRE POUR OUBLIER CETTE INJUSTICE ! Y’A PAS QUELQUES SOISSONS AVEC DE LA BONNE SOIVRE, UN PORCELLET, UNE CHÈVRE RÔTIE, QUELQUES CYGNES BLANCS BIEN POIVRÉS ? CES AMUSE-BOUCHE M’ONT MIS EN APPÉTIT. »

Ce monologue figurait sur un scénario envoyé à mon ex mari. Le film n’a jamais vu le jour, allez savoir pourquoi. En tout cas j’ai produit mon petit effet, tous me regardent avec de grands yeux ronds sans piper mot, ou se regardent entre eux. Ils sont impressionnés, sans l’ombre d’un doute.  C’est que ce n’est pas tous les jours qu’ils ont la possibilité de voir une vraie star, si proche d’eux. Mais nul besoin d’être si impressionné, je suis comme tout le monde en réalité.
Enfin tout de même, ils pourraient applaudir, il va falloir leur apprendre un peu.

Ils ne réagissent pas beaucoup d’ailleurs je trouve. J’aperçois une petite fille dans un coin qui n’arrête pas de mettre sa tresse dans sa bouche et un garçon plus préoccupé par sa chemise que par ma personne. Voilà qui n’est pas très encourageant. Peut-être que leur cerveau est tout simplement plus petit parce qu’ils sont enfants ? J’espère qu’ils ne sont pas trop stupides en tout cas, ça va être compliqué de leur apprendre quelque chose sinon.

Je ne me décourage pas pour autant (c’est pas mon genre!), et décide de placer le curseur un cran plus loin en leur apprenant un de mes meilleurs secrets. Si c’est pas beau ça ! J’espère au moins qu’ils vont apprécier la chance qu’ils ont. « Que faire si vous vous trouvez dans une situation particulièrement difficile ? Imaginez vous avez fait une bêtise et êtes sur le point de vous faire prendre, de recevoir la punition du siècle… Il y a une chose qui vous tirera TOU-JOURS d’affaires. »

Et soudain, sans prévenir, je leur fais la démonstration de mon plus bel évanouissement, en plein milieu de la scène. Je peux entendre les exclamations de stupeur des enfants, il faut dire que j’ai parfaitement réussi mon coup. Mais d’ailleurs, ils ne sont pas les seuls: je peux entendre des pas plus lourds se précipiter sur moi et une voix grave m’interpeller avec angoisse.

J’avais bien dit que j’étais douée.

Bon, ça a assez duré, je pense que j’ai produit mon petit effet. Sauf qu’au moment où j’ouvre l’oeil, je sens quelque chose s’abattre sur ma joue. Mais ça fait mal ! Je rêve, ce mufle m’a giflée ! Je me redresse immédiatement, absolument consternée par tant d’indélicatesse. « Ca va pas la tête ? Pour qui vous vous prenez ? On ne frappe pas les gens comme ça enfin ! » En parlant de frapper je lui rends la monnaie de sa pièce en tapant là où je peux. Quand je vais raconter ça à Diana ! « Et user de violence devant des enfants, vous n’avez vraiment pas honte ! » En parlant d’enfants, un fou rire semble secouer l’assistance. Sans doute une réaction de nervosité face à ce traumatisme, les pauvres chéris.

1132 mots
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(#) Re: now is the summer of our discontent (saturnine) ●
10.05.24 18:13
Si vous avez des envies de meurtre, je vous recommande de vous abstenir, c’est très mauvais pour le moral.
T
HE SUMMER OF OUR DISCONTENT
La main du professeur connecte avec la joue de la (pas-si) Belle à la scène dormant, et ça fait un CLAC aussi surprenant qu’assourdissant. Mycroft recule d’un pas, choqué lui même par ce geste. Ce n’est pas comme si l’envie lui manquait de gifler l’un ou l’autre importun, de temps à autre - le cordonnier local, par exemple, qui met toujours un temps fou à répondre à chacune de ses questions, et dont l’articulation laisse à désirer ; ou l’autre rombière, celle qui lui a passé l’envie de visiter le théâtre local… Et puis, tout le monde a ses mauvais jours, le professeur ne fait pas exception. Mais de là à passer à l’exécution ! Cela ne lui aurait jamais traversé l’esprit, et il n’a fait cela que pour rendre service à la pimbêche qui a cru bon de se pâmer de chaleur devant un peloton d’enfants.

Les mioches sont ébaubis du spectacle, cela au moins est limpide. Ce n’est pas tous les jours qu’ils doivent assister à une telle scène, et Mycroft croit entendre un dialogue murmuré - à moins qu’il ne s’agisse que de son imagination qui lui joue des tours. Il ne manquerait plus que cela, que les fortes températures ambiantes lui fasse imaginer des mots échangés sur le ton de la confidence par les plus âgés des bambins placés sous sa charge…

« Tu crois qu’elle est morte, la dame ? » « Non, par contre je te parie deux sucettes que Monsieur Fitz » - son surnom, puisque les garnements locaux ont décidé que son patronyme complet était trop compliqué à prononcer - « se mange une baffe avant la fin de la journée… » « Trois sucettes, et je suis ton homme. »

Les mots des enfants sont toutefois noyés sous les piaillements aigus et discordants de la péronnelle qui se redresse d’un coup d’un seul. Son corps forme un très bel angle de 90°, ne peut s’empêcher de constater le littéraire, c’est son collègue Monsieur Stephens qui serait ravi d’observer cela. Le professeur de mathématiques est tellement féru de sa matière qu’il semble apercevoir des équations partout, une bien étrange manière de voir le monde, si l’on demande son avis à Mycroft. Non qu’on le fasse, toutefois : sa réputation de misanthrope est désormais bien installée au sein du village, et nul n’oserait plus suspecter quoi que ce soit lorsqu’il se promène bras dessus bras dessous avec Diana Brown.

« Je voulais seulement vous… AOUTCH ! Mais vous êtes complètement timbrée, ma parole ! » Que l’on ne dise pas qu’il n’a rien appris depuis un an : il a au moins acquis la compétence consistant à présenter des excuses décentes. Simplement, il estime que la demoiselle ne les mérite guère, puisqu’elle le remercie si discourtoisement, interrompant sa tentative de justification par un coup de pied dans le rein droit. C’est qu’elle rue pire que la proverbiale mule du pape, by Jove ! Diana va l’entendre, quelle idée complètement irresponsable de laisser une telle furie en présence d’enfants - et sans surveillance ! Qui sait quelles folies elle pourrait leur inculquer, surtout à cet âge tendre qui précède de justesse l’adolescence ? « Mais puisque je vous dis que c’était pour vous aider ! Ce n’était aucunement de la violence, au contraire de ce que vous venez de faire, ça c’était complètement gratuit ! »

« Aboule les sucreries. » « Vas-y, t’abuses… Elle l’a même pas baffé, techniquement ça compte pas. Une sucette chacun ? » « Ça me va. »

Cette fois, pas question d’imagination. On se marre doucement derrière lui. Les pupilles confiées à leurs soins - enfin, soins… l’autre harpie semble avoir des méthodes pour le moins peu conventionnelles, pas sûr qu’il ait très envie de le laisser garder les enfants - semblent percevoir un aspect comique à toute cette tragédie de douleur et d’incompréhension mutuelle, un aspect qui échappe bien sûr aux protagonistes de ladite scène.

« Bon, hum… Mes excuses, j’imagine. » Oh, Diana Brown l’écharperait si elle était présente. Elle lui a enseigné de meilleures manières - ou, plus exactement, elle a récuré la fange de ses mauvaises manies d’étudiant oxfordien perclus de supériorité, et lui a rappelé les usages en cours dans le reste de la société… Mais Diana n’est pas là, et Mycroft sent le peu d’enthousiasme conjuré à l’idée de monter ici une pièce de Shakespeare s’évaporer lorsqu’il réalise que cette blonde mijaurée est censée lui servir de partenaire dans l’aventure. « Ça va, vous avez repris vos esprits ? » questionne-t-il encore, à moitié inquiet tout de même que la pécore ne se rendorme façon princesse de conte de fées. Parce qu’il est loin d’avoir envie de jouer les Princes Charmants. « Mycroft, Mycroft Fitzpatrick » offre-t-il en guise d’amnistie temporaire. Il se méfie des talons pointus de la péronnelle, aussi s’approche-t-il de son torse redressé - elle a le corsage vachement échancré, ou c’est lui ? Non que cela lui soit d’un quelconque intérêt, au cas où on ne l’aurait pas compris, Mycroft n’est pas tant misanthrope que misogyne - pour lui tendre une main toute virile. « Madame Harcourt, je présume ? »

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