GODRIC'S HOLLOW ● Dans l’ombre, un texte commence à circuler dans les différentes communautés magiques, lu lors de soirées mondaines, traduits dans une dizaine de langue, le pamphlet, extrémiste, fait assez parler de lui pour être reproduit par les journaux ou lu sur les ondes de nombreuses radios afin d’en commenter ou critiquer le contenu. L’illégalité de leur organisation ne semble nullement avoir empêché les Mangemorts de diffuser leurs idéaux. (lire le pamphlet)
labeur : Institutrice à l'école primaire de Godric's Hollow, Diana a toujours aimé les enfants, qui le lui rendent bien, douce et compréhensive, tout en sachant faire preuve d'autorité quand il le faut.
sang : Moldue
myocarde : Célibataire, autrefois fiancée à Matthew Ollivanders, la guerre les as séparés. Depuis, la jeune femme n'est toujours pas prête pour ouvrir son coeur de nouveau.
allegeance : Passeurs. Elle avait aimé Matthew de tout son coeur et en sa mémoire, elle estime qu'elle doit faire ce qui est juste, préserver la paix entre leurs deux mondes.
● mes correspondances: ici se trouve ma volière personnelle. veuillez envoyer lettres à cette adresse.
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<center><div class="mod1"><div class="mod2"><div class="mod5"><div class="mod11">● ● ●</div><div class="mod9">you have nothing to <j>fear</j></div></div><div class="mod6"><div class="mod3">une <j>lettre</j></div></div><div class="mod4"><div class="mod10">if you have <j>nothing</j> to hide</div><div class="mod12">● ● ●</div></div></div><div class="mod7">Le contenu de la lettre à ajouter ici.</div><div class="mod8">IN FOR THE KILL - 2021</div></div></center>
sang : moldu, sang trop ordinaire que pour être intéressant
myocarde : homme seul, prétendant un veuvage imaginaire pour échapper aux commérages, le coeur battant pour un autre homme - passion illégale pour son temps, émois illicites et pourtant réciproques
allegeance : il ne prête serment qu'à lui-même, à la fois trop curieux et trop égoïste pour s'engager dans une quelconque cause ou organisation
fin juillet 1955, Mycroft envoie un paquet volumineux à l'adresse de Miss Brown, accompagné de la missive suivante
Chère Miss Brown, Chère Diana,
Vous ne l'ignorez pas, mon passage à Godric's Hollow ne pouvait être que temporaire. Et voici que sa fin approche, plus tard que je ne l'avais planifié - trop tard sans doute. Vous me direz que j'exagère, et peut-être avez-vous raison, après tout. Mais il m'est tout simplement impossible de demeurer ici, où tout me rappelle cette personne que vous savez. J'ai donc commencé à empaqueter mes biens, et voici la seconde raison pour laquelle je vous écris. Je souhaite voyager léger, et n'aurai donc que peu d'usage pour les divers ouvrages collectionnés au fil de mon séjour en Cornouailles. Considérez, je vous prie, que ces livres vous appartiennent désormais : je suis certain que vous en ferez bon usage, et que vous n'hésiterez pas à enrichir la maigre collection de l'établissement au sein duquel nous avons collaboré cette année.
J'espère que vous vous portez bien, et que vos congés sont ensoleillés. Sachez que vous avez été pour moi l'un des rares rayons de ce même soleil, et que faire votre connaissance est sans nul doute la meilleure chose qui me soit arrivée depuis fort longtemps. Je regrette de n'avoir su vous le dire en face, et vous souhaite de croiser la route d'un homme bien meilleur que moi avant longtemps - non que vous ayez besoin de qui que ce soit, vous êtes la femme la plus forte et la plus douce qu'il m'ait été donné de rencontrer. Vous êtes une excellente institutrice, et vous avez, à jamais, tout mon respect.
post-scriptum : Madame Harcourt est sans doute la personne la plus à même de prendre la relève pour l'organisation des prochaines pièces de théâtre. Mais ne lui dites pas que je vous ai dit cela - elle en deviendrait encore plus imbue de sa propre personne.
Bien à vous, Mycroft Fitzpatrick
À cette lettre est joint un colis volumineux, comptant plusieurs dizaines de bouquins : premières éditions de certains romans, ouvrages dédicacés par leurs auteurs (notamment une copie intégrale des chroniques de Narnia par C. S. Lewis, indiquant au lecteur que J'espère que tu apprécieras ces aventures, vieux frère. En souvenir de nos folles soirées - et garde le secret, veux-tu, le dernier tome n'est pas encore paru !) et autres collections complètes des oeuvres de Dickens et de Beatrix Potter.
Septembre 1931, missive rédigée par une petite fille de huit ans. Les lettres sont grossièrement tracées au feutre vert. L'enveloppe contient un bracelet de perles en plastique, de couleurs, tailles et formes variées.
Coucou Didi!
Je t’ai refait un bracelet pour remplacer celui que l’affreux Toby t’a cassé, je crois que je l’ai encore mieux réussi.
Mais je vais pas pouvoir venir jouer au parc demain, je suis punie. Les parents de Toby ont dit à maman que je lui ai cassé le nez. Mais je suis sûre que c’est pas vrai, il saignait presque pas.
Ils ont dit que je suis une fort-ce-nez. Je crois que ça veut dire que j’ai tapé trop fort sur son nez.
Les garçons pleurent toujours pour rien du tout de toute façon!
Je vais quand même essayer de convaincre maman de me laisser sortir.
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