GODRIC'S HOLLOW ● Dans l’ombre, un texte commence à circuler dans les différentes communautés magiques, lu lors de soirées mondaines, traduits dans une dizaine de langue, le pamphlet, extrémiste, fait assez parler de lui pour être reproduit par les journaux ou lu sur les ondes de nombreuses radios afin d’en commenter ou critiquer le contenu. L’illégalité de leur organisation ne semble nullement avoir empêché les Mangemorts de diffuser leurs idéaux. (lire le pamphlet)
sang : pur, depuis toujours et à jamais, fierté portée en héritage, couronne invisible mais bien réelle
don : legilimens et animagus (hermine)
myocarde : veuve de Quintus Avery, jamais le grand amour mais il eut au moins le mérite d'être le père de ses enfants avant de disparaître tragiquement
allegeance : l'extrémisme de la suprématie sorcière en étendard, fanatisme brûlant les entrailles depuis l'enfance
particularité physique : tatouage sur l'avant-bras gauche, marque de ce sombre seigneur à qui elle a prêté serment
Certains pensent que la vérité ne peut qu'être l'incarnation de l'amertume, c'est qu'ils n'ont jamais rencontré le mensonge dans ce cas. Le fils a rendu sa mère pauvre, à force de lui vendre des mensonges qu'elle ne peut qu'acheter.
Non mais est-ce qu'on peut parler de la puissance émotionnelle de ce rp, s'il-vous-plaît ? La plume d' @Aurelius Avery est un délice et une claque tout à la fois et mon petit coeur de môman de rp est tout cassé
N'allez pas croire que je stalke, mais le fou rire que je me prends en découvrant ce lancement de notre @Blaise Crabbe à la classe internationale
C'est punchline sur punchline, ça donne beaucoup trop envie de te rejoindre dans les caves du musée permission de me glisser dans tes MPs pour voir si l'un de mes personnages te conviendrait ?
Il y a énormément de plumes de qualité sur ce forum, mais la tienne est peut-être celle qui me fait le plus rire (ta dernière réponse pour Ralph, j'ai vraiment pouffé à chaque phrase ou presque ) ! Et tes persos sont tous tellement incroyables avec ce second degré que tu leur insuffles, c'est vraiment du pur génie que je lis et relis sans me lasser !
Engoncée dans ses préceptes, la petite fleur vacillait. Conscience éprouvée à voir sa précieuse ballerine s’enliser dans pareils travers, les préceptes de Madeleine revenaient en échos destructeurs lui ravager la conscience. Salves acides entachant la psyché de sa marque, elle constatait avec effroi le mal qui était venu déteindre sur la poupée de porcelaine. Ruissellement néfaste, elle avait fini par faillir à sa tâche de mère. Piètre génitrice tout juste capable de préserver ses lardons, de les abriter sous son aile salvatrice des maux rongeant leur monde. Elle assistait, impuissante, à l’effritement de la princesse. Lente agonie de celle qui avait vu et subi bien des horreurs tout juste imaginables à la contemplation morbide des marques portées par l’albâtre. Piètre présence, à peine un soutien psychologique tant le joyaux s’échinait à la maintenir à distance.
La détresse d'une maman et toute son impuissance à sauver sa petite fille... C'est émouvant et si par-fait.
C'est dans ce sujet et Natalya se confie à sa mère sur ses difficultés et son désespoir, deux mois après son enlèvement par les chasseurs.
Petit passage par ici également pour déclarer ma flamme toujours renouvelée envers ce rp : entre le pitch de base, les PNJ mis en place pour l'occasion (coucou Ménélas Gandalf Malfoy) et les tensions qui traversent chaque personnage, de @Dolores Abbott à @Juliet Malfoy en passant par @Primrose Macnair et @Natalya Yaxley c'est jolie plume sur jolie plume, et mes personnages sont joie d'y participer aux côtés de @Mary Travers-Flint et @Thomas Abbott
Bon, Solène va clairement tirer la tête encore un peu, parce que certains ont décidé de jouer avec le feu...
TomTom a écrit:
« C’était un ‘vrai’ régal » Provocation te mordant la langue. Inconscient. Ou pas. L’œil se gorgeait de douce diablerie, les labres s’élaguant d’un sourire mesuré, presque agitateur.
Mais qu'est-ce que ça promet, merci encore pour ce super topic commun !
décade : dix-neuf ans, entre une adolescence perdue et l'âge adulte qui lui ouvre les bras
labeur : diplômée depuis un peu plus d'un an, elle était jusqu'à il y a peu assistante parjurante au Magenmagot. désormais sans emploi, elle cherche sa voie
alter ego : Nicole Desplat
sang : sang pur, bien que ça n'ait pas la moindre importance à ses yeux
myocarde : le coeur accroché et offert à un doux géant
allegeance : passeuse depuis janvier 1955, branche aubépine
particularité physique : une cicatrice sur la tempe droite, due à une malheureuse rencontre avec un cognard lors de son tout premier match de quidditch
Je voulais absolument mettre ici ce RP que je trouve incroyable. Chaque réponse de @Adam Bagshot et @Fenrir Greyback me TUE de rire, je les imagine tellement héros d'un roman d'aventures et j'ai hâte de lire la suite !
Fenrir a écrit:
“Voilà, tu es tout beau maintenant et en plus, c’est un super exfoliant, il semblerait!” Dis-je avant de secouer mes mains dans tous les sens afin d’en dégager la saleté. Sans attendre, je continue mon chemin en sifflant joyeusement, laissant au petit Griffon le temps de comprendre ce qui venait de lui arriver. D’un autre côté, je ne pouvais m’empêcher de me demander pourquoi nous avons emprunté un chemin aussi dégagé…c’était d’un ennui mortel. “Tu sais que si on est chanceux, on croisera le chemin d’un troupeau de licornes…enfin, peut-être pas, vu comment tu schlingues”
Adam a écrit:
L’injure suivante lui fit toutefois regretter les premiers mots de Fenrir. Du chaton au babouin, il y avait toute une ménagerie, mais le Vert et Argent semblait décidé à ne pas lui accorder la considération de désigner un animal charismatique. « Ouais, bah il paraît que les babouins, c’est très intelligent, d’abord » fut tout ce qu’il parvint à répliquer, progressant avec précaution sur le sentier qui se dessinait devant eux.
Et Jules s’arrête en remarquant la gamine, une adolescente, qui les accompagne. Elle pensait à tord que c’était peut-être une domestique avant d’approcher, mais elle pense l’avoir déjà vu, elle pense reconnaître sa tête pour l’avoir déjà vue quelque part. Hogwarts, peut-être ? Elle se retient, mais le pense, de dire que cette coupe de cheveux ne la met absolument pas en valeur. La pauvre, elle ne semble pas avoir grand chose pour elle.
Ce qu’il m’arrive est absolument a-troce. La Malédiction de la Mort devrait plutôt s’appeler Malédiction des Cernes, si vous voulez mon humble avis. Comment je fais moi, pour avoir mon sommeil de beauté si je ne peux pas dormir ? Et ça, c’est sans compter les trépassés qui viennent me visiter. Apparemment le fait d’être morts leur donne envie de causer, et comme par hasard c’est moi qui trinque.
Arriver en RP avec des mots pareils, il n'y avait que @Saturnine Trelawney pour le faire Et on adore, je sens que la rencontre (ou plutôt, les retrouvailles) avec Thomas vont être épiques
Compte sur moi pour dévorer chacun des rps de Ninine, et pas seulement celui-ci
décade : dix-neuf ans, entre une adolescence perdue et l'âge adulte qui lui ouvre les bras
labeur : diplômée depuis un peu plus d'un an, elle était jusqu'à il y a peu assistante parjurante au Magenmagot. désormais sans emploi, elle cherche sa voie
alter ego : Nicole Desplat
sang : sang pur, bien que ça n'ait pas la moindre importance à ses yeux
myocarde : le coeur accroché et offert à un doux géant
allegeance : passeuse depuis janvier 1955, branche aubépine
particularité physique : une cicatrice sur la tempe droite, due à une malheureuse rencontre avec un cognard lors de son tout premier match de quidditch
Giga coup de coeur pour ce RP, @Arthur Bagshot et @Hazel Greyback soit ce ship totalement improbable que j'aurais jamais vu venir mais qui marche TELLEMENT BIEN. Vous nous régalez avec vos plumes, chaque réponse est un véritable délice
Tuthur a écrit:
Cependant, j’ai enfin du temps et comme dit l’adage, le meilleur pour la fin, voilà pour toi. Arthur ouvre enfin la boîte, qui s’avère être une cage avec dedans, un niffleur. La créature ne cesse de se débattre, s’agitant dans tous les sens, mais une fois hors de sa cage, fixe Hazel avec intéressé. — Il s’appelle Thor. Comme le dieu, oui, Arthur trouve que son cadeau mérite un nom divin et d’un autre côté, Thor est aussi têtu que son marteau. Le niffleur l’est tout autant, ça semble une parfaite association, non ?
Hazel a écrit:
« T'es un gus qui tient ses promesses, alors. J'aurais pas cru. » Qu'elle lui avoue en le mâtant de la tête au pied. C'est irritant parce qu'il n'a même pas une goutte de sueur sur son beau costume. À côté, la péquenaude est toute collante, dégoulinante alors qu'elle ne porte presque rien sur elle. Ce gars-là, c'est tout ce qu'elle déteste le plus au monde mais elle lui sourit bêtement.
décade : Les vingt-sept années qui s’essoufflent et arrivent sur leur fin, la trentaine l’attendant au détour du chemin.
labeur : Parjuriste zélée, les informations dévorées et stockées dans les méandres de sa cervelle. L’hésitation, pourtant, commence à prendre racine, alors que son regard vise plus haut.
alter ego : Sinead Callaghan
sang : La pureté préservée au fil des siècles, le sang immaculé au sein de leur société.
don : Occlumens, les secrets cachés au fin fond d'une jungle qui prend racine sous son crane.
Alors Agnes remplit la maison de fleurs, de dessins qu’elles réalisent ensemble, de pâtisseries et de biscuits soigneusement empaquetés pour leurs invités, ces gens qui restent une semaine ou deux, à qui elle reconstruit une vie. Elle laisse entrer Saturnine et sa douce folie, l’écoute conter mille histoires à sa petite fille ; elle prend le thé avec Malakai et Lorna, pour ne pas passer ses soirées à regarder l’horloge en attendant de se retrouver seule ; elle accueille d’autres réfugiés, acceptant bien volontiers d’héberger d’autres détresses sous son toit. Car porter la peine des autres lui permet de se sentir moins coupable lorsque la sienne s’allège, lorsqu’elle se surprend à sourire doucement.
Non mais les feels, et la douceur que tu dégages à chaque mot, c'est terrible. On a juste envie de prendre agnes dans nos bras et de la protéger contre le monde entier !
Malcolm Fairfax
mob: bang, bang u're dead●
feuille de personnage
WANDS
KNIVES
SOUL
hiboux : 193
pseudo : WonderCat
faciès & dot : Jamie Bell - ethereal-rpg
doublon(s) : Antonin/Julian/Primrose/Diana
gallions : 1632
pronoms : He/him
décade : 37 ans
labeur : Serveur au Hag's Inn, le travail lui convient parfaitement, efficace et silencieux, malgré la paye minable, au moins il n'est pas obligé d'être agréable avec les clients, le contraire serait même très étonnant.
sang : Sorcier, statut inconnu, quelle importance ?
don : Animagus, il se transforme en écureuil. Petit animal de la forêt qui lui permet de courir le long des toits de Godric's Hollow en toute discrétion, mais surtout de passer du temps loin de tout dans la nature. Qui aurait cru qu'un caractère comme le siens affectionnerait un animal aussi inoffensif ?
myocarde : Le coeur ne s'est jamais emballé pour personne. Il préfère les brèves étreintes d'une nuit, peu importe avec qui, Malcolm n'est pas un sentimental, ne recherche pas l'amour, ne veut pas en donner, il n'en veut pas de l'affection des autres, il ne sait pas comment faire et il n'a rien à offrir.
allegeance : La pègre. Lui qui a toujours eu du mal avec l'autorité se plie aux ordres de mafieux sans poser de questions. Au moins en échange de ses services, il bénéficie de protection.
@Hazel Greyback « C'est notre secret rien qu'à nous... » Qu'elle chuchota en lui adressant un sourire complice. Alors, l'homme lui demanda ce qu'elle voulait boire en attendant la fin de son service et elle s'impatienta : « Putain, Fairfax, mais t'es sourd ! J'veux deux chopes de bière que j'te dis... » Qu'elle s'emporta pour la deuxième fois.
J'adore ce petit passage qui illustre parfaitement la relation qui se tisse entre Malcolm et Hazel, une relation amour vache, avec les deux qui se chamaillent sans arrêt parce que Malcolm peut pas s'empêcher d'aller faire chier les demoiselles parce que c'est drôle. J'ai très hâte de voir ce que ça va donner entre nos deux loubards.
faciès & dot : charlie hunnam. / ava (all souls), gifs (mars, r. rocket).
doublon(s) : keir, charles.
gallions : 1782
pronoms : he/him.
décade : (trente-huit) années soupirées, hivers burinant le derme, entaillant la pierre, visage éreinté, carcasse devenue trop lourde à traîner.
labeur : (croupier) golden dragon casino, repère de ses déboires, antre malodorante de sa débauche, geôle dorée dans laquelle trafiquer ses méfaits ; aux yeux de tous il bat les cartes, sous la table il passe les faux gallions blanchis pour le compte de la pègre.
alter ego : tommy becker.
storytime :
› un air de déjà-vu (augusta).
› what was i made for (agnès).
› what about us (erhy).
sang : (sang-pur) carmin immaculé, essence qu'il ne faut guère souiller, blason entaché de déshonneur, couronne d'épines arrachée au déshérité.
don : (occlumen)
myocarde : (en berne)
allegeance : (pègre)
particularité physique : (scars) trente-six lignes blanches gravées sur le derme, pour autant de temps passé dans les geôles putrides d'Azkaban. (tattoo) code barre traçant le numéro de matricule encré sous la carne, à la naissance du cou, au dessus de l'épaule droite.
write about love est-il vraiment nécessaire de déclamer les raisons de mon amour pour ce rp de @ADAM BAGSHOT et @DOLORES ABBOTT ? c'est simple, c'est un rp qui fait du bien au coeur et à l'âme, d'une incommensurable douceur. nos deux pipous sont tellement touchants, un peu maladroits et fébriles, mais ils se disent des choses importantes qu'on mériterait tou.te.s d'entendre dans la vie réelle. alors à nos deux rôlistes aux plumes sublimes, un grand merci pour ce moment nutella, vous êtes fantastiques.
doublon(s) : jules la princesse, edith la pimbêche, ron le papa ours et alicent la moldue.
gallions : 1112
pronoms : masculin.
décade : vingt-deux grains tombés au fond du sablier, cri poussé quelques fractions de secondes après le jumeau, apogée de son existence sous l’essence de sa jeunesse.
labeur : talent inné pour voler, acrobate des airs et esprit ambitieux, attrapeur vedette des frelons de wimbourne, le numéro sept sur le maillot, joueur professionnel qui rêve des sommets, notamment de rejoindre l’équipe nationale et de rafler tous les trophées.
sang : liqueur mêlée depuis trop longtemps pour prétendre à une quelconque stupide pureté, né d’une moldu et d’un sorcier, exemple parfait d’une cohabitation qui peut exister, mais autour du portrait de famille, le danger rôde toujours, à l’affût du moindre faux pas.
don : morsure maudite une nuit de pleine lune, désormais enfant de la lune, dans ses artères coulent la colère de la bête, loup-garou affligé de mille maux.
myocarde : brisé en petits morceaux, éclats d’une romance avortée.
allegeance : égaré, perdu, ne sachant où aller.
particularité physique : souillure de la chaire, crocs de la bête plantée dans le derme, arrière-train côté droit infecté, vilaine cicatrice à jamais douloureuse.
« T'emballe pas, ça tourne partout. » Qu'elle se défend avant même qu'il ne dise quoi que ce soit. La louvette est toute rouge parce qu'elle lui ment comme une effrontée. La vérité, c'est qu'elle s'est rancardée sur cette saison. Elle a aussi acheté des journaux, pour suivre les exploits de son nabot à elle. La morveuse n'assume pas tout ça alors elle imite le garçon et sa pose ridicule. Elle fait comme lui pour le titiller et c'est pas très sympa. « Tu l'as lavé, sagouin ? » Qu'elle lui demande avec ce petit geste du menton vers l'avant. La louvette flaire le tissu sans le lâcher du regard. C'est théâtral et elle adore ça. Il y a son odeur imprégnée là-dessus, ça la débecte autant qu'elle en salive. « C'est pour te charrier. » Qu'elle s'adoucit enfin tout en se désapant publiquement. Elle ôte son débardeur, juste sous ses yeux à lui puis enfile le maillot. C'est une dévergondée mais elle attend de voir sa réaction. Et mes seins, tu les aimes ? « J'ai gagné quoi, moi ? » Qu'elle le nargue en tournant sur elle-même.
voilà, je pourrai citer tout le rp, tous nos échanges mais @Hazel Greyback j’aime tellement c qu’on construit j’aime ta belle blonde ses réactions, comment elle arrive à chatouiller l’égo de ce cher tuthur et ce rp, ce passage, j’ai ri autant que j’ai été attrapée par notre improbable ship entre le prince et l’ogresse (remake Shrek bonjour !) elle a gagné quoi la petite Hazel ? Le cœur de ce cher nabot
décade : Les vingt-sept années qui s’essoufflent et arrivent sur leur fin, la trentaine l’attendant au détour du chemin.
labeur : Parjuriste zélée, les informations dévorées et stockées dans les méandres de sa cervelle. L’hésitation, pourtant, commence à prendre racine, alors que son regard vise plus haut.
alter ego : Sinead Callaghan
sang : La pureté préservée au fil des siècles, le sang immaculé au sein de leur société.
don : Occlumens, les secrets cachés au fin fond d'une jungle qui prend racine sous son crane.
Leurs âmes noyées, à la dérive, malmenées par la houle, s’agrippant au radeau, de toutes leurs forces, pour ne pas sombrer. Le temps se fige, grains d’or resté en suspens dans le sablier.
Augusta Longbottom a écrit:
Quand avait-elle retrouvé les peurs -et ses pleurs- autrefois balayés par sa seule présence à ses côtés ? Fi de foyer qu'elle aurait choisi pour le meilleur et pour le pire. Peines de ces années arrachées, mer(e) solitaire, si ne sont oubliées, reléguées à moindre place, car murs s'effondrent et derrière le cœur en berne ne peut composer rancœur.
Il faudrait que je cite tout votre sujet... C'est un concentré de feels, d'autant plus avec le petit Franck au milieu. C'est aussi beau que déchirant, et on n'en demande qu'à en avoir plus. Votre sujet , un peu de popcorn, et on a un super combo pour passer la soirée !
labeur : Secrétaire pour l'ambassadeur soviétique du Royaume-Uni et traducteur pour une petite maison d'édition du côté moldu
alter ego : Antonin Smirnov, l'identité sous laquelle il est né, est arrivé en Angleterre, le nom de sa mère, une manière de ne pas l'effacer complètement.
sang : Sang-pur
don : Troisième oeil, rêves flous, visions du passé ou du futur, difficiles à cerner qui le tiennent éveillé des nuits entières
myocarde : Romantique au coeur brisé, cherchant une âme-soeur, un homme pareil aux romans gothiques qu'il affectionne tant. Cœur épris dont la relation naissante est déjà brisée par des fiançailles arrangées.
allegeance : Mangemort. Si il n'accorde pas autant d'importance à la question de la pureté du sang que d'autres, il estime que les moldus sont un danger pour le monde magique. A ne pas éradiquer mais à soumettre, à arrêter avant qu'il ne soit trop tard.
particularité physique : Une cicatrice dans le bas du dos, vestige, marque au fer rouge d'une enfance et d'un oncle trop brutal.
Mona poussa la porte et prévint les futurs mariés - Merlin, que cette image la mettait en joie ! Un mariage à organiser, et elle revivait - que le repas les attendait.
Mona qui joue à la poupée/marieuse au grand dam de ses proches, j'aime comment elle est fière d'elle, persuadée que ce mariage et la meilleure chose qui puisse arriver à Paulina et Antonin alors qu'elle est tout bonnement en train de gâcher leur vie, du moins dans leur premier ressentit.
Et tout ça alors que le futur fiancé n'est pas encore au courant.
┗ Dark Paradise ┛
Every time I close my eyes, it's like a dark paradise No one compares to you I'm scared that you won't be waiting on the other side
doublon(s) : arthur l’endive, edith la pimbêche, ron le papa ours et alicent la moldue.
gallions : 590
pronoms : féminins.
décade : vingt-cinq années, essence d’une jeunesse en pleine ivresse.
labeur : autrefois fille à papa, petite poupée au talent inné pour concocter des potions, potionniste indépendante qui ne peut plus exercer, obligée de se cacher, désormais pianiste de bar dans un restaurant chic moldu.
alter ego : annie montroses, petite française égarée en quête d’une vie bohème.
sang : sorcière dans les gênes, pureté dans le vermeil, héritage désavoué et renié.
don : esprit scellé, verrou déposé et cœur sous cadenas, intrusion rendue difficile par la pratique de l’occlumancie. (occlumancie stade II)
myocarde : éprise, le cœur offert à une belle incendiaire venant d’Irlande, prête à tout pour vivre son histoire même si cela fait d’elle une traîtresse à son sang.
allegeance : fugitive aux idées hors du temps, hors de son époque, rêve d’égalité, de paix, en désaccord avec les siens, mais à ce jour, sans faction déterminée.
particularité physique : poupée d’apparat, articulations cassées dans la pénombre, première balafre sur l’épaule gauche, maléfice reçu, peau craquelée, seconde balafre à la chute des reins, accident sur un balai, elle déteste voler depuis ce jour et peau marquée par l’encre noir, sous le sein droit se dessine une branche de belladone, aussi belle que mortelle, poison délicieux.
Qu’est-ce que tu marmonnes, la mioche ? » je demande, m’accroupissant sans baisser ma garde. Elle m’a suivi jusqu’ici, et elle semble avoir des idées bien arrêtées - même si elle a du mal à les formuler audiblement. Peut-être est-elle un peu plus sonnée que je ne le croyais à première vue. « Sauvageonne, hein ? C’est le mieux que tu puisses faire ? J’ai connu les Brits plus créatifs en matière d’insulte. »
Citation :
« Tu devrais t'estimer chanceuse d'être tombée sur moi et pas sur un autre. J'ai pas eu cette veine, moi. » Qu'elle déplore en relâchant la pression autour de sa gorge. La matriochka la laisse respirer quelques secondes puis elle recommence à lui tordre le cou. « Fais attention à toi, quoi que tu fabriques dans le coin. C'est dangereux, même pour une fille de ton genre. » Qu'elle achève sa tirade, espérant l'amener à résipiscence. L'aristocrate la libère enfin puis la pousse si brusquement à terre, pour gagner un peu de temps avant qu'elle ne réplique. « Je t'en prie, refais-moi le portrait maintenant. » Qu'elle la provoque avec la respiration saccadée. La poupée ne ressemble à rien comme ça, on ne la reconnaît plus avec tout ce sang et cette colère.
ce rp que nous offre le duo @Saoirse Finnigan et @Natalya Yaxley est intense, violent et plein de suspense ! J’ai tellement hâte de lire la suite, vraiment vous nous régalez ! Que ça soit la belle rousse qui cogne, qui s’impose et qui est flamboyante, comme naty, insoumise, provocatrice et qui encaisse, j’aime ! Vous nous régalez les filles, vraiment, vos interprétations comme vos plumes sont parfaites, continuez
@Mona Parkinson Comment aurais-je pu ne pas mettre notre rp dans mes coups de cœur ? Ce serait un véritable sacrilège !
Mona Parkinson a écrit:
Son corps criait quelque chose, dans un langage que la propagandiste peinait à comprendre.
Enlace-moi. Serre-moi tout contre toi, ô mère, reviens-moi ?
Ou plutôt
Laisse-moi. Éloigne-toi, je ne peux plus et je ne veux plus rien voir, rien savoir de toi ?
C'est vraiment un tragiquement beau résumé de leur incompréhension. Ce passage met vraiment l'accent sur leur relation complexe, aimante mais tellement insondable pour l'un comme l'autre. Je fonds devant ce passage qui laisse tout retourné !
Mona Parkinson a écrit:
« Pour en revenir au sujet qui nous occupe : ton père, paix à son âme, » - et, si la voix s’étrangle sur ces quelques mots, c’est que malgré tout ce que les dernières années de leur union ont apporté comme chagrin, Mona a aimé cet homme, et ne saurait décemment lui souhaiter de brûler éternellement en enfer. Pas éternellement, non. Juste… quelques années.
Je dois avouer que ce passage était vraiment amusant. J'ai adoré la fin. Le changement d'ambiance en 4 lignes. Incroyable.
Notre rp est vraiment formidable et je ne peux exprimer à quel point j'éprouve du plaisir en sachant que je réponds à une plume aussi incroyable que la tienne, qui me file autant de complexes que d'émerveillement !
@Paulina Parkinson Evidemment, je ne pouvais pas oublier la deuxième Parkinson de la vie d'Aurelius. Cela va de soi, il s'agit d'une Parkinson après tout !
Paulina Parkinson a écrit:
Tu as toujours méprisé les lâches et égoïstes incapables d’accomplir leur devoir, il est hors de question que tu deviennes l’une d’entre eux.
C'est une phrase qu'aurait pu penser Aurelius, je trouvais cela marrant. Bien sûr, Paulina l'a si joliment dit que son filleul ne pourrait nullement mieux s'exprimer. Je trouve cela adorable leurs similitudes qu'ils ignorent et dont, je pense, se foutent royalement xD.
Paulina Parkinson a écrit:
A vrai dire, tu n’en sais rien et te moques bien de ce que ton beau-frère aurait souhaité. Manger les vers et les pissenlits par la racine, six pieds sous terre, c’est le seul sort qu’il aura jamais mérité.
Décidément, avec les soeurs Parkiki, le padré Averyry en prend pour son grade xD. Mais j'ai adoré ce passage, puis ensuite, elle a parlé de Quintus sans le descendre au plus profond de son cercueil ahah. J'ai été impressionné par tant de self control xD. Faut qu'Aurelius en prenne de la graine !
Notre rp est vraiment incroyable. La relation simple et complexe à la fois qui prend forme entre les deux zozios est juste... Impressionnante. Leur évolution est satisfaisante à voir. Hâte de voir ce que cela va donner en fin de compte !
faciès & dot : charlie hunnam. / ava (all souls), gifs (mars, r. rocket).
doublon(s) : keir, charles.
gallions : 1782
pronoms : he/him.
décade : (trente-huit) années soupirées, hivers burinant le derme, entaillant la pierre, visage éreinté, carcasse devenue trop lourde à traîner.
labeur : (croupier) golden dragon casino, repère de ses déboires, antre malodorante de sa débauche, geôle dorée dans laquelle trafiquer ses méfaits ; aux yeux de tous il bat les cartes, sous la table il passe les faux gallions blanchis pour le compte de la pègre.
alter ego : tommy becker.
storytime :
› un air de déjà-vu (augusta).
› what was i made for (agnès).
› what about us (erhy).
sang : (sang-pur) carmin immaculé, essence qu'il ne faut guère souiller, blason entaché de déshonneur, couronne d'épines arrachée au déshérité.
don : (occlumen)
myocarde : (en berne)
allegeance : (pègre)
particularité physique : (scars) trente-six lignes blanches gravées sur le derme, pour autant de temps passé dans les geôles putrides d'Azkaban. (tattoo) code barre traçant le numéro de matricule encré sous la carne, à la naissance du cou, au dessus de l'épaule droite.
down memory lane pour ce deuxième coup de coeur, comment ne pas mentionner notre excentrique préférée aka @SATURNINE TRELAWNEY ? ce personnage est drôle, imprévisible, insupportablement attach(i)ante et n'a honte de rien ! pour ne citer qu'un passage parmi tant d'autres, celui-ci m'a fait pouffer de rire :
NININE a écrit:
D’ailleurs il ne me faut pas une demi-heure pour sympathiser avec Ernie et Burt, deux habitués. C’est simple ont devient copains comme cochons à refaire le monde et se payer des verres en jouant aux fléchettes. Enfin c'est surtout eux qui paient, j’ai pas une noise (ou un penny plutôt) sur moi. Et puis je leur offre une si délicieuse compagnie (la mienne) alors je mérite bien qu’on m’invite.
elle est si imbue de sa personne, c'est tordant ! continue de nous faire crever de rire avec ses réactions excessives.
On avait déjà vu des poignées de main plus enjouées...mais il était qu'en plus de la manière de faire -qui se révélait être cruellement défaillante- l'aspect négligé de sa manucure me laissait entrevoir une multitude de microbes et de bactéries potentiels, doublé d'une crainte d'attraper le Tétanos. Voire même une variante de la Dragoncelle, suffisamment vicieuse pour se loger sous des ongles noircis et rongés comme les siens. Je déglutis, réprimant une grimace. Refuser publiquement de me plier aux marques de politessses élémentaires ne ferait qu'alimenter les critiques, et Dieu sait qu'elles sont néfastes à toute bonne réputation. Et puis, il s'agissait de la prochaine génération d'électeurs, un public que j'avais rarement l'occasion d'approcher. Non pas que je sois particulièrement heureuse de m'approcher de celle-ci, songeais-je en mon for intérieur. Pour la bonne cause, et après un long moment de flottement, je serrais brièvement la paluche de la fillette. Tellement brièvement qu'aucun parasite d'aucune sorte n'aurait été assez vif pour se hisser le long de mon poignet, c'était une certitude. Tout le plaisir est pour vous, manquais-je de répliquer, les narines froncées. On a dit charitable, Mary, bienveillant... ❝Mmh..Enchantée.❞ finis-je par marmonner du bout des lèvres, songeant déjà à la meilleure manière de récurviter ma paume de main.
Madame la ministre de la Magie rencontre Hazel et ça fait des étincelles C'est une description absolument parfaite du dégoût Qu'est-ce que j'ai ri...