IN FOR THE KILL - 2021

Passons rapidement sur le moment de ma naissance. Il n’y a pas grand-chose d’intéressant à y dire et moi-même, je ne me souviens de rien. Je suis né un 6 juillet dans une famille de sang-pur qui attendait la venue du premier héritier masculin avec enthousiasme. Ce genre de commencement est toujours identique, peu importe la famille dans laquelle vous naissez. Perpétuer un patronyme aussi pur que le nôtre est l’un des buts premiers de chaque héritier de grande famille. On naît avec une mission et on se fait toujours pousser dans ce but tout au long de notre vie. Être enfant tout en sachant qu’on doit procréer un autre enfant dans un futur pas si lointain est complètement étrange, je ne vous le cache pas. Par chance, mes parents n’ont jamais été les plus agressifs à ce sujet, bien qu’ils étaient ce qu’on appelle communément des traditionalistes convaincus. Mon enfance fut relativement simple; j’étais ce qu’on appelle un enfant facétieux et malicieux, toujours enthousiaste et curieux. Souvent, ma curiosité m’a amené tout un tas de blessures et d’ennuis, mais je n’apprenais jamais de mes erreurs et je recommençais toujours inlassablement mes escapades dangereuses. J’ai commencé à développer mon intérêt pour les créatures magiques dès l’âge de trois ans, lorsqu’on m’offrit ma première peluche de dragon. À mes yeux, il n’y avait rien de plus merveilleux que ces grandes créatures aussi redoutables que magnifiques et je me plaisais à croire qu’un jour, je volerais sur le dos de l’un d’entre eux. Je pouvais passer des journées entières à chasser les gnomes de jardins, les botrucs et les chartiers afin d’en apprendre davantage à leur sujet. Ma voisine et meilleure amie, Charlotte Goyle, ne comprenait pas ma passion pour les créatures magiques et se moquait constamment de mes rêvasseries, même si elle savait que ça me ferait mal. Je ne le savais pas encore à l’époque, mais elle était la seule à être suffisamment honnête avec moi pour me dire que jamais je ne pourrais être un magizoologiste comme je l’espérais puisque ce n’était pas un métier assez digne pour la famille Prewett.


Ce fut tout juste avant mon entrée à Poudlard que mon père me prit à part pour m’apprendre que lui et le père de Charlotte avait convenu d’un contrat de mariage entre nous. Même si je savais ce qu’impliquait un tel engagement, j’avoue ne pas avoir réellement prêté attention à cette information qui me semblait assez insipide à la veille de mon entrée en première année. Je comprenais qu’à partir de ce moment, je devais faire la fierté de ma famille, mais également être digne de cette union future avec les Goyle, mais étant déjà ami avec Charlotte, je ne comprenais pas pourquoi ça importait tant à mon père à cette seconde précise. La réaction de Charlotte et de ma famille face à ma répartition me fit comprendre tout le sens de cette annonce de contrat de mariage. La jolie Goyle fut répartie chez les Serpentards sans grande surprise, mais le monde sembla s’effondrer pour elle lorsque le choixpeau hurla mon Poufsouffle. La lettre que m’envoya mon père et ma mère pour me faire part de leur déception face à cette répartition ne fit qu’augmenter mon mal-être alors que personnellement, j’appréciais ma nouvelle maison. Bien sûr, j’avais cru que je finirais chez les Gryffondors ou les Serdaigle plutôt que chez les blaireaux, mais finalement, ce n’était qu’un écusson. Une répartition ne faisait pas une personnalité ou un avenir. Je ne me destinais pas à un avenir médiocre simplement parce que ma cravate était jaune et noir plutôt que rouge et or! 


Ma scolarité se déroula plutôt bien jusqu'à mes seize ans. Étudiant intelligent, curieux, mais beaucoup trop facétieux pour le bien de ses condisciples, j'accumulais un nombre incalculable de retenue mais malgré tout, mes résultats était plus que satisfaisant. Il faut dire que je n'aimais pas trop le cadre académique de l'école et que mes rêvasseries quotidiennes me laissaient le loisir d'inventer des plans incroyables pour foutre un peu le bordel entre les murs parfaits de Poudlard. Mon trop plein d'énergie était difficile à contrôler et ce, malgré mon poste de gardien dans l'équipe de Quidditch et mes nombreuses études des créatures magiques et de potions. Mon caractère impulsif et malicieux était si incroyablement dominant qu'à plusieurs reprises, mes camarades de classes demandèrent à ce que je repasse le test du choixpeau. Bien sûr, ce fut toujours refusé, mais à chaque fois, mon égaux s'en retrouva un peu plus égratigné. J'avais l'impression de n'être à ma place nul part et ce, malgré mes efforts. Bien sûr, mon enthousiasme indécemment espiègle n'était pas une caractéristique commune des Poufsouffles, mais devais-je réellement me fondre dans le moule qu'un chapeau magique et rapiécé avait décidé de m'octroyer? Non.


Si j'avais su que ma scolarité se compliquerait lors de ma sixième année, j'aurais appris à relativiser, comme me le conseillait Charlotte à chaque fois que nous passions un peu de temps ensemble. Le matin de mes seize ans, je me suis réveillé avec une fièvre incroyable, les poumons en feu et avec une migraine carabinée. Je ne le savais pas encore, mais ces signes de maladie était en fait les symptômes du déclenchement de la malédiction familiale sur ma personne. Il ne fallut d'ailleurs pas longtemps avant que je sois soumis à ma première crise de douleur physique. Je ne me souviens pas de grand chose de cette journée, autre que la douleur écœurante qui avait agressé chaque nerf de mon pauvre corps. Des milliers d'aiguilles enflammés venant agresser chaque muscles, chaque tendons et chaque articulations de mon corps, voilà la sensation qui m'habitat pour cette première crise. Mon père fut donc forcé de me parler de la malédiction transmise de génération en génération à certains hommes de la famille Prewett, alors que nous attendions la visite du médicomage qui devait me faire passer un examen complet suite à cette nouvelle réalité. Comme cadeau d'anniversaire, je venais d'hériter du pire présent qu'on aurait pu me faire.


Mon retour à Poudlard fut chaotique. Il n'était pas rare que je finisse à l'infirmerie après une crise. Il n'était pas rare qu'on me voit me tordre au sol en me tenant le crâne ou me griffant la peau au sang, tellement qu'on commença à murmurer que je faisais exprès de me blesser pour éviter ma salle commune. Obtenir mes ASPICS fut beaucoup plus compliqué à partir de cet instant puisque je n'avais aucun contrôle sur les déclencheurs de ces pulsions douloureuse. Ça amalgamé à mes rêveries qui m'entrainait souvent à faire des erreurs dans la confection de mes potions, dirons-nous. Pourtant, j'ai réussi tous mes cours, même si l'examen de Soins aux créatures magiques m'octroya une cicatrice permanente à mon bras droit. Je ne compte pas m'éterniser sur le sujet, mais disons que l'un de mes compatriotes marcha sur la queue d'un bicorne alors que je terminais de tailler les feuilles de mon botruc et que ce dernier sauta hors de son enclos pour s'attaquer à moi. Au moins cette cicatrice n'est pas issue de la malédiction!


Devenir Magizoologiste n'était donc plus une option dans mon esprit. Avec la malédiction qui pesait sur moi, je ne pouvais pas prendre le risque de m'éloigner des civilisations pour me retrouver dans des lieux sans hôpitaux proches. Pourtant, je n'étais pas totalement prêt à abandonner mon vieux rêve. C'est pour cette raison que j'ai décidé d'allier l'utile à l'agréable; Devenir un médicomage spécialisé en blessures induites par des créatures magiques me permettait de faire des études sur elles tout en me spécialisant dans les soins - ce qui me seraient utiles quotidiennement. Charlotte fut ravie de cette décision puisqu'elle avait également choisie de poursuivre ses études dans ce choix de carrière, bien qu'elle comptait se pencher sur une spécialisation en potion. Elle m'aida à contrôler mes crises par quelques trucs complémentaire à l'occlumentie telle que la méditation et m'aida également à obtenir de brillants résultats, malgré ma tendance à partir dans mes propres pensées. Je n'étais pas stupide, je savais qu'elle m'aidait afin que nous devenions un couple prestigieux de médicomage et non pas par réelle bonté, mais le résultat était le même, non? Qu'importe la raison, tant que le résultat était le même.


Ce fut une fois que nous sommes officiellement devenus médicomages tous les deux que nous avons finalement succombé à la pression de nos parents. Notre mariage n'en était pas un d'amour, mais notre amitié nous permis tout de même de relativiser. Je préférais que ma vie soit unie à celle de cette fourbe de Goyle qui me connaissait par coeur qu'à celle d'une femme que je ne connaissais pas. J'aurais aimé vous dire que l'affection naquis entre nous au fil des années, mais non. Nous sommes restés des amis, sans aucune étincelle de passion entre nous. Même la naissance de nos enfants ne changea pas cette fatalité. Aux yeux de Fabian, Gideon et Molly, nous étions un couple heureux et parfait, mais dans l'intimité de notre chambre à coucher, ça faisait longtemps que nous ne nous touchions plus. À quelque part au fond d'elle, Charlotte m'en voulait d'être l'homme excentrique, rêveur et jovial que j'étais et détestait de plus en plus d'être associer à mon nom. Notre amitié qui avait survécu si longtemps à l'usure du temps commença à s'effriter après le premier anniversaire de Molly. Nos prises de tête étaient de plus en plus fréquente et elle commença à revenir de plus en plus tard le soir. À disparaitre lors de ses jours de congés. À ne pas rentrer les weekends. Pour pallier à son absence, je m'investissais encore plus auprès de nos enfants et de mes recherches sur la lycanthropie, résolue à vouloir guérir ce fléau magique qui décimait nos familles de plus en plus.


La malédiction fut à l'origine de la mort de Charlotte. Ma femme avait décidé de m'annoncer qu'elle comptait accepter un poste en France au détriment de notre famille alors que je préparais une potion très instable, issus de ma propre création. Je lui ai demandé à de multiple reprises de partir et de me laisser une heure avant de tenir ce genre de discussion, le temps que je termine, mais non, elle refusa. J'ai donc tout éloigné du chaudron pour l'écouter me dire à quel point la vie était insupportable avec moi, mais ses hurlements et ses accusations de plus en plus sifflantes déclenchèrent une nouvelle crise en moi. Centrée sur sa colère, elle ne remarqua pas l'expression de douleur incroyable marqué sur mon visage et m'attrapa le poignet pour m'éviter de fuir. Elle fut donc victime d'une douleur si violente que la constitution fragile de son être ne le toléra pas. Elle mourut sur le coup et moi, je fus envoyé à Azkaban le temps qu'on détermine si c'était réellement un accident ou un meurtre. Huit longs mois sans savoir ce qui m'arriverait, à ignorer ce qui était advenu de mes enfants et si j'allais un jour m'en sortir. Huit mois à me faire mentalement violer par des détraqueurs avides d'aspirer chaque parcelle de bonheur de mon être. Huit mois à me torturer de culpabilité. Oui, Charlotte était clairement devenue détestable et acariâtre au fil des années, mais elle avait été ma meilleure amie très longtemps et surtout, elle avait été la mère de mes enfants. Jamais je n'aurais pu lui faire consciemment du mal.


On me déclara finalement innocent, mes souvenirs ayant aider à plaider ma cause auprès du département de la justice magique. C'est grandement affaiblie physiquement et psychologiquement que j'ai retrouvé avec joie mes enfants qui m'apprirent que Muriel les avait gardé pendant mon emprisonnement. Les pauvres! Muriel était si désagréable! Il me fallut plusieurs semaines pour me réhabilité à la vie normale et à reprendre mon boulot à Sainte-Mangouste. Entre temps, un conflit entre le monde des moldus et notre monde avait implosé, brisant le grand secret qui garantissait notre sécurité. Ma sortie d'Azkaban et le traumatisme que l'emprisonnement me créa me poussa à chercher un nouveau moyen de faire de l'argent. Pourquoi? Parce que je savais que mes enfants seraient en danger tant que j'aurai sur moi cette malédiction et que j'étais prêt à offrir au descendant du lanceur tout ce que je possédais pour qu'il la brise. Je voulais faire vite avant que Fabian ou Gideon atteignent leur seizième anniversaire. Au même instant, on m'approcha subtilement pour intégrer la Pègre en tant que médicomage. Il faut dire que plusieurs de leurs combattants finissaient dans mon service et que contrairement à mes confrères, je ne posais pas mille et une questions sur les événements ayant entrainer leurs blessures. Ma discrétion fut sans doute appréciée et on m'autorisa à joindre la branche liée au BULSTRODE, en tant que trafiquant de psychotrope. La Pègre me permettait d'accumuler plus de gallions tout en étudiant les blessures magiques et les résultats des onguents et potions que je créais sur des cobayes humains.  

Voilà en gros ce qu'a été ma vie jusqu'à présent. La suite? Seul l'avenir peut nous l'apporter.

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développement de la malédiction basée sur la douleur physique et psychologique

MANIFESTATION ET IMPACT C'est une malédiction qui touche certains hommes de la famille Prewett depuis des générations. Depuis sept générations, pour être plus précis. Tout a commencé lorsque l'un de leurs ancêtres - un dénommé Wulfric Prewett- a décidé de voler la fiancée de son meilleur ami. Le duel qui résulta de cet affront se termina avec la mort de la belle, qui reçu un sort perdu de plein fouet. Le fiancé bafoué et fou de rage a donc décidé de jeter une malédiction qui toucherait aléatoirement et sur 10 générations les hommes Prewett. Wulfric mourut rapidement sans être capable de faire annuler cette malédiction qui le faisait souffrir comme s'il recevait aléatoirement et à tout moment le sort de doloris. Son coeur succomba à la souffrance avant son esprit. Certains membres de cette famille sang pur furent atteints plus que d'autres, mais dans le cas de Reagan, sa fée marraine a décidé de dormir le jour de sa naissance et il s'est prit la malédiction de plein fouet. Il fut le premier descendant de Wulfric à hériter de la malédiction aussi violemment.


La malédiction se manifeste par la douleur, quelle soit physique ou psychologique. Sans aucun signe avant coureur, il peut se retrouver foudroyer par un éclat de douleur qui s'attaque à son corps ou à son esprit. La durée de ces crises ne sont jamais les mêmes. S'il touche une personne lors du déclenchement d'une crise, la personne ressentira elle aussi les effets de la douleur sur son organisme, ce qui peut être très dangereux puisque cette victime involontaire n'est pas "habitué" à ce traitement. Très peu de sorciers connaissent la malédiction qui pèse sur lui et Reagan fait désespérément des recherches afin de trouver l'un des descendant de l'homme qui a maudit sa famille afin de le convaincre de briser la malédiction.

APPRENTISSAGE OU ACQUISITION De naissance, mais s'est déclenché à ses seize ans.
STADES DE MAÎTRISE OU DE DÉVELOPPEMENT Il ne contrôle rien du tout, il ne sait pas ce qui déclenche ses crises de souffrances.
LIMITES ET CONTRAINTES Très peu de sorciers connaissent la malédiction qui pèse sur lui et il fait désespérément des recherches afin de trouver un descendant de l'homme qui a maudit sa famille afin de le convaincre de briser la malédiction. On découvrira à force de recherche que certains moments de la journées, certaines paroles, certains phénomènes météorologiques vont augmenter les risques de crise.
LOIS POSSIBLES EN VIGUEUR Lancer une malédiction est interdit par la loi, mais pas la levée. C'est ce qui fait espérer à Reagan que retrouver le descendant du lanceur l'aidera à lever ce voile pesant sur sa vie.

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POUR LES BOTTINS:

● inventé, de famille, scénario ou sans visage ?
Famille Prewett, première branche
FELIX PREWETT (DÉCÉDÉ) & ISABELLA PREWETT NÉE MACMILLAN (DÉCÉDÉE)
I - VITUS PREWETT (73 ANS, LIBRE) & SILVIA PREWETT NÉE XX (68 ANS, LIBRE)
→ MURIEL PREWETT (48 ANS, LIBRE)
→ AUCUNE DESCENDANCE

→  REAGAN PREWETT (45 ANS) & CHARLOTTE PREWETT NÉE GOYLE (DÉCÉDÉE)
↳ FABIAN & GIDEON PREWETT (NÉS EN 1945, PNJ)
↳ MOLLY PREWETT (NÉE EN 1949, PNJ)

→ GIDEON PREWETT (DÉCÉDÉ)

→ IGNATIUS PREWETT (32 ANS, LIBRE) & @LUCRETIA PREWETT NÉE BLACK (32 ANS, PRISE)



● Si scenario, merci de poster le lien vers ce dernier ici :

● avatar :

Code:

<w>Michael Fassbender</w>, @"Reagan Prewett"

● alter ego :

Code:

<wy>reagan prewett</wy> • <yw>lionel sawyer</yw>

● emploi et rôle:


quartier de l'emploi : SOUTHSIDE
nom de l'enseigne/département/institution : Gare ferroviaire

Code:

<w>Technicien à la maintenance, gare ferroviaire :</w> @"REAGAN PREWETT"

quartier de l'emploi : Londres
nom de l'enseigne/département/institution : Sainte-Mangouste

Code:

<w>medicomage :</w> @"REAGAN PREWETT"

organisation s'il y en a : La pègre

Code:

Trafiquant de psychotropes, Médicomage, @"REAGAN PREWETT"

● parcours scolaire: listing
(uniquement si ton personnage est sorcier·e)

école : Poudlard
maison et année de fin de scolarité : Poufsouffle, 1927
était-iel préfet·e et/ou préfet·e en chef ? Non.
était-iel joueur·euse de quidditch ? Gardien (1923 à 1927)
faisait-iel partie d'un ou plusieurs club(s) ? Aucun

● groupe : Silentio

● faceclaim : Michael Fassbender

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<a href="https://inforthekill.forumactif.com/t2841-roux-qui-tousse-n-amasse-pas-mousse">
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<div class="name2"><si>REAGAN PREWETT</si></div>
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<fi>ÂGE:</fi>  45 ans<br/>
<fi2>MÉTIER:</fi2> Médicomage<br/>
<fi>FACTION:</fi> La pègre<br/>
<fi2>SANG:</fi2> Pur<br/>
<fi>IDENTITÉ MOLDUE:</fi> Lionel Sawyer</br>
<fi2>MÉTIER MOLDU:</fi2> Technicien de maintenance, gare ferroviaire </br>
<fi>CRÉDIT:</fi> TAG
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<div class="names">MICHAEL FASSBENDER</div>
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Ce personnage est haut en couleurs et nous change des deux précédents loustics ! J'ai vraiment hâte de le voir en difficulté dans des situations farfelues, je pense qu'on va se payer de bonnes tranches de rire avec ce Prewett.

tu passes l'étape de la validation bravo petit monstre, l'équipe se joint à moi pour te souhaiter encore une bienvenue chaleureuse.

intégration direction cette section pour des liens. Ne sois pas timide, tu peux poster directement dans les sujets des autres joueurs avec une idée. Une aide sera toujours apportée si tu te sens perdue ou que tu penses avoir besoin d'aide pour t'y retrouver sur le forum.

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