It is true, we shall be monsters| Aoife

08.02.21 18:13

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you have nothing to fear

Aoife
Malfoy

if you have nothing to hide

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PRÉNOM, NOM ●Aoife, lame qui glisse sur la langue, qui transperce comme elle caresse. Ça sent la bruyère et la tourbe, l'accent épais et les jurons lancé en gaélique. Crabbe. Ça empeste l’éthanol, les relents de vieilles carnes décharnées. Cette aura sombre qui vous suit dès le berceau. Synonyme d’expériences plus ou moins ratées, de vieilles cicatrices et de cris étouffés. Patronyme de naissance où se raccroche sa loyauté. Violence hantant ses os, à peine dissimulée par les dorures et la finesse du nom hérité. Malfoy depuis qu'elle est liée par l’or à son annulaire, pièce rapportée n’ayant toujours pas apporté l’hériter tant désiré.
TRIGGER WARNINGS ● Blessure, violences physiques et psychologiques. Meurtre. Sang. Alcool. Sexe (j'édite au fur et à mesure.)
ÂGE & DATE DE NAISSANCE ● Poupon vagissant offert au père un soir de mars 1921. Nouveau sacrifice à la carne vite marquée. Elle ne les craint pas les années qui défilent, le sable du temps qui glisse entre ses doigts. Privilège d’une jeunesse à peine entachée. Trente-deux ans c’est bien peu pour tout ce qu’elle doit accomplir, tout ce qu’elle a déjà réalisé. Poupée abîmée au regard vide de celle qui en a trop vu, trop fait.
ORIGINES & BRANCHE FAMILIALE ● La folie chevillée au corps, la lueur prédatrice dans les prunelles. Ça coule dans ses veines, c’est inscrit dans son ADN. Enfant unique de la seconde épouse de Corvus. Le sang britannique, et les origines juives de la maternelle. Matrice qu’elle a bousillée en venant au monde, déjà douée pour détruire Aoife. Seule poupée survivante, ombre de ses demi-frères adulés.
STATUT CIVIL & ORIENTATION ● Ichor coagulé qui s’incruste sous l’anneau sacré. Hymen sacrifié sur l’autel depuis deux courtes années. Noces célébrées dont elle a retardé la venue. Le fiancé dont elle a épuisé la patience. Alliance bancale qu’elle malmène avec ses errances, les draps froissés, corps qu'elle offre sans arrière-pensée, le myocarde une chasse gardée. L’ultimatum de l'époux vite tombé face à l’incompréhension et au fanatisme de l'épouse.
PROFESSION DE COUVERTURE ● Elle ne saurait s’affliger pareille bassesse. Déshonneur qui répugne, laisse un goût de cendre sur la langue. Rictus dédaigneux qui pare les lippes à la mention de ce décret. Jamais la fierté n’a été plus grande face à la nature de son être. Jamais la haine si profonde.
PROFESSION SORCIÈRE ● Les ongles qui grattent la crasse, la poussière dans les narines. Sortilèges sur la langue, baguette dressée et expériences qu’elle tente dans l’arrière-boutique de Borgin & Burkes. Elle y a ses quartiers. Étagères qu’elle remplie de ses propres atrocités. Employée dévouée.
NATURE DU SANG ● Carmin épais, vicié par la magie noire pratiquée depuis des générations. Mais nul moldu n’a jamais entaché l’arbre généalogique, la dernière pureté qu’ils défendent. Suprématie revendiquée qu’elle se doit de faire perdurer.
LIEU DE VIE ● Elle pourrait presque faire tâche à Mandrake Alley. Elle n’a pas le sourire poli qui vient facilement, pas de ces apparences policées qui charment délicatement. Elle attire les regards Aoife, comme un accident de voiture ou un incendie. Putain de feu d’artifice ayant bien plus sa place à Bezoard Street où l’on ne regardera pas de travers les cicatrices lui barrant les bras ou ses sourires lascifs. Elle détonne dans le décors millimétré de la demeure Malfoy autant par son feu destructeur que par ses absences. Son ombre hantant bien plus souvent Bezoar Street ou le manoir Dolohov.
GROUPE ● Discordia - Le compromis impensable, la domination le seul avenir possible.
UNE FACTION ? ● Mangemorts, white horse - Les mains rougies, la violence contrôlée. C'est son génie qu'elle met surtout à profit, qu'elle offre à l'organisation pour la voir grandie.
MIROIR DE RISÈD ● Hémoglobine sur la face, elle ne détourne pas les yeux de son œuvre pourtant la brune. Fulminant encore d’une rage incandescente. Sourire triomphant affectant le rictus cruel. La mort dédommagée, le sang versé en juste paiement. Julius vengé, peut-être qu’il murmurera moins souvent à son oreille, la laissera trouver le repos.
ÉPOUVANTARD ● Mise en joue. Les chiens qu’ils désamorcent de leur doigt crasseux. Les détentes caressées presque lascivement alors qu’elle se trouve du mauvais côté du canon. Elle a la haine aux tripes, chassant difficilement la peur qui prend racine. Ils sont déjà étendus à ses pieds. Ses frères, Viktor, son père. Ils ont tout pris sans qu'elle puisse les en empêcher. Bille d'obsidiennes figées sur iris de mousses fixant le ciel pour l'éternité lorsque résonne le bruit de la détonation à ses oreilles.
AVATAR & CRÉDITS ● Gemma Arterton, britannique,origines juives (du côté de la Mère d'Aoife) . Avatars by Pluplumes

CARACTÈRE OU RÉPUTATION ● Déterminée - Sensuelle - Cruelle - Charmeuse - Violente - Menteuse - Effrayée - Orgueilleuse - Colérique - Impulsive - Susceptible - Curieuse - Audacieuse - Sournoise - Intelligente - Adepte de magie noire - Passionnée - Embrigadée - Entière - Possessive - Charismatique - Curieuse - Abîmée

WHO ARE YOU REALLY?

I - Comment ta vie a-t-elle été impactée par la chasse aux monstres ?
Grande Révélation. Ils s’affichent enfin pour ce qu’ils sont, cruels, ignorants. Une plaie infectée qu’il faut nettoyer pour que votre société puisse prospérer. Violence justifiée face à leurs actes immondes. Coup de scalpel nécessaire pour ôter la tumeur gangrenant la Grande Bretagne. Loin d’être un mouton obéissant n’attendant que l’abattoir, elle agit Aoife, en témoigne la marque présente sur son avant-bras. Parfaite occasion pour chasser ceux qui ont lynché son frère, violence envers les moldus qu'elle ne prend plus la peine de dissimuler comme avant.

II - Que penses-tu du décret du Ministère de 1952, qui stipule que tout·e sorcier·e en terrain moldu doit avoir un emploi de couverture ?
Vaste supercherie. Une mauvaise plaisanterie de trop mettant la faiblesse de Ministère en exergue. Ils plient, échines ployées devant la vermine moldue. Il lui donne la gerbe ce décret. Déférence envers les sans-magie qui devrait ployer le genou devant eux. Elle le foule au pied ce texte, le revendique même. Préférant éviter de te mélanger à ces immondices qu’à te forcer à une telle bassesse.

1921 ● Naissance - Naissance de la descendante. Dernière en date. Le poupon, la petite poupée vite malmenée par l’amour paternel. C’est qu’il laisse des traces, dans ces éclats, dans sa violence. Attachement destructeur teinté par la folie du chercheur.
1932 ● 11 ans - Élans non refrénés qui la porte vers le château une fois sa lettre en poche. C’est qu’ils lui manque ses frères aînés, qu’elle s’est retrouvée seule comme objet de l’affection de l’amour paternel bien trop lourd à porter. Il a hésité le choixpeau un fois posé sur sa chevelure sombre. Partagé entre la maison de des érudits et celle du serpent. Et elle a prié Aoife, pour ne pas être séparée de ses frère, de ne pas être la seule qui n’aurait pas son dortoir sous le lac noir. Elle devint la quatrième et dernière enfant Crabbe à rejoindre les rangs de la maison des vert et argent.
1933 ● 12 ans - Pas même une Une de la Gazette. A peine un article sans doute écrit en hâte par un stagiaire. C’est que sa famille n’a pas le blason aussi doré que les autres, qu’est-ce que ça peut leur faire que son monde s’effondre ? Un meurtre, ça ne fait pas la première page, pas quand il s’agissait d’un gamin un peu perturbé un peu trop bousculé par des moldus inconnus.
1939 ● 18 ans - Elle s’est trouvée démunie après leur départ. Elle qui fut leur ombre, la petite protégée lorsqu’ils hantaient encore les couloirs de Poudlard. Elle ne cherchait même pas à la dissimuler, cette admiration qui faisait qu’elle les suivait un peu trop souvent, ne prenant pas ombrage de leur protection étouffante. Il ne lui a pas fallu longtemps, une fois ses ASPICS en poche pour partir, les rejoignant dans ce tour de l’Europe qu’ils avaient de si nombreuses fois, évoqué.
1941 ● 20 ans - Elle les a laissés en France les inséparables. Des souvenirs pleins la caboche qu’elle revient sur le sol britannique. Une rencontre à Paris qui a tout changé. Qui lui a permis de s’éloigner de ces mèches blondes et de ce sourire de canaille qui devenaient un peu trop entreprenants. Un mentor qu’elle n’aurait pu espérer. Il est brillant Nicolas, discussions pouvant durer des heures et qui lui permettent d’étancher cette soif inextinguible de connaissances.
1943 ● 22 ans - Elle ne dira jamais ce qui l’a poussée à rejoindre Borgin & Beurks. Sur les raisons qui l’ont fait cesser son apprentissage auprès de Flamel. Elle clame à qui veut l’entendre qu’il se met trop de barrière, empêche son raisonnement d’aboutir car s’encombrant d’une éthique trop étouffante. Elle garde pour elle le reste, cette relation tissée avec l’alchimiste, sa quête de reconnaissance et de tendresse qui s’est achevée bien étrangement.
1948 ● 27 ans - Ils sont revenus la bouche en cœur, malice brûlant dans les prunelles alors qu’ils content leurs exploits. Atticus et Antares au rictus charmeur. Elle l’évite un temps Aoife. Ne devinant que trop bien ce qui se terre dans l'éclat de ses prunelles, ils ne sont pas fait pour aimer proprement chez les siens. Le couperet tombe assez vite pourtant lorsque ses fiançailles sont annoncées avec le fils Malfoy.
1952 ● 31 ANS - Le son des cloches à comme un arrière-gout d’éloge funèbre alors qu’elle s’avance vers l’autel. Elle les aura fait durer ses fiançailles. Persuadée que tant que Julius ne sera pas vengé elle n’a pas le droit au bonheur quel qu’il soit. Qu’elle va l’abîmer son époux, le faire saigner. Ils ne savent faire que ça chez elle. Ils sont trop dissemblables. La découverte du Maledictus lui passe complètement au-dessus de la tête un moment, même si elle saisit cette opportunité pour se plonger dans une bataille qui lui permettra de garder Antares bien loin d’elle.
1953 ● 32 ANS - Elle n’a pas hésité longtemps face à la menace. Mains déjà souillées de sa recherche pour la Justice. Ils tombent à ses pieds, innertes, les moldus. La disparition d’Ollivander, acte de guerre selon son point de vue, lui ayant permit de s’éloigner de la demeure bien trop rangée de l’époux. Elle déserte Aoife, se plonge à corps perdu dans la cause. Le détachement glacial des Malfoy en total contradiction avec ses emportements fanatiques.
1954 ● 32 ANS - Elle chasse, tentant le diable plus que de raison. Il ne peut pas la hanter indéfiniment Julius. Murmures incessants la gardant éveillée, paupières qui refusent de rester fermées bien longtemps alors que son corps git dans la couche maritale. Elle s’envole Aoife. Fuit ses fantômes dans d’autres couches, dans son établi à la Boutique. Il n’y a pas de bruits entre ces murs délabrés si ce n’est les cliquetis réguliers de ses pensées. La plume qui gratte le parchemin avec ferveur. Elle reste dans les ombres Aoife. Bien loin du Ministère et de ses ordres délétères. Appel du maître auxquels elle répond toujours promptement. Échine pliée devant celui qui pourra lui offrir la vengeance réclamée.

BEHIND THE SCREEN ● PSEUDO & PRÉNOM: Pluplumes aka Meg SCÉNARIO OU PERSONNAGE INVENTÉ? Inventé ÂGE: still team mémé PAYS: le ch'nord SORT OU PERSONNAGE FAVORI: Sectumsempra/ Rémus Lupin COMMENT AS-TU CONNU IFTK ? via discord AIMERAIS-TU AVOIR UN PARRAIN ? nope i'm good thank you aface

DES SUGGESTIONS ? j'vous love coeur

IN FOR THE KILL - 2021

08.02.21 18:13

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you have nothing to fear

IN FOR
THE KILL

if you have nothing to hide

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Tell me your story, one scar at a time - 1926 TW : sévices

L’atmosphère sombre régnant dans le laboratoire de son père ne l’aide pas à se réchauffer. Elle tremble Aoife du haut de ses cinq ans. Petite figure chétive allongée sur une table glacée. Elle s’est portée volontaire la poupée. N’ayant pas supporté la terreur dans le regard de son aîné. Il a peur Julius, elle pourrait presque encore faire rouler sa terreur sur sa langue si la bile ne lui brûlait pas déjà la gorge. Une inspiration. Trop profonde. L’odeur de sa propre chair brûlée qui vient lui piquer les narines. Ne pas tousser, ne pas bouger. Il a été très clair son père. Il est concentré, le bout de la baguette pointé sur l’avant-bras tendre de sa progéniture. Incision qu’il pourrait presque pratiquer les yeux fermés. Douleur qui se diffuse le long de son bras. Elle trépigne la gamine, mord sa lèvre pour se focaliser sur autre chose. Perle salées qui s’amoncellent dans son regard mais qu’elle se refuse de verser. « It hurts dadaidh… » Main fraiche qui vient se poser sur son front presque délicatement. Chasse les mèches brunes qui s’accroche à l’épiderme humide. « Shhhh.. It’s almost done. » Il est tendre le sorcier. Sa stature gigantesque qui se penche au-dessus de l’enfant pour déposer un baiser affectueux sur son front. Alors elle reprend courage la gamine. Sourire tiré aux lippes. Que pourrait-il lui arriver lorsqu’il veille sur elle ? Hurlement qu’elle n’a pas su retenir lorsqu’il verse une mixture sombre dans la plaie. Une cicatrice de plus venant barrer l’albâtre de son membre déjà marqué.

Les origines d'une haine ordinaire - 1933

Elle les entend parler. Rassemblés dans un coin de l’infirmerie, échangeant murmures et présomptions. Leurs longues silhouettes penchées les uns vers les autres comme si cela pouvait leur assurer le sceau du secret. Œillades qu’elle remarque. Pitié, curiosité, crainte. Elle ne sait comment les interpréter. Elle git dans un lit misérable, dans l’impossibilité de se mouvoir. Groggy. Ici et en même temps absente. Droguée. Cela ne leur a pas plu la façon dont elle a réagi à la nouvelle. Toute en rage destructrice et en coups qui s’envolent. Chat sauvage laissant chaos et destruction dans son sillage. Cris déchirants et haine confessée lorsqu’ils s’attendaient à des larmes silencieuses. « He escaped from St Mungo’s they said… » Elle veut hurler Aoife. Se boucher les oreilles. Bloquer leurs murmures incessants. Elle ne veut pas. Parce qu’ils vont forcément salir le nom de Julius d’une façon ou d’une autre. Julius le timide, le renfermé. Il était doux, presque fragile. Il ne savait pas comment gérer ses cicatrices, c’est tout. Et ils le lui ont pris. Imagination trop fertile qui imagine déjà sa dépouille maltraitée. Elle lutte pour se mettre sur le côté. Regard rougit et bien trop fixe. Myocarde au bord des lèvres alors qu’elle ne veut pas entendre les détails. « They’ll come for them tomorrow. » Elle, ses frères. Ils ne sont pas là. Personne ne se tient à côté d’elle, ne lui tient la main. Elle ne les a pas revus depuis qu’elle s’est effondrée au sol. Elle se souvient juste de les avoir entendu crier son nom et puis plus rien. Le noir. Le froid.
Les paupières qui papillonnent pour lutter contre l’engourdissement. Elle n’a pas pu entendre la fin de leur conversation. Elle a dérivé, s’est laissé glisser. Mais la première chose qu’elle voit en s’éveillant le lendemain sont deux billes de jade. Le visage patient de son camarade de classe. Il ne juge pas, il se contente d’être là. Palpitant qui dérape en cet instant. Reconnaissance gonflant la poitrine. Il n’est pas dégouté Viktor. Jamais, par ce que tu peux montrer. Il te voit et ne se détourne pas. Sa dextre que qu’elle saisira et ne lâchera pas jusqu’à ce que ses frères débarquent dans la pièce.

Your knife, my back - 1934

Elle ne l’avait pas vu venir celle-là. Ça l’a prise au dépourvu et elle s’est trouvée con. Sans doute pour cette raison qu’elle se fait venimeuse et provocations. Car elles sont les deux faces d’une même pièce. Sorties du même moule ou presque. Vous vous compreniez avant. Vous vous complétiez. Celle que la brune admirait sans trop s’en cacher. Elle ne jugeait pas avant Medusa. Avait ce sourire placide qui assurait que rien de ce qu’elle pourrait faire ne serait trop. Avant. Depuis la rentrée, elle s’est faite reine des glaces la grecque. Distante, persifflante, comme si la présence de la Crabbe pouvait la souiller. Elle n’a pas digéré le dégout qui a froissé le visage de Medusa à son retour. Ça lui reste coincé dans la gorge. Lui donne envie de blesser. Trahison qui laisse une blessure de plus. Elle n’avait pas besoin d’une personne de plus qui la regarde de travers, la forçant à ne pas dévoiler ses bras nus par le poids de leur jugement. Car elle a beau clamer le contraire, Medusa n’est pas si différente d’elle. Noirs secrets confiés lorsqu’elles étaient seules… Elle en aurait des choses à dire pour lui rappeler qui elle est.

Fire and Ice - 1941

Mouvements incessants. Une ville après l’autre, ils se jouent de évènements. L’histoire n’ayant de prise sur leurs corps agiles. Membres graciles se perdant dans une danse insouciante alors que l’Europe se déchire. Spectateurs contemplatifs face aux agissements des moldus ou de la guerre intestine qui mine votre société. Elle ne prend pas partie Aoife, reste en retrait alors que Grindelwald se fait plus imposant. Jeunesse insouciante qui pose bagage dans la capitale française. Elle n’y est pas à l’aise la sorcière. La ville à l’image du Malfoy à son bras. Trop droit, propre par endroit. Elle voudrait y mettre le feu à la ville Lumières. Accents guindés qui l’insupportent. Mais elle essaie de profiter, de ne pas tout gâcher avec ses rictus mauvais. Les sermons d’Atticus lui revenant en mémoire bien souvent. Sois patiente, profite du voyage, souris. Mais la lasse les mondanités. Ces sourires crispés placardés aux lippes. Si elle n’avait rencontré Flamel la veille, elle se serai déjà éclipsée.

Homesick qu’il moque Antares. Elle hausse les épaules. Il lui manque son laboratoire. Sa liberté de pouvoir mener des expériences quand l’envie la saisit. Elle veut se salir les mains, les enfoncer dans un terreau meuble et riche. Laisser son esprit explorer des contrées inexplorées. Mais ils ne sont pas comme cela les bellâtres. Sourires lascifs qu’ils balancent lors de leur soirée, alcool ingurgitée de manière indécente. Tu t’es découverte charmeuse à leurs côtés, toute en courbes à caresser. Désir qu’elle a appris à faire naître dans les bras de quelques français.
Elle se doit d’être présentable la brune. Nettoie la crasse incrustée sous ses ongles d’avoir passé des heures à travailler sur un projet qu’elle souhaite présenter à l’alchimiste. Croissants de lune rougis par l’hémoglobine séchée. Elle frotte, applique le savon parfumé avec application lorsque des paumes se saisissent de ses hanches. Phalanges avides marquant sa chair alors qu’elle se retourne, le visage fermé alors qu’elle fait face à Antares. « What are you doing ? » Visage qui s’avance vers celui de la sorcière qui se détourne pour se rincer les mains. « Come on Aoife. » qu’il souffle contre le rideau de soie noire. « I like you, we could be something you and I. » Il se berce d’illusion et elle le sait. Ils sont trop dissemblables. Se mariant aussi bien qu’une flamme et de la glace. Il n’est que distinction et sourire courtois là où elle explose sans se soucier des dégâts qu’elle cause. Elle a beau l’apprécier, reconnaitre ses charmes, la certitude reste qu’ils se détruiraient l’un l’autre. Mains qu’elle secoue pour en chasser les dernières gouttes d’eau avant de s’esquiver. Elle ne le regarde pas Aoife, dévie le visage. « My brother is just behind that wall Antares. » Explication qui devrait être suffisante tout en épargnant son égo. Elle essaie. Pour lui, pour son amitié avec son frère et l’admiration qu’elle lui voue. « I don’t care. » Qu’il supplie. Et elle le regarde alors, flamme cruelle illuminant les prunelles. « I do. » Ça claque sur la langue, plus cruel qu’elle ne s’y attendait.

Pieds et mains liés - 1952

Ils se moquent les carillons, s’esclaffent devant sa déchéance. Louanges de cuivre pour célébrer l’union. Il est lourd l’anneau à son doigt alors qu’elle s’efforce de récolter les félicitations avec grâce. Elle ne sourit pas la mariée. Ou si peu. C’est crispé. Nouvelle victime de la tradition familiale, mariage qu’on lui a enfoncé au fond du gosier. Elle ignore comment il a fait pour que le choix du paternel se porte sur lui. Quels mots il a susurré à Corvus pour s’assurer la main de la brune. Ce n’est pas faute d’avoir essayé pourtant, de lui faire comprendre. L’ombre et la lumière ne sont pas fait pour se mélanger. Elle peine à se détendre contre lui, la main de son mari reposant sur sa hanche de manière possessive. Ce n’est pas l’émoi qui accélère le pouls de la belle pourtant. Ressentiment, colère. Elle se sent piégée. Contrat qu’elle a négocié pour garder un semblant de liberté. Car la demeure de son époux a beau être dorée, elle n’en demeure pas moins une cage pour autant. Elle va être exhibée, trophée brandit et que l’on garde précieusement pour donner naissance à la prochaine génération. Il est totalement inconscient de ce qu’il invite dans son foyer. Des ombres qui vont venir ternir le tableau de famille parfait. Car elle va tout détruire Aoife, elle le sait déjà. Pas par vengeance ou perfidie bien que cela lui irait, mais parce qu’elle ne sait faire que cela. Qu’on ne met pas une tempête dans un bocal en attendant qu’elle se calme. Il est tout sourire et fierté le jeune marié alors qu’il s’empare des lèvres de la jeune épousée devant la liesse générale de leur assemblée. Totalement inconscient qu’elle peine à lui rendre son baiser.

IN FOR THE KILL - 2021

08.02.21 18:13

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you have nothing to fear

se recenser

if you have nothing to hide

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POUR LES BOTTINS:

● inventé, de famille, scénario ou sans visage ?
Seule enfant de la seconde épouse de Corvus Crache. Inventé dans une famille
● avatar :

Code:: <w>Gemma Arterton</w>, @"Aoife Malfoy"

● emploi et rôle:

quartier de l'emploi : Bezoar Street
nom de l'enseigne/département/institution : Borgin & Burkes

Code:: <ww>employée<ww>, @"Aoife Malfoy"

organisation s'il y en a : Mangemorts
nom de la branche : White Horse

Code:: white horse, @"Aoife Malfoy"

● parcours scolaire: listing
(uniquement si ton personnage est sorcier·e)

école : Poudlard
maison et année de fin de scolarité :Serpentard - 1939
était-iel préfet·e et/ou préfet·e en chef ? non
était-iel joueur·euse de quidditch ? Non
faisait-iel partie d'un ou plusieurs club(s) ? club de Slughorn (1936-1939)

● faceclaim : listing

Code:: <a href="https://inforthekill.forumactif.com/t737-it-is-true-we-shall-be-monsters-aoife">
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<div class="name2"><si>Aoife Malfoy</si></div>
<div class="fa_1"><div class="img_fa1">
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<fi>ÂGE:</fi> 32 ansi<br/>
<fi2>MÉTIER(S):</fi2> Employée à la boutique de Borgin & Burkes<br/>
<fi>FACTION:</fi> Mangemorts<br/>
<fi2>SANG:</fi2> Pur<br/>
<fi>CRÉDIT:</fi> kidd
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</div></div></div></div>
<div class="names">Gemma Arterton</div>
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</a>

IN FOR THE KILL - 2021

09.02.21 8:29

cette fiche damn
the queen is here
watch me dévorer tous tes rps jpp choquée

si triste de ne pas jouer ton bro
encore bienvenue love poupoule

09.02.21 11:20

@Woodrow Weasley but

J'espère qu'Aoife te plaira, qu'elle fera honneur aux Crabbe pray

Merci et Love you too coeur

It is true, we shall be monsters| Aoife QtUwwi8q_o

09.02.21 12:22

Yaaaay le retour de Gemma keur

On t'aime tellement sous ce fc et puis une Malfoy OMG diva

Wsh, on renie pas les Crabbe babe, c'est la team des gagnants cillia

Rebienvenue avec ta beauté coeur

09.02.21 12:25

she's finally here stp

gemma est si parfaite diva

j'ai hâte de découvrir Aoife love

09.02.21 13:23

@Dara Crabbe tu vas me faire chialer sad

J'suis tellement contente de la retrouver my wife hearteyes

T4inquiètes Love, ça se renie pas les Crabbe, never .. Va falloir qu'on cause toi et moi btw ange

@Anya Patil Merci ma douce sad

09.02.21 19:00

gemma, such a queen. diva

tout est si parfait, le fc, le pseudo, crabbe/malfoy, tes mots.
rebienvenue ici. damn

09.02.21 23:09

@Emile Rosier hurle

Right in the feels keur

Merci chat

10.02.21 16:14

rebienvenue darling toujours autant de beauté volée han hearteyes

11.02.21 10:14

@Alcyon Flamel You, me... jtm

Merci pour tes mots love coeur

11.02.21 10:36

GEMMA MA WIFE

Spoiler:

je l'aime d'amour t'avais compris, je l'ai tellement jouée sur les fo tombe

ET CE DEBUT DE FICHE AGHKLJGL JE SUIS FAN DU CONSTRASTE CRABBE/MALFOY
jtm

Citation :: Elle pourrait presque faire tâche à Mandrake Alley. Elle n’a pas le sourire poli qui vient facilement, pas de ces apparences policées qui charment délicatement. Elle attire les regards Aoife, comme un accident de voiture ou un incendie. Putain de feu d’artifice ayant bien plus sa place à Bezoard Street où l’on ne regardera pas de travers les cicatrices lui barrant les bras ou ses sourires lascifs.

ptdrrr je vois déjà Medusa, la reine de glace, du haut de son piédestal là, lui jeter des regards en coin à Mandrake Alley, ne comprenant pas ce qu'Aoife fou ici.
:orlly: