GODRIC'S HOLLOW ● Dans l’ombre, un texte commence à circuler dans les différentes communautés magiques, lu lors de soirées mondaines, traduits dans une dizaine de langue, le pamphlet, extrémiste, fait assez parler de lui pour être reproduit par les journaux ou lu sur les ondes de nombreuses radios afin d’en commenter ou critiquer le contenu. L’illégalité de leur organisation ne semble nullement avoir empêché les Mangemorts de diffuser leurs idéaux. (lire le pamphlet)
Vous devez valider un défi particulier et vous ne savez pas où ? Voici la fameuse… « PARTIE ADÉQUATE » dont vous avez tant entendu parler ! Merci de ne pas flooder dans cette partie, afin que tout le monde puisse s'y retrouver !
Et j'inaugure cette partie ! Pour @Mona Parkinson, nous avons retrouvé le poème d'un amoureux, qui n'était pas poète pour un sou, et qui ne lui a jamais été donné à l'époque de Poudlard. Sans doute un lycanthrope un peu maladroit.
Mille étoiles sont déjà passés dans tes yeux, mais aucun ne vaut l’éclat étincelant qui y perdure. Oh délicate fleur hivernale, la froideur de tes pétales n’a de cesse de me brûler les doigts. Nanti est ce que tu fais de moi, lorsque ton regard se pose, même pour quelques secondes, sur moi. Ah que ne donnerai-je pour te serrer contre moi, toi qui virevoltes pourtant dans d’autres bras.
Dans l'arène du monde, Mona règne, altière, Regard de reine, fier, éclat impérial, Elle foule la vanité populaire Avec un mépris presque magistral.
Elle, l'insoumise aux conversations vides, Cherche dans chaque mot le sens caché, Fugue dans des dialogues lucides, Où brillent les esprits recherchés.
Son monde est un bal masqué de silences, Où chaque geste dit plus que mille mots, Un cil qui bat peut lancer une offense, Ou sceller des amours sans défauts.
Sorcière des temps modernes, subtile, Ses charmes sont de ceux qu'on ne voit qu'une fois, Potions réussies, malices qui scintillent, Dans l'art de la ruse, elle porte la croix.
Mais sous le vernis, un esprit de bataille, Féroce, brûlant d'un feu indompté, Sa volonté d'absolu, sans faille, Frissonne au bord d'un noir désespéré.
O Mona, puisses-tu trouver en ton chemin La douceur parmi tes grandes ambitions, Que ton regard puisse se poser enfin Sur un horizon où fleurissent tes passions.
décade : (trente-six éternités) la carne fatiguée, omoplates affalées.
labeur : (armurier) lames rutilantes et pistolets assassins, l'on ne vante plus les talents de celui qui confectionne et entretient les armes de haute facture.
storytime :
› body talks (vivian).
› ces petites victoires (hunters).
› hérétique monotonie (raleygh).
sang : (moldu) être pur dénué de magie, essence que l'on ne saurait souiller.
myocarde : (marié) à tout jamais lié à l'amie d'enfance, les jeunes époux qui s'apprivoisent entre désir et mensonges.
allegeance : (chasseur) boucher, ogre morfale en quête de vengeance. bras droit de la branche braconnière aux côtés de la Barbare. Persévérance sous la coupe des Vertues.
particularité physique : (scars) stigmates de la guerre fracassant le derme, couverts par l'étoffe.
un petit pas grand chose pour @MONA PARKINSON, largement inspiré de son rp avec Chatonin. (pas d'obligation d'usage évidemment, je pose juste ça là)
DYNASTIES ANDDYSTOPIA.
DUTY IS THE DEATH OF LOVE. LOVE IS THE DEATH OF DUTY.
Code:
<center><div style="width:111px;"><img src="https://64.media.tumblr.com/576ae79b995982a67b7c7717ccbabe39/553ddfd0b03e2f7b-20/s400x600/83ddae0732baac479d81ee7387dc36290fac10ab.gif" style="object-fit:cover;width:180px;height:60px;padding:1px;background-color:var(--fwhite);border:1px solid var(--bord1);filter:grayscale(100%);"><div style="font-family:Didot;text-transform:lowercase;font-size:10px;margin-top:-40px;width:180px;color:white;position:absolute;">DYNASTIES <I style="color:var(--discordia);">AND</I> <b>DYSTOPIA</b>.</div><div style="width:180px;line-height:8px;font-family:open sans;font-size:8px;text-align:justify;padding:3px 0px 3px 0px;text-transform:lowercase;">DUTY IS THE <b>DEATH OF LOVE</b>. LOVE IS THE DEATH OF <u>DUTY</u>. </div></div></center>
labeur : Secrétaire pour l'ambassadeur soviétique du Royaume-Uni et traducteur pour une petite maison d'édition du côté moldu
alter ego : Antonin Smirnov, l'identité sous laquelle il est né, est arrivé en Angleterre, le nom de sa mère, une manière de ne pas l'effacer complètement.
sang : Sang-pur
don : Troisième oeil, rêves flous, visions du passé ou du futur, difficiles à cerner qui le tiennent éveillé des nuits entières
myocarde : Romantique au coeur brisé, cherchant une âme-soeur, un homme pareil aux romans gothiques qu'il affectionne tant. Cœur épris dont la relation naissante est déjà brisée par des fiançailles arrangées.
allegeance : Mangemort. Si il n'accorde pas autant d'importance à la question de la pureté du sang que d'autres, il estime que les moldus sont un danger pour le monde magique. A ne pas éradiquer mais à soumettre, à arrêter avant qu'il ne soit trop tard.
particularité physique : Une cicatrice dans le bas du dos, vestige, marque au fer rouge d'une enfance et d'un oncle trop brutal.
Je sais que c’est difficile pour toi en ce moment avec l’absence de ton père. Je t’admire pour ta force de caractère. Tu as toujours été une petite fille pleine de bonté et de beauté. Une belle âme qui a rencontré quelques épreuves au cours de ta jeune vie. Tu es sans doute la plus courageuse de nous tous mais sache que ma porte t’est et te sera toujours ouverte. Tu peux venir jour comme nuit quand le besoin te prend, si en plus on peut contrarier ma chère épouse sous son plus naturel apparat, quand le moral te tombe dans les chaussettes et que tu as juste besoin d’une présence. Sache que tu n’es pas toute seule, nous sommes là si besoin, ‘je suis là. J’aurai toujours du plaisir à t’entendre parler de Quidditch, de tes anecdotes avec tes amies, de tes petits flirts. D’ailleurs, n’as-tu pas des choses à me raconter ? Je me languis de tes petites aventures. Il me tarde de te voir !
LAVERNE DE MONTMORENCY - née en l'an de grâce 1820, la douce Laverne Stéphanie Louisa Pénélope de Montmorency a traversé un siècle éminemment troublé avec la grâce d'un papillon - et la force de caractère d'un ouragan. Sa famille prétendit parfois descendre d'une lignée noble ayant souffert de la Révolution... Mais comme toujours, en ce qui concerne Laverne de Montmorency, la réalité était sans doute bien plus terne - la dame n'étant pas averse à l'art du mensonge et de la duperie : les Montmorency proviennent de la petite bourgeoisie, et se sont élevés en société grâce à leur commerce de tissus particulièrement raffinés.
Ses origines exactes sont toutefois de peu d'importance, tant la dame mit d'acharnement à s'élever encore et toujours, fréquentant les cours successives des Bourbons et de Napoléon III tout autant que les cercles de sorciers bien nés qui se réunissaient alors en secret. Passionnée de potions et autres mixtures, Laverne est généralement considérée comme l'inventrice de l'Amortentia (si d'autres philtres d'amour existaient avant sa découverte, ils étaient généralement moins efficaces, et dépendaient d'une affection préexistante entre les sujets concernés).
Ce que personne ne sait, c'est que cette figure historique - qui dispose de sa propre carte dans le jeu de Chocogrenouilles - n'avait pas d'intérêt que pour les passions de ses concitoyens. La réelle raison de l'invention de l'Amortentia relève en effet d'un plan soigneusement ourdi par la demoiselle, qui cherchait par tous les moyens à obtenir la faveur d'un certain alchimiste dont on disait qu'il avait réussi à fabriquer de l'Elixir de Vie Eternelle...
Ayant dramatiquement échoué à séduire Nicolas Flamel - bien trop épris de sa femme Pernelle - Laverne parvint toutefois à partager quelques nuits avec le frère de ce dernier. Et si elle échoua dans sa quête des secrets de la Pierre Philosophale, cette liaison eut toutefois un résultat inattendu : un fils, prénommé Quentin. La belle eut toutefois l'intelligence de se marier suffisamment rapidement pour éviter toute disgrâce. Le nom de l'époux ainsi trompé ? Philippe Bulstrode, arrière-grand-père d'une certaine Solène...
faciès & dot : charlie hunnam. / ava (all souls), gifs (mars, r. rocket).
doublon(s) : keir, charles.
gallions : 1749
pronoms : he/him.
décade : (trente-huit) années soupirées, hivers burinant le derme, entaillant la pierre, visage éreinté, carcasse devenue trop lourde à traîner.
labeur : (croupier) golden dragon casino, repère de ses déboires, antre malodorante de sa débauche, geôle dorée dans laquelle trafiquer ses méfaits ; aux yeux de tous il bat les cartes, sous la table il passe les faux gallions blanchis pour le compte de la pègre.
alter ego : tommy becker.
storytime :
› un air de déjà-vu (augusta).
› what was i made for (agnès).
› what about us (erhy).
sang : (sang-pur) carmin immaculé, essence qu'il ne faut guère souiller, blason entaché de déshonneur, couronne d'épines arrachée au déshérité.
don : (occlumen)
myocarde : (en berne)
allegeance : (pègre)
particularité physique : (scars) trente-six lignes blanches gravées sur le derme, pour autant de temps passé dans les geôles putrides d'Azkaban. (tattoo) code barre traçant le numéro de matricule encré sous la carne, à la naissance du cou, au dessus de l'épaule droite.
NICOLAS ROSIER - Nicolas Antoine André Rosier naquit en 1623 dans les beaux quartiers de L’ile de la Cité à Paris, à l’ombre de Notre Dame. Rejeton et second fils du Comte André Rosier, seigneur de son domaine en Gascogne, et de la douce Louise-Marie, d’ascendance Lestrange, restée dans ses demeures parisiennes, le garçon est élevé dans les préceptes incombant à son rang de noblesse. Enfant studieux et appliqué, si bien que son précepteur laisse place à un véritable professeur issu des belles écoles, Nicolas éveille son intérêt dans les mathématiques et le dessin, grisant nombre de carnet de ses croquis, reproductions flatteuses des bâtisses observées depuis les hautes fenêtres de sa propre maison.
Puisqu’il n’est pas voué à hériter des terres du patriarche Rosier, laissant tout cette honneur à son aîné, le jeune Nicolas s’illustre plutôt, en sortie de sa scolarité à Beauxbâtons, dans de brillantes études en sciences appliquées et architecture, alimentant cette fascination de toujours pour les beaux murs et les bâtiments d’exception. Les travaux qu’il entreprend pour lustrer le blason des noms joints de sa famille font rapidement parler de lui : la demeure en Gascogne, nécessiteuse d’un coup de fraîcheur, n’a jamais été si resplendissante, tant par ses jardins que par le châtelet, et les appartements parisiens de sa mère suscite l’encensement des foules.
Peu à peu, le nom des Rosier s’associe à l’immobilier de qualité - en 1964, il est présenté au Roi Soleil pour présenter ses somptueux projets et participera ainsi aux différentes campagnes de rénovation du Palais de Versailles tel que nous le connaissons à ce jour. Aidé de quelques tour de baguette sous la manche, Nicolas Rosier rend la Galerie des Glaces absolument spectaculaire par d’ingénieux sortilèges rendant particulièrement agréable à l’oeil quiconque s’observerait dans l’un des nombreux miroirs baroques.
C’est à la fin de la troisième rénovation du château que Nicolas Rosier, éreinté, s’éteint dans son sommeil, laissant à sa veuve, une cousine éloignée Lestrange épousée sous l’influence de sa propre mère, cinq enfants auxquels il aura tenté toute sa vie d’inculquer l’amour de la pierre.
doublon(s) : arthur l’endive, edith la pimbêche, ron le papa ours et alicent la moldue.
gallions : 582
pronoms : féminins.
décade : vingt-cinq années, essence d’une jeunesse en pleine ivresse.
labeur : autrefois fille à papa, petite poupée au talent inné pour concocter des potions, potionniste indépendante qui ne peut plus exercer, obligée de se cacher, désormais pianiste de bar dans un restaurant chic moldu.
alter ego : annie montroses, petite française égarée en quête d’une vie bohème.
sang : sorcière dans les gênes, pureté dans le vermeil, héritage désavoué et renié.
don : esprit scellé, verrou déposé et cœur sous cadenas, intrusion rendue difficile par la pratique de l’occlumancie. (occlumancie stade II)
myocarde : éprise, le cœur offert à une belle incendiaire venant d’Irlande, prête à tout pour vivre son histoire même si cela fait d’elle une traîtresse à son sang.
allegeance : fugitive aux idées hors du temps, hors de son époque, rêve d’égalité, de paix, en désaccord avec les siens, mais à ce jour, sans faction déterminée.
particularité physique : poupée d’apparat, articulations cassées dans la pénombre, première balafre sur l’épaule gauche, maléfice reçu, peau craquelée, seconde balafre à la chute des reins, accident sur un balai, elle déteste voler depuis ce jour et peau marquée par l’encre noir, sous le sein droit se dessine une branche de belladone, aussi belle que mortelle, poison délicieux.
BLANCHE II MALFOY - lorsque ce cher Armand Malfoy prend la décision de quitter la France au profit de l’Angleterre au XI siècle, son plus jeune frère, Anselme, ne le suivra pas et restera dans le pays, persuadé que son aîné fait une énorme erreur. Anselme y voit aussi une opportunité, celle de prendre le pouvoir et d’imposer sa maison. Il quitte la capitale française et décide d’installer son fief dans le pays du Gévaudan. Sa lignée s’impose et en 1744, née Blanche deuxième du nom, Malfoy. Fille unique du descendant direct d’Anselme, son père, Jean verra en sa fille, une chance car elle est la seule enfant qu’il a eu avec son épouse, qui n’a pas trouvé la mort dans l’année suivant sa naissance. Pendant longtemps, on pensera d’ailleurs à une terrible malédiction. Blanche grandira sous l’étroite surveillance de guérisseur, craignant pour sa santé, mais la chance accompagne Jean qui voit sa fille unique devenir une belle et ravissante femme. Il sait qu’avec elle, son nom risque de disparaître, alors Jean tente en vain d’avoir d’autres enfants, mais le résultat est le même, si bien que son épouse trouvera la mort en même temps qu’un enfant à naître. Blanche, alors âgée de vingt ans, s’en retrouvera profondément marquée et décidera de rejoindre sa famille de l’autre côté de la Manche. Malheureusement, la diligence de Blanche fut attaquée en pleine nuit dans la forêt en traversant le pays du Gévaudan. On ne retrouva de Blanche, aucune trace et uniquement des restes de ses domestiques ainsi qu’une oreille du pauvre elfe présent. Les autorités magiques ont déclaré à Jean Malfoy que sa fille avait sans doute été attaquée par une créature magique très dangereuse. Peu de temps après, Jean se donna la mort par pendaison. Officiellement, la dernière lignée Malfoy fut éteinte à la suite de ces drames successifs, cependant, l’histoire de Blanche ne s’arrête pas là.
La tristement célèbre Blanche Malfoy a été attaquée par une créature oui, mais pas n’importe laquelle. Il s’agissait d’un loup-garou de passage dans la région. Elle n’était pas morte, mais perdue dans les tréfonds de la forêt. Mordue, elle a alors prit conscience qu’elle était désormais maudite, mais refusa de se donner la mort. Blanche avait une furieuse envie de vivre et s’installa parmi les moldus discrètement au sein du village de Langogne. Jolie, elle trouva très vite un charmant jeune homme comme compagnon, mais n’oublia pas qu’elle était maudite. Blanche usa et abusa de l’Impero et d’Obliviate pour manipuler son concubin. Elle s’échappa à chaque pleine lune pour subir sa condition. C’est à cette période que commença à se répandre la terrible rumeur de la Bête du Gévaudan.
Si au début, Blanche Malfoy était devenue Blanche Montroses, se trouva immonde à agir de la sorte, elle pris finalement goût à sa condition de loup-garou et céda à chaque pleine lune à ses pulsions, se délectant des moldus et de quelques sorciers. Cependant, son comportement alerta la couronne française et bientôt, des chasseurs arrivèrent en masse dans le pays pour abattre la bête. Les moldus, de piètres menteurs, firent empailler un loup qu’ils indiquèrent être la terrible Bête. Blanche leur donna tord en continuant ses actions donnant tord aux moldus.
L’affaire prit une tournure de plus en plus importante, si bien que les sorciers décidèrent de s’en mêler, persuadés qu’un loup-garou était responsable de ces crimes odieux. Jean Chastel, célèbre sorcier fut désigné par sa famille en charge du territoire comme gouverneurs, pour abattre la bête. Chastel rejoignit donc le groupe des chasseurs, sauf qu’il était armé de sa baguette en plein d’armes moldus. Il participa à plusieurs battues et prépara le terrain, enquêta discrètement et eut la conviction qu’il s’agissait d’un sorcier maudit caché parmi les moldus. Il remonta ainsi la trace de Blanche Malfoy et la pista dans la forêt à la tombée de la nuit, juste avant sa transformation. Chastel, sorcier émérite et bien plus doué que Malfoy reconnue la jeune femme comme la dernière de sa famille encore en France. Il n’hésita pas un instant et la tua en usant du sortilège impardonnable de la mort. Pour tromper les moldus, il tua un loup quelconque et usa de sa magie pour changer sa taille, son pelage et faire croire à une bête mutante, mi-chien, mi-long dont il laissa la dépouille aux moldus.
Le corps de Blanche Malfoy ne fut jamais envoyé à sa famille. Des sources proches de la famille Chastel ont écrit aux Malfoy installés en Angeleterre, informant la famille qu’elle n’était plus la bienvenue jusqu’à nouvel ordre en France et surtout, au Pays du Gévaudan pour les crimes commis par leur cousine. On suppose que le corps de Blanche fut brûlé à Fort Griffon, le fief des Chastel et que ses effets personnels furent conservés, bien que Blanche avait presque tout perdu lorsqu’elle est devenue un loup-garou. Cependant, un unique objet a été envoyée aux Malfoy et est à ce jour, remontée jusqu’à Juliet.
En effet, Blanche avait conservé la chevalière en or de son père qui appartenait bien avant lui à Anselme. Jalousement conservée par les Chastel, elle fut volée sous leur nez par un sbire envoyé par les Malfoy puis restituée. Elle fait partie des trésors historiques de la maison Malfoy. La tradition veut qu’elle soit offerte et portée à l’auriculaire à chaque femme de la famille. L’objet est aujourd'hui conservé par Madrigal dans le manoir familial. Elle comptait l’offrir à sa fille, bien qui lui revient de droit, mais celle-ci a choisi de fuguer peu de temps avant. La chevalière serait animée par la volonté de Blanche de lutter pour sa survie quoiqu’il arrive, qu’importe le prix à payer.
doublon(s) : jules la princesse, edith la pimbêche, ron le papa ours et alicent la moldue.
gallions : 1106
pronoms : masculin.
décade : vingt-deux grains tombés au fond du sablier, cri poussé quelques fractions de secondes après le jumeau, apogée de son existence sous l’essence de sa jeunesse.
labeur : talent inné pour voler, acrobate des airs et esprit ambitieux, attrapeur vedette des frelons de wimbourne, le numéro sept sur le maillot, joueur professionnel qui rêve des sommets, notamment de rejoindre l’équipe nationale et de rafler tous les trophées.
sang : liqueur mêlée depuis trop longtemps pour prétendre à une quelconque stupide pureté, né d’une moldu et d’un sorcier, exemple parfait d’une cohabitation qui peut exister, mais autour du portrait de famille, le danger rôde toujours, à l’affût du moindre faux pas.
don : morsure maudite une nuit de pleine lune, désormais enfant de la lune, dans ses artères coulent la colère de la bête, loup-garou affligé de mille maux.
myocarde : brisé en petits morceaux, éclats d’une romance avortée.
allegeance : égaré, perdu, ne sachant où aller.
particularité physique : souillure de la chaire, crocs de la bête plantée dans le derme, arrière-train côté droit infecté, vilaine cicatrice à jamais douloureuse.
décade : Les vingt-sept années qui s’essoufflent et arrivent sur leur fin, la trentaine l’attendant au détour du chemin.
labeur : Parjuriste zélée, les informations dévorées et stockées dans les méandres de sa cervelle. L’hésitation, pourtant, commence à prendre racine, alors que son regard vise plus haut.
alter ego : Sinead Callaghan
sang : La pureté préservée au fil des siècles, le sang immaculé au sein de leur société.
don : Occlumens, les secrets cachés au fin fond d'une jungle qui prend racine sous son crane.
MOIRA DE SANCTO CLARO - Moira de Sinclair vit le jour en 1457 dans la demeure familiale, dans l’archipel des Orcades, Troisième née d’une fratrie de cinq enfants dont la majorité auront eu la chance, selon elle, de naître homme. L’enfant bénéficie d’une éducation relative à son rang de gamine précieuse au sang dont la pureté n’aura été altérée. Sa famille ne rêve que d’en créer une lady, les manières impeccables et l’échine délicate. L’une de celles qui leur vaudrait, à coup sûr, une alliance avantageuse avec une autre famille sorcière. La petite, malgré la bonne volonté de ses parents, est terriblement sauvage. Ses paroles sont bien trop souvent acerbes et ses manières aussi doucereuses qu’empoisonnées pour peu qu’on l’ait suffisamment piquée. De celles qu’il fallait courser pour qu’elle daigne se montrer à ses leçons de broderie, au lieu d’essayer de s’envoler à dos d’Abraxans ou de se battre avec une partie de sa fratrie. Moira grandira envieuse de la liberté offerte à ses frères, de toutes ces possibilités qui leur étaient offertes sur un plateau d’argent et dont elle ne pourrait jamais s’emparer. Poudlard sera sa révélation. L’enfant s’épanouit, élève exemplaire à la moyenne excellente, loin des attentes familiales et du carcan dans lequel elle se trouvait enfermée. Elle se fera duéliste de talent avec une certaine affection pour les potions. C’est également dans l’enceinte de l’école qu’elle rencontre son futur époux, l’héritier Prewett. Une rivalité houleuse qui vaudra au jeune homme un nombre incalculable de mésaventures causée par la sorcière excédée par son impertinence. Ce ne sera que des années plus tard que cette relation se fera plus passionnée, les deux sorciers échappant à leurs fiançailles respectives pour se marier dans la précipitation. (Charlotte Hope - The Spanish Princess)
labeur : Secrétaire pour l'ambassadeur soviétique du Royaume-Uni et traducteur pour une petite maison d'édition du côté moldu
alter ego : Antonin Smirnov, l'identité sous laquelle il est né, est arrivé en Angleterre, le nom de sa mère, une manière de ne pas l'effacer complètement.
sang : Sang-pur
don : Troisième oeil, rêves flous, visions du passé ou du futur, difficiles à cerner qui le tiennent éveillé des nuits entières
myocarde : Romantique au coeur brisé, cherchant une âme-soeur, un homme pareil aux romans gothiques qu'il affectionne tant. Cœur épris dont la relation naissante est déjà brisée par des fiançailles arrangées.
allegeance : Mangemort. Si il n'accorde pas autant d'importance à la question de la pureté du sang que d'autres, il estime que les moldus sont un danger pour le monde magique. A ne pas éradiquer mais à soumettre, à arrêter avant qu'il ne soit trop tard.
particularité physique : Une cicatrice dans le bas du dos, vestige, marque au fer rouge d'une enfance et d'un oncle trop brutal.
Andreï Ivanovitch Dolohov - Né vers 1510 à Moscou, issu d’une famille sorcière de la petite noblesse, il reçoit une éducation propre aux personnes de son rang cette époque. Ce n’est que vers l’âge de six ans que les manifestations d’un don du troisième œil apparaissent chez lui, l’enfant annonçant des prédictions particulièrement détaillées, notamment en touchant des objets. Très vite, ses parents y voient un moyen de gravir l’échelle sociale et d’obtenir des terres et de nouveaux titres de noblesse. Andreï voyage donc à travers le pays, offrant ses talents de voyant aux plus riches.
Au fil des années, Andreï parvient à se faire une certaine réputation qui attire l’attention d’une famille de boyards, en leur prédisant que leur nom ferait la Russie pendant les siècles. Grâce à cette prédiction et sa nature de sorcier, Andreï a pu fonder grâce aux finances de la famille une petite maison de voyance. Quelques années plus tard, Anastasia Romanovna Zakharina est désignée pour devenir l’épouse du nouveau Tsar, Ivan. La prédiction semble alors se réaliser et la famille est admise à la cours impériale et Andreï y est souvent invité. Là-bas, il impressionne les membres de la cour en réalisant des prédictions ou en concoctant quelques potions et selon la légende poisons qui ne font qu’accroître sa réputation et finira par épouser une sorcière issu d’une noblesse plus haut placée qui lui permet de s’affirmer et de s’entretenir à quelques occasions avec le Tsar Ivan qu’il avertit de se méfier de certains noms, lui affirmant que ces derniers complotent contre lui et qu’il devra les éliminer pour conserver son trône. Il n’en est rien en vérité mais Andreï joue sur le caractère instable et paranoïaque du Tsar pour le conduire à commettre des erreurs qui accéléraient sa chute et celle de sa dynastie afin que sa prédiction ne se réalise : il en est persuad motsé, sa famille deviendra la plus respectée de Russie après la famille impériale.
Alors que le régime se durcit et que le Tsar part en campagnes militaires, Andreï agrandit sa maison de voyance avec l’aide de ses enfants qui ont également hérité du troisième œil. Le nom des Dolohov se propage à travers le pays pour dépasser les frontières, Andreï et ses enfants voyagent et réalisent des prédictions pour les plus grandes fortunes d’Europe en échange de paiements onéreux. Quand ils reviennent en Russie, le pays est en crise, sous un règne de terreur.
En 1584 le tsar Ivan meurt dans de mystérieuses circonstances et bien qu’âgé, Andreï continue de rester et de conseiller la famille de boyard qui lui voue une confiance aveugle : ses nombreuses prédictions au fil des années, leur ont permis de s’enrichir et d’échapper au joug cruel du Tsar. En 1613, âgé d’une centaine d’années, il s’éteint après avoir annoncé une dernière prédiction. « Les Romanov régneront sur la Russie qui sera grande sous leur nom jusqu’au jour où la faucille et le marteau les faucheront et les écraseront. »
(Donald Sutherland- behindfairytales)
341 mots hors codage
┗ Dark Paradise ┛
Every time I close my eyes, it's like a dark paradise No one compares to you I'm scared that you won't be waiting on the other side
Eudes d'Avery - Eudes de Haver. Né en 889, après Jésus-Christ, dans un village nommé Haver. Bien reculé de tout, loin de la civilisation. Il est déprécié par ses pairs. Il fait... Des choses étranges. Enfant bizarre, enfant du diable certainement. Il en a les yeux en tout cas. Regard dangereux, de celui qui ne se laisse pas faire, prêt au pire roublardise pour obtenir satisfaction. Auteur des plus terribles tragédies, l'enfant passe le plus de temps à se défendre comme il le peut, quitte à ce qu'il soit pris de plus en plus pour un monstre et de moins en moins en humain. Malgré tout, cela restait un enfant. Mal aimé, soumis à la blessure quotidienne d'une existence non désirée, autant par lui que par ses parents, mais un enfant tout de même. Il méritait le bénéfice du doute. L'enfant, fragile cœur, trouve refuge à... Poudlard. Il fut l'un des premiers, avec ses camarades, à fouler de ses pieds cette école. La vérité lui fit l'effet d'une tornade : il était un sorcier. Un véritable. De ceux qui jettent des sorts. De ceux qui font souffrir le commun des mortels. Créature de bonté et de bienveillance, il ne voulait le mal de personne. La vengeance ? Il ne la désirait point. Ce qu'il voulait ardemment, c'était une famille et un travail qui lui permettra d'en prendre soin comme à la prunelle de ses yeux. Et il y avait au fond de lui, cette ambiance de prouver. Prouver qu'il est meilleur que ce que ses parents lui prédisaient. Il veut s'élever, mais pas pour les regarder de haut, non, lui, il souhaite simplement dire "Voyez-moi, le raté, j'ai réussi à devenir ce que vous ne deviendrez jamais, quelqu'un de respectable. Je suis à dix mille lieux de vous maintenant". Il a intégré Serpentard, le Choixpeau a hésité à le diriger vers Poufsouffle, mais ses attentes étaient bien trop grandes. Plus tard, il a rencontré une femme, elle était également dans la seule et première promotion de Poudlard. Ne voulant se souvenir de son village, il a décidé de changer de nom pour Avery. Ainsi est née, la longue et terriblement pure lignée de cette famille de sang-pur. (George blagden - Viking). 378 mots hors codage
faciès & dot : charlie hunnam. / ava (all souls), gifs (mars, r. rocket).
doublon(s) : keir, charles.
gallions : 1749
pronoms : he/him.
décade : (trente-huit) années soupirées, hivers burinant le derme, entaillant la pierre, visage éreinté, carcasse devenue trop lourde à traîner.
labeur : (croupier) golden dragon casino, repère de ses déboires, antre malodorante de sa débauche, geôle dorée dans laquelle trafiquer ses méfaits ; aux yeux de tous il bat les cartes, sous la table il passe les faux gallions blanchis pour le compte de la pègre.
alter ego : tommy becker.
storytime :
› un air de déjà-vu (augusta).
› what was i made for (agnès).
› what about us (erhy).
sang : (sang-pur) carmin immaculé, essence qu'il ne faut guère souiller, blason entaché de déshonneur, couronne d'épines arrachée au déshérité.
don : (occlumen)
myocarde : (en berne)
allegeance : (pègre)
particularité physique : (scars) trente-six lignes blanches gravées sur le derme, pour autant de temps passé dans les geôles putrides d'Azkaban. (tattoo) code barre traçant le numéro de matricule encré sous la carne, à la naissance du cou, au dessus de l'épaule droite.
pour la jolie @DOLORES ABBOTT, sur le thème de son rp avec Adam. pas d'obligation d'utilisation, comme toujours, mais si jamais pleins de choses sont modifiables.
WRITE ABOUT LOVE.
WRITE ABOUT LOVE, IT COULD BE IN ANY TENSE, BUT IT MUST MAKE SENSE
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LE TAUX MIROBOLANT DE RÉACTION ALLERGIQUE À LA DERNIÈRE POUDRE DE BEAUTÉ BULSTRODE
if you have nothing to hide
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On ne saurait que trop déconseiller aux sorciers et sorcières de dépenser les 35 noises et 7 gallions que coûte le dernier poudrier de beauté instantanée de chez BULSTRODE'S BUBBLING BREWS FOR BEAUTY AND BEGUILEMENT. On ne compte plus le nombre de réactions allergiques depuis sa mise en avant : furoncles, amas de boutons formant des grossièretés, tâches tenaces, écoulement graisseux… Les réactions sont diverses et variées, comme peut en témoigner une partie de cette liste témoin, et les usagers aussi mécontents que honteux de se montrer en public. L’on pourrait penser que les effets s’estomperaient avec un bon nettoyage du visage, hélas, les effets sont aussi persistants qu’un doxy attaché à son nid. Le troisième étage de Sainte-Mangouste, destiné aux empoisonnements par potions et plantes ne désemplie pas, comme peu l’indiquer notre photo associée, et toutes les classes sociales semblent être touchées. Sans vouloir citer de nom, on peut y trouver des hauts-placés au ministère (gageons qu’ils ne sont pas près de retourner travailler avec une tête pareille), comme de la simple ménagère qui doit amèrement regretter d’avoir dépensé une somme qui aurait pu être bien mieux employée. La filiale Bulstrode est connue depuis des générations pour la vente de produits d’exception, et particulièrement employée par les grands noms célèbres, alors que se passe-t-il ? Doit-on y voir une forme de sabotage magico-industriel et l’émergence d’une nouvelle marque destinée à détrôner nos cosmétiques favoris ? Ou serait-ce une vendetta contre une estimée injustice ? Car après tout, nous ne sommes pas sans savoir qu’une sorcière prometteuse quoi qu’un peu trop ambitieuse a été priée de prendre ses affaires et d’aller voir ailleurs si Merlin ne s’y trouve pas. Quoi qu’il en demeure, nous prions nos chers potionnistes de chez Bulstrode de bien vouloir rectifier leur recette afin de retrouver des visages sereins et moins bouffis… et espérons qu’ils auront de quoi rembourser les produits gâchés auprès de leur clientèle.
faciès & dot : charlie hunnam. / ava (all souls), gifs (mars, r. rocket).
doublon(s) : keir, charles.
gallions : 1749
pronoms : he/him.
décade : (trente-huit) années soupirées, hivers burinant le derme, entaillant la pierre, visage éreinté, carcasse devenue trop lourde à traîner.
labeur : (croupier) golden dragon casino, repère de ses déboires, antre malodorante de sa débauche, geôle dorée dans laquelle trafiquer ses méfaits ; aux yeux de tous il bat les cartes, sous la table il passe les faux gallions blanchis pour le compte de la pègre.
alter ego : tommy becker.
storytime :
› un air de déjà-vu (augusta).
› what was i made for (agnès).
› what about us (erhy).
sang : (sang-pur) carmin immaculé, essence qu'il ne faut guère souiller, blason entaché de déshonneur, couronne d'épines arrachée au déshérité.
don : (occlumen)
myocarde : (en berne)
allegeance : (pègre)
particularité physique : (scars) trente-six lignes blanches gravées sur le derme, pour autant de temps passé dans les geôles putrides d'Azkaban. (tattoo) code barre traçant le numéro de matricule encré sous la carne, à la naissance du cou, au dessus de l'épaule droite.
LE TAUX MIROBOLANT DE RÉACTION ALLERGIQUE À LA DERNIÈRE POUDRE DE BEAUTÉ BULSTRODE
if you have nothing to hide
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à lire en écoutant cette MUSIQUE digne des meilleurs témoignages drama
Une publicité attrayante, des promesses alléchantes - les Bulstrode n’ont pas lésiné à promouvoir leur dernière création avec des arguments marketing bien ficelés. Sur le marché de l’apparence, leurs preuves ne sont plus à faire, la famille s’érigeant dans les plus hauts sommets de la création et la distribution des produits de beauté révolutionnaires. La Poudre de Beauté ne devait pas faire exception : teint lisse et illuminé, visage sculpté, joues rebondies et rosées, adieu les imperfections disgracieuses et les signes de fatigue - tels étaient les engagements avancés lors de la soirée de lancement de la nouvelle gamme, quelques semaines plus tôt. Des centaines de produits écoulés plus tard, le verdict tombe, ébranlant la maison Bulstrode.
Nous avons rencontré Violine*, une habituée de la marque. Sous le voile apposé par dessus son visage, l’horreur d’une vie détruite. « Ça a commencé par quelques picotements désagréables, puis les rougeurs se sont installées » Nous explique-t-elle. « J’ai d’abord pensé que c’était normal, que les sortilèges faisaient effet pour rendre mon teint plus unifié. J’étais loin de me douter que le pire était en train de se produire… »
Pustules infectés, croûtes purulentes, lambeaux de peau décollés - bien loin de tenir ses promesses, la Poudre de Beauté Bulstrode, à la composition instable, provoque à l’inverse une myriade de réactions allergiques inattendues. Une confiance aveugle qui tourne au drame - Violine est défigurée. « Je me sens trahie et blessée. Regardez mon visage… Je suis devenue un monstre, obligée de se cacher. » Devant notre journaliste, Violine craque en sanglots.
« Cette poudre a des effets très néfaste pour la peau, tant d’un point de vue extérieur qu’intérieur. Elle fragilise la barrière naturelle de l’épiderme. À ce jour, nos meilleurs médicomaées travaillent d’arrache-pied pour trouver un remède aux dégâts engendrés par la Poudre de Beauté Bulstrode » avance un professionnel de santé de l’Hôpital Sainte-Mangouste, à Londres.
La colère enfle dans la communauté magique, et déjà une action collective contre la maison cosmétique Bulstrode prend de l’ampleur, rassemblant des dizaines de victimes sous l’égide d’un collectif d’avocats. « En plus d’une publicité mensongère, nous avons affaire à une atteinte à l’intégrité des consommateurs. Les Bulstrode doivent répondre de leurs actes et cette affaire ne doit pas rester impunie. » Une plainte sera déposée dans les jours à venir. Affaire à suivre...
* Prénom emprunté dans un soucis de conserver son anonymat.
décade : dix-neuf ans, entre une adolescence perdue et l'âge adulte qui lui ouvre les bras
labeur : diplômée depuis un peu plus d'un an, elle était jusqu'à il y a peu assistante parjurante au Magenmagot. désormais sans emploi, elle cherche sa voie
alter ego : Nicole Desplat
sang : sang pur, bien que ça n'ait pas la moindre importance à ses yeux
myocarde : le coeur accroché et offert à un doux géant
allegeance : passeuse depuis janvier 1955, branche aubépine
particularité physique : une cicatrice sur la tempe droite, due à une malheureuse rencontre avec un cognard lors de son tout premier match de quidditch
Rien ne semble plus arrêter Arthur Bagshot, le célèbre Attrapeur des Frelons de Wimbourne. Le jeune prodige a pleinement su démontrer l’étendue de son talent, allant jusqu’à amener son équipe à la victoire lors d’un match épique qui restera sans nul doute dans les annales du Quidditch.
Pourtant ce ne sont pas ses prouesses sportives mais bel et bien sa vie amoureuse qui fait couler beaucoup d’encre ses dernières semaines. Si la rumeur de ses fiançailles avec Dolores Abbott a déféré la chronique, elle a récemment été démentie. « Ce ne sont là que des racontars sans fondement, il n’y a jamais eu aucun projet de mariage entre Mr Bagshot et Miss Abbott. », a déclaré Cretus Bonnefoy, Attaché de Presse de Pouchem dans un communiqué officiel. La compagne supposée de l’Attrapeur, également joueuse de l’équipe des Frelons, n’a pas souhaité commenter.
Le mystère était donc entier jusqu’à un coup de théâtre survenu il y a quelques jours, lorsque la véritable fiancée d’Arthur Bagshot est sortie de l’ombre.
Maybell Mountebank, vingt-trois ans a signé de sa plume le livre « Moi et Arthur: comment j’ai attrapé l’Attrapeur » à paraitre dans quelques jours aux éditions Merlin le Magicien.
Auréolée d’une renommée nouvelle, Maybell Mountebank a gracieusement accepté de répondre à nos questions dans une interview exclusive signée Jim Dupipo.
J.D.: Reprenons du début: comment a commencé votre histoire d’amour ? M.M.: Nous étions ensemble à Poudlard. Nous ne nous parlions pas vraiment, mais nous échangions sans cesse des regards, c’était électrique. Une véritable passion ! Lorsqu’il m’a lancé son maillot lors de son dernier match à l’époque, j’ai su que c’était le grand amour. Je ne l’ai jamais quitté depuis d’ailleurs, il porte toujours son odeur.
J.D.: Mais pourquoi vous être cachés si longtemps ? Vous n’étiez pas jalouse de toutes les relations qu’on lui prêtait ? M.M.: Nous voulions à tout prix préserver notre vie privée. C’était difficile c’est vrai, mais vous savez quand on s’aime vraiment, il n’y a pas lieu d’avoir peur. J’ai toujours eu confiance en Arthur, je sais qu’il ne m’a jamais trahie.
J.D.: Certains, notamment des membres de son fan-club, ont déclaré que tout vous avez tout inventé et que les photos inclues dans le livre ne sont que des montages. D’ailleurs selon nos sources, le contrat vous Iiant à votre maison d’édition est plutôt lucratif. Qu’avez-vous à répondre à ces critiques ? M.M.: De la jalousie et des mensonges, tout simplement ! Arthur est extrêmement populaire, vous l’avez bien vu. Il était prévisible que je sois attaquée, mais je sais que je dis la vérité alors tout ça ne me touche absolument pas. Je suis quelqu’un de profondément honnête, jamais je ne mentirais là-dessus. Mon livre comporte d’ailleurs de nombreux détails qui le prouvent. Je suis désolée pour celles qui se sentent lésées, mais Arthur est bien l’homme d’une seule femme.
J.D.: En parlant de votre livre justement, que pourra-t-on y trouver ? M.M.: Une merveilleuse histoire d’amour, et en exclusivité des détaillas croustillants sur notre relation. Mais il vous faudra l’acheter pour le découvrir.
« Moi et Arthur: comment j’ai attrapé l’Attrapeur » aux éditions Merlin le Magicien, disponible le 23 juillet dans toutes les librairies magiques.
Mon amour, J'espère que tu as bien dormi et que ta journée sera bonne. Je serai absente pour toute la journée et ne rentrerai que tard ce soir. Il y a un reste de gigot d'agneau dans le réfrigérateur et je t'ai préparé un sandwich pour midi. La lampe du salon nous a lâché, veux-tu bien changer l'ampoule ? Et si tu pouvais acheter ces quelques petites choses suivantes…
- Lait - Beurre - Carottes - Tomates - Vin (rouge) - 1kg de rôti de bœuf - Petits oignons