IN FOR
THE KILL

RPG HP && the village


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PÉRIODE DE JEU:
Juillet 1955
GODRIC'S HOLLOW ● Dans l’ombre, un texte commence à circuler dans les différentes communautés magiques, lu lors de soirées mondaines, traduits dans une dizaine de langue, le pamphlet, extrémiste, fait assez parler de lui pour être reproduit par les journaux ou lu sur les ondes de nombreuses radios afin d’en commenter ou critiquer le contenu. L’illégalité de leur organisation ne semble nullement avoir empêché les Mangemorts de diffuser leurs idéaux. (lire le pamphlet)
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stuck in the middle with you.
neutral: no mans land ●
Charles Moody
neutral: no mans land
Charles Moody
feuille de personnage

Feuille de personnage
RELATIONS:
INVENTAIRE:
ACQUISITION:
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KNIVES
SOUL
hiboux : 746
pseudo : dat/sarah. (she/her)
faciès & dot : jake gyllenhaal / ava (skate vibe).
doublon(s) : keir, emile.
gallions : 1885
pronoms : he/him.
décade : (trente-six)
labeur : (auror)
alter ego : charlie myst.
sang : (sang-pur)
don : (magie sans baguette)
myocarde : (vide)

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posséder 3 multi.
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https://inforthekill.forumactif.com/t3061-bruises-left-behind-ch
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(#) stuck in the middle with you. ●
24.03.24 18:14
● ● ●
you have nothing to fear
À PROPOS
DE CE SUJET
if you have nothing to hide
● ● ●
temporalité du rp : juin 1955.
personnages concernés :  @Kalysta Greengrass & @Charles Moody
trigger warnings : mention de la mort et du bûcher, claustrophobie.
intervention autorisée du mj : [x] oui [ ] non
autre(s) : /

IN FOR THE KILL - 2021-2022
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Charles Moody
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(#) Re: stuck in the middle with you. ●
24.03.24 18:14
En apesanteur, les chiffres dansent, tout se mélange.
S
STUCK IN THE MIDDLE
WITH YOU
Gueule des mauvais jours, la trogne balafrée de cette moue crispée, paupières fardées du camaïeu sombre de nuits sans sommeil - lippes serrées, tignasse ébouriffée, il enfonce les poings au fond des poches, la carcasse avachie, grognements sur l’émail. Au moins sa dégaine de bête grincheuse avait-elle le mérite de tenir à distance les quelques âmes qui jouxtaient son existence - l’on s’était accommodé, bon gré mal gré, des humeurs tangibles du Moody, des crises existentielles frisant l’instabilité, de ce halo sombre et vaporeux qui semblait flotter dans son sillon. On ne le frôlait plus qu’en le saluant d’un hochement de tête silencieux, prêtait une oreille distraite à ses dernières lubies - la dernière en date étant cette obsession pour la fin tragique d’Adhara Goyle, dévorée par les flammes.

Il n’en retournait pas de la responsabilité des Aurors de se mêler de cette odieuse affaire ; après tout, l’oeuvre avait clairement été revendiquée par ces illuminés moldus et aucune trace de magie n’avait été trouvée sur le théâtre de l’horreur pour s’y être lui-même rendu afin de s’en assurer. Pour autant, l’étau de la culpabilité ne s’était en rien desserré autour de la poitrine, manquant de le faire vaciller. Sous la cabèche, un écran de fumée obstruait les pensées, alimentant cette sensation d’impuissance, murmure lui rappelant sans cesse qu’il n’avait pas été à la hauteur et que si lui et ses comparses s’étaient inquiétés de l’intrigante disparition de la sorcière plus tôt, ils auraient sans doute pu l’arracher à cette folie meurtrière avant que le pire ne se produise.

Trouver des réponses était devenu, avec les semaines écoulées, sa planche de salut - s’embourber dans une quête vaine lui semblait être l’unique chemin à emprunter pour apaiser ses maux et se débarrasser des cauchemars et des fantômes qui le hantaient. Aussi avait-il passé plus de temps que nécessaire à écumer les rues du Northside moldu de Godric’s Hollow, rejouant la scène encore et encore, re-dessinant de mémoire les visages au milieu des décombres calcinés, pestant au souvenir que sa magie s’était dérobée sans qu’il n’ait trouvé le moindre éclat du matériau responsable de la perte de ses pouvoirs.

Le Ministère avait pourtant fini par rappeler sa brebis galeuse dans les rangs - les affabulations grotesques de Moody, pour employer leurs propres termes, avaient élimé la patience de ses supérieurs hiérarchiques, beuglante envoyée au domicile du sorcier, le sommant de rappliquer dans les bureaux londoniens sous peine d’être mis à pied. C’est ainsi en grommelant plus que de raison qu’il avait jeté une poignet de poudre de cheminette dans l’âtre froid, disparaissant dans une gerbe de flammes vertes et froides pour réapparaitre dans l’atrium glacial et constamment peuplé du Ministère de la Magie. Céruléennes figées sur les dalles de parquet sombre, caboche abaissée comme celle d’un enfant qu’on aurait grondé, il se fraie un passage parmi les visiteurs égarés et le personnel trop pressé, glissant telle une ombre au milieu des silhouettes. Une fois le hall des ascenseurs dorés atteint, arrive à se glisser dans un élévateur vide juste avant que les portes ne se referme, saluant dans un souffle le gobelin liftier. « Bonjour Tarog. » hochement de tête et sifflement entre les dents jaunâtres de la créature pour toute réponse.

Le département de la justice magique, abritant le bureau des Aurors, se situe au deuxième niveau de l’antique bâtisse magique. Entre le huitième, étage auquel il est monté, et celui de sa destination, la cage aux barreaux d’or s’anime violemment sous la main du liftier, ballote dans un cadancement vertigineux - il se recroqueville dans un recoin de l’espace exiguë le Moody, à mesure que les âmes s’agglutinent, épaules contre épaules, entrent et sortent dans un ballet maladroit, accompagnées d’une gerbe de notes de services planant au dessus des trognes. Au quatrième niveau, la cabine est si lourde que l’on peine à respirer - plus que deux. Au troisième, enfin, l’engin dégueule sa populace suante sur le palier, laissant au sorcier tout le loisir d’étendre les membres endolories par l’ascension.

« Retenez l’ascenseur » Une seconde avant que les portes ne glissent sur leur rail, refermant ainsi l’habitacle pour l’ultime escalade, la main aux doigts crochus du gobelin s’enroule autour du premier barreau, bloquant le mécanisme le temps que la tornade rousse se faufile jusqu’au monte-charge. Un battement de coeur manqué, le souffle égaré sur les lippes tandis que sa fragrance envahi l’espace, que les prunelles se croisent furtivement. « Kaly… » il lâche faiblement en guise de bonjour. Ils ne s’étaient pas croisés depuis la Saint Godric, n’avait guère échangé que quelques futilités maladroites avant le drame - leur dernière conversation remontait ainsi à l’Islande, épines plantées dans l’organe vital. Le silence devient assourdissant tandis que la machine se met de nouveau en branle, attaque le dernier voyage jusqu’au bureau des Aurors.

Cliquetis inquiétants, et avant qu’ils n’aient pu prononcer un mot, la cabine s’interrompt au milieu d’un tunnel obscur, brinquebalant dans un couinement. Les sourcils se froissent. « Tarog, que se passe-t-il ? » Il demande du fond de l’habitacle, avachi contre la paroi pour amoindrir les oscillations. « La cabine est bloquée, Monsieur » il persifle dans ses intonations nasillardes, un rictus sur sa gueule fripée. Soupir expulsé - « Bordel, manquait plus que ça » il s’entend dire à voix haute dans un roulement d’opale au fond des orbites. Quelle était la probabilité que Moody et Greengrass se retrouvent seuls et bloqués dans un ascenseur ? Probablement nulle.
MADE BY @ICEANDFIRE / IN FOR THE KILL › 2021-2022
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Kalysta Greengrass
neutral: no mans land
Kalysta Greengrass
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gallions : 1878
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pronoms : she ; her
décade : vingt-neuf automnes tombés, bougies brûlées en souvenir des morts lui ayant permis de vivre.
labeur : auror aux mœurs douteuses.
alter ego : sœur alicia, les nonnes n'ont guère besoin de patronyme.
storytime : ébranlable […] feat. georgie
hunter hunted mission ministère

sang : pur, et il n'est pas permis d'en douter.
don : magie sans baguette, des années d'entrainement pour finalement, être déçue du résultat. Nécromancienne, aptitude innée qui brouille ses états d'âmes.
myocarde : Le minois se farde d’une légère rougeur sous la pensée pour celui qui fait battre son myocarde, cet homme qui n’a jamais été pour elle, mais qui lui fait tourner la tête. Georgie Weasley, son ancien beau-frère.
allegeance : sa famille, ses cadavres ambulants, l'amour de sa vie.
particularité physique : la chevelure flamboyante, quelques cicatrices, notamment au niveau de la main.
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(#) Re: stuck in the middle with you. ●
15.04.24 11:34
En apesanteur, les chiffres dansent, tout se mélange.
S
STUCK IN THE MIDDLE
WITH YOU
La sorcière n’avait pas fermé l’œil de la nuit. La pleine lune n’était certainement pas à blâmer, pas plus qu’un esprit trop occupé. La faute en revenait à cette surveillance instaurée jour et nuit sur des membres présumés être du cercle de Tom Riddle depuis le malheureux incident – c’était ainsi qu’avait été qualifié le crime ignominieux attenté contre Adhara Goyle, sorcière disparue, considérée comme fifrelin par bien des pairs de sang-pur. La famille Greengrass n’était pas en reste à ce sujet : la famille Goyle n’avait absolument rien d’enviable. Cela étant, ils ne valaient pas mieux. La tendance à l’oublier était proportionnelle à l’égo environnant. Toujours était-il que depuis la Saint-Godric – qui n’avait finalement pas rencontré le succès escompté, à savoir une paix tangible pour ne serait-ce qu’une journée – le monde sorcier, et tout particulièrement le ministère de la magie, était sur les dents, dans l’expectative d’une retombée qui ne saurait tarder. Mary Flint-Travers allait-elle faire quelque chose ? Ou les mangemorts seraient-ils les premiers à répliquer, eux qui pourtant étaient à l’origine de ce chaos ? C’était bien dans cette conjecture particulière que le bureau des aurors était entré en collaboration avec la brigade de police magique. Les mangemorts après tout, étaient soupçonnés de pratiquer la magie noire, spécialité des aurors. Et en épluchant les dossiers, le chef du bureau s’était miraculeusement souvenu d’un détail : Greengrass avait été une camarade de Riddle à l’époque pas si lointaine de l’adolescence. Mieux encore : même maison, même promotion et proximité due à leur rôle de préfet. Il y avait une idée sous toute cette réflexion, dont la flamboyante pouvait d’ores et déjà dessiner les contours avec précision. Nul n’était au courant des pensées soufflées dans le bureau, à l’abri des oreilles indiscrètes, et elle-même n’en avait soufflé mot à son compagnon de vie. Elle n’était pas même certaine d’accepter de se plier au jeu, c’était à double-tranchant, et sa situation s’était toujours avérée précaire au sein des aurors, quand bien même il y avait longtemps qu’elle avait fait ses preuves. Hélas, la réputation presque ancestrale des Greengrass n’était plus à faire : l’on ne voyait chez eux que la patte de loup habilement déguisée sous celle d’un mouton. Nul n’était dupe, mais personne n’avait encore jamais réussi à éprouver le tableau parfait de la vieille famille. Accepter, c’était s’exposer en pleine lumière, elle qui avait tendance à se glisser dans les ombres les plus obscures.

Mais à qui pouvait-elle seulement exposer ses doutes ? Il était inutile de compter sur les siens, d’aucun n’avait jamais approuvé son entrée chez les aurors, voire même dans cette sphère particulière de la protection d’autrui. Georgie ? Elle préférait encore suivre l’adage visant à séparer le travail de la vie familiale. Et ce, quand bien même elle savait qu’il pouvait être une bonne oreille et un partenaire de travail sur lequel compter à chaque instant. Il n’y avait personne, hormis son miroir parlant. Et même lui était bien capable de trahir ses confidences contre un peu plus de considération ou un lustrage en bonne et due forme. Elle était livrée à elle-même, seule avec son esprit et ses convictions. Si tant est qu’elle en possède encore. Soupir interne sous la caboche, repousse le moment où elle devra accorder une réponse à son supérieur, préfère encore se concentrer sur l’instant présent. À n’en pas douter pourtant, sitôt qu’elle passerait la porte du bureau des aurors, celui-ci ne manquerait pas de la convoquer, ne serait-ce que pour avoir un compte-rendu de sa surveillance nocturne. Conte qui ne serait finalement pas plus gros qu’un résumé de quatrième de couverture : il n’y avait rien à en dire… Billevesées que tout cela : il y avait des choses à révéler, mais pas sans trahir certains membres de sa propre famille. Et Kalysta avait beau avoir rejoint l’élite de la police magique, sa loyauté envers sa maison outrepassait toutes les règles instaurées. Ils en savaient suffisamment sur elle pour la vendre au nécessaire et sauver leur peau qui plus est.

Un passage rapide de la paume dans sa chevelure de feu, tout en se dirigeant vers les ascenseurs qui la mèneront à bon port. Tous sont déjà partis, à l’exception d’un, qu’elle hèle pour ne pas avoir à attendre de trop longues minutes. Elle a gain de cause, alors que les doigts crochus du gobelin en charge de ce dernier empêchent la grille de se refermer, dans un crissement à en faire frémir l’âme. « Merci Tarog ! » qu’elle s’exclame tout en pénétrant la cage, les prunelles céruléennes ne manquant pas de s’attarder un instant sur l’unique personne présente à l’intérieur – fait rare. Charles Moody, aka la résipiscence d’une vie : l’amoureuse. Il avait été celui qu’elle considérait comme le premier amour, le présent et le futur. La chute s’était avérée vertigineuse lorsqu’il avait décidé de mettre fin au rêve… Et elle n'était pas près de le lui pardonner. Pourtant, elle l’aurait accueillie à bras ouverts s’il était revenu vers elle, s’il avait pris conscience de sa valeur plutôt que de lui préférer sa carrière. Elle avait cru, l’espace d’un instant, le temps d’une mission, que les choses pourraient évoluer en ce sens, que l’Islande serait le plateau d’une nouvelle histoire… Oh comme elle s’était fourvoyée ! Une chose encore qu’elle ne pouvait lui pardonner, se contentant de répondre à son signe de tête par un autre, retenant sa langue de lui psalmodier qu’il n’avait aucun droit de l’appeler par son surnom. « Charles. » Ils avaient beau se croiser brièvement dans les couloirs du ministère, la sorcière prenait toujours garde à ne pas demeurer plus que nécessaire dans son champ de vision. Sa présence la mettait mal à l’aise, parce qu’il subsistait malgré elle, quelques bribes de l’écho d’un amour hurlant, s’effaçant pourtant sous la ferveur d’un autre, sous les baisers brulant du Weasley. Le chapitre était clos, le livre s’était fermé pour en débuter un autre… n’en demeurait pas moins que la Greengrass n’avait pas connu tant d’hommes – deux – et que Charles serait toujours un regret que l’on ne peut effacer malgré toute la bonne volonté. De toute manière, le voyage serait bien assez court entre les étages et les couloirs pour s’éviter un moment gênant plus long que nécessaire.

Les couilles du dragon oui ! Entre grincements, soubresauts et soupirs d’âme rendue, la machine ne manque pas de se mettre en panne, sous les mines déconfites et les onomatopées moqueuses du gobelin. Et tandis qu’elle colle son épaule contre l’une des parois et croises ses bras, Kalysta ne manque pas de prendre elle aussi la parole. « Il est déjà tombé en panne la semaine dernière et celle d’avant encore. Il n’a toujours pas été réparé ? » qu’elle interroge, veille à masquer l’impatience sous sa voix. « On ne peut pas attendre d’un humain qu’il fasse un bon travail avec une machine si capricieuse ma p’tite. » L’art de sous-entendre qu’un gobelin vaut cent fois mieux, et d’être sournois et presque au bord de l’irrespect dans une même phrase. Mais qui donc au ministère prêtait encore attention aux insultes déguisées du gobelin ? D’autre part, la rouquine a déjà le visage tourné vers son compagnon d’infortune, dont la remarque ne manque pas de l’atteindre en plein cœur. « Navrée que tu sois coincé avec moi. » qu’elle souffle non sans raillerie, avant de détourner son visage pour mieux observer le gobelin qui semble prêt à s’affairer sur la capricieuse.


1339 mots

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