IN FOR THE KILL

TW : Mort, maltraitance infantile, homophobie, guerre

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1922

« Je te le promets ma fille, je veillerais sur lui. »

Nikolaï Smirnov observe avec peine sa fille s’éteindre devant ses yeux. Dans ses bras son petit-fils s’agite. Il n’a plus que lui au monde pour l’aimer désormais.



1925

« J’ai fais un cauchemar... »

Nikolaï tente de calmer le petit garçon comme il peut avec des mots rassurants.

« Il y avait un bauk dans une isba, il voulait me manger... »

Entre deux sanglots, Antonin donne à son grand-père quelques détails qui le trouble, comme la couleur des murs ou le détail d’une vaisselle qui lui rappellent étrangement un épisode de son enfance, tout comme l’isba dans laquelle il a grandit.
Après d’autres nuits similaires à devoir consoler son petit-fils, Nikolaï comprends quelque chose et entame des recherches.

A l’attention de Mr Dolohov

Il ignore si la lettre atteindra sa destination – il l’espère – et si Sergueï Dolohov y répondra. Il en doute fortement. Mais l’homme doit savoir. Il doit savoir qu’il a un fils et que ce dernier a hérité du don familial du troisième oeil, ce même qui a été si fatal à la famille au moment de la Révolution et qui leur a valu leur exil.

Mais sa lettre n’aura jamais de réponse et le vieil homme se convainc que c’était sans doute mieux ainsi, son petit-fils ne mérite pas un pareil père.



1928

Caché sous la table du salon, Antonin observe les adultes réunis dans la pièce. Il les reconnaît grâce aux photos que dedouchka lui a montré, ce sont ses oncles et tantes. Tous sembles fâchés. Il ne comprends pas très bien pourquoi mais il sait que c’est à cause de lui et de dedouchka. Il est partit rejoindre mama hier. Maintenant les grands doivent choisir qui va s’occuper de lui.
Le ton monte rapidement ainsi que des larmes silencieuses dans les yeux du petit garçon qui comprends que les adultes se disputent car aucun d’eux ne veut s’occuper de lui. Il entends des mots comme bâtard qu’il ne comprends pas, pas plus qu’il ne comprends ce qu’il a bien pu faire de mal pour qu'on ne veuille pas de lui.

Finalement les cris s’arrêtent, quelqu’un grogne et se dirige vers la table où il a trouvé refuge.

« Viens avec moi, tu dois m’obéir maintenant. »

Sans ménagement son oncle Dimitri le tire de sous le meuble et l’entraîne avec lui, l’empêchant de jeter un dernier regard à l’appartement où il avait vécu jusqu’alors.



1930

Il masse sa joue endolorie en refermant la porte de sa minuscule chambre. Son oncle est saoul une fois de plus et il a eu le malheur d’être dans les parages. Ravalant ses larmes, il sort de sous sous son oreiller son exemplaire de Jane Eyre. Au beau milieu des cris, des coups, de l’odeur de cigarette et de vodka, les livres sont devenus son refuge en plus de tout ce qui lui reste de dedouchka, qui lui a légué toute sa bibliothèque, héritage auquel aucun membre de la famille n’a pu s'opposer.
C’est avec joie que le jeune garçon retrouve son héroïne avec qui il partage quelques points communs. Avec elle il oublie sa peine et ses chagrins, ses nuits ponctuées de cauchemars de plus en plus horribles depuis qu’il vit avec son oncle.



1934

Le silence règne dans la salle commune de l’école. La plupart des élèves sont partis dehors pour profiter de la neige et patiner sur le lac.

« Tu ne viens dehors ? »

Il sursaute et lève le nez du carnet sur lequel il était occupé à essayer d’écrire un poème et découvre une de ses camarades de classe, Olga si il souvient bien. Elle n’est pas dans la même maison que lui et il ne lui a jamais parlé jusqu’à maintenant – il n’a pas parlé à grand monde en fait.
Mal à l’aise, Antonin se mord la lèvre et baisse les yeux en secouant la tête.

« Pourquoi ? »

Il hésite un moment. Il craint qu’Olga ne se moque de lui mais il finit par lui répondre.

« Je… je n’ai pas de patins, je ne sais pas patiner. »

Il se mordille la lèvre de plus belle et attends qu’Olga ne se mette à se moquer de lui. Mais elle ne le fait pas. A la place la petite fille lui sourit et s’installe à côté de lui.

« Je vais rester avec toi alors. Qu’est-ce que tu fais ? »

Il faudra pourtant beaucoup de temps avant qu’il n’accorde sa totale confiance envers sa camarade. Les journées et les mois passent et lui et Olga deviennent inséparables, en viennent à se considérer comme frères et sœurs.



1939

Il se sent bizarre depuis quelques jours et ça n’a rien à voir avec les rêves étranges qu’il fait depuis qu’il est enfant. Des rêves prémonitoires d’après la professeur de divination mais ce n’est pas vraiment ça qui occupe son esprit en ce moment même.

Il est amoureux. Et ça l’effraye. Parce qu’il est amoureux de Lubim Kovalev, le champion de quidditch de l’école. Un garçon. Il ne devrait pas, c’est interdit. Et même si ça ne l’était pas, il sait que jamais Lubim ne l’aimera en retour. Il est plus âgé, plus populaire et il ne semble pas s’intéresser à autre chose que le quidditch ou le sport en général. Antonin le sait, il n’est à ses yeux que celui qui l’aide à maintenir sa moyenne à un niveau respectable – malgré leurs deux années d’écart – et rien d’autre. Et il n’imagine même pas la réaction de son oncle si il apprenait la véracité de ses penchants, il le tuerait, il en persuadé.

Alors il se tait, couche quelques vers et phrases dans son journal en espérant que ça lui passe, que les sourires et accolades que la vedette de l’école lui adresse suffiront. Olga semble remarquer que quelque chose ne va pas mais il ne veut pas l’embêter avec ça et il se mure dans un silence obstiné. Il évite même Lubim parce que le voir est trop difficile. Il s’isole, passe son temps libre dans la forêt avec pour seule compagnie les poèmes et les phrases qui envahissent sont esprit.

Un jour il reçoit un message de Lubim lui demandant de le rejoindre dans les vestiaires, pour parler. Il hésite longuement avant de se diriger vers le lieu de rendez-vous.
Lubim est bien là mais il n’est pas seul. Dans les vestiaires se trouvent ses amis et coéquipiers et quelque chose dans leur regard fait comprendre à Antonin qu’il n’aurait du venir ici.
Tout se passe très vite. En quelques instants deux élèves le maintiennent par les bras l’empêchant de s’enfuir tandis qu’un autre sort de derrière son dos un carnet, son journal qu’il ouvre et commence à lire à haute voix.

 « C’est la première fois que je ressens ça de toute ma vie… j’aimerais pouvoir être plus proche de lui, qu’il me prenne dans ses bras et me perdre dans son regard envoûtant. »

Des rires moqueurs fusent et garçon continue de lire, pages après pages en ponctuant parfois d’une remarque moqueuse. Il tourne la tête vers Lubim, suppliant mais ce dernier garde le visage baissé. Il ne fait rien, ne dit rien et les moqueries continuent, alors il rassemble un peu de courage et se débat pour essayer de s’enfuir, lance quelques insultes qui n’ont que pour effet de faire redoubler les rires moqueurs et soudainement un poing s’abat dans son ventre, puis un autre sur sa joue puis d’autres. Quand tout se termine enfin et que les garçons quittent le vestiaire en laissant tomber son journal devant lui, il ne cherche pas à se relever.

Mais quand Lubim pose une main sur son épaule, il sursaute comme si il venait d’être stupéfixié.

« Ne me touche pas. »

Sa voix est dure, glaciale.

« Ne t’approche plus jamais de moi. »

Il voit dans le regard de Lubim du regret. Il aimerait compatir mais il n’y arrive pas. Il aurait pu intervenir, empêcher ses amis de le frapper mais il n’a rien fait. Il se sent trahit. Il part sans demander son reste et cours rejoindre Olga dont la mine habituellement joviale s’épouvante en découvrant son visage tuméfié. Avant qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit, il se jette dans ses bras et éclate en sanglots et lui raconte tout ce qu’il lui a toujours caché. Son oncle, ses sentiments pour Lubim, l’humiliation. Les bras d'Olga se referment autour de lui. Ça ne suffit pas à effacer sa peine.



1942

Seul. Il est tout seul, à la merci de la guerre et de la famine. Une fois majeur et diplômé son oncle lui a fait comprendre qu’il ne le laisserait plus vivre chez lui.

Il peut se débrouiller seul, ce n’est pas un soucis, la solitude ne lui fait pas peur, ou du moins ne lui faisait pas peur jusqu’à aujourd’hui.

La ville est assiégée, ils sont pris au piège, malgré les tentatives de l’armée pour les aider à évacuer et ravitailler, la famine s’est abattue sur Léningrad et elle ressemble désormais à une ville fantôme.

Le froid s’est aussi répandu et il semble ricaner avec la famine qui frappe tout le monde. On ne croise plus que des silhouettes amaigries, voûtées, les gens fouillent les poubelles dans l’espoir de dénicher quelque chose à se mettre sous la dent. Quand quelqu’un tombe sur un animal errant, il s’empresse de l’attraper, que ce soit un rat ou un chat, peu importe, c’est de la chair, tout est bon pour ne pas agoniser au fond de son lit ou d’une ruelle.

Il n’y a plus rien d’humain ici. Il ne reconnaît plus la ville qui l’a vu grandir, il ne reconnaît plus rien, il ne se reconnaît plus lui-même. Quand il croise son reflet dans le miroir, il voit un visage creux et aux yeux cernés, au teint et aux cheveux ternes. Un fantôme.

Un fantôme qui erre dans les rues en ce moment même, désemparé. Il n’y a plus rien à l’épicerie, il y a fait la queue pendant deux heures dans le froid dans l’espoir de ramener chez lui quelque chose à manger, de quoi tenir pour au moins deux jours mais la boutique était vide.
Si il ne faisait pas aussi froid, la faim serait sans doute plus supportable. Mais l’idée de rentrer dans l’appartement de son dedouchka qu’il a pu récupérer – non sans mal – sans avoir quelque chose à se mettre sous le dent le déprime au plus haut point, d’autant plus que toutes les sources de chauffage et d’électricité sont coupées, il tremble toutes les nuits de froid sous sa couverture de laine et il est tellement fatigué que sa magie en pâti elle aussi, les sorts qu’il lance ne durent pas très longtemps et il a peur de fermer les yeux et de mourir de froid dans son sommeil.

Encore quelques rues et il sera chez lui. C’est ce qu’il se répète en boucle tous les jours quand il rentre du travail, si on peut appeler ça un travail. Plus personne n’a envie d’acheter des livres mais il reste parce qu’il gagne au moins quelques roubles qui lui permettent d’acheter quelques bouchées de pain.
Il répète cette mantra en boucle jusqu’à ce qu’il referme la porte de chez lui, mais ce soir il se sent tellement déprimé et faible qu’il sent ses pas ralentir et finalement ses jambes céder sous son maigre poids. Il faut qu’il se relève, il ne peut pas rester ainsi sous la neige, il va mourir.

Oh et puis après tout, qu’est-ce que ça change ? Mort ou vivant, ça ne change rien. Une bouche de moins à nourrir pour la ville, une victime en plus de cette putain de guerre. Il ne manquera à personne de toutes les façons, sauf peut-être Olga si elle aussi n’est pas déjà morte, il n’a plus de nouvelles et ça l’inquiète.

Il enfouit son visage dans le neige, il voudrait pleurer mais il n’y parvient pas.

« Allez… prends moi et qu’on en finisse une bonne fois pour toute. »

Mais la mort ne vient pas. Ou peut-être que si. Il sent ses yeux se fermer et puis le froid.



1945

La guerre est terminée, la ville est libérée. Il tente comme il peut de reprendre une vie normal mais c’est bien difficile. La guerre a tout emporté avec elle et surtout Olga. La nouvelle lui est parvenue quelques semaines après la libération : son amie ne reviendra plus.

Un jour une lettre arrive. Malgré l’enveloppe chiffonnée et piquée d’humidité, il reconnaît la qualité du parchemin et de l’encre qui compose la lettre et il commence à parcourir la missive. Ce qu’il lit fait s’effondrer le maigre monde qui compose son existence.

Il a un père. Sergueï Dolohov.

Dolohov, cette famille dont le nom a presque été effacé des manuels d’histoire, déchue, exilée. C’est impossible, une mauvaise farce.

Mais à la lettre est jointe une autre et Antonin reconnaît aussitôt l’écriture de son grand-père.
Que doit-il faire ? Ignorer la lettre ? Lui répondre. Qu’est-ce que cela impliquerait ? De quitter la Russie et de partir vivre au Royaume-Uni ? Pourquoi son géniteur ne lui réponds que maintenant, après des années de silence. Les questions se bousculent dans sa tête, il est perdu.
Quelques jours plus tard il a pris sa décision et décide de répondre. Il n’a aucune idée des conséquences de sa lettre, il espère juste que pour une fois, le sort lui sera favorable.



1952

Tout lui semble si lointain désormais. Il a du tout quitter pour un nom, une famille qui ne semble pas vouloir lui offrir de l’amour.

Il voudrait hurler mais il n’y arrive pas, c’est compliqué quand on a passé sa vie à se taire pour survivre.

Au final ici ou ailleurs, le résultat est pareil, même si au moins ici, il peut s’accrocher à quelque chose, un idéal. Les discours de Riddle sont séduisants. Et effrayants aussi.

Seul. Il se sent terriblement seul. C’est peut-être pourquoi il n’hésite pas une seconde quand il aperçoit cette minuscule silhouette trempée et ces yeux ambrés qui le fixent d’un air implorant dans le noir de la nuit.

Il gagne un compagnon, quelqu’un à aimer sans conditions, ça sonne sans doute étrange de s’attacher à ce point à un chat trouvé dans la rue, mais ils sont semblables tous les deux, des orphelins perdus en quête d’un peu d’amour, que le destin semble avoir voulu réunir, sans qu’il ne puisse savoir qui a réellement sauvé qui ce soir là.


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développement de la particularité

MANIFESTATION ET IMPACT Rêves prémonitoires qui surgissent au beau milieu de la nuit. Images floues ou petits détails incongrus, les rêves apparaissent comme des migniatures de peinture.  Il a longtemps ignoré quelle était la nature de ces étranges rêves avant d'apprendre la vérité sur son lignage. Les rêves sont plus précis, lui montrent des visions du passé ou du futur lié à des personnes de son entourage, sans qu'il ne puisse vraiment déterminer de qui et quand.

APPRENTISSAGE OU ACQUISITION Dons hérité des Dolohov, fierté et cause de la déchéance de la famille.

STADES DE MAÎTRISE OU DE DÉVELOPPEMENT Le don coule dans ses veines mais le troisième oeil ne se laisse pas dompter si aisément, il agit à sa guise.

LIMITES ET CONTRAINTES Le monde des songes est un univers à part. Les rêves se manifestent sans prévenir et restent pour la plupart indéchiffrables. Le réveil est toujours brutal et le sommeil ne revient jamais, écourtant les nuits d'Antonin. Ces rêves peuvent durer plusieurs nuits de suite ou une seule, disparaître quelques jours ou ne se manifester que plusieurs semaines plus tard.

LOIS POSSIBLES EN VIGUEUR Lors de son arrivée en Angleterre, afin de rester définitivement sur le territoire, Antonin s'est recensé auprès du ministère.

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implication dans la faction

DATE D'ENTRÉE 1953
MOTIVATIONS La pression familiale et de vieilles rancœurs l'on enjoint à entrer chez les mangemorts.
IMPLICATION Bien qu'ayant officiellement rejoint les mangemorts, il ne partage pas toutes les idées de ses membres surtout en ce qui concerne l'asservissement ou l'anéantissement des moldus. Plus modéré, il espère d'avantage pouvoir restreindre les avancées scientifiques des moldus et ainsi refreiner leurs idées destructrices. Profondément marqué par la guerre, il estime que les moldus sont responsables du carnage à cause de leurs artilleries ou bombes et qu'ils seront bientôt capables de bien pire si on ne les arrête pas.
Peu enclin aux missions de terrain, Antonin officie chez les red horse en tant qu'espion au sein du ministère et espère que son poste au sein de la coopération magique internationale puisse porter le message au delà du Royaume-Unis.
EMPLACEMENT DU TATOUAGE (uniquement réservé aux membres de la pègre)

derrière l'écran

VOS MOTIVATIONS DE PRISE DE POSTE S'agissant d'une refonte, Antonin était déjà chez les mangemorts à ses débuts, ici j'explique ce qui motive particulièrement Antonin chez les mangemorts qui a un point de vue assez différent des autres concernant les moldus et la supérioté du sang.
VOS ENGAGEMENTS Je m'engage à impliquer Antonin dans les TC concernant les mangemorts et d'espion.
VOTRE VISION POUR L'IMPLICATION DE VOTRE PERSONNAGE Antonin, en grande partie du à la pression familiale, s'enfonce de plus en plus du côté des ténèbres. Cependant, sa rencontre avec un certain moldu fait vaciller son allégeance, l'évolution des événements pourrait grandement influencer son implication sans que je ne puisse confirmer quoi que ce soit.

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POUR LES BOTTINS:

● inventé, de famille, scénario ou sans visage ?
Personnage en partie inventé, existant dans la saga mais dont on ne connait pas grand chose, il ne faisait pas partie des familles du forum à mon arrivée


● avatar :

Code:

<w>Aneurin Barnard</w>, @"Antonin Dolohov"

● alter ego :

Code:

<wy>Antonin Dolohov</wy> • <yw>Antonin Smirnov</yw>

● emploi et rôle:

quartier de l'emploi : Stamford, Lincolnshire
nom de l'enseigne/département/institution : Maison d'édition McGills and Co

Code:

<w>Traducteur :</w> @"Antonin Dolohov"

quartier de l'emploi : Londres
nom de l'enseigne/département/institution : Département de la coopération magique internationale

Code:

<w>Secrétaire :</w> @"Antonin Dolohov"

organisation s'il y en a :

Code:

Mangemort, Red Horse, @"Antonin Dolohov"

particularité s'il y en a :

Troisième Oeil :
stade d'acquisition :Rêves prémonitoires
autre(s) : X

● parcours scolaire:

école : Koldovstoretz
maison et année de fin de scolarité : Maison Sapfir, 1942
était-iel préfet·e et/ou préfet·e en chef ? Non
était-iel joueur·euse de quidditch ? Non
faisait-iel partie d'un ou plusieurs club(s) ? Aucun club

● groupe : Discordia

● faceclaim : listing

Code:

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<div class="name2"><si>ANTONIN DOLOHOV</si></div>
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<fi>ÂGE:</fi>  33 ans<br/>
<fi2>MÉTIER:</fi2> Secrétaire pour l'ambassadeur soviétique<br/>
<fi>FACTION:</fi> Mangemorts<br/>
<fi2>SANG:</fi2> Sang-pur<br/>
<fi>IDENTITÉ MOLDUE:</fi> Antonin Smirnov</br>
<fi2>MÉTIER MOLDU:</fi2> Traducteur</br>
<fi>CRÉDIT:</fi> Caelistisart
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<div class="names">ANEURIN BARNARD</div>
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@ANTONIN DOLOHOV C'est parfait mon petit chat. Ça a été un régal à lire, à faire la comparaison entre l'ancienne et la nouvelle fiche, les ajouts et modifications apportés se glissent très bien dans le background de ton personnage, et le don de troisième oeil est intégré en douceur sans que ça ne paraisse sorti de nulle part. Petit Chatonin mérite tellement une dose d'amour lààààà, on lui ferait des câlins en lui murmurant que tout irait bien.
Pense à faire les petites modifications qui vont bien dans ton profil (âge, lien vers la présentation, don, etc) et c'est tout bon pour nous.

tu passes l'étape de la validation Bravo petit monstre, l'équipe se joint à moi pour te souhaiter encore une bienvenue chaleureuse.

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