mob: bang, bang u're dead ● hiboux : 90
pseudo : yoann
faciès & dot : Herman Tommeraas (@joemaw-torpeur)
doublon(s) : Augustus Parkinson & Mila Rowle
gallions : 443 pronoms : He/Him (il)
décade : Jeunesse dans le corps et dans l'esprit. Vingt-deux années déjà bien exploitées.
labeur : Homme de main de la Pègre Magique.
alter ego : Stephen Barton
sang : Être supérieur. Meta-humain digne. Race hybride et supérieure à toutes les autres.
don : La lune est une religion, la lycanthropie une conviction.
myocarde : Libre de croquer (littéralement) ce qui bouge.
allegeance : La Pègre Magique
particularité physique : Des cicatrices qui bardent le corps.
gif feuille :
dedoublator
posséder 3 multi.
ancienneté
1 mois sur le forum.
| ( #) look what you made me do (amara) ● 14.08.24 18:14 |
| ● ● ● you have nothing to fear if you have nothing to hide ● ● ● temporalité du rp : août, 1955 personnages concernés : @Amara Shacklebolt & Fenrir Greyback.trigger warnings : sang, suprématie sorcière et hybride, violence (physique, morale), lycanthropie, à voir pour le reste.intervention autorisée du mj : [ ] oui [X] non (cochez la case correspondant à votre choix)autre(s) : IN FOR THE KILL - 2021-2022 |
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mob: bang, bang u're dead ● hiboux : 90
pseudo : yoann
faciès & dot : Herman Tommeraas (@joemaw-torpeur)
doublon(s) : Augustus Parkinson & Mila Rowle
gallions : 443 pronoms : He/Him (il)
décade : Jeunesse dans le corps et dans l'esprit. Vingt-deux années déjà bien exploitées.
labeur : Homme de main de la Pègre Magique.
alter ego : Stephen Barton
sang : Être supérieur. Meta-humain digne. Race hybride et supérieure à toutes les autres.
don : La lune est une religion, la lycanthropie une conviction.
myocarde : Libre de croquer (littéralement) ce qui bouge.
allegeance : La Pègre Magique
particularité physique : Des cicatrices qui bardent le corps.
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| ( #) Re: look what you made me do (amara) ● 14.08.24 18:18 |
| L'odeur de l'essence il voit les vies de tous ces gens qui s'en vont droit aux abattoirs @crédit de la quote @"pseudo"
« S’couer un peu la nénette, c’bien noté chef ! » Figurative, la stature est dressée dans le petit bureau si bien que la tête touche le plafond ou presque. C’est un endroit des basfonds bas de plafond. Figurative aussi l’humeur qui bat sous les tempes. Sale journée pour sale besogne. Sale journée où les bambins frémissants se tiendront loin une fois encore des crocs. Enragé est le corps aussi de ne point se nourrir du sang convoité, enragé est la bête immonde qui grogne et qui réclame son paiement. Elle est insatiable celle-ci à vouloir croquer, dévorer, avaler sans arrêt la jeunesse. Paraîtrait que l’océan chante lorsque l’exquise douleur d’un enfant se répand dans en son sein, paraîtrait que le ciel pourrait se noircir pour faire chuter les températures et que les dieux eux-mêmes se retourneraient d’un olympe céleste de voir mourir l’enfance au profit de crocs dévoilés. Mais nul sacrifice de ces petites lueurs aujourd’hui. Alors se met en branle ton corps et ton humeur. Allant ensemble sur le chemin orageux des cieux intérieurs.
Chaos. C’est la seule chose qui motive encore l’esprit au réveil, c’est encore cette promesse dite et dite encore qu’on pourrait bien y croire qui fait que le corps se met en branle et s’estime heureux de tutoyer un peu le pavé. Arpenteurs sont les pieds claquant sur le sol, arpenteurs sont les yeux qui sondent et arpenteuses encore les narines qui flairent. Bête de foire qu’un limier à la chasse ; bête de voir pour les regards avertis qui voient pour la première fois tes dents en mutation et ta carcasse se transformer en ce suprême parmi tous les autres. Fenrir Greyback n’existe plus alors, n’existe plus jamais. Il est devenu autre chose, plus grandiose, plus magistrale, plus incroyable que tout le reste ; son enveloppe brisée pour récolter l’ire d’une Humanité mortifiée. Que cette transfiguration est chatoyante lorsqu’elle se déroule à l’air libre sous la lune. Qu’elle est merveilleuse et que les souvenirs sont infinis. Cette grandeur, Fenrir, qui chasse peu à peu les traces grégaires d’appartenance. Faire sans est complexe, faire sans c’est s’amputer, se découper d’une partie de ton être. Faire sans, c’est aussi exercer cette violence d’une façon différente. Le sang doit y couler aussi parce qu’il est la sainte relique recherchée, il est le graal de ta propre quête, il est le suaire de tes espérances, il est la maestria de ta crucifixion. Le sang doit couler parce qu’il doit impreigner les terres, noyer les territoires dans une extension perpétuelle et infinie de son pouvoir. Il est un prolongement, il est un carburant, il est une mélodie qui ne s’exprime que lorsqu’il ruisselle sur le visage et magnifie le corps. Fer sur les lèvres et fer sur le reste. Il est un Louvres incompris, une promesse d’amoureux jetée à la mer, il est une divinité qu’il faut louer au même titre que l’astre nocturne. Chaos. C’est un mot misérable. C’est un mot capital. C’est un oxymore plaisant parce qu’il peut tout faire : faire naître la peur sur les visages et les rendre heureux. Imprimer le malheur et le bonheur. Il est un fier conquérant et un pleutre sans nom. Tout doit dépendre de son application. Concept vague courant de l’enfant voleur de jouets au terroriste faisant sauter planète et voie lactée de la même sorte. Agent du supposé chaos pourtant si attaché à sa hiérarchie, ambivalence incarnée qui se déplace avec rage. « ‘Culés d’bourges, ils s’font pas chier quand même… » Parce qu’au-devant des yeux les demeures magnifiques, parce qu’offerts aux yeux des paysages grandioses d’une banlieue. Parce qu’en scène dramatique, on peut faire pire. Qu’ils viennent visiter le camp, qu’ils viennent à deux ou trois observateurs sentir l’odeur de merde qui se dégage des roulottes. Qu’ils comprennent ce qu’ils évitent, ceux qui ont la chance de naître avec une cuillère en argent dans la bouche ou dans le postérieur. Qu’ils gobent leur caviar et leurs fines bulles tant que tu peux les gober tout entier. Qu’Hazel aimerait voir ces manoirs dressés comme des pics crevant le plafond , qu’Hazel voudrait y flâner dans ses rues… Pour y déposer quelques galettes bien salées, pour y mettre un agréable bordel.
Elle est là. Reconnue à cause de la photographie. Reconnue grâce aux filatures, reconnue grâce à sa stature de grande dame. Elle marche tranquillement. Parce que rien ne presse dans la vie de ceux qui ont le temps, rien ne presse jamais quand les gallions tombent et nourrissent. Rien ne presse jamais non plus quand la tête n’est pas sans cesse secouée par ce cœur brûlant et cette force qui pousse, pousse, pousse au crime. Elle se tient, princesse se croyant reine, reine se croyant déesse. Mais la mission est la mission. La mission est infinie, la mission est loi. Et la loi, c’est le désordre, aussi surprenant que ça puisse paraître. Parce que la loi des basfonds contrecarre la véritable loi et que c’est un moyen comme un autre de ravager, de piquer, de voler et de tuer.
Lâcheté d’un père évaporé ; lâcheté de digues inondées ; le muscle ensanglanté ; dans l’âme de sombres idées.
S’approchant, discrétion d’un troll des montagnes dans n’importe quelle fabrique de porcelaine sorcière, ton corps qui bouscule sans vergogne Madame. Puis ça pivote, tes pieds, ton buste. Tout. T’es un automate. « B’jour Amara. Va falloir qu’on discute toi et moi… » T’as pointé un doigt, t’as enfoncé un doigt sur son épaule. Parce que le tactile est un vice que tu possèdes aussi. Parce que toucher les gens, c’est déjà les posséder un peu. Un sourire dévoile de belles petites dents prêtes à croquer. « Parait que t’as la langue bien pendue, ça d’vrait pas te poser d’souci ou j’me trompe ? » Tu hausses les épaules sans de départir de ce sourire narquois.
MADE BY @ICEANDFIRE / IN FOR THE KILL › 2021-2022 |
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