I. Société post-guerre

La seconde guerre mondiale a été mal vécue par le peuple sorcier qui place la responsabilité des conflits sur le compte des sans magie. De nombreuses pertes humaines ont aussi mis la jeunesse sorcière sur un piédestal. Fatigué.e.s et apeuré.e.s par la chasse montante, les aïeux placent de nombreux espoirs sur les épaules des plus jeunes. On voit en eux l'avenir du monde magique. Les responsabilités sont attribuées à des êtres de plus en plus jeunes qu'on écoute avec une oreille attentive. les sang-purs en particulier comptent sur leurs jeunes héritier.e.s pour donner le la et représenter les familles dans les débats et leurs actions.

Des progrès et inventions voient aussi le jour. on parle de renaissance sorcière post-guerre. On doit faire preuve de stratagèmes nouveaux pour tenir tête aux moldu.e.s et se réunir dans des salons qui se multiplient alors qu'on encense l’ingéniosité de ceux capables de magie. La politique est aussi sujette à débat et des groupes d'action (mangemorts et passeurs) se créent.

II. Importance du sang

La pureté du sang est un sujet de discussion perpétuel, notamment pour les sorcier.e.s revanchard.e.s qui souhaitent établir une frontière claire entre les moldu.e.s et les sorcier.e.s. Lesdits sang-purs sont les familles dont le sang n'a pas été "souillé" par les sans magie. Viennent ensuite les sang-mêlés et enfin les nés-moldus, aussi appelés (de manière péjorative) sangs-de-bourbe. Si les droits des sorcier.e.s sont égalitaires, les sang-purs ont tendance à juger tout sorcier partageant le sang ou le quotidien d'un.e moldu.e.

● Les sans magie dans le monde magique : depuis 1952, de nombreux aurors contrôlent les visages inconnus du monde magique. Seul.e.s les moldu.e.s escorté.e.s de sorcier.e.s peuvent utiliser les portoloins et la poudre de cheminette.

● Adoptions : les enfants adoptés sorciers sont considérés comme des sang mêlés par défaut, sauf s'iels ont été légués à une autre famille de sang pur directement à la mort de leurs parents sang pur - via un testament, sans passer par la case orphelinat.

III. Genre et sexualité

● Condition des femmes : suite au mouvement féministe sorcier de 1740, les femmes sorcières possèdent les mêmes droits que les hommes. Cependant, les idées patriarcales persistent. Aussi, malgré les décrets égalitaires qui régissent la nation, certaines familles au sang pur contrôlent encore les actions et unions des femmes de leurs familles. Le divorce est légal mais plutôt mal perçu en raison du caractère sacré donné à l'amour dans la société sorcière.

● Sexualité : contrairement au monde moldu, les personnes de diverses orientations et préférences sexuelles sont généralement acceptées dans le monde magique britannique. La communauté magique ayant connu un boom de natalité les siècles passés, la sexualité n'est pas ou peu importante aux yeux de la plupart des sorcier.e.s qui la tolèrent sous toutes ses formes (des exemples non-exhaustifs sont l'homosexualité, la bisexualité, la pansexualité, l'asexualité, etc.). Il n'est ainsi pas rare de voir des personnes diverses et variées se fréquenter dans le monde magique. dans cet univers, le mariage est possible entre deux individus de même sexe, ainsi que les adoptions. Tandis que certaines familles de sang purs sorcières s'inspirent de l'étranger, craignant la non-reproduction des couples de même sexe et ainsi la fin de leur dynastie et branche, ces derniers représentent une partie infime du monde magique. L'adoption est généralement vue pour eux comme une solution peu convaincante car, dès lors, le sang reste rarement pur.

● Genre : grâce à la métamorphomagie et au mouvement féministe sorcier de 1740, tous les genres sont généralement bien acceptés et intégrés à la communauté magique. Les transitions de genre chez les sorcier.e.s sont médicalement possibles depuis 1823 et légalement autorisées depuis 1850. Aussi, cet accompagnement médicomagique de la transition est dit “total” depuis 1947. En effet, si une personne transgenre le souhaite, elle peu depuis cette date changer de sexe mais également de système reproductif et peut donc engendrer des enfants biologiquement même après sa transition médicale. Cette révolution scientifique est due au travail de longue haleine de la famille Pilliwinkle engagée depuis des siècles dans la lutte pour la reconnaissance et l’amélioration des droits des personnes transgenres. Cette dynastie de métamorphomages a longuement étudié sa propre constitution génique afin de parvenir à un “eureka!” tant attendu. Aux yeux de tou.te.s, néanmoins, c’est la famille Lockhart qui est l’origine de ce progrès - ces dernier.e.s ayant volé à la descendante des Pilliwinkle ses travaux avant de l’oublietter. Cette avancée a permis aux familles conservatrices de sang-pur d’accepter de plus en plus la transition de leur enfant. Néanmoins, certaines de ces dynasties voient toujours d’un mauvais œil ce processus puisqu’il peut entraver la promesse de mariage si leur enfant est un homme transgenre ou la transmission du nom de famille si leur enfant est une femme transgenre. Enfin, de rares sorcier.e.s réactionnaires ont toujours malheureusement des idées transphobes.

IV. Potions et psychotropes

● Potions : On vous invite à consulter cette page pour la liste des potions disponibles dans le monde magique.

● Psychotropes magiques : Les psychotropes sont interdits et vendus au marché noir de Godric's Hollow. Bien évidemment on vous invite à ne surtout pas tenter d’expérience IRL, ces informations sont strictement données pour être utilisées dans le cadre du forum. Attention aussi à faire usage du trigger warning drogue lors de ses mentions.